La fin de la hausse des taux d'interet
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Il y en a qui vont devoir gager la gourmette en or, et se faire saisir la mercedes en leasing.
https://www.immomatin.com/portails/site ... -imsi.html
https://www.immomatin.com/portails/site ... -imsi.html
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
En début de chaîne...alexlyon a écrit : ↑29 juin 2023, 14:36Il y en a qui vont devoir gager la gourmette en or, et se faire saisir la mercedes en leasing.
https://www.immomatin.com/portails/site ... -imsi.html
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Un nouveau koikilenkout ?Korn a écrit : ↑29 juin 2023, 14:31"Bien que notre politique soit restrictive, elle ne l'est peut-être pas assez et elle ne l'a pas été assez longtemps », a ainsi déclaré Jerome Powell, président de la Réserve fédérale américaine, lors de la table ronde qui réunissait également Christine Lagarde, présidente de la Banque centrale européenne, Andrew Bailey, gouverneur de la Banque d'Angleterre, et son nouvel homologue à la Banque du Japon, Kazuo Ueda."
Dans ce contexte, on se demande bien pourra être le chevalier blanc de l'immobilier? Le Covid20?
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Le chevalier blanc de l'immo, c'est l'immo.
Moins cher.
Moins cher.
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Interdit par le patron, la BCEGebeka a écrit : ↑29 juin 2023, 14:42Un nouveau koikilenkout ?Korn a écrit : ↑29 juin 2023, 14:31"Bien que notre politique soit restrictive, elle ne l'est peut-être pas assez et elle ne l'a pas été assez longtemps », a ainsi déclaré Jerome Powell, président de la Réserve fédérale américaine, lors de la table ronde qui réunissait également Christine Lagarde, présidente de la Banque centrale européenne, Andrew Bailey, gouverneur de la Banque d'Angleterre, et son nouvel homologue à la Banque du Japon, Kazuo Ueda."
Dans ce contexte, on se demande bien pourra être le chevalier blanc de l'immobilier? Le Covid20?
Et c'est un logique, la politique budgétaire dépend de la politique monétaire, l'inverse n'étant pas vrai.
Ceci dit, les plans de soutien reviendront à un moment ou un autre, mais pas avant la fin de la phase de normalisation. D'ici là...
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Je viens de voir ça. Quelle hausse !
Certains PEL sont donc déjà très intéressants !
Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre, et finit par perdre les deux. (T. Jefferson)
- Gray_Mouser
- Messages : 1091
- Enregistré le : 24 mars 2010, 12:50
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Vous savez où on peut voir la courbe montrant l'évolution du taux d'usure ? Je ne trouve pas l'historique facilement.
- Gray_Mouser
- Messages : 1091
- Enregistré le : 24 mars 2010, 12:50
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Trouvé :
https://www.empruntis.com/financement/a ... -15907.php
Comme Pierric disait sur une autre file, c'est juin qui était une anomalie. Finalement on retrouve la tendance précédente (et c'est une sacrée pente; ça accélère même un peu).
https://www.empruntis.com/financement/a ... -15907.php
Comme Pierric disait sur une autre file, c'est juin qui était une anomalie. Finalement on retrouve la tendance précédente (et c'est une sacrée pente; ça accélère même un peu).
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Je crois que le leasing a justement été inventé en partie pour pouvoir éviter de se faire saisir ses biens courants en cas de pépin.james a écrit : ↑13 mars 2023, 20:13Pour ceux qui se suivent ce qui se passe sur les marchés obligataires gros gros mouvement baisser aujourd'hui partout.
On va avoir donc surement des taux d'interet qui vont baisser dans les mois qui viennent (au moins jusqu'a Mai-Juin) et peut etre un rebond fort du marché immo
Blague à part, ça embauche à mort dans la rénovation énergétique, mais par contre exit les salaires à 5 chiffres pour promener des bobos boomer de baraque en baraque 3 fois par semaine.
wef a écrit :You'll own nothing. And you'll be happy
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Relever la cible d'inflation de 2 à 3%: serpent de mer ou vraie solution pour sortir de l'impasse?
bfmtv.com
bfmtv.com
de plus en plus de voix s'élèvent pour appeler les banques centrales à mettre en pause les hausses de taux d'intérêt entamées il y a plusieurs mois. Leur crainte, c'est que ce resserrement brutal de politique monétaire censé ramener l'inflation à l'objectif de 2% ne se fasse au détriment du marché du travail et de la croissance.
C'est pour cette raison qu'Olivier Blanchard plaide pour relever cette cible d'inflation de 2 à 3%.
Cette barre des 2% n'a pas vraiment de fondement théorique très précis", note Sylvain Bersinger, chef économiste chez Asterès, sur BFM Business.
en décembre 2022, le prix Nobel 2008 Paul Krugman défendait également un objectif d'inflation de 3%: "Il se trouve qu’un certain nombre d’économistes, dont je suis, soutiennent depuis longtemps que 2% est trop bas (...)", écrivait-il, ajoutant que "les changements apportés par la pandémie dans notre façon de travailler et nos choix d’achats ont montré que les problèmes d’ajustement sont encore plus grands que nous ne le croyions
Reste que le président de la Fed, Jerome Powell, s'est prononcé en mars contre une modification de l'objectif de 2%, jugeant que l'engagement de la banque centrale en faveur de ce taux contribuait à affermir la confiance dans la stabilié des prix malgré les pressions inflationnistes actuelles. Mais "il ne sera pas facile d'atteindre l'objectif de 2% et il pourrait être très difficile pour la Fed de dire 'nous devons atteindre l'objectif de 2% et nous allons maintenir les taux d'intérêt à un niveau très élevé'", avait déjà prévenu Olivier Blanchard.
Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre, et finit par perdre les deux. (T. Jefferson)
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
OAT 10 ans français 3,41%
-
- -+
- Messages : 1761
- Enregistré le : 05 avr. 2020, 10:58
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Ce topic c'est comme le vin, ça vieillit bien avec le temps
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Les crédits à 5% sur 25 ans pour un bon dossier, c'est pour demain.
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
lol…Romario a écrit : ↑04 juil. 2023, 10:18Relever la cible d'inflation de 2 à 3%: serpent de mer ou vraie solution pour sortir de l'impasse?
bfmtv.com
de plus en plus de voix s'élèvent pour appeler les banques centrales à mettre en pause les hausses de taux d'intérêt entamées il y a plusieurs mois. Leur crainte, c'est que ce resserrement brutal de politique monétaire censé ramener l'inflation à l'objectif de 2% ne se fasse au détriment du marché du travail et de la croissance.
C'est pour cette raison qu'Olivier Blanchard plaide pour relever cette cible d'inflation de 2 à 3%.Cette barre des 2% n'a pas vraiment de fondement théorique très précis", note Sylvain Bersinger, chef économiste chez Asterès, sur BFM Business.en décembre 2022, le prix Nobel 2008 Paul Krugman défendait également un objectif d'inflation de 3%: "Il se trouve qu’un certain nombre d’économistes, dont je suis, soutiennent depuis longtemps que 2% est trop bas (...)", écrivait-il, ajoutant que "les changements apportés par la pandémie dans notre façon de travailler et nos choix d’achats ont montré que les problèmes d’ajustement sont encore plus grands que nous ne le croyionsReste que le président de la Fed, Jerome Powell, s'est prononcé en mars contre une modification de l'objectif de 2%, jugeant que l'engagement de la banque centrale en faveur de ce taux contribuait à affermir la confiance dans la stabilié des prix malgré les pressions inflationnistes actuelles. Mais "il ne sera pas facile d'atteindre l'objectif de 2% et il pourrait être très difficile pour la Fed de dire 'nous devons atteindre l'objectif de 2% et nous allons maintenir les taux d'intérêt à un niveau très élevé'", avait déjà prévenu Olivier Blanchard.
Chef chef le contrôle est rouge !
Ajoute 50% au seuil de tolérance.
Tout va bien chef ill est vert
On fait comment pour l’immigration ? On régularise tout le monde y a plus d’immigrés. Pas de raison de faire différemment avec l’inflation.
Pour moi c’est un aveu d’impuissance. De toute manière on suivra la FED sinon l’euro s’effondre et avec notre balance commerciale (bizarrement l’énergie a augmenté depuis le sabotage de NS) ça craint.
