C'est quand même du n'importe quoi cet article on mélange ici les torchons et les serviettes, en effet il y a bcp de problèmes à résoudre à Paris mais mettre sur le même plan le terrorisme, les effets sanitaires et la délinquance c'est n'importe quoi. Je ne parle même pas plus loin où l'on sous entend que le terrorisme et/ou confinement sont une cause du dépeuplement de Paris.kamoulox a écrit : ↑17 nov. 2020, 01:14
Paris subit les effets de la crise sanitaire avec certains secteurs d'activité à l'arrêt ou au ralenti, une chute brutale de la fréquentation touristique, ainsi qu'une forme d'amplification d'un désamour global à l'égard des métropoles, soumises à l'explosion de la délinquance, au risque terroriste, aux difficultés de circulation et de logement, à la pollution et désormais au risque épidémique.
Marché immobilier francilien et crise sanitaire : Les premières observations et analyses des Notaires du Grand Paris
Re: Marché immobilier francilien et crise sanitaire : Les premières observations et analyses des Notaires du Grand Paris
Re: Marché immobilier francilien et crise sanitaire : Les premières observations et analyses des Notaires du Grand Paris
Mais si. C'est l'effet grande ville, concentration.rapha a écrit : ↑17 nov. 2020, 09:22C'est quand même du n'importe quoi cet article on mélange ici les torchons et les serviettes, en effet il y a bcp de problèmes à résoudre à Paris mais mettre sur le même plan le terrorisme, les effets sanitaires et la délinquance c'est n'importe quoi. Je ne parle même pas plus loin où l'on sous entend que le terrorisme et/ou confinement sont une cause du dépeuplement de Paris.kamoulox a écrit : ↑17 nov. 2020, 01:14
Paris subit les effets de la crise sanitaire avec certains secteurs d'activité à l'arrêt ou au ralenti, une chute brutale de la fréquentation touristique, ainsi qu'une forme d'amplification d'un désamour global à l'égard des métropoles, soumises à l'explosion de la délinquance, au risque terroriste, aux difficultés de circulation et de logement, à la pollution et désormais au risque épidémique.
On a quand même plus de chance d'être égorgé/covidé/volé/agressé dans une gare ou un métro parisien que dans une ville de province.
Du moins pour le moment.
Si à l'avenir les forces de l'ordre reçoivent l'ordre d'agir et si elles sont débordées, il y aura plus d'ordre à Paris Montparnasse qu'à Trifouilly les oies (et encore moins à Sarcelles).
Les massacres de type Ouradour sur glane ont eu lieu en campagne, pas à Paris qui, malgré la rébellion française et les moyens limités contre les envahisseurs, a bénéficié du maintien de l'ordre procuré par la 2ème DB. Lorsque la guerre civile et les massacres de français auront lieu, Paris et ses habitants seront mieux défendus que la Bousie. Et d'autant mieux défendu qu'on sera proche des ministères. Les forces de l'ordre seront concentrées pour préserver l'essentiel.
Modifié en dernier par Goldorak2 le 17 nov. 2020, 10:09, modifié 1 fois.
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Ignorés : F. Zabinsky, immodium, itrane2000
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Re: Licenciements - les plans mammouth
Si car il faut prendre en compte que ton argent ne vaut pas pareil en 1990 et 1998. La preuve, en mettant de l'argent sur un livret A, tu gagnais 38%. Ce n'est pas pour rien que la rentabilité était si haute. Il y avait de l'inflation.jobserve75 a écrit : ↑17 nov. 2020, 00:09Même raisonnement que pour le cac.Vincent92 a écrit : ↑16 nov. 2020, 16:59La "performance" du livret A de 1990 à 2005 est de 65% :Ben92 a écrit : ↑16 nov. 2020, 16:43Tu prends la pire configuration (ce n'est vraiment pas de chance d'avoir acheté à Paris en 1990 !)
Mais je vais te répondre : entre T4 1990 et T4 2005 (j'ai dit 15 ans, pas 14), ça a fait + 50% (de 3400 à 5100)
Soit mieux que l'inflation. Et rappelons que le livret A qui suit l'inflation est plafonné très bas.
