L'immobilier s'installe dans la crise

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Gazette de haute loire, édition papier : l'immobilier s'installe dans la crise.
Demande soutenue visiblement, mais...pour des dossiers aux alentours de 100 000 euros. Monistrol sur Loire, Bas en Basset, Les villettes résistent, mais le plateau (Chambon sur Lignon), et la vallée de la Loire (Aurec), ont beaucoup plus de mal, et les successions sont bradées.
La maison à 100 000 euros est devenue, visiblement, la norme, mais la crise semble encore plus forte dans certains endroits (Chamalières sur Loire et Retournac), avec pléthores de biens à vendre, et aucun acquéreur.
Les rabais peuvent atteindre... 50 %
Le "gros produit", ne se vend pas, et l'industriel du coin, voit son prix de vente fondre au soleil...
Côté économique (ajout personnel), la crise se traduit par un effondrement sur plusieurs années de l'enseignement privé (fermeture de Chazournes, du Cévenol, et certains autres sont mal en point), au profit de certains établissements privés (Le château), mais aussi public (Le Mazel et Emmanuel Chabrier). Le dernier, à l'agonie naguère, est désormais plein comme un oeuf.
On économise sur les frais de scolarité, les livreurs de fioul livrent pour 100 litres, les vendeurs de bois travaillent pour le fin et des marges ridicules...
Sur le département de la Loire, demande soutenue de pavillons (Unieux), à 100 000 euros la bête. la rareté étant une offre quo s'en écarte un peu...