Immobilier : ces villes où l’on trouve plus de logements vides que de candidats locataires

[_lavocre31_]

https://www.capital.fr/immobilier/immob ... es-1398390

Nice, Le Havre, Reims, Grenoble... Dans ces villes, on trouve désormais plus d’offres d’appartements à louer que de candidats pour y habiter.

Pénurie ?

[dams13]

grenoble je comprends, qui voudrait vivre dans l'enfer des pasteque.
bientot la meme chose a bordeau, lyon et toutes ces villes ou les khmerverts ont ete elus

[_lavocre31_]

grenoble je comprends, qui voudrait vivre dans l'enfer des pasteque.
bientot la meme chose a bordeau, lyon et toutes ces villes ou les khmerverts ont ete elus

Paris ?

[Suricate]

https://www.capital.fr/immobilier/immob ... es-1398390

Nice, Le Havre, Reims, Grenoble... Dans ces villes, on trouve désormais plus d’offres d’appartements à louer que de candidats pour y habiter.

Pénurie ?

Nice, problème de prix.
Le Havre... ben c'est Le Havre. Si les poutres de l'appartement sont apparentes il faut s'interdire d'acheter une corde.
Grenoble, faut aimer la pollution (pollution sonore, pollution ethnique, pollution tout court)
Reims j'aurais pas dit. C'est un peu mort mais ça a son charme.

[ignatius]

Le Havre et plus généralement l'agglomération havraise se dépeuple d'année en année.
Habituellement dans les grosses villes (c'est la 13e ville de France avec pas loin de 170 000 habitants), la ville centre se dépeuple, et l'agglo grossit.
Là les deux se dépeuplent.
Une étude intéressante de l'INSEE sur la population de l'agglo havraise, et les projections de population à 20 ans.
https://www.insee.fr/fr/statistiques/4649470

Il y avait 174000 habitants quand je suis arrivé en Seine-Maritime. C'est passé au 1/1/21 en dessous des 170 000 (169 733).
Désindustrialisation...

[slash33]

ça tient principalement au revirement sur la population étudiante donc il y en a pour une année voire deux dans le pire des cas. Il y a aussi un resserrement des dossiers assez remarqué par les gestionnaires de lots mais pour l'instant ça n'émeut pas tant que ça.

[clairette2]

ça tient principalement au revirement sur la population étudiante donc il y en a pour une année voire deux dans le pire des cas. Il y a aussi un resserrement des dossiers assez remarqué par les gestionnaires de lots mais pour l'instant ça n'émeut pas tant que ça.

Oui c'est conjoncturel pour la plupart de ces villes.

[ignatius]

ça tient principalement au revirement sur la population étudiante donc il y en a pour une année voire deux dans le pire des cas. Il y a aussi un resserrement des dossiers assez remarqué par les gestionnaires de lots mais pour l'instant ça n'émeut pas tant que ça.

Oui c'est conjoncturel pour la plupart de ces villes.

Pas sûr pour Le Havre.

[slash33]

Dans Paris délaissée, les loyers des meublés en perte de vitesse
AFP, le 06/04/2021
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 449bef31e6

Sur un an, le prix des locations meublées a enregistré à fin février une baisse de 1,1% à Paris et le nombre d'annonces a triplé, avec une hausse de 204,8%, selon des données communiquées par le site SeLoger.com à l'AFP

A Paris, 500.000 logements font partie du secteur locatif privé dont 110.000 en meublés, la part de ce segment ayant considérablement augmenté pour passer de 14% en 2006 à 22% en 2017, selon des données de la Fnaim.

Et certains propriétaires "qui se sont endettés, attirés par la rentabilité" des locations touristiques, "soit reviennent sur le marché classique, soit mettent en vente", commente-t-il précisant que sur quelque 3.000 biens gérés par son agence, une centaine sont des meublés touristiques revenus sur le marché de la longue durée.

Sur les deux premiers mois de l'année, les loyers des meublés qu'elle gère ont baissé de 7%, ajoute-t-il.

NDLR: on parle de meublé classique.

[Pazuzu]

La location est clairement impactée.

J'ai remarqué que dans le 2e ou 17e, il y avait bien plus que 3 fois plus d'annonce pour les petites surfaces.
Les prix pour les petites surface ets en baisse de 20 ou 30% sur un an.

Même à Neuilly, on voit que les vitrine des agences sont remplies à moitié de locations, alors que d'habitude on n'en voyait que très très peu.

[slash33]

Pendant ce temps...

L’investissement résidentiel locatif demeure ainsi source de revenus stables sur le long terme. Depuis 2017, le taux de rendement du marché résidentiel pour les étudiants, les seniors ou le coliving stagne entre 3 et 4% selon l’étude de CBRE. Le marché classique est quant à lui retombé sous la barre des 2% au second semestre 2020. Les taux bas actuels du crédit immobilier (1% en moyenne pour les profils avec des revenus représentant 5 fois le SMIC ou plus) renforcent le rendement locatif.

C'est du brut, pas du net. La CBRE est un groupe de conseil en immobilier d’entreprise.