Mais c'est une performance exceptionnellement basse en prenant le pire scénario de l'achat en 1990. Tous ceux qui ont investi dans l'immo parisien en 1980, 1985, 1995, 2000, 2005 font beaucoup mieux que +50% sur 15 ans.
2005 2,1 165,52
2004 2,3 162,11
2003 2,7 158,47
2002 3 154,3
2001 3 149,81
2000 2,6 145,44
1999 2,7 141,76
1998 3,2 138,03
1997 3,5 133,75
1996 3,7 129,23
1995 4,5 124,6
1994 4,5 119,25
1993 4,5 114,1
1992 4,5 109,2
1991 4,5 104,5
1990 4,5 100
Ensuite, même quand on te demande ce qui se passe juste avant (juste pour te faire réfléchir sur une possible partie des causes de ce qui se passe ensuite), tu te sens obligé d'arranger les chiffres en prenant le T4 2005 (2 ans de hausse fulgurante grattée). La vérité est que les prix étaient les mêmes en 2003 qu'en 1990 et que la plupart de ceux qui ont acheté à Paris entre les deux ont fait une moins value :
Et non, je ne prend pas le pire scénario en te demandant qui se passe juste avant 2004 (puisque tu es parti de 2004). Le pire des scénarios c'est celui qui achètent et revend entre 1990 et 1998 car tout le monde ne conserve pas de l'immobilier au moins 15 ans (c'est en tout cas ce que je te souhaite avec ton T1).
Il faudrait intégrer les loyers perçus ou l’économie de loyer; Dans les 90s’, la rentabilité locative était de 6-7%.
Donc, même en achetant en 1990 et en revendant en 1998 (ce qui a été quasiment mon cas), nous n’étions pas forcément perdants avec l’économie de loyer générée.
Il y a également le frais de frottement de l'opération à prendre en compte. Et évidemment la MV.
Ceci dit, si en ayant 12% de frais de frottement + 25% de MV +de l'argent qui vaut moins, tu estimes que l'opération est gagnante parce que tu encaisses des loyers quelques années, ma foi, tu seras toujours gagnant dans n'importe quoi...
"un chômage supérieur à 15%" & "Peut-être que l'immobilier ne baissera que de 20%. Mais peut-être qu'à -20%, l'immobilier sera encore jugé trop cher" supermascotte en 2020 (covid)
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Re: Marché immobilier francilien et crise sanitaire : Les premières observations et analyses des Notaires du Grand Paris
tu as raison, mais ce qui m'embête un peu dans le cliché du parc non entretenu, c'est la même hypocrisie que le type qui ne reçoit plus d'aide pour son entreprise et qui te raconte qu'il est très embêté car il va devoir licencier. Il n'y a pas besoin de faire du pathos à chaque fois. Si les locataires trouvent que ça manque d'entretien, avec des loyers bas, ils ont la possibilité d'y remédier. D'ailleurs la ville de France avec de loin le parc en pire état est la plus chère en prix et en loyer. Comme quoi, pas besoin d'avoir des loyers bas pour manquer d'entretien. Ce n'est évidemment pas le discours du lobby UNPI.Vincent92 a écrit : ↑16 nov. 2020, 20:59Que ton loyer soit de 100 ou 1000 pour le même revenu revient au même : C’est le bailleur qui fait ces dépenses en général. Cela fait partie du service rendu.lecriminel a écrit : ↑16 nov. 2020, 20:55soit les locataires sont devenus sans-le sou et n'auraient de toute façon pas pu payer un loyer en hausse,
soit ils auraient pu payer l'entretien avec une partie du loyer économisé
Évidemment, avec un blocage de loyer et quand tu sais que tu ne pourras pas louer plus cher avec de l’entretien mais que tu loueras dans tous les cas, il est tentant de moins entretenir le parc de logements.
Le résultats objectifs chez nous : 90% de la population éligible vaccinée en un an. Si on était resté à la chloroquine on serait tous mort. Mais ca doit être un détail.
