Ah... le doux parfum de la peur et du désespoir des AIPour les agences immobilières habituées à vendre des logements en un claquement de doigts, la fête est finie. La hausse des taux, les difficultés d’accès au crédit qui en résultent, et la flambée des prix post-Covid ont aujourd’hui un impact direct dans les ventes. «On n’a quasiment pas d’appel», témoigne Isabelle Chégut, négociatrice chez Real Lex, office notarial situé dans la région lyonnaise.
Les chiffres ne font que l’esquisser (le nombre de compromis a baissé de 6 % au mois de mai, selon la Fnaim), mais acteurs du secteur sentent bien qu’un retournement est à l’œuvre. «La crise économique se diffuse lentement mais sûrement, et le marché du logement est en train de s’infléchir», reconnaît Jean-Marc Torrollion, président de la Fnaim.
Quand je pense à toutes ces agences immobilières qui pullulent dans nos centre-villes et à ces milliers d'agents immobiliers qui parasitent notre économie et ont contribué ces dernières décennies à alimenter la bulle immobilière qui iront pointer à pôle emploi dans quelques mois, ça me met de bonne humeur.
PS : Sans oublier d'avoir une petite pensée émue pour les gourous de l'immobilier locatif