Quelques slides marquants :Les notaires de France ont présenté, jeudi 27 février, la conférence de presse nationale sur le marché immobilier 2013.
Pour la partie parisiano parisienne de la conférence, voir ce fil : viewtopic.php?f=168&t=88440
Quelques slides marquants :Les notaires de France ont présenté, jeudi 27 février, la conférence de presse nationale sur le marché immobilier 2013.
Bien sûr que non, il faut partir aussi du total des années de détention, pas que des %.slash33 a écrit :Ah... avec le slide 19 on remet sur le tapis la durée de détention de 7 ans.
Surtout, on voit la transition de 5 ans de détention vers 5-10 entre 2006 et 2013 (quasiment 10 points d'écart). Il faudrait avoir le même type de graphe pour les années 1996 à 2003, cela serait très intéressant.slash33 a écrit :Ah... avec le slide 19 on remet sur le tapis la durée de détention de 7 ans.
Ben92 a écrit :et +0.2% dans le 92 aussi.
Vu les conditions de crédit exceptionnelles je me demande pourquoi ça n'augmente pas davantage...
Flux net ? Total France : 0.8% (acquéreurs = 5.1%, vendeurs = 4.3%).Hourvari a écrit :Mais oui, ça remet en cause l'idée qui prévaut ici que les étrangers sont un "mythe".
Amha il faut distinguer la détention de ceux qui vendent, telle que commentée dans le slide, de la détention globale qui inclue ceux qui ne vendent pas. Ceci explique donc les chiffres de 7 ans vu régulièrement et les 19 ans calculés à partir des données détaillées du recensement.Hourvari a écrit :Je complète sur la durée de détention:
-sa réduction est indéniable
-elle est à relier à la nouveauté des AI: pousser au "parcours résidentiel" afin de faire acheter un bien inadapté mais accessible aux primos.
Un scoop: le flux net au total acheteurs-vendeurs, c'est combien?Suricate a écrit :Flux net ? Total France : 0.8% (acquéreurs = 5.1%, vendeurs = 4.3%).Hourvari a écrit :Mais oui, ça remet en cause l'idée qui prévaut ici que les étrangers sont un "mythe".
Significatif ?
Sur Paris on a bien le nombre d'acheteurs qui explose mais quid du nombre de vendeurs ?
slash33 a écrit :Amha il faut distinguer la détention de ce qui vendent, telle que commentée dans le slide, de la détention globale qui inclue ceux qui ne vendent pas. Ceci explique donc les chiffres de 7 ans vu régulièrement et les 19 ans calculés à partir des données détaillées du recensement.Hourvari a écrit :Je complète sur la durée de détention:
-sa réduction est indéniable
-elle est à relier à la nouveauté des AI: pousser au "parcours résidentiel" afin de faire acheter un bien inadapté mais accessible aux primos.
Je ne comprends pas bien où tu veux en venir, soit plus clair.Hourvari a écrit :Un scoop: le flux net au total acheteurs-vendeurs, c'est combien?Suricate a écrit :Flux net ? Total France : 0.8% (acquéreurs = 5.1%, vendeurs = 4.3%).Hourvari a écrit :Mais oui, ça remet en cause l'idée qui prévaut ici que les étrangers sont un "mythe".
Significatif ?
Sur Paris on a bien le nombre d'acheteurs qui explose mais quid du nombre de vendeurs ?
Suri en déduit que la bulle est un mythe, y'a pas d'acheteurs !
http://magimmo.seloger.com/a-la-une-mar ... ce-t233475C'est un record : la part des acquéreurs étrangers en Ile-de-France a atteint 8,3 % au troisième trimestre 2013, selon des données dévoilées jeudi à Paris par la chambre des notaires franciliens.
Plus concrètement, cette part s'établissait à 7,9 % intra-muros, 9,4 % dans la petite couronne et 6,9 % dans la grande couronne au troisième trimestre, les deux derniers taux étant les plus élevés jamais enregistrés localement par la chambre. Ce constat recoupe celui réalisé en septembre 2013 par l'observatoire BNP Paribas International Buyers " Investing & Living abroad ".