Tant que c’est le plein emploi aux US la FED continuera de monter ses taux, el la BCE suivra.
À 4% nos 3000 milliards de dette coûtent 120 milliards par an. C’est intenable. Avec la charge des retraités c’est l’asphyxie de tous les actifs. L’exode de nos jeunes. Le grand remplacement vitesse grand V. Bref ça pue.
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Ça pue pour l'immo surtout.
Les taux vont se manger 400 points dans la gueule en 2 ans.
Ça ne faiblit pas et surtout, la peine est allongée.
Les taux vont se manger 400 points dans la gueule en 2 ans.
Ça ne faiblit pas et surtout, la peine est allongée.
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Avec l inflation en parallèle depuis 2ans... le coût des intérêts de la dette augmente mais est tjrs le même en point de PIB..Boeuf1804 a écrit : ↑27 sept. 2023, 21:29lol…Romario a écrit : ↑04 juil. 2023, 10:18Relever la cible d'inflation de 2 à 3%: serpent de mer ou vraie solution pour sortir de l'impasse?
bfmtv.com
de plus en plus de voix s'élèvent pour appeler les banques centrales à mettre en pause les hausses de taux d'intérêt entamées il y a plusieurs mois. Leur crainte, c'est que ce resserrement brutal de politique monétaire censé ramener l'inflation à l'objectif de 2% ne se fasse au détriment du marché du travail et de la croissance.
C'est pour cette raison qu'Olivier Blanchard plaide pour relever cette cible d'inflation de 2 à 3%.Cette barre des 2% n'a pas vraiment de fondement théorique très précis", note Sylvain Bersinger, chef économiste chez Asterès, sur BFM Business.en décembre 2022, le prix Nobel 2008 Paul Krugman défendait également un objectif d'inflation de 3%: "Il se trouve qu’un certain nombre d’économistes, dont je suis, soutiennent depuis longtemps que 2% est trop bas (...)", écrivait-il, ajoutant que "les changements apportés par la pandémie dans notre façon de travailler et nos choix d’achats ont montré que les problèmes d’ajustement sont encore plus grands que nous ne le croyionsReste que le président de la Fed, Jerome Powell, s'est prononcé en mars contre une modification de l'objectif de 2%, jugeant que l'engagement de la banque centrale en faveur de ce taux contribuait à affermir la confiance dans la stabilié des prix malgré les pressions inflationnistes actuelles. Mais "il ne sera pas facile d'atteindre l'objectif de 2% et il pourrait être très difficile pour la Fed de dire 'nous devons atteindre l'objectif de 2% et nous allons maintenir les taux d'intérêt à un niveau très élevé'", avait déjà prévenu Olivier Blanchard.
Chef chef le contrôle est rouge !
Ajoute 50% au seuil de tolérance.
Tout va bien chef ill est vert
On fait comment pour l’immigration ? On régularise tout le monde y a plus d’immigrés. Pas de raison de faire différemment avec l’inflation.
Pour moi c’est un aveu d’impuissance. De toute manière on suivra la FED sinon l’euro s’effondre et avec notre balance commerciale (bizarrement l’énergie a augmenté depuis le sabotage de NS) ça craint.
Tant que c’est le plein emploi aux US la FED continuera de monter ses taux, el la BCE suivra.
À 4% nos 3000 milliards de dette coûtent 120 milliards par an. C’est intenable. Avec la charge des retraités c’est l’asphyxie de tous les actifs. L’exode de nos jeunes. Le grand remplacement vitesse grand V. Bref ça pue.
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Oui mais non...
Comme l'état a eu pas mal de temps pour roller une grande partie de la dette à taux quasi nul, c'est des gros bénefs au final
Spoiler : et c'était bien le but de la manoeuvre de la BCE, sauf que nos dispendieux politiques ont bousillé le plan et niqué la BCE
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Il ne faut imaginer que l’état français est comme un ménage qui a emprunté sur 20 ans une dette à taux fixe de ~0%.cotcodec a écrit : ↑27 sept. 2023, 22:53Oui mais non...
Comme l'état a eu pas mal de temps pour roller une grande partie de la dette à taux quasi nul, c'est des gros bénefs au final
Spoiler : et c'était bien le but de la manoeuvre de la BCE, sauf que nos dispendieux politiques ont bousillé le plan et niqué la BCE
L’état emprunte tous les jours, et pas forcément à échéance très longue.
Si les taux élevés ne durent que 1 ou 2 ans, la proportion de dette à taux élevé n’est pas très significatif (quoi qu’on a augmenté très rapidement et significativement notre dette récemment). Mais cela augmente vite.
"un chômage supérieur à 15%" & "Peut-être que l'immobilier ne baissera que de 20%. Mais peut-être qu'à -20%, l'immobilier sera encore jugé trop cher" supermascotte en 2020 (covid)
- optimus maximus
- ~~+
- Messages : 15273
- Enregistré le : 14 nov. 2014, 23:00
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
À 4%, on ira piocher dans l'épargne des ménages français pour financer la dette. Les assurances vies que vendront les banques n'auront plus que des OAT. Y a 30% qui revient directement dans les caisses de l'état. Peut-être 40% quand Macron aura été éjecté.Boeuf1804 a écrit : ↑27 sept. 2023, 21:29lol…Romario a écrit : ↑04 juil. 2023, 10:18Relever la cible d'inflation de 2 à 3%: serpent de mer ou vraie solution pour sortir de l'impasse?
bfmtv.com
de plus en plus de voix s'élèvent pour appeler les banques centrales à mettre en pause les hausses de taux d'intérêt entamées il y a plusieurs mois. Leur crainte, c'est que ce resserrement brutal de politique monétaire censé ramener l'inflation à l'objectif de 2% ne se fasse au détriment du marché du travail et de la croissance.
C'est pour cette raison qu'Olivier Blanchard plaide pour relever cette cible d'inflation de 2 à 3%.Cette barre des 2% n'a pas vraiment de fondement théorique très précis", note Sylvain Bersinger, chef économiste chez Asterès, sur BFM Business.en décembre 2022, le prix Nobel 2008 Paul Krugman défendait également un objectif d'inflation de 3%: "Il se trouve qu’un certain nombre d’économistes, dont je suis, soutiennent depuis longtemps que 2% est trop bas (...)", écrivait-il, ajoutant que "les changements apportés par la pandémie dans notre façon de travailler et nos choix d’achats ont montré que les problèmes d’ajustement sont encore plus grands que nous ne le croyionsReste que le président de la Fed, Jerome Powell, s'est prononcé en mars contre une modification de l'objectif de 2%, jugeant que l'engagement de la banque centrale en faveur de ce taux contribuait à affermir la confiance dans la stabilié des prix malgré les pressions inflationnistes actuelles. Mais "il ne sera pas facile d'atteindre l'objectif de 2% et il pourrait être très difficile pour la Fed de dire 'nous devons atteindre l'objectif de 2% et nous allons maintenir les taux d'intérêt à un niveau très élevé'", avait déjà prévenu Olivier Blanchard.
Chef chef le contrôle est rouge !
Ajoute 50% au seuil de tolérance.
Tout va bien chef ill est vert
On fait comment pour l’immigration ? On régularise tout le monde y a plus d’immigrés. Pas de raison de faire différemment avec l’inflation.
Pour moi c’est un aveu d’impuissance. De toute manière on suivra la FED sinon l’euro s’effondre et avec notre balance commerciale (bizarrement l’énergie a augmenté depuis le sabotage de NS) ça craint.
Tant que c’est le plein emploi aux US la FED continuera de monter ses taux, el la BCE suivra.
À 4% nos 3000 milliards de dette coûtent 120 milliards par an. C’est intenable. Avec la charge des retraités c’est l’asphyxie de tous les actifs. L’exode de nos jeunes. Le grand remplacement vitesse grand V. Bref ça pue.
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
J'ai pas été clair je vais illustrer avec un grapheVincent92 a écrit : ↑27 sept. 2023, 23:01Il ne faut imaginer que l’état français est comme un ménage qui a emprunté sur 20 ans une dette à taux fixe de ~0%.cotcodec a écrit : ↑27 sept. 2023, 22:53Oui mais non...