Re: Marché immobilier francilien et crise sanitaire : Les premières observations et analyses des Notaires du Grand Paris
Pas vraiment le même plan en effet mais c’est bien un ensemble de choses négatives qui ne compensent plus le logement cher.rapha a écrit : ↑17 nov. 2020, 09:22C'est quand même du n'importe quoi cet article on mélange ici les torchons et les serviettes, en effet il y a bcp de problèmes à résoudre à Paris mais mettre sur le même plan le terrorisme, les effets sanitaires et la délinquance c'est n'importe quoi. Je ne parle même pas plus loin où l'on sous entend que le terrorisme et/ou confinement sont une cause du dépeuplement de Paris.kamoulox a écrit : ↑17 nov. 2020, 01:14
Paris subit les effets de la crise sanitaire avec certains secteurs d'activité à l'arrêt ou au ralenti, une chute brutale de la fréquentation touristique, ainsi qu'une forme d'amplification d'un désamour global à l'égard des métropoles, soumises à l'explosion de la délinquance, au risque terroriste, aux difficultés de circulation et de logement, à la pollution et désormais au risque épidémique.
Quand tout ferme, tu te rends bien compte que paris c’est moisi à moins d’avoir la chance d’avoir un grand appartement. Grand c’est « normal » en province soit 70 pour 2 personnes par ex.
Paris son avantage hormis l’emploi ce sont ses bars par milliers ses restos ses théâtres ses concerts et ses musées en schématisant. Si tu enlèves tout ce qui fait paris, paris c’est un mélange de Roubaix et du 93 mais à 10000 le m2 et avec du haussman qui sera bientôt remplacé par des bâtiments écolos (y’a déjà des terrasses palettes on dirait la zad)
Ça donne trop envie. Vraiment
Re: Marché immobilier francilien et crise sanitaire : Les premières observations et analyses des Notaires du Grand Paris
Et c'est pas fini !
Paris : vers une nouvelle grève illimitée du ramassage des poubelles ?
https://www.leparisien.fr/paris-75/pari ... 408692.php
Quant à l'emploi en IDF qui serait pléthorique c'est peut être vrai pour certains cadres mais pour le reste de la plèbe j'ai pas l'impression que la situation soit aussi reluisante.
Paris : vers une nouvelle grève illimitée du ramassage des poubelles ?
https://www.leparisien.fr/paris-75/pari ... 408692.php
Quant à l'emploi en IDF qui serait pléthorique c'est peut être vrai pour certains cadres mais pour le reste de la plèbe j'ai pas l'impression que la situation soit aussi reluisante.
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Re: Marché immobilier francilien et crise sanitaire : Les premières observations et analyses des Notaires du Grand Paris
Paris paye ses excès.kamoulox a écrit : ↑17 nov. 2020, 10:23Pas vraiment le même plan en effet mais c’est bien un ensemble de choses négatives qui ne compensent plus le logement cher.rapha a écrit : ↑17 nov. 2020, 09:22C'est quand même du n'importe quoi cet article on mélange ici les torchons et les serviettes, en effet il y a bcp de problèmes à résoudre à Paris mais mettre sur le même plan le terrorisme, les effets sanitaires et la délinquance c'est n'importe quoi. Je ne parle même pas plus loin où l'on sous entend que le terrorisme et/ou confinement sont une cause du dépeuplement de Paris.kamoulox a écrit : ↑17 nov. 2020, 01:14
Paris subit les effets de la crise sanitaire avec certains secteurs d'activité à l'arrêt ou au ralenti, une chute brutale de la fréquentation touristique, ainsi qu'une forme d'amplification d'un désamour global à l'égard des métropoles, soumises à l'explosion de la délinquance, au risque terroriste, aux difficultés de circulation et de logement, à la pollution et désormais au risque épidémique.
Quand tout ferme, tu te rends bien compte que paris c’est moisi à moins d’avoir la chance d’avoir un grand appartement. Grand c’est « normal » en province soit 70 pour 2 personnes par ex.
Paris son avantage hormis l’emploi ce sont ses bars par milliers ses restos ses théâtres ses concerts et ses musées en schématisant. Si tu enlèves tout ce qui fait paris, paris c’est un mélange de Roubaix et du 93 mais à 10000 le m2 et avec du haussman qui sera bientôt remplacé par des bâtiments écolos (y’a déjà des terrasses palettes on dirait la zad)
Ça donne trop envie. Vraiment
Les terrasses de bars bondés débordant excessivement sur les trottoirs, les poubelles pleines de détritus de vente à emporter. L'offre de restauration est surabondante au détriment d'autres types de commerces.