L'immobilier français reste visiblement très convoité par les acquéreurs étrangers, très sensibles à l'art de vivre à la française. La nationalité la plus présente parmi les acquéreurs étrangers non-résidents est la nationalité britannique. Les Anglais restent les premiers investisseurs en nombre de transactions malgré une très forte baisse (- 31 %) des ventes l'an dernier. Ils représentent 19,1 % des acquéreurs étrangers. Suivent les Belges (16,41 %) et les Italiens (12,8 %) malgré là aussi une baisse significative des transactions, en chute respectivement de – 24 % et – 41 %.
http://www.latribune.fr/vos-finances/im ... iens-.htmlCe que confirme Charles-Marie Jottras, président du conseil en immobilier Daniel Féau, "sur un an, pour les logements de 4 à 10 millions d'euros à Paris, 50% des acquéreurs étaient des non-résidents. Et au-delà de 10 millions d'euros, la proportion passe à 85%. Sur ces segments-là, les étrangers "font" les prix". Thibault de Saint-Vincent, président de Barnes, constate même aujourd'hui la présence d'une "seconde génération" de non-résidents, qui ont acheté et revendu pour acheter un nouveau bien.
Mais de là à faire peser la hausse des prix sur les étrangers, il y a un pas que Jean-Philippe Roux, directeur de l'agence John Taylor à Paris, ne franchit pas : "certes, les étrangers payent, en moyenne, 25% plus cher que les Français. Mais ils n'achètent pas la même chose ni au même endroit. Ils veulent un grand appartement, une signature d'architecte et un emplacement comme le centre."
nan il y a le slide 20 de la conférence des notaires qui montre le contraire. C'est plus de 15% à Paris selon ce slide. Ceci inclue étrangers résidents et non résidents et, si je me souviens bien de la dernière note, il faut en déduire que ce sont très majoritairement des étrangers résidents.moimeme a écrit :Déjà, pour les étrangers, nous avons que les stats pour Paris, donc ça va pas nous donner une idée sur toute la France.
Ensuite, ce chiffre est faible, 5% en gros.
Pour Paris, l'indicateur existait déjà depuis quelques temps.lolio a écrit :Sympa l'indicateur avancé des prix pour avril 2014 : en baisse pour la province et Paris.
Laisse tomber, c'est les notaires...moimeme a écrit :Pour Paris, l'indicateur existait déjà depuis quelques temps.lolio a écrit :Sympa l'indicateur avancé des prix pour avril 2014 : en baisse pour la province et Paris.
Mais je ne l'avais encore jamais vu pour la Province
Suis-je le seul ?
C'est page 21 pour ceux qui cherchent.
Mais il m’interpelle cet indicateur, pourquoi sur 4 mois ? Un compromis a bien une date de "validité", 4 mois ça me parait long pour une moyenne ? Sachant que le délai peut être en théorie aussi long qu'on le souhaite (> 18 mois, obligation de passer par un notaire)
Et pourquoi un indice mensuel alors que les autres sont trimestriels ?
Tu n'en as pas marre de déformer la réalité??? Le mythe dénoncé ici, c'était "les prix montent parce que les étrangers achètent tout", un truc qu'on entendait dans les années 2000-2005.Hourvari a écrit :Bien sûr que non, il faut partir aussi du total des années de détention, pas que des %.slash33 a écrit :Ah... avec le slide 19 on remet sur le tapis la durée de détention de 7 ans.
Mais oui, ça remet en cause l'idée qui prévaut ici que les étrangers sont un "mythe".
J'avais bien le slide 20 en tête, mais j'avais lu trop rapidement et pensais que c'était pour Paris.slash33 a écrit :nan il y a le slide 20 de la conférence des notaires qui montre le contraire. C'est plus de 15% à Paris selon ce slide. Ceci inclue étrangers résidents et non résidents et, si je me souviens bien de la dernière note, il faut en déduire que ce sont très majoritairement des étrangers résidents.moimeme a écrit :Déjà, pour les étrangers, nous avons que les stats pour Paris, donc ça va pas nous donner une idée sur toute la France.