Comme l'état a eu pas mal de temps pour roller une grande partie de la dette à taux quasi nul, c'est des gros bénefs au final
Spoiler : et c'était bien le but de la manoeuvre de la BCE, sauf que nos dispendieux politiques ont bousillé le plan et niqué la BCE
L’état emprunte tous les jours, et pas forcément à échéance très longue.
Si les taux élevés ne durent que 1 ou 2 ans, la proportion de dette à taux élevé n’est pas très significatif (quoi qu’on a augmenté très rapidement et significativement notre dette récemment). Mais cela augmente vite.
J'ai pas trouvé mieux que ça là vite fait, mais comme tu vois, ça fait un paquet, d'autant qu'il faut rajouter 2021 et 2022 voire le S12023
Les recettes d'impôts augmentent peu ou prou du PIB qui augmente peu ou prou de l'inflation
La dette émise à 10 ans à 1% en 2022 aura en réalité été rémunérée à -3% si l'inflation reste à 4%, soit une perte en euros constants de 27%
PS ; c'est des calculs à la hache hein
PPS : le pbl évidemment c'est qu'on continue à se surendetter et que c'est plus la même...
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Oui, enfin, ton graphique s'arrête en 2019...cotcodec a écrit : ↑27 sept. 2023, 23:41J'ai pas été clair je vais illustrer avec un grapheVincent92 a écrit : ↑27 sept. 2023, 23:01Il ne faut imaginer que l’état français est comme un ménage qui a emprunté sur 20 ans une dette à taux fixe de ~0%.cotcodec a écrit : ↑27 sept. 2023, 22:53Oui mais non...
Comme l'état a eu pas mal de temps pour roller une grande partie de la dette à taux quasi nul, c'est des gros bénefs au final
Spoiler : et c'était bien le but de la manoeuvre de la BCE, sauf que nos dispendieux politiques ont bousillé le plan et niqué la BCE
L’état emprunte tous les jours, et pas forcément à échéance très longue.
Si les taux élevés ne durent que 1 ou 2 ans, la proportion de dette à taux élevé n’est pas très significatif (quoi qu’on a augmenté très rapidement et significativement notre dette récemment). Mais cela augmente vite.
J'ai pas trouvé mieux que ça là vite fait, mais comme tu vois, ça fait un paquet, d'autant qu'il faut rajouter 2021 et 2022 voire le S12023
Les recettes d'impôts augmentent peu ou prou du PIB qui augmente peu ou prou de l'inflation
La dette émise à 10 ans à 1% en 2022 aura en réalité été rémunérée à -3% si l'inflation reste à 4%, soit une perte en euros constants de 27%
PS ; c'est des calculs à la hache hein
PPS : le pbl évidemment c'est qu'on continue à se surendetter et que c'est plus la même...
J'ai dit que le taux moyen de la dette française commençait doucement à coûter plus cher parce que la dette émise augmente de manière importante depuis 1-2 an ("koikelenloute". 100 à 120% du PIB) et parce qu'on s'est beaucoup endetté (avec le taux en vigueur à l'instant T) récemment.
La durée de vie moyenne de la dette négociable de l’Etat en février 2023 est de 8,5 ans et l'état emprunte tous les jours.
Pour le moment, le coût reste "faible". Mais, il va assez vite augmenté si la situation reste comme cela.
La charge de la dette de l'Etat s'est élevée à 31,2 Md€ (frais compris) en 2021 en comptabilité nationale. Et 49,7 Md€ hors frais bancaires (53,2 Md€ avec ces frais) en comptabilité nationale en 2022, soit 3,5 % des « recettes publiques » (3,8 % avec frais). Attendons 2023 qui va être encore beaucoup plus haut.
Je ne suis pas d'accord.Les recettes d'impôts augmentent peu ou prou du PIB qui augmente peu ou prou de l'inflation
La dette émise à 10 ans à 1% en 2022 aura en réalité été rémunérée à -3% si l'inflation reste à 4%, soit une perte en euros constants de 27%
Ce n'est pas parce que l'inflation serait de 4% que le PIB augmenterait de 4%. Par exemple, le PIB a augmenté de 2,6 % en 2022 alors que l'inflation était entre 5 et 6%.
La hausse des taux de la BCE a plutôt tendance à diminuer le PIB.
Les recettes de l'état dépend de ce qu'il décide et du consentement à l'impôt.
Par ailleurs, ces histoires de rémunération qu'on soustrait de l'inflation courante (comme le paquet de patte ou le litre d'essence) n'ont pas de sens non plus.
L'inflation est calculée à partir d'un panier de façon un peu arbitraire (la France ne calcule pas comme l'UE par exemple).
Et tout cette consommation n'a rien à voir avec la structure de l'état Francais.
Et, même à tout niveau, comparer de l'épargne que tu ne vas pas dépenser pour ta vie courante (comme pour l'alimentaire par exemple) avec l'inflation, cela n'a pas vraiment de sens.
"un chômage supérieur à 15%" & "Peut-être que l'immobilier ne baissera que de 20%. Mais peut-être qu'à -20%, l'immobilier sera encore jugé trop cher" supermascotte en 2020 (covid)
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Ta comparaison inflation/PIB en 2022 ne tient pas, tu compares la croissance du PIB avec l'inflation INSEE qui n'est basée que sur le caddie moyen !Vincent92 a écrit : ↑28 sept. 2023, 08:52Oui, enfin, ton graphique s'arrête en 2019...cotcodec a écrit : ↑27 sept. 2023, 23:41J'ai pas été clair je vais illustrer avec un grapheVincent92 a écrit : ↑27 sept. 2023, 23:01Il ne faut imaginer que l’état français est comme un ménage qui a emprunté sur 20 ans une dette à taux fixe de ~0%.cotcodec a écrit : ↑27 sept. 2023, 22:53
Oui mais non...
Comme l'état a eu pas mal de temps pour roller une grande partie de la dette à taux quasi nul, c'est des gros bénefs au final
Spoiler : et c'était bien le but de la manoeuvre de la BCE, sauf que nos dispendieux politiques ont bousillé le plan et niqué la BCE
L’état emprunte tous les jours, et pas forcément à échéance très longue.
Si les taux élevés ne durent que 1 ou 2 ans, la proportion de dette à taux élevé n’est pas très significatif (quoi qu’on a augmenté très rapidement et significativement notre dette récemment). Mais cela augmente vite.
J'ai pas trouvé mieux que ça là vite fait, mais comme tu vois, ça fait un paquet, d'autant qu'il faut rajouter 2021 et 2022 voire le S12023
Les recettes d'impôts augmentent peu ou prou du PIB qui augmente peu ou prou de l'inflation
La dette émise à 10 ans à 1% en 2022 aura en réalité été rémunérée à -3% si l'inflation reste à 4%, soit une perte en euros constants de 27%
PS ; c'est des calculs à la hache hein
PPS : le pbl évidemment c'est qu'on continue à se surendetter et que c'est plus la même...
J'ai dit que le taux moyen de la dette française commençait doucement à coûter plus cher parce que la dette émise augmente de manière importante depuis 1-2 an ("koikelenloute". 100 à 120% du PIB) et parce qu'on s'est beaucoup endetté (avec le taux en vigueur à l'instant T) récemment.
La durée de vie moyenne de la dette négociable de l’Etat en février 2023 est de 8,5 ans et l'état emprunte tous les jours.
Pour le moment, le coût reste "faible". Mais, il va assez vite augmenté si la situation reste comme cela.
La charge de la dette de l'Etat s'est élevée à 31,2 Md€ (frais compris) en 2021 en comptabilité nationale. Et 49,7 Md€ hors frais bancaires (53,2 Md€ avec ces frais) en comptabilité nationale en 2022, soit 3,5 % des « recettes publiques » (3,8 % avec frais). Attendons 2023 qui va être encore beaucoup plus haut.
Je ne suis pas d'accord.Les recettes d'impôts augmentent peu ou prou du PIB qui augmente peu ou prou de l'inflation
La dette émise à 10 ans à 1% en 2022 aura en réalité été rémunérée à -3% si l'inflation reste à 4%, soit une perte en euros constants de 27%
Ce n'est pas parce que l'inflation serait de 4% que le PIB va augmenté de 4%. Par exemple, le PIB a augmenté de 2,6 % en 2022 alors que l'inflation était entre 5 et 6%.
La hausse des taux de la BCE a plutôt tendance à diminuer le PIB.
Les recettes de l'état dépend de ce qu'il décide et du consentement à l'impôt.