Le théâtre de boulevards et les one man show bidons (ça représente sans doute 90% de l'activité des théâtres parisiens)
Les queues interminables pour voir dix secondes la Joconde
C'est peut-être un mal pour un bien...
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Re: Licenciements - les plans mammouth
Mon raisonnement était en euros courants. En tenant compte de l'inflation ou d'autres possibilités de placement, ce choix a effectivement été perdant.Vincent92 a écrit : ↑17 nov. 2020, 09:59Si car il faut prendre en compte que ton argent ne vaut pas pareil en 1990 et 1998. La preuve, en mettant de l'argent sur un livret A, tu gagnais 38%. Ce n'est pas pour rien que la rentabilité était si haute. Il y avait de l'inflation.jobserve75 a écrit : ↑17 nov. 2020, 00:09Même raisonnement que pour le cac.Vincent92 a écrit : ↑16 nov. 2020, 16:59La "performance" du livret A de 1990 à 2005 est de 65% :Ben92 a écrit : ↑16 nov. 2020, 16:43
Tu prends la pire configuration (ce n'est vraiment pas de chance d'avoir acheté à Paris en 1990 !)
Mais je vais te répondre : entre T4 1990 et T4 2005 (j'ai dit 15 ans, pas 14), ça a fait + 50% (de 3400 à 5100)
Soit mieux que l'inflation. Et rappelons que le livret A qui suit l'inflation est plafonné très bas.
Mais c'est une performance exceptionnellement basse en prenant le pire scénario de l'achat en 1990. Tous ceux qui ont investi dans l'immo parisien en 1980, 1985, 1995, 2000, 2005 font beaucoup mieux que +50% sur 15 ans.
2005 2,1 165,52
2004 2,3 162,11
2003 2,7 158,47
2002 3 154,3
2001 3 149,81
2000 2,6 145,44
1999 2,7 141,76
1998 3,2 138,03
1997 3,5 133,75
1996 3,7 129,23
1995 4,5 124,6
1994 4,5 119,25
1993 4,5 114,1
1992 4,5 109,2
1991 4,5 104,5
1990 4,5 100
Ensuite, même quand on te demande ce qui se passe juste avant (juste pour te faire réfléchir sur une possible partie des causes de ce qui se passe ensuite), tu te sens obligé d'arranger les chiffres en prenant le T4 2005 (2 ans de hausse fulgurante grattée). La vérité est que les prix étaient les mêmes en 2003 qu'en 1990 et que la plupart de ceux qui ont acheté à Paris entre les deux ont fait une moins value :
Et non, je ne prend pas le pire scénario en te demandant qui se passe juste avant 2004 (puisque tu es parti de 2004). Le pire des scénarios c'est celui qui achètent et revend entre 1990 et 1998 car tout le monde ne conserve pas de l'immobilier au moins 15 ans (c'est en tout cas ce que je te souhaite avec ton T1).
Il faudrait intégrer les loyers perçus ou l’économie de loyer; Dans les 90s’, la rentabilité locative était de 6-7%.
Donc, même en achetant en 1990 et en revendant en 1998 (ce qui a été quasiment mon cas), nous n’étions pas forcément perdants avec l’économie de loyer générée.
Il y a également le frais de frottement de l'opération à prendre en compte. Et évidemment la MV.
Ceci dit, si en ayant 12% de frais de frottement + 25% de MV +de l'argent qui vaut moins, tu estimes que l'opération est gagnante parce que tu encaisses des loyers quelques années, ma foi, tu seras toujours gagnant dans n'importe quoi...
Pour info, j'avais acheté un T3 début des 90s' 1,2M de francs revendu en 1997 1,1M de francs après 150000F de travaux environ. Donc la baisse n'a pas été aussi violente selon l'appartement ou le quartier. Les petites surfaces avaient le plus morflé je pense. Le loyer d'un T3 était de 6000F à l'époque environ. Dans la foulée, j'ai acheté un 200m2 dans le 16ème à 3,2M de francs revendu 2,7M€ plus de 20 ans après.
J'ai donné une partie de la plus-value à mes 2 enfants pour acheter.... un bien immobilier.
Re: Licenciements - les plans mammouth
Superbe !jobserve75 a écrit : ↑17 nov. 2020, 22:25
Mon raisonnement était en euros courants. En tenant compte de l'inflation ou d'autres possibilités de placement, ce choix a effectivement été perdant.
