il ne faut pas etre rigide,Vincent92 a écrit :.....Pour les loyers, The Economist voit aussi une surévaluation de 29% quand Friggit trouve qu'ils sont normaux.
La question est : Comment The Economist obtient il ce chiffre ? En particulier, prend-il en compte le contexte macro actuel ?
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Par ailleurs, je suis très intéressé par ce fameux poste (1 suffira) qui donne une définition claire de ce qu'est une bulle et les points communs avec le marché immobilier Français. Si quelqu’un l’a, je suis preneur.
Pour ailleurs, je n'ai jamais dit qu'il n'y avait que Paris. J'ai juste pris l'exemple de Paris car il n'y a d'études universitaires que sur Paris.
J'aurais pu prendre la proche banlieue parsienne ou encore Lyon par exemple (il y a d'autres endroits)...Qui ont, à mon avis, une résiliance assez importante très sous estimé ici.
En tout cas, je le sens énervé voir à bout le pauvre. Il m'a pas l'air très serrein pour quelqu'un qui voit un crash et un "retour à la normal" imminent .
croire qu'un indice est bon (ils sont tous différents, même bien différents, et encore, je suspecte qu'ils soient moins différents entre eux qu'avec la réalité dans la mesure où aucun d'eux ne calcule l'effet qualité - je les comprends, c'est compliqué voire impossible) ou une étude parfaite, c'est naif.
Il n'y a pas plus d'écart entre JF et TheEconomist qu'entre 2 études quelconques d'un meme phénomène: un résultat plutôt dans le meme sens mais des chiffres pas parfaitement égaux (25 <->35% de surevaluation),
du coup je me demande si la grosse erreur de Friggit c'est de ne pas faire comprendre à certains qu'il faut prendre un peu de recul et que ses chiffres ne sont pas une bible.
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c'est pareil pour la definition de bulle, chacun la sienne, ne cherche pas une définition universelle (et c'est valable pour tous les mots interprétables)
Pour moi, c'est quand les prix ne sont pas uniquement soutenus par leur valeur d'usage, donc que par dessus on espère que le bien prendra de la valeur (début de bulle) ou n'en perdra pas (fin de bulle)/ j'ai trop envie de travailler, tant pis je claque mes héritages pour satisfaire mon caprice/ je peux pas avoir de loyer, je ne gagne pas 3 fois son montant/ et dans le cas de l'immo les taux d'interet bas.
En gros quand tu sens que les acheteurs sont desespérés et qu'ils font/disent des betises plus grosses qu'eux (revoir le reportage des achats 2006 sur l'ile seguin), il y a bulle.