Par ailleurs, ces histoires de rémunération qu'on soustrait de l'inflation courante (comme le paquet de patte ou le litre d'essence) n'ont pas de sens non plus.
L'inflation est calculée à partir d'un panier de façon un peu arbitraire (la France ne calcule pas comme l'UE par exemple).
Et tout cette consommation n'a rien à voir avec la structure de l'état Francais.
Et, même à tout niveau, comparer de l'épargne que tu ne vas pas dépenser pour ta vie courante (comme pour l'alimentaire par exemple) avec l'inflation, cela n'a pas vraiment de sens.
Il faut s'intéresser à l'inflation globale
Et oui, quand l'inflation est de 4%, le PIB augmente peu ou prou de 4%. Plus précisément, il augmente de 4% +/- la croissance réelle, et si la croissance réelle est nulle, il augmentera de 4%
La croissance réelle est très faible dans nos vieux pays à croissance démographique lente, en revanche on peut facilement inflater le PIB avec l'inflation
Et oui, si l'état t'a emprunté à 1%, et qu'il y a eu 4% d'inflation, l'état t'aura rémunéré -3% en termes réels. Parce que les recettes fiscales auront augmenté toutes seules de 4%, même à croissance réelle du PIB est zéro
L'histoire des finances de l'état français est celle des manigances pour rembourser en monnaie de singe.
L''inflation est l'instrument préféré dans ce but, car le pékin moyen ne comprend pas qu'il se fait raboter
En plus l'inflation offre plein de moyens supplémentaires :
- je ne revalorise pas les tranches de l'ÎRPP en contexte d'inflation => l'IRPP augmentera plus vite que l'inflation
- je ne revalorise pas le point d'indice des fonctionnaires => les traitements sont bloqués alors que les recettes fiscales augmentent mécaniquement
les possibilités sont légion
Quant au niveau des taux ils n'ont commencé à monter vraiment qu'au S1 2023
8,5 ans en moyenne, eh ben super, ça fait un gros morceau qui est bien long
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Pourrais tu nous faire le calcul approximatif pour 2022? Histoire de voir si tout cela est très "théorique" ou si cela se vérifie dans la réalité?cotcodec a écrit :Et oui, quand l'inflation est de 4%, le PIB augmente peu ou prou de 4%. Plus précisément, il augmente de 4% +/- la croissance réelle, et si la croissance réelle est nulle, il augmentera de 4%
Le PIB a progressé de 2,6% en 2022.
cotcodec a écrit :L'histoire des finances de l'état français est celle des manigances pour rembourser en monnaie de singe.Vincent92 a écrit :Les recettes de l'état dépend de ce qu'il décide et du consentement à l'impôt.
L''inflation est l'instrument préféré dans ce but, car le pékin moyen ne comprend pas qu'il se fait raboter
En plus l'inflation offre plein de moyens supplémentaires :
- je ne revalorise pas les tranches de l'ÎRPP en contexte d'inflation => l'IRPP augmentera plus vite que l'inflation
- je ne revalorise pas le point d'indice des fonctionnaires => les traitements sont bloqués alors que les recettes fiscales augmentent mécaniquement
les possibilités sont légion
https://www.budget.gouv.fr/budget-etat/ ... d%E2%82%AC.Les recettes fiscales nettes s’élèvent à 166,6 Md€ contre 175,2 Md€ à fin juillet 2022, soit une baisse de -8,7 Md€. Celle-ci s’explique notamment par la baisse de la TVA revenant à l’État (- 4,8 Md€), principalement en raison des transferts supplémentaires de TVA aux communes, aux intercommunalités et aux départements à compter de 2023 au titre de la suppression de la CVAE
Pareil, à un moment donné, il faut que les théories s'encrent dans la réalité. Sinon, cela ne sert à rien.
Modifié en dernier par Vincent92 le 28 sept. 2023, 09:47, modifié 1 fois.
"un chômage supérieur à 15%" & "Peut-être que l'immobilier ne baissera que de 20%. Mais peut-être qu'à -20%, l'immobilier sera encore jugé trop cher" supermascotte en 2020 (covid)
-
- -+
- Messages : 1761
- Enregistré le : 05 avr. 2020, 10:58
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Bah Vincent92, c'est plutôt toi qui a pas compris un truc essentiel.Vincent92 a écrit : ↑28 sept. 2023, 08:52Je ne suis pas d'accord.
Ce n'est pas parce que l'inflation serait de 4% que le PIB augmenterait de 4%. Par exemple, le PIB a augmenté de 2,6 % en 2022 alors que l'inflation était entre 5 et 6%.
La hausse des taux de la BCE a plutôt tendance à diminuer le PIB.
Les recettes de l'état dépend de ce qu'il décide et du consentement à l'impôt.
Par ailleurs, ces histoires de rémunération qu'on soustrait de l'inflation courante (comme le paquet de patte ou le litre d'essence) n'ont pas de sens non plus.
L'inflation est calculée à partir d'un panier de façon un peu arbitraire (la France ne calcule pas comme l'UE par exemple).
Et tout cette consommation n'a rien à voir avec la structure de l'état Francais.
Et, même à tout niveau, comparer de l'épargne que tu ne vas pas dépenser pour ta vie courante (comme pour l'alimentaire par exemple) avec l'inflation, cela n'a pas vraiment de sens.
Quand on nous annonce un PIB de 2.6%, c'est un PIB déflaté qu'on nous donne. Donc, si l'inflation est de 5-6% et que le PIB est de 2.6%, ça veut dire que le PIB nominal est de 7.6 - 8.6% environ !
Comme les recettes de l'état augmente grosso modo dans les mêmes proportions que le PIB nominal, ça veut dire que les recettes de l'état explosent en période d'inflation. De même, le poids de la dette passée diminue en proportion de l'inflation.
Illustration : Avec une dette de 1000 milliards l'année t avec des taux d'intérêts de 1%, un PIB de 1000 milliards, des recettes de l'état de 500 milliards. Les intérêts représentent 100% du PIB.
Si l'année t+1, on a une inflation de 10% et une croissance de 2%, ça veut dire que le PIB passe à 1120 milliards et que les recettes de l'état passent à 560 milliards. Admettons que les intérêts de la dette sont capitalisés et qu'aucune nouvelle dette n'est émise, alors la dette passe à 1010 milliards, la dette ne représente plus que 90% du PIB.
D'où le fait que les états impécunieux adorent l'inflation et d'où le fait que le gouvernement a dépensé sans compter. Parce que l'inflation leur permet de diluer leur dette dans le temps (au dépend de la crédibilité de la monnaie et de l'épargne du peuple)
CEPENDANT, on est en train de passer dans une nouvelle phase de la crise avec une inflation qui diminue mais aussi une économie qui ralentit voire qui rentre en récession. Les recettes de l'état vont commencer à diminuer alors que le poids de la dette va augmenter. Et là, c'est plus le même délire. D'où le changement de discours avec une austérité qui pointe le bout de son nez.
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Euh, c'est un peu nimp ces argumentsVincent92 a écrit : ↑28 sept. 2023, 09:43Pourrais tu nous faire le calcul approximative pour 2022? Histoire de voir si tout cela est très "théorique" ou pas?cotcodec a écrit :Et oui, quand l'inflation est de 4%, le PIB augmente peu ou prou de 4%. Plus précisément, il augmente de 4% +/- la croissance réelle, et si la croissance réelle est nulle, il augmentera de 4%
Le PIB a progressé de 2,6%.
cotcodec a écrit :L'histoire des finances de l'état français est celle des manigances pour rembourser en monnaie de singe.Vincent92 a écrit :Les recettes de l'état dépend de ce qu'il décide et du consentement à l'impôt.
L''inflation est l'instrument préféré dans ce but, car le pékin moyen ne comprend pas qu'il se fait raboter
En plus l'inflation offre plein de moyens supplémentaires :
- je ne revalorise pas les tranches de l'ÎRPP en contexte d'inflation => l'IRPP augmentera plus vite que l'inflation
- je ne revalorise pas le point d'indice des fonctionnaires => les traitements sont bloqués alors que les recettes fiscales augmentent mécaniquement
les possibilités sont légionhttps://www.budget.gouv.fr/budget-etat/ ... d%E2%82%AC.Les recettes fiscales nettes s’élèvent à 166,6 Md€ contre 175,2 Md€ à fin juillet 2022, soit une baisse de -8,7 Md€. Celle-ci s’explique notamment par la baisse de la TVA revenant à l’État (- 4,8 Md€), principalement en raison des transferts supplémentaires de TVA aux communes, aux intercommunalités et aux départements à compter de 2023 au titre de la suppression de la CVAE
Pareil, à un moment donné, il faut que les théories s'encrent dans la réalité. Sinon, cela ne sert à rien.