Pour info, j'avais acheté un T3 début des 90s' 1,2M de francs revendu en 1997 1,1M de francs après 150000F de travaux environ. Donc la baisse n'a pas été aussi violente selon l'appartement ou le quartier. Les petites surfaces avaient le plus morflé je pense. Le loyer d'un T3 était de 6000F à l'époque environ. Dans la foulée, j'ai acheté un 200m2 dans le 16ème à 3,2M de francs revendu 2,7M€ plus de 20 ans après.
J'ai donné une partie de la plus-value à mes 2 enfants pour acheter.... un bien immobilier.
Re: Marché immobilier francilien et crise sanitaire : Les premières observations et analyses des Notaires du Grand Paris
A Paris, les propriétaires de résidences secondaires sont majoritairement... franciliens
Boursorama avec Media Services, le 24/11/2020
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... adf6a082d8
Boursorama avec Media Services, le 24/11/2020
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... adf6a082d8
Une étude de l'Atelier parisien d'urbanisme (Apur) et de l'Insee, révélée par Le Parisien , vient battre en brèche les clichés du riche étranger possédant un bel appartement dans le coeur de la Ville Lumière. Ainsi, selon leur portrait-robot des propriétaires, les 126.000 résidences secondaires que compte Paris sont en majorité détenues... par des Franciliens ! Ils représentent pas moins de 42,5% des propriétaires . Les autres sont d'une part des Français habitant ailleurs dans l'Hexagone (38%) et d'autre part des étrangers et Français expatriés (19,5%). Parmi ces derniers, la majorité sont originaires d'Europe (60%), notamment d'Italie, de Suisse et du Royaume-Uni.
Il faudrait que j'aille voir la source car ça paraît particulièrement étrange présenté comme ça.D'après cette étude, au total, les résidences secondaires, c'est-à-dire des logements dans lesquels l'occupant vit moins de quatre mois par an, représentent 9% du parc de logements de la capitale , ce qui place Paris en deuxième position derrière Nice (11%), quand l'Île-de-France ne compte que 4% de résidences secondaires.
L'étude de l'Apur révèle également que 14% des propriétaires de la capitale ont une résidence secondaire , principalement située en Normandie (13%), en Provence Alpes-Côte d'Azur (11%) et en Nouvelle Aquitaine (11%). 60% des propriétaires parisiens possédant une résidence secondaire ont plus de 60 ans, un quart ont entre 40 et 59 ans.
Re: Marché immobilier francilien et crise sanitaire : Les premières observations et analyses des Notaires du Grand Paris
Cela doit vouloir dire que bcp de RBNB sont détenues par des habitants de l'IDF. Et déclarées en tant que RS...slash33 a écrit : ↑24 nov. 2020, 16:15A Paris, les propriétaires de résidences secondaires sont majoritairement... franciliens
Boursorama avec Media Services, le 24/11/2020
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... adf6a082d8Une étude de l'Atelier parisien d'urbanisme (Apur) et de l'Insee, révélée par Le Parisien , vient battre en brèche les clichés du riche étranger possédant un bel appartement dans le coeur de la Ville Lumière. Ainsi, selon leur portrait-robot des propriétaires, les 126.000 résidences secondaires que compte Paris sont en majorité détenues... par des Franciliens ! Ils représentent pas moins de 42,5% des propriétaires . Les autres sont d'une part des Français habitant ailleurs dans l'Hexagone (38%) et d'autre part des étrangers et Français expatriés (19,5%). Parmi ces derniers, la majorité sont originaires d'Europe (60%), notamment d'Italie, de Suisse et du Royaume-Uni.Il faudrait que j'aille voir la source car ça paraît particulièrement étrange présenté comme ça.D'après cette étude, au total, les résidences secondaires, c'est-à-dire des logements dans lesquels l'occupant vit moins de quatre mois par an, représentent 9% du parc de logements de la capitale , ce qui place Paris en deuxième position derrière Nice (11%), quand l'Île-de-France ne compte que 4% de résidences secondaires.