Ensuite, ce chiffre est faible, 5% en gros.
C'est pas Paris qui est à +20%... c'est le 93.slash33 a écrit :J'essaie de me fier à la couleur mais la zone est franchement petite et le dégradé mal choisi pour cette raison. De plus leur échelle va jusqu'à "+ de 20%" or elle n'est utilisée nulle part...
Précision importante après relecture : les indices sont BRUTS et non CVSmoimeme a écrit :Pour Paris, l'indicateur existait déjà depuis quelques temps.lolio a écrit :Sympa l'indicateur avancé des prix pour avril 2014 : en baisse pour la province et Paris.
Mais je ne l'avais encore jamais vu pour la Province
Suis-je le seul ?
C'est page 21 pour ceux qui cherchent.
Mais il m’interpelle cet indicateur, pourquoi sur 4 mois ? Un compromis a bien une date de "validité", 4 mois ça me parait long pour une moyenne ? Sachant que le délai peut être en théorie aussi long qu'on le souhaite (> 18 mois, obligation de passer par un notaire)
Et pourquoi un indice mensuel alors que les autres sont trimestriels ?
oui, donc le slide 44 représente bien la part des étrangers achetant en France.
C'est pas qu'il ne comprend pas, il comprend tres bien. On appelle cela de la mauvaise foi.ET46 a écrit :Laissez tomber, il "argumente" sur des données à lesquelles il ne comprend rien. C'est pricelesspangloss a écrit :En données brutes, les ventes de cornets de glace s'effondrent à l'automne...
Erreur: les notaires distinguent entre acquéreurs, là, étrangers non résidents et étrangers résidents mais tous acquéreurs!Suricate a écrit :Tu considères que 100% des étrangers résidents sont en capacité de devenir propriétaires ?Hourvari a écrit :1) les cartes ne concernent que le pourcentage d'étrangers non résidents, et il est dit (p. 4) que ces étrangers non résidents ne sont que un peu plus de 30% des étrangers.
si vous triplez les pourcentages d'étrangers, les cartes prennent de suite une autre allure, et le "mythe" devient réalité.
Non, les notaires distinguent les acquéreurs:Par conséquent, la part d'acquéreurs étrangers "pur souche", c'est à dire excluant les expatriés, résidents et non résidents, est d'un peu moins du double des taux affichés sur la carte et non du triple comme le suggère Hourvari.
E)slash33 a écrit :Tu me fais douter. Bon, reposons le problème en termes mathématiques.Hourvari a écrit :- Français résident en France
- Français résident à l'étranger
- étranger résident en France (70% des acquéreurs étrangers)
- étranger résident à l'étranger (30% des acquéreurs étrangers)
Soit:
- e le nombre d'acquéreurs étrangers résidant en France
- f le nombre de français expatriés acquéreurs
- g le nombre d'acquéreurs étrangers résidant à l'étranger, dont f est un sous-ensemble.
La grandeur connue, en terme de plage de valeurs, est g. C'est elle qui figure dans les graphiques.
Les acquéreurs français résidant à l'étranger étant comptés dans g, on posera donc f = µ * g (0 <= µ <= 1)
Implique e = 0,7 * (e + g)70% des étrangers acquéreurs résident déjà en France
e = 0,7e + 0,7g
0,3e = 0,7g
e = (0,7/0,3) g
e ~= 2,33 g
Implique µ > 0,3 donc f > 0,3 gplus de 30% des acquéreurs non-résidents sont des français expatriés
Posons g' le nombre d'acquéreurs étrangers non résidents, déduction faite des expatriés:
g' < 0,7 g
Donc le nombre de transactions effectuées par des étrangers non expatriés est de:
e + g' < 2,66 g.
Voilà. Bon j'avais faux - parce que j'avais aussi appliqué un coeff de 0,7 à e - et, au gré de la précision de ton calcul, tu avais juste.