Si tu veux argumenter sur la TVA, il faut évidemment raisonner en recettes BRUTES avant rétrocessions aux collocs, celles-ci ayant été augmentées
D'une manière générale, il est absurde de raisonner sur une seule année. Sur une seule année, il y a de la volatilité. Ces effets jouent sur le temps long. Et l'état a le temps
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Sur long terme, les recettes ne suivent pas le PIB.cotcodec a écrit : ↑28 sept. 2023, 10:03Euh, c'est un peu nimp ces argumentsVincent92 a écrit : ↑28 sept. 2023, 09:43Pourrais tu nous faire le calcul approximative pour 2022? Histoire de voir si tout cela est très "théorique" ou pas?cotcodec a écrit :Et oui, quand l'inflation est de 4%, le PIB augmente peu ou prou de 4%. Plus précisément, il augmente de 4% +/- la croissance réelle, et si la croissance réelle est nulle, il augmentera de 4%
Le PIB a progressé de 2,6%.
cotcodec a écrit :L'histoire des finances de l'état français est celle des manigances pour rembourser en monnaie de singe.Vincent92 a écrit :Les recettes de l'état dépend de ce qu'il décide et du consentement à l'impôt.
L''inflation est l'instrument préféré dans ce but, car le pékin moyen ne comprend pas qu'il se fait raboter
En plus l'inflation offre plein de moyens supplémentaires :
- je ne revalorise pas les tranches de l'ÎRPP en contexte d'inflation => l'IRPP augmentera plus vite que l'inflation
- je ne revalorise pas le point d'indice des fonctionnaires => les traitements sont bloqués alors que les recettes fiscales augmentent mécaniquement
les possibilités sont légionhttps://www.budget.gouv.fr/budget-etat/ ... d%E2%82%AC.Les recettes fiscales nettes s’élèvent à 166,6 Md€ contre 175,2 Md€ à fin juillet 2022, soit une baisse de -8,7 Md€. Celle-ci s’explique notamment par la baisse de la TVA revenant à l’État (- 4,8 Md€), principalement en raison des transferts supplémentaires de TVA aux communes, aux intercommunalités et aux départements à compter de 2023 au titre de la suppression de la CVAE
Pareil, à un moment donné, il faut que les théories s'encrent dans la réalité. Sinon, cela ne sert à rien.
Si tu veux argumenter sur la TVA, il faut évidemment raisonner en recettes BRUTES avant rétrocessions aux collocs, celles-ci ayant été augmentées
D'une manière générale, il est absurde de raisonner sur une seule année. Sur une seule année, il y a de la volatilité. Ces effets jouent sur le temps long. Et l'état a le temps
Tout dépend de ce que veut l'état et du consentement à l'impôt.
Les recettes représentaient 35% du PIB en 1960 et elles représentent aujourd'hui 53.5%
Dans d'autres pays, c'est l'inverse.
Evidemment, nous nous rejoindrons là dessus, la hausse des salaires et profits fait qu'il est plus facile de collecter plus d'impôts en valeur nominale.
"un chômage supérieur à 15%" & "Peut-être que l'immobilier ne baissera que de 20%. Mais peut-être qu'à -20%, l'immobilier sera encore jugé trop cher" supermascotte en 2020 (covid)
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Mon propos initial, que tu as contesté, était uniquement que l'inflation va permettre à l'état de payer des taux d'intérêt négatifs sur une grosse partie de sa detteVincent92 a écrit : ↑28 sept. 2023, 10:12Sur long terme, les recettes ne suivent pas le PIB.cotcodec a écrit : ↑28 sept. 2023, 10:03Euh, c'est un peu nimp ces argumentsVincent92 a écrit : ↑28 sept. 2023, 09:43Pourrais tu nous faire le calcul approximative pour 2022? Histoire de voir si tout cela est très "théorique" ou pas?cotcodec a écrit :Et oui, quand l'inflation est de 4%, le PIB augmente peu ou prou de 4%. Plus précisément, il augmente de 4% +/- la croissance réelle, et si la croissance réelle est nulle, il augmentera de 4%
Le PIB a progressé de 2,6%.
cotcodec a écrit : L'histoire des finances de l'état français est celle des manigances pour rembourser en monnaie de singe.
L''inflation est l'instrument préféré dans ce but, car le pékin moyen ne comprend pas qu'il se fait raboter
En plus l'inflation offre plein de moyens supplémentaires :
- je ne revalorise pas les tranches de l'ÎRPP en contexte d'inflation => l'IRPP augmentera plus vite que l'inflation
- je ne revalorise pas le point d'indice des fonctionnaires => les traitements sont bloqués alors que les recettes fiscales augmentent mécaniquement
les possibilités sont légionhttps://www.budget.gouv.fr/budget-etat/ ... d%E2%82%AC.Les recettes fiscales nettes s’élèvent à 166,6 Md€ contre 175,2 Md€ à fin juillet 2022, soit une baisse de -8,7 Md€. Celle-ci s’explique notamment par la baisse de la TVA revenant à l’État (- 4,8 Md€), principalement en raison des transferts supplémentaires de TVA aux communes, aux intercommunalités et aux départements à compter de 2023 au titre de la suppression de la CVAE
Pareil, à un moment donné, il faut que les théories s'encrent dans la réalité. Sinon, cela ne sert à rien.
Si tu veux argumenter sur la TVA, il faut évidemment raisonner en recettes BRUTES avant rétrocessions aux collocs, celles-ci ayant été augmentées
D'une manière générale, il est absurde de raisonner sur une seule année. Sur une seule année, il y a de la volatilité. Ces effets jouent sur le temps long. Et l'état a le temps
Tout dépend de ce que veut l'état et du consentement à l'impôt.
Les recettes représentaient 35% du PIB en 1960 et elles représentent aujourd'hui 53.5%
Dans d'autres pays, c'est l'inverse.
Evidemment, nous nous rejoindrons là dessus, la hausse des salaires et profits fait qu'il est plus facile de collecter plus d'impôt en valeur nominale.
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Oui, voilà exactementsupermascotte a écrit : ↑28 sept. 2023, 09:46Bah Vincent92, c'est plutôt toi qui a pas compris un truc essentiel.Vincent92 a écrit : ↑28 sept. 2023, 08:52Je ne suis pas d'accord.
Ce n'est pas parce que l'inflation serait de 4% que le PIB augmenterait de 4%. Par exemple, le PIB a augmenté de 2,6 % en 2022 alors que l'inflation était entre 5 et 6%.
La hausse des taux de la BCE a plutôt tendance à diminuer le PIB.
Les recettes de l'état dépend de ce qu'il décide et du consentement à l'impôt.
Par ailleurs, ces histoires de rémunération qu'on soustrait de l'inflation courante (comme le paquet de patte ou le litre d'essence) n'ont pas de sens non plus.
L'inflation est calculée à partir d'un panier de façon un peu arbitraire (la France ne calcule pas comme l'UE par exemple).
Et tout cette consommation n'a rien à voir avec la structure de l'état Francais.
Et, même à tout niveau, comparer de l'épargne que tu ne vas pas dépenser pour ta vie courante (comme pour l'alimentaire par exemple) avec l'inflation, cela n'a pas vraiment de sens.
Quand on nous annonce un PIB de 2.6%, c'est un PIB déflaté qu'on nous donne. Donc, si l'inflation est de 5-6% et que le PIB est de 2.6%, ça veut dire que le PIB nominal est de 7.6 - 8.6% environ !
Comme les recettes de l'état augmente grosso modo dans les mêmes proportions que le PIB nominal, ça veut dire que les recettes de l'état explosent en période d'inflation. De même, le poids de la dette passée diminue en proportion de l'inflation.
Illustration : Avec une dette de 1000 milliards l'année t avec des taux d'intérêts de 1%, un PIB de 1000 milliards, des recettes de l'état de 500 milliards. Les intérêts représentent 100% du PIB.