L'étude de l'Apur révèle également que 14% des propriétaires de la capitale ont une résidence secondaire , principalement située en Normandie (13%), en Provence Alpes-Côte d'Azur (11%) et en Nouvelle Aquitaine (11%). 60% des propriétaires parisiens possédant une résidence secondaire ont plus de 60 ans, un quart ont entre 40 et 59 ans.
Parce que sinon, penser que le gus qui vit au Vésinet pendant la semaine, vient passer son WE à Paris... comment dire... probabilité faible...
Re: Marché immobilier francilien et crise sanitaire : Les premières observations et analyses des Notaires du Grand Paris
résidence secondaire ne veut pas dire que c'est une résidence pour les WE ou les vacances. Cela peut être un pied à terre pour des gens qui travaillent ou les enfants qui font des études ou bien un bien loué. J'ai moi même une RS dans le 12ème que je loue bien entendu.Blangar1 a écrit : ↑01 déc. 2020, 20:07Cela doit vouloir dire que bcp de RBNB sont détenues par des habitants de l'IDF. Et déclarées en tant que RS...slash33 a écrit : ↑24 nov. 2020, 16:15A Paris, les propriétaires de résidences secondaires sont majoritairement... franciliens
Boursorama avec Media Services, le 24/11/2020
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... adf6a082d8Une étude de l'Atelier parisien d'urbanisme (Apur) et de l'Insee, révélée par Le Parisien , vient battre en brèche les clichés du riche étranger possédant un bel appartement dans le coeur de la Ville Lumière. Ainsi, selon leur portrait-robot des propriétaires, les 126.000 résidences secondaires que compte Paris sont en majorité détenues... par des Franciliens ! Ils représentent pas moins de 42,5% des propriétaires . Les autres sont d'une part des Français habitant ailleurs dans l'Hexagone (38%) et d'autre part des étrangers et Français expatriés (19,5%). Parmi ces derniers, la majorité sont originaires d'Europe (60%), notamment d'Italie, de Suisse et du Royaume-Uni.Il faudrait que j'aille voir la source car ça paraît particulièrement étrange présenté comme ça.D'après cette étude, au total, les résidences secondaires, c'est-à-dire des logements dans lesquels l'occupant vit moins de quatre mois par an, représentent 9% du parc de logements de la capitale , ce qui place Paris en deuxième position derrière Nice (11%), quand l'Île-de-France ne compte que 4% de résidences secondaires.
L'étude de l'Apur révèle également que 14% des propriétaires de la capitale ont une résidence secondaire , principalement située en Normandie (13%), en Provence Alpes-Côte d'Azur (11%) et en Nouvelle Aquitaine (11%). 60% des propriétaires parisiens possédant une résidence secondaire ont plus de 60 ans, un quart ont entre 40 et 59 ans.
Parce que sinon, penser que le gus qui vit au Vésinet pendant la semaine, vient passer son WE à Paris... comment dire... probabilité faible...
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Re: Marché immobilier francilien et crise sanitaire : Les premières observations et analyses des Notaires du Grand Paris
Si tu le loues à l’année ton appartement dans le 12ème, c’est un bien locatif, pas une résidence secondaire. Quand bien même tu projettes dans xx années d’en faire peut être autre choseAve a écrit : ↑01 déc. 2020, 20:37résidence secondaire ne veut pas dire que c'est une résidence pour les WE ou les vacances. Cela peut être un pied à terre pour des gens qui travaillent ou les enfants qui font des études ou bien un bien loué. J'ai moi même une RS dans le 12ème que je loue bien entendu.Blangar1 a écrit : ↑01 déc. 2020, 20:07Cela doit vouloir dire que bcp de RBNB sont détenues par des habitants de l'IDF. Et déclarées en tant que RS...slash33 a écrit : ↑24 nov. 2020, 16:15A Paris, les propriétaires de résidences secondaires sont majoritairement... franciliens
Boursorama avec Media Services, le 24/11/2020
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... adf6a082d8Une étude de l'Atelier parisien d'urbanisme (Apur) et de l'Insee, révélée par Le Parisien , vient battre en brèche les clichés du riche étranger possédant un bel appartement dans le coeur de la Ville Lumière. Ainsi, selon leur portrait-robot des propriétaires, les 126.000 résidences secondaires que compte Paris sont en majorité détenues... par des Franciliens ! Ils représentent pas moins de 42,5% des propriétaires . Les autres sont d'une part des Français habitant ailleurs dans l'Hexagone (38%) et d'autre part des étrangers et Français expatriés (19,5%). Parmi ces derniers, la majorité sont originaires d'Europe (60%), notamment d'Italie, de Suisse et du Royaume-Uni.Il faudrait que j'aille voir la source car ça paraît particulièrement étrange présenté comme ça.D'après cette étude, au total, les résidences secondaires, c'est-à-dire des logements dans lesquels l'occupant vit moins de quatre mois par an, représentent 9% du parc de logements de la capitale , ce qui place Paris en deuxième position derrière Nice (11%), quand l'Île-de-France ne compte que 4% de résidences secondaires.