Merci.Voilà. Bon j'avais faux - parce que j'avais aussi appliqué un coeff de 0,7 à e - et, au gré de la précision de ton calcul, tu avais juste.
Ne tournons pas autour du pot:Ce n'est pas tant le nombre que l'évolution de ce nombre qui était en cause dans l'article. Ces références était là pour montrer que la progression du phénomène était marginale.
Impact des étrangers résidents sur les prix : nul voire négatif.Les étrangers ne sont pas responsables de la forte hausse des prix de l'immobilier a Paris.
Nos regressions prouvent qu'une augmentation de la proportion d'acheteurs étrangers a bien un impact positif et significatif sur les prix. Plus précisement, une augmentation d'un point de % de la proportion d'acheteurs étrangers entraîne une variation des prix de 0,370%. Ce sont surtout les acheteurs qui resident a l'étranger qui ont un impact positif et significatif sur les prix plutot que les acheteurs de nationalite etrangere qui vivent en France. En effet, les acheteurs qui resident a l'etranger ont tendance a acheter des logements au moins 20% plus chers que l'ensemble des acheteurs alors que les acheteurs de nationalite etrangere qui vivent en France, ont eux plutôt tendance a acheter des logements moins chers que l'ensemble des acheteurs.
Les provinciaux ou habitants de la petite ou grande couronne n'ont eu aucun impact sur les prix de l'immobilier a Paris sur la periode consideree. La raison en est simple : leur proportion est restee tres stable. Seuls les acheteurs residant a l'etranger ont eu un impact sur les prix car leur proportion a augmente entre 1993 et 2008.
L'impact des etrangers sur les prix de l'immobilier haut de gamme est plus faible que leur impact sur l'ensemble des transactions. Une augmentation d'un point de % de la proportion d'acheteurs etrangers dans le secteur de l'immobilier haut de gamme entraine une variation des prix de ce secteur de 0,232%.
La proportion d'acheteurs etrangers a bien eu une influence sur les prix de l'immobilier a Paris. Neanmoins, l'impact des acheteurs etrangers sur les prix a ete négligeable comparé a la hausse qui a eu lieu car les etrangers ne sont tout simplement pas assez nombreux. Ils ont beau acheter des logements jusqu'a 30% plus chers que le reste des acheteurs, ils sont en nombre insuffisant pour entraîner des augmentations substantielles des prix. Ils ne sont responsables que d'1/50 de la hausse qui a eu lieu. Autant dire que leur impact global a ete negligeable.
Moins cher en prix au m2 ?les acheteurs de nationalite etrangere qui vivent en France, ont eux plutôt tendance a acheter des logements moins chers que l'ensemble des acheteurs.
Faut comprendre, Suri. Qu'on ne leur fourgue pas des trucs à prix gonflés comme on sait si bien le faire dans nos campagnes, soit.Impact des étrangers résidents sur les prix : nul voire négatif.
Impact des étrangers non résidents sur les prix : faiblement positif.
Les prix au m² des petites surfaces sont en général plus élevés que ceux des grandes surface.Suricate a écrit :Prix au m² des acquéreurs étrangers résidant en France < Prix au m² des acquéreurs français (figure 19, page 43).
Même chose pour les surfaces (plus petites pour les acquéreurs étrangers résidant en France)
Soit ils achètent ce qu'ils peuvent acheter... typiquement le bien pourri ET de petite taille.immopaul a écrit :Soit les étrangers sont génétiquement meilleurs en négo que les français, soit il y a un loup.
Je vois que tu mets de l'eau dans ton vin, on parlait d'un marché national piloté par les étrangers on se retrouve avec une niche dans la niche (le "très" haut de gamme)Hourvari a écrit :Faut comprendre, Suri. Qu'on ne leur fourgue pas des trucs à prix gonflés comme on sait si bien le faire dans nos campagnes, soit.
Mais:
-il est de fait qu'ils dominent le très haut de gamme, qui s'écroulerait sans eux.