Si l'année t+1, on a une inflation de 10% et une croissance de 2%, ça veut dire que le PIB passe à 1120 milliards et que les recettes de l'état passent à 560 milliards. Admettons que les intérêts de la dette sont capitalisés et qu'aucune nouvelle dette n'est émise, alors la dette passe à 1010 milliards, la dette ne représente plus que 90% du PIB.
D'où le fait que les états impécunieux adorent l'inflation et d'où le fait que le gouvernement a dépensé sans compter. Parce que l'inflation leur permet de diluer leur dette dans le temps (au dépend de la crédibilité de la monnaie et de l'épargne du peuple)
CEPENDANT, on est en train de passer dans une nouvelle phase de la crise avec une inflation qui diminue mais aussi une économie qui ralentit voire qui rentre en récession. Les recettes de l'état vont commencer à diminuer alors que le poids de la dette va augmenter. Et là, c'est plus le même délire. D'où le changement de discours avec une austérité qui pointe le bout de son nez.
Je pensais que c'était évident pour tout le monde mais apparemment non
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Et je le "conteste" toujours.cotcodec a écrit :Mon propos initial, que tu as contesté, était uniquement que l'inflation va permettre à l'état de payer des taux d'intérêt négatifs sur une grosse partie de sa dette
Si le fait d'emprunter à un niveau plus faible que son niveau inflation permettait de s'enrichir, l'Argentine aurait moins de problème.
Je sais par ailleurs, toute de même, que ce que tu dis est rabâché par plein d'économistes.
"un chômage supérieur à 15%" & "Peut-être que l'immobilier ne baissera que de 20%. Mais peut-être qu'à -20%, l'immobilier sera encore jugé trop cher" supermascotte en 2020 (covid)
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Je ne réagis plus aux propos de supermascotte. Les modérateurs trouvent peut être cela normal, mais personnellement, j'en ai marre de me faire insulter une fois sur deux par un type derrière son écran.cotcodec a écrit : ↑28 sept. 2023, 10:25Oui, voilà exactementsupermascotte a écrit : ↑28 sept. 2023, 09:46Bah Vincent92, c'est plutôt toi qui a pas compris un truc essentiel.Vincent92 a écrit : ↑28 sept. 2023, 08:52Je ne suis pas d'accord.
Ce n'est pas parce que l'inflation serait de 4% que le PIB augmenterait de 4%. Par exemple, le PIB a augmenté de 2,6 % en 2022 alors que l'inflation était entre 5 et 6%.
La hausse des taux de la BCE a plutôt tendance à diminuer le PIB.
Les recettes de l'état dépend de ce qu'il décide et du consentement à l'impôt.
Par ailleurs, ces histoires de rémunération qu'on soustrait de l'inflation courante (comme le paquet de patte ou le litre d'essence) n'ont pas de sens non plus.
L'inflation est calculée à partir d'un panier de façon un peu arbitraire (la France ne calcule pas comme l'UE par exemple).
Et tout cette consommation n'a rien à voir avec la structure de l'état Francais.
Et, même à tout niveau, comparer de l'épargne que tu ne vas pas dépenser pour ta vie courante (comme pour l'alimentaire par exemple) avec l'inflation, cela n'a pas vraiment de sens.
Quand on nous annonce un PIB de 2.6%, c'est un PIB déflaté qu'on nous donne. Donc, si l'inflation est de 5-6% et que le PIB est de 2.6%, ça veut dire que le PIB nominal est de 7.6 - 8.6% environ !
Comme les recettes de l'état augmente grosso modo dans les mêmes proportions que le PIB nominal, ça veut dire que les recettes de l'état explosent en période d'inflation. De même, le poids de la dette passée diminue en proportion de l'inflation.
Illustration : Avec une dette de 1000 milliards l'année t avec des taux d'intérêts de 1%, un PIB de 1000 milliards, des recettes de l'état de 500 milliards. Les intérêts représentent 100% du PIB.
Si l'année t+1, on a une inflation de 10% et une croissance de 2%, ça veut dire que le PIB passe à 1120 milliards et que les recettes de l'état passent à 560 milliards. Admettons que les intérêts de la dette sont capitalisés et qu'aucune nouvelle dette n'est émise, alors la dette passe à 1010 milliards, la dette ne représente plus que 90% du PIB.
D'où le fait que les états impécunieux adorent l'inflation et d'où le fait que le gouvernement a dépensé sans compter. Parce que l'inflation leur permet de diluer leur dette dans le temps (au dépend de la crédibilité de la monnaie et de l'épargne du peuple)
CEPENDANT, on est en train de passer dans une nouvelle phase de la crise avec une inflation qui diminue mais aussi une économie qui ralentit voire qui rentre en récession. Les recettes de l'état vont commencer à diminuer alors que le poids de la dette va augmenter. Et là, c'est plus le même délire. D'où le changement de discours avec une austérité qui pointe le bout de son nez.
Je pensais que c'était évident pour tout le monde mais apparemment non
Le choix de modération permet une grande liberté d'expression.
En contrepartie, vous vous retrouvez essentiellement entre vous (vu la façon de s'exprimer de certains, la plupart des personnes qui ne partagent pas la vision partent). Et, vous ne comprenez pas ce qui se passe (quoi? 800k ou 900k transactions? seulement 5-10% de baisse?) parce que vous êtes dans une bulle de pensées très hermétique (presque que des gens qui pensent pareil).
"un chômage supérieur à 15%" & "Peut-être que l'immobilier ne baissera que de 20%. Mais peut-être qu'à -20%, l'immobilier sera encore jugé trop cher" supermascotte en 2020 (covid)
-
- -+
- Messages : 1761
- Enregistré le : 05 avr. 2020, 10:58
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Tu dis en permanence des bêtises, on est obligés de te corriger. Tu supportes pas la contradiction, alors que tu viens sur un forum et tu passes ton temps à contredire les gens avec la plus grande des mauvaises foi. Il y a un moment, faudrait être logique. Il serait peut-être temps que tu arrêtes de faire ta drama Queen et que tu prennes un peu de recul, genre il y a autre chose dans la vie que ce forum.Vincent92 a écrit : ↑28 sept. 2023, 10:30Je ne réagis plus aux propos de supermascotte. Les modérateurs trouvent peut être cela normal, mais personnellement, j'en ai marre de me faire insulter une fois sur deux par un type derrière son écran.cotcodec a écrit : ↑28 sept. 2023, 10:25Oui, voilà exactementsupermascotte a écrit : ↑28 sept. 2023, 09:46Bah Vincent92, c'est plutôt toi qui a pas compris un truc essentiel.Vincent92 a écrit : ↑28 sept. 2023, 08:52Je ne suis pas d'accord.
Ce n'est pas parce que l'inflation serait de 4% que le PIB augmenterait de 4%. Par exemple, le PIB a augmenté de 2,6 % en 2022 alors que l'inflation était entre 5 et 6%.
La hausse des taux de la BCE a plutôt tendance à diminuer le PIB.
Les recettes de l'état dépend de ce qu'il décide et du consentement à l'impôt.
Par ailleurs, ces histoires de rémunération qu'on soustrait de l'inflation courante (comme le paquet de patte ou le litre d'essence) n'ont pas de sens non plus.
L'inflation est calculée à partir d'un panier de façon un peu arbitraire (la France ne calcule pas comme l'UE par exemple).
Et tout cette consommation n'a rien à voir avec la structure de l'état Francais.
Et, même à tout niveau, comparer de l'épargne que tu ne vas pas dépenser pour ta vie courante (comme pour l'alimentaire par exemple) avec l'inflation, cela n'a pas vraiment de sens.
Quand on nous annonce un PIB de 2.6%, c'est un PIB déflaté qu'on nous donne. Donc, si l'inflation est de 5-6% et que le PIB est de 2.6%, ça veut dire que le PIB nominal est de 7.6 - 8.6% environ !
Comme les recettes de l'état augmente grosso modo dans les mêmes proportions que le PIB nominal, ça veut dire que les recettes de l'état explosent en période d'inflation. De même, le poids de la dette passée diminue en proportion de l'inflation.
Illustration : Avec une dette de 1000 milliards l'année t avec des taux d'intérêts de 1%, un PIB de 1000 milliards, des recettes de l'état de 500 milliards. Les intérêts représentent 100% du PIB.