L'étude de l'Apur révèle également que 14% des propriétaires de la capitale ont une résidence secondaire , principalement située en Normandie (13%), en Provence Alpes-Côte d'Azur (11%) et en Nouvelle Aquitaine (11%). 60% des propriétaires parisiens possédant une résidence secondaire ont plus de 60 ans, un quart ont entre 40 et 59 ans.
Parce que sinon, penser que le gus qui vit au Vésinet pendant la semaine, vient passer son WE à Paris... comment dire... probabilité faible...
"un chômage supérieur à 15%" & "Peut-être que l'immobilier ne baissera que de 20%. Mais peut-être qu'à -20%, l'immobilier sera encore jugé trop cher" supermascotte en 2020 (covid)
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Re: Marché immobilier francilien et crise sanitaire : Les premières observations et analyses des Notaires du Grand Paris
Oui si c'est loué "officiellement" ca devient la résidence principale du locataire.Vincent92 a écrit : ↑01 déc. 2020, 20:43Si tu le loues à l’année ton appartement dans le 12ème, c’est un bien locatif, pas une résidence secondaire. Quand bien même tu projettes dans xx années d’en faire peut être autre choseAve a écrit : ↑01 déc. 2020, 20:37résidence secondaire ne veut pas dire que c'est une résidence pour les WE ou les vacances. Cela peut être un pied à terre pour des gens qui travaillent ou les enfants qui font des études ou bien un bien loué. J'ai moi même une RS dans le 12ème que je loue bien entendu.Blangar1 a écrit : ↑01 déc. 2020, 20:07Cela doit vouloir dire que bcp de RBNB sont détenues par des habitants de l'IDF. Et déclarées en tant que RS...slash33 a écrit : ↑24 nov. 2020, 16:15A Paris, les propriétaires de résidences secondaires sont majoritairement... franciliens
Boursorama avec Media Services, le 24/11/2020
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... adf6a082d8
Il faudrait que j'aille voir la source car ça paraît particulièrement étrange présenté comme ça.
Parce que sinon, penser que le gus qui vit au Vésinet pendant la semaine, vient passer son WE à Paris... comment dire... probabilité faible...
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Re: Marché immobilier francilien et crise sanitaire : Les premières observations et analyses des Notaires du Grand Paris
Un bien locatif n'est pas forcémment loué tout le temps. Puis les AIRBNB (et ils sont ou étaient légion) ne sont pas loués officiellement en général. Donc restent comptabilisés comme RS.roi.de.trefle a écrit : ↑01 déc. 2020, 20:54Oui si c'est loué "officiellement" ca devient la résidence principale du locataire.Vincent92 a écrit : ↑01 déc. 2020, 20:43Si tu le loues à l’année ton appartement dans le 12ème, c’est un bien locatif, pas une résidence secondaire. Quand bien même tu projettes dans xx années d’en faire peut être autre choseAve a écrit : ↑01 déc. 2020, 20:37résidence secondaire ne veut pas dire que c'est une résidence pour les WE ou les vacances. Cela peut être un pied à terre pour des gens qui travaillent ou les enfants qui font des études ou bien un bien loué. J'ai moi même une RS dans le 12ème que je loue bien entendu.
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Re: Marché immobilier francilien et crise sanitaire : Les premières observations et analyses des Notaires du Grand Paris
D'accord pour les airbnb, par contre le reste, c'est à la date d'émission au 1er janvier de la TH, donc si tu avais un locataire le 1er janvier, il déclare ses impots à ton adresse, et c'est bien sa résidence principale (et c'est pratique pour toi car en pratique 9 chances sur 10 qu'il soit exo ca t'évite la TH secondaire).
