A voir.Hourvari a écrit :Je ne comprends pas la question, car elle contient la réponse...
Certes ! Mais de la loi au réel, il y a malheureusement un fossé dont tout un chacun a pu faire l'expérience une fois dans sa vie.Hourvari a écrit :les délais de paiement comme la sanction de leur retard étant prévus.
Certes ! Mais comment peut-il vérifier la solvabilité de son client sur un prix qui n'est pas encore déterminé ?Hourvari a écrit :- l'avocat a la mission de vérifier, désormais, la solvabilité de son client-enchérisseur. Ce qui explique que son confrère ne s'inquiète pas (= ne l'inquiète pas ).
Certains barreaux prévoient
La loi lui donne la réponse : caution bancaire ou chèque de 10 % de la mise à prix.
Certes ! Mais quand il n'y a pas d'autre solution (co-héritiers passifs)...Hourvari a écrit :- faire passer au TGI une indivision successorale est assez c...
Certes ! Mais je ne suis pas sûr qu'il s'agisse d'un marchand de biens. L'adjudicataire est plutôt réputé dans la vente d'automobiles d'occasion /pièces détachées, dans la zone derrière l'autoroute, du côté des caravanes...Hourvari a écrit :- un marchand de biens n'achète pas au "prix du marché".
Si, il en a parfaitement le droit. Dès le jugement d('adjudication, il entre en pleine possession du bien.Hourvari a écrit :-il a commencé des travaux *?
Alors ? Qui est le pigeon ?Hourvari a écrit :Soit il est sûr d'avoir le financement, soit il est idiot.
S'ils sont déjà bien avancés, lancer la procédure de réitération des enchères serait une bonne idée. Avec un autre baveux.
Certes ! Mais il faut saisir le juge du TGI pour que la résolution de la vente soit effective.Hourvari a écrit :- À défaut de consignation du prix et de paiement des frais, la vente est résolue de plein droit.
Je pense qu'il serait intéressant de réitérer la vente :L'adjudicataire ne peut, avant cette consignation et ce paiement, accomplir un acte de disposition sur le bien à l'exception de la constitution d'une hypothèque accessoire à un contrat de prêt destiné à financer l'acquisition de ce bien (Code civil, art. 2211). Toutefois, conformément aux dispositions de l’article 2414 du code civil, ce droit d’hypothèque sera consenti sous la condition résolutoire du versement du prix et des frais.
- les frais des ventes sont à la charge des adjudicateurs
- je récupère les travaux (sans intérêt s'il a travaillé comme un porc sur une maison du XIXème siècle : il doit remettre les lieux en état... je vois mal)
- si le prix de la deuxième vente est inférieure, le premier adjudicataire doit la différence.
Reste le problème : s'il est insolvable, comment récupérer la différence.