Si l'année t+1, on a une inflation de 10% et une croissance de 2%, ça veut dire que le PIB passe à 1120 milliards et que les recettes de l'état passent à 560 milliards. Admettons que les intérêts de la dette sont capitalisés et qu'aucune nouvelle dette n'est émise, alors la dette passe à 1010 milliards, la dette ne représente plus que 90% du PIB.
D'où le fait que les états impécunieux adorent l'inflation et d'où le fait que le gouvernement a dépensé sans compter. Parce que l'inflation leur permet de diluer leur dette dans le temps (au dépend de la crédibilité de la monnaie et de l'épargne du peuple)
CEPENDANT, on est en train de passer dans une nouvelle phase de la crise avec une inflation qui diminue mais aussi une économie qui ralentit voire qui rentre en récession. Les recettes de l'état vont commencer à diminuer alors que le poids de la dette va augmenter. Et là, c'est plus le même délire. D'où le changement de discours avec une austérité qui pointe le bout de son nez.
Je pensais que c'était évident pour tout le monde mais apparemment non
Le choix de modération permet une grande liberté d'expression.
En contrepartie, vous vous retrouvez essentiellement entre vous (la plupart des personnes qui ne partagent pas la vision partent). Et, vous ne comprenez pas ce qui se passe (quoi? 800k ou 900k transactions? seulement 5-10% de baisse?) parce que vous êtes dans une bulle de pensées très hermétique (presque que des gens qui pensent pareil).
Et puis bon accessoirement, OU EST CE QUE JE T'INSULTE ?
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
mais la dette qui pose problème à l'Argentine est sa dette extérieure, libellée en dollarsVincent92 a écrit : ↑28 sept. 2023, 10:27Et je le "conteste" toujours.cotcodec a écrit :Mon propos initial, que tu as contesté, était uniquement que l'inflation va permettre à l'état de payer des taux d'intérêt négatifs sur une grosse partie de sa dette
Si le fait d'emprunter à un niveau plus faible que son niveau inflation permettait de s'enrichir, l'Argentine aurait moins de problème.
Je sais par ailleurs, toute de même, que ce que tu dis est rabâché par plein d'économistes.
l'inflation en Argentine n'a pas d'impact sur le dollar
par contre elle fait plonger le cours de change extérieur de l'Argentine et renchérit donc sa dette en dollars
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Il me semble que ta théorie est que l'inflation permet de payer la dette facilement puisque cela permet d'avoir plus de recettes.cotcodec a écrit : ↑28 sept. 2023, 11:05mais la dette qui pose problème à l'Argentine est sa dette extérieure, libellée en dollarsVincent92 a écrit : ↑28 sept. 2023, 10:27Et je le "conteste" toujours.cotcodec a écrit :Mon propos initial, que tu as contesté, était uniquement que l'inflation va permettre à l'état de payer des taux d'intérêt négatifs sur une grosse partie de sa dette
Si le fait d'emprunter à un niveau plus faible que son niveau inflation permettait de s'enrichir, l'Argentine aurait moins de problème.
Je sais par ailleurs, toute de même, que ce que tu dis est rabâché par plein d'économistes.
l'inflation en Argentine n'a pas d'impact sur le dollar
La plupart des pays ont de la dette extérieure. La France aussi.
"un chômage supérieur à 15%" & "Peut-être que l'immobilier ne baissera que de 20%. Mais peut-être qu'à -20%, l'immobilier sera encore jugé trop cher" supermascotte en 2020 (covid)
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Pas besoin d'aller chercher loin. Il y a 3 jours : http://www.bulle-immobiliere.org/forum/ ... 0#p2725020supermascotte a écrit : ↑28 sept. 2023, 10:55Et puis bon accessoirement, OU EST CE QUE JE T'INSULTE ?
Mon premier report en 7 ans!
Et on peut en trouver des dizaines voir des centaines d'interventions comme ca (aucune chance que je le fasse, je n'ai plus de temps à perdre avec toi).
Tu passes ton temps à insulter certaines personnes sur internet en anonyme (je n'imagine pas une seule seconde que c'est pareil dans la vie réelle). Si bien que tu ne t'en rends même plus compte.
C'est pour cette raison que j'ai décidé d'ignorer totalement tes interventions. @+
"un chômage supérieur à 15%" & "Peut-être que l'immobilier ne baissera que de 20%. Mais peut-être qu'à -20%, l'immobilier sera encore jugé trop cher" supermascotte en 2020 (covid)
-
- -+
- Messages : 1761
- Enregistré le : 05 avr. 2020, 10:58
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Merci doux jésus, enfin, il était tempsVincent92 a écrit : ↑28 sept. 2023, 11:15Pas besoin d'aller chercher loin. Il y a 3 jours : http://www.bulle-immobiliere.org/forum/ ... 0#p2725020supermascotte a écrit : ↑28 sept. 2023, 10:55Et puis bon accessoirement, OU EST CE QUE JE T'INSULTE ?
Mon premier report en 7 ans!
Et on peut en trouver des dizaines voir des centaines d'interventions comme ca (aucune chance que je le fasse, je n'ai plus de temps à perdre avec toi).
Tu passes ton temps à insulter certaines personnes sur internet en anonyme (je n'imagine pas une seule seconde que c'est pareil dans la vie réelle). Si bien que tu ne t'en rends même plus compte.
C'est pour cette raison que j'ai décidé d'ignorer totalement tes interventions. @+
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Après quelques mois maintenant je reviens avec une petite mise à jour, trop de wishfull thinking et j'avais pas d'energie à débattre avec des certains cas spéciaux ici. J'avais dit que :
Le top sera autour de Juin maxi c'etait début Juillet pour l'US et Octobre pour la France (ce qui est normal)
Pause de la FED, c'etait le cas aussi
Les riches ont encore une fois décidé du plafond, surpris ? Les taux immo qui en découlent commencent à descendre et cette tendance continuera au moins jusqu'à Avril
Le top sera autour de Juin maxi c'etait début Juillet pour l'US et Octobre pour la France (ce qui est normal)
Pause de la FED, c'etait le cas aussi
Les riches ont encore une fois décidé du plafond, surpris ? Les taux immo qui en découlent commencent à descendre et cette tendance continuera au moins jusqu'à Avril
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
On dirait du Bruno Lemaire dans le textejames a écrit : ↑27 déc. 2023, 22:05Après quelques mois maintenant je reviens avec une petite mise à jour, trop de wishfull thinking et j'avais pas d'energie à débattre avec des certains cas spéciaux ici. J'avais dit que :
Le top sera autour de Juin maxi c'etait début Juillet pour l'US et Octobre pour la France (ce qui est normal)
Pause de la FED, c'etait le cas aussi
Les riches ont encore une fois décidé du plafond, surpris ? Les taux immo qui en découlent commencent à descendre et cette tendance continuera au moins jusqu'à Avril
Sérieusement il faut une sacrée estime de soi pour revenir sur ce thread annoncé que tu avais tout prévu !
-
- -+
- Messages : 1761
- Enregistré le : 05 avr. 2020, 10:58
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
13 mars 2023 :
On revient vaillamment sur le thread le 27 décembre 2023 pour déclarer "Je vous l'avais bien dit" après s'être caché pendant 9 mois.
Heureusement pour le père James, le ridicule ne tue pas
Plus sérieusement, on peut pas franchement dire que les taux de crédit immo baissent ou éventuellement à la marge en ouvrant bien fort ses chakras. Et de là à parler de fort rebond de l'immobilier
Qui sait, ptet qu'en décembre 2025, tu auras enfin raison
Pour ceux qui se suivent ce qui se passe sur les marchés obligataires gros gros mouvement baisser aujourd'hui partout.
On va avoir donc surement des taux d'interet qui vont baisser dans les mois qui viennent (au moins jusqu'a Mai-Juin) et peut etre un rebond fort du marché immo
On revient vaillamment sur le thread le 27 décembre 2023 pour déclarer "Je vous l'avais bien dit" après s'être caché pendant 9 mois.