Ignorés : Pimono - Pazuzu
Re: Marché immobilier francilien et crise sanitaire : Les premières observations et analyses des Notaires du Grand Paris
Non, si ton locataire sort avant le 31 décembre, tu fais une lettre aux impôts avec le mandat de mise en location --> pas de TH à payer (déjà fait).roi.de.trefle a écrit : ↑02 déc. 2020, 09:35D'accord pour les airbnb, par contre le reste, c'est à la date d'émission au 1er janvier de la TH, donc si tu avais un locataire le 1er janvier, il déclare ses impots à ton adresse, et c'est bien sa résidence principale (et c'est pratique pour toi car en pratique 9 chances sur 10 qu'il soit exo ca t'évite la TH secondaire).
La source c'est ici: https://www.apur.org/fr/nos-travaux/par ... ranciliens
Je connais plusieurs personnes dans ce cas: grosse baraque (voir château dans le vexin) et studio/2 pièces en face du bureau *qui sert pour plusieurs choses (boulot, retour de sortie et autres ...).
Re: Marché immobilier francilien et crise sanitaire : Les premières observations et analyses des Notaires du Grand Paris
C'est assimilé à une fraude le cas que tu décris. Le jour où il y aura un contrôle, ils devront payer tous les arriérés de taxes d'habitation non payées avec des pénalités car un bien peut être dépourvu de locataire, mais en dépluchant les factures eau et énergies du bien supposé vide, les agents du fisc verront tout de suite la supercherie.jpsgl a écrit : ↑02 déc. 2020, 16:05Non, si ton locataire sort avant le 31 décembre, tu fais une lettre aux impôts avec le mandat de mise en location --> pas de TH à payer (déjà fait).roi.de.trefle a écrit : ↑02 déc. 2020, 09:35D'accord pour les airbnb, par contre le reste, c'est à la date d'émission au 1er janvier de la TH, donc si tu avais un locataire le 1er janvier, il déclare ses impots à ton adresse, et c'est bien sa résidence principale (et c'est pratique pour toi car en pratique 9 chances sur 10 qu'il soit exo ca t'évite la TH secondaire).
La source c'est ici: https://www.apur.org/fr/nos-travaux/par ... ranciliens
Je connais plusieurs personnes dans ce cas: grosse baraque (voir château dans le vexin) et studio/2 pièces en face du bureau *qui sert pour plusieurs choses (boulot, retour de sortie et autres ...).
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Re: Marché immobilier francilien et crise sanitaire : Les premières observations et analyses des Notaires du Grand Paris
Les prix de l’immobilier fléchissent à Paris
Ce tassement est lié à la fois à la crise du Covid-19 et à un désamour vis-à-vis de la capitale. Et d’après les agents immobiliers mandataires, le taux des refus de crédit est passé de 10 % des dossiers à 15 % en un an.
Source : https://www.lemonde.fr/economie/article ... _3234.html
Ce tassement est lié à la fois à la crise du Covid-19 et à un désamour vis-à-vis de la capitale. Et d’après les agents immobiliers mandataires, le taux des refus de crédit est passé de 10 % des dossiers à 15 % en un an.
Source : https://www.lemonde.fr/economie/article ... _3234.html
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Re: Marché immobilier francilien et crise sanitaire : Les premières observations et analyses des Notaires du Grand Paris
Désamour envers la ville lumière ??
Fake, fake, fake. Encore un coup des russes ou des perfides GB.
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« La moitié des hommes politiques sont des bons à rien. Les autres sont prêts à tout » Coluche
Re: Marché immobilier francilien et crise sanitaire : Les premières observations et analyses des Notaires du Grand Paris
Attends la valeur des fonds de commerces parisiens. C’est pas -15 ou -20 qu’ils vont prendreHippopotameuuu a écrit : ↑08 févr. 2021, 22:20Les prix de l’immobilier fléchissent à Paris
Ce tassement est lié à la fois à la crise du Covid-19 et à un désamour vis-à-vis de la capitale. Et d’après les agents immobiliers mandataires, le taux des refus de crédit est passé de 10 % des dossiers à 15 % en un an.
Source : https://www.lemonde.fr/economie/article ... _3234.html