Si j'étais enseignant, cette analyse de texte aurait valu un 0 pointé, tellement elle est hors sujet.
NB : merci fightclub. Une courte réponse en mp, pour ne pas lancer un débat que je n'aurai pas le temps d'alimenter demain.
En bonus, un article imparfait sur un exemple à suivre.
http://www.courrierinternational.com/ar ... e-a-suivre
L’Amérique latine est devenue un exemple à suivre dans la lutte contre certaines dérives. Ce n’est pas par hasard si le Brésil peut se vanter d’avoir été le dernier pays touché par la crise et d’être le premier à en être sorti. Ce pays est aujourd’hui le moteur du sous-continent, où il représente 55 % du PIB régional. Voilà qui va bouleverser l’équilibre des pouvoirs au niveau mondial. Le Brésil s’ingère dans les affaires du monde et s’intéresse de plus en plus à l’Afrique. L’Amérique latine n’entend plus recevoir de leçons de quiconque et souligne au contraire que les diktats que le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale imposent aujourd’hui aux pays européens en difficulté sont à peu près les mêmes que ceux qui ont précipité le sous-continent dans la crise dans les années 1990. Les Brésiliens ont tiré la leçon de cet épisode : c’est désormais l’Etat qui a le dernier mot et qui dirige l’économie ainsi que le secteur bancaire. Les investisseurs apprécient, car la politique de redistribution de Lula a fait progresser la classe moyenne dans le pays. A long terme, c’est le seul moyen de régler le problème de la violence, qui est un produit de la pauvreté. En outre, l’exemple brésilien montre clairement que tout investissement doit servir en dernière instance à renforcer l’industrie nationale. On peut y voir du protectionnisme, mais c’est ainsi que les tigres asiatiques ont réussi à s’émanciper. L’Amérique latine mérite donc toute notre attention.
Sachant que, comme je le disais à fightclub, la solution est de ne plus considérer la croissance en tant qu'une hausse de la production/consommation entrainant un accroissement des richesses, mais bien en tant qu'une hausse de la productivité du travail/temps libéré entrainant un accroissement de la prospérité.
Cela permettra de basculer vers des économies moins assises sur la consommation matérielle (70% du PIB aux states).
Les gouvernements européens se font Marché dessus.