L'impact des etrangers sur les prix de l'immobilier haut de gamme est plus faible que leur impact sur l'ensemble des transactions. Une augmentation d'un point de % de la proportion d'acheteurs etrangers dans le secteur de l'immobilier haut de gamme entraine une variation des prix de ce secteur de 0,232%.
Pourquoi "ou pas" ?Hourvari a écrit :Enlevez X% d'acheteurs étrangers ou pas, et voyez comment évolue le rapport O/D.
http://www.agefi.fr/articles/le-credit- ... 08988.htmlUne bonne partie de la hausse provient en outre de l'activité de crédit immobilier aux ménages.
Etonnant, alors que les banques françaises et leur tutelle répètent à l'envi que ce métier est historiquement peu risqué en France, l'octroi du crédit étant basé sur les capacités de remboursement de l'emprunteur.
Le Crédit Foncier a durci ses méthodes de provisionnement pour les dossiers de particuliers qui entrent en phase contentieuse.
Le Crédit Foncier a décidé de déprécier davantage la valeur du bien des emprunteurs lorsqu'un dossier est transféré au contentieux.
Le prêteur évoque «le contexte actuel de marché immobilier incertain», une référence à la baisse des prix constatée depuis 2012 en France et qui rogne la valeur des sûretés.
On voit le léger mieux sur la fin de l'année mais rien de très glorieux.
La différence est faible vu que les variations le sont; mais c'est toujours obscurs leurs chiffresPar rapport au trimestre précédent, selon les données provisoires corrigées des variations saisonnières (CVS), la tendance est plus contrastée : en baisse de 0,4% pour les appartements et en hausse de 0,3% pour les maisons.
Et Paf !Le secteur de l’immobilier souffre de la morosité ambiante, les français doutant désormais qu’un investissement dans ce domaine puisse être le gage de la conservation voire de la valorisation de leur épargne.
Le chant du cygne.La baisse du marché de l’immobilier entamée au début de la décennie dans nombre de villes, confirmée au cours de l’année 2014, semble se poursuivre en ce début d’année en affectant désormais l’ensemble du territoire. En effet, les agglomérations de provinces économiquement les plus dynamiques (Lyon, Toulouse, Bordeaux) qui ne subissaient jusqu’alors qu’une baisse des volumes de transactions, amorcent à leur tour une baisse des prix.
Vous vous souvenez d'avoir lu de la part des Notaires des -10% (ou proche) sur Paris et les autres agglos ? Moi pas... mais j'ai une mauvaise mémoire.Pour Paris et les autres agglomérations et villes moyennes, la chute devrait se poursuivre à un rythme toutefois un peu moins soutenu compte tenu des reculs déjà enregistrés au cours de l’année dernière qui ont parfois avoisiné les 10%.
Sur un an ?Il faut noter que, dans certains secteurs ruraux hors agglomération, des baisses de 20% voire plus ont été constatées.
Ben faut arrêter le Pinel alors...N’oublions pas que les français ne raffolent jamais autant d’un dispositif de défiscalisation que lorsque l’on en annonce la fin
Donc les biens sur le marché sont ceux pour lesquels il y a eu des PV, donc acquis il y a plus de 10 ans, anciens et non rénovés, les autres bouffant leur chapeau (ne mutant pas). L'effet qualité dans sa splendeur.La qualité des biens immobiliers mis sur le marché s’en ressent par la raréfaction de ceux acquis durant les dix dernières années ou ayant fait l’objet de rénovations importantes, et ce, dans la crainte de ne pas pouvoir retrouver l’équivalence des sommes investies.
Une baisse franche des prix, préalable indispensable à un redémarrage du marché
Et tout ça sans tenir compte de l'effet qualité...L’analyse des prix médians entre le troisième trimestre 2011 et le troisième trimestre 2014 montre que la majorité des villes ou agglomérations (70% en appartements et 80% en maisons) affichent des prix en baisse. Les diminutions peuvent être mesurées : environ 4% à Nice, Pau ou Dijon en appartements ou Troyes, Toulouse et Nîmes en maisons. Mais elles peuvent se révéler importantes : de l’ordre de 20% à Nîmes et Evreux en appartements et Perpignan et Montbéliard en maisons.