Heureusement pour le père James, le ridicule ne tue pas
Plus sérieusement, on peut pas franchement dire que les taux de crédit immo baissent ou éventuellement à la marge en ouvrant bien fort ses chakras. Et de là à parler de fort rebond de l'immobilier
Qui sait, ptet qu'en décembre 2025, tu auras enfin raison
-
- Messages : 166
- Enregistré le : 17 janv. 2014, 11:39
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Ça c'est mettre les corones sur la tablejames a écrit : ↑27 déc. 2023, 22:05Après quelques mois maintenant je reviens avec une petite mise à jour, trop de wishfull thinking et j'avais pas d'energie à débattre avec des certains cas spéciaux ici. J'avais dit que :
Le top sera autour de Juin maxi c'etait début Juillet pour l'US et Octobre pour la France (ce qui est normal)
Pause de la FED, c'etait le cas aussi
Les riches ont encore une fois décidé du plafond, surpris ? Les taux immo qui en découlent commencent à descendre et cette tendance continuera au moins jusqu'à Avril
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Tu avais dis :james a écrit : ↑27 déc. 2023, 22:05Après quelques mois maintenant je reviens avec une petite mise à jour, trop de wishfull thinking et j'avais pas d'energie à débattre avec des certains cas spéciaux ici. J'avais dit que :
Le top sera autour de Juin maxi c'etait début Juillet pour l'US et Octobre pour la France (ce qui est normal)
Pause de la FED, c'etait le cas aussi
Les riches ont encore une fois décidé du plafond, surpris ? Les taux immo qui en découlent commencent à descendre et cette tendance continuera au moins jusqu'à Avril
Bon...james a écrit : ↑13 mars 2023, 20:13Pour ceux qui se suivent ce qui se passe sur les marchés obligataires gros gros mouvement baisser aujourd'hui partout.
On va avoir donc surement des taux d'interet qui vont baisser dans les mois qui viennent (au moins jusqu'a Mai-Juin) et peut etre un rebond fort du marché immo
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Tout le monde ne s'agite pas en regardant les OAT et en imaginant que les taux (BCE & crédits bancaires) suivent la même trajectoire à quelques semaines près.
On a le droit d'imaginer que la BCE baisse drastiquement ses taux au premiers semestre 2024
On a le droit d'imaginer que la BCE baisse drastiquement ses taux au premiers semestre 2024
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Aucune chance que les taux directeurs baissent au S1 en Europe..
Par contre, il est bien possible que les banques commerciales par anticipation d une baisse a venir adopte une politique plus agressive concurrentiellement parlant..
C'est ce qui semble sortir des chiffres évoqués plus haut sur ce thread...
Ça peut être très rentable pour elle de vendre du crédit même en promo pour qques mois en misant sur la baisse des taux en fin d année 2024..
-
- Messages : 1638
- Enregistré le : 23 janv. 2020, 17:07
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Eh oui ! Et comment ???
Exemple : prêter à 3,9% au S1 vs E3M à 3,9% —> du bénévolat
Puis l’E3M descend à 3% et les taux pratiqués aussi —> logiquement, le client ira renégocier son prêt. On lui conseille de le faire dès que le différentiel atteint 1%. Dommage, c n’est justement le niveau de marge qui commence à valoir le coup pour la banque.
-
- Messages : 1638
- Enregistré le : 23 janv. 2020, 17:07
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Ah bon ? Et comment ???
Exemple : prêter à 3,9% au S1 vs E3M à 3,9% —> du bénévolat
Puis l’E3M descend à 3% et les taux pratiqués aussi —> logiquement, le client ira renégocier son prêt. On lui conseille de le faire dès que le différentiel atteint 1%. Dommage, c’est justement le niveau de marge qui commence à valoir le coup pour la banque.
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
De ce que j'ai pu comprendre, à la lecture des différents intervenants de ce forum, globalement,
les banques prêtent sur des durées diverses mais se financent à court terme. Le coût de l'argent n'a pas baissé à ce niveau là. Il serait donc étonnant de voir de vraies baisse de taux tant que la BCE n'aura pas baissé ses taux directeurs.
https://www.boursorama.com/bourse/taux/ ... xERB3MOIS/
Tout au plus, devrions-nous assister à quelques ajustements à la baisse (des poignées de figues par rapport à la hausse des 2 dernières années), plus particulièrement sur les meilleurs profils (mais n'était-ce pas déjà le cas...). Bien entendu, cela fera l'objet d"une communication exagérée de toute la filière et des plus contrariés par la baisse des prix immobiliers.
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Il va se passer du temps entre le moment du pret et le moment de la rénégociation. les taux vont pas baisser de 100bp en 3mois.. Donc durant tout ce laps de temps la banque est gagnante et ca compense les premiers mois ou elle vendait sans benefice.Qqun_de_Passage a écrit : ↑28 déc. 2023, 23:36Ah bon ? Et comment ???
Exemple : prêter à 3,9% au S1 vs E3M à 3,9% —> du bénévolat
Puis l’E3M descend à 3% et les taux pratiqués aussi —> logiquement, le client ira renégocier son prêt. On lui conseille de le faire dès que le différentiel atteint 1%. Dommage, c’est justement le niveau de marge qui commence à valoir le coup pour la banque.
mais bon les baisses de taux observés actuellement c'est plutôt lié à la concurrence entre banque qui veulent capter de nouveaux clients pour leurs objectifs 2024..
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Prévision premier semestre : en moyenne 4% sur 20 ans. En fonction des profils : de 3,8% à 4,5%
Voilà qui va révolutionner le marché qui peine surtout depuis... début 2023 où les taux franchissaient les 2%.
Pour faire simple, les conditions seront plus vraisemblablement plus mauvaises qu'à l'été 2023.
Les banques demandent toujours autant d'apport et, bien souvent, 2 CDI.
Modifié en dernier par Korn le 29 déc. 2023, 13:08, modifié 1 fois.
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Le jeu est de deviner qui c’est :
Les gens s’excitent pour un oui ou pour un non.
1- Les taux vont augmenter en 2024
2- Les taux ne baisseront pas en 2024
3- Les taux baisseront peut être mais de queue de cerise en 2024
4- Les taux baisseront peut être un peu mais fin 2024
5- Les taux risquent de baisser, mais faiblement au premier semestre 2024
Les gens s’excitent pour un oui ou pour un non.
1- Les taux vont augmenter en 2024
2- Les taux ne baisseront pas en 2024
3- Les taux baisseront peut être mais de queue de cerise en 2024
4- Les taux baisseront peut être un peu mais fin 2024
5- Les taux risquent de baisser, mais faiblement au premier semestre 2024
"un chômage supérieur à 15%" & "Peut-être que l'immobilier ne baissera que de 20%. Mais peut-être qu'à -20%, l'immobilier sera encore jugé trop cher" supermascotte en 2020 (covid)
Re: La fin de la hausse des taux d'interet
Évidemment, le digne représentant du 92 s'agite comme les autres (James ou l'autre courtière) avec un micro ajustement des taux qui ressemble plus à une opération de communication qu'à une baisse effective.
Allez, je vais flatter ton égo surdimensionné, tu as gagné, les banques vont baisser leur taux en 2024. Un poignée de raisins secs, mais tu pourras te congratuler à défaut de comprendre l'essentiel.
La réalité c'est qu'on va rester de nombreux mois (pas loin d'un an au total) proche des 4%.
Est-ce que ça vaut le coup de s'agiter comme un neuneu? Je ne crois pas, mais tu as le droit.
Les banques rouvrent les vannes ©
Précision, quand je parle de l'autre courtière, je ne fais pas référence à celle de la vidéo. Elle, elle est parfaite et ne prend pas les gens pour des abrutis parce qu'une banque fait -,0.2% pour 5% des profils.
Allez, je vais flatter ton égo surdimensionné, tu as gagné, les banques vont baisser leur taux en 2024. Un poignée de raisins secs, mais tu pourras te congratuler à défaut de comprendre l'essentiel.
La réalité c'est qu'on va rester de nombreux mois (pas loin d'un an au total) proche des 4%.
Est-ce que ça vaut le coup de s'agiter comme un neuneu? Je ne crois pas, mais tu as le droit.
Les banques rouvrent les vannes ©
Précision, quand je parle de l'autre courtière, je ne fais pas référence à celle de la vidéo. Elle, elle est parfaite et ne prend pas les gens pour des abrutis parce qu'une banque fait -,0.2% pour 5% des profils.
Modifié en dernier par Korn le 29 déc. 2023, 13:20, modifié 5 fois.