Ça mute de moins en moins... et le volume de transaction ne va pas s'améliorer vu la tendance.Depuis 2 ans, la durée de détention moyenne des biens vendus en province s’allonge : elle passe de 9 ans et demi à près de 11 ans pour les appartements et de 11 ans à 12 ans pour
les maisons
Donc ce qui se vend ce sont les biens tres anciens qui en général sont des passoires thermiques, et plus du tout les biens récents.Suricate a écrit :Donc les biens sur le marché sont ceux pour lesquels il y a eu des PV, donc acquis il y a plus de 10 ans, anciens et non rénovés, les autres bouffant leur chapeau (ne mutant pas). L'effet qualité dans sa splendeur.La qualité des biens immobiliers mis sur le marché s’en ressent par la raréfaction de ceux acquis durant les dix dernières années ou ayant fait l’objet de rénovations importantes, et ce, dans la crainte de ne pas pouvoir retrouver l’équivalence des sommes investies.
C'est pas ce que je comprends. Ils parlent de biens mis sur le marché, pas des biens vendus.immopaul a écrit :Donc ce qui se vend ce sont les biens tres anciens qui en général sont des passoires thermiques, et plus du tout les biens récents.Suricate a écrit :Donc les biens sur le marché sont ceux pour lesquels il y a eu des PV, donc acquis il y a plus de 10 ans, anciens et non rénovés, les autres bouffant leur chapeau (ne mutant pas). L'effet qualité dans sa splendeur.La qualité des biens immobiliers mis sur le marché s’en ressent par la raréfaction de ceux acquis durant les dix dernières années ou ayant fait l’objet de rénovations importantes, et ce, dans la crainte de ne pas pouvoir retrouver l’équivalence des sommes investies.
Pourtant on expliquait l'effet qualité par la vente "au prix sans négo" des biens tres récents, qui montait artificiellement la moyenne des prix.
Ca commence à piquer, surtout dans un marché avec des taux historiquement faibles..Les diminutions peuvent être mesurées : environ 4% à Nice, Pau ou Dijon en appartements ou Troyes, Toulouse et Nîmes en maisons. Mais elles peuvent se révéler importantes : de l’ordre de 20% à Nîmes et Evreux en appartements et Perpignan et Montbéliard en maisons.
ça en dit long sur la qualité des échantillons.Suricate a écrit :Notez que sur St Étienne les prix des appartements augmentent de 56% passant de 1100€ au T3/2013 à 1720€ au T3/2014
30 580 logements anciens ont été vendus en Ile-de-France de septembre à novembre 2014. Le nombre de ventes recule de 10% par rapport à la même période en 2013 avec une baisse plus notable pour les appartements (-11%) que pour les maisons (-8%). Par rapport aux 35 800 ventes observées en moyenne pendant la période de 2004 à 2013, l’activité sur le marché francilien a cédé 15%.
Du -5% en rythme annuel...A Paris, le prix au m² des appartements anciens s’établit à 8 030 € le m² à fin novembre* 2014, laissant une baisse trimestrielle des prix de 1,5% en 3 mois.
Cette accentuation de la baisse est confirmée par nos projections à court terme. Un prix de 7 860 € le m² est projeté à la fin mars* 2015 dans la Capitale.
Nos projections anticipent également l’accentuation de la baisse des prix pour les appartements dans les Hauts-de-Seine, en Petite Couronne et en Ile-de-France ainsi que pour les maisons (entre -2% et -3% selon les secteurs de novembre* 2014 à mars* 2015 pour les deux types de biens).
C'est partout pareil.Gpzzzz a écrit :Je suis parti de rueil a cause du rer A
Mettre 40mns au lieu de 25 a un rythme de 3 trajets sur 4....