Article qui a une approche très réaliste du marché.
Comment va s’écouler le stock dont les prix montrent qu’il se situe dans du haut de gamme
Haut de gamme ou bas de gamme surévalué ?
L’épaisseur de la rubrique locative des journaux de petites témoigne de ce ralentissement du marché [locatif]
Voilà un raisonnement simple, pratique et efficace.
Le poids du loyer, (…) accentue l’accession à la propriété à 40 km de Rennes.
C’est pour ça qu’on trouve des (petites) maisons surévalués (+ de 150 000 euros) dans des bleds paumés. Quasiment invendable sans perte pour ceux qui ont acheter depuis 2004.
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La période d’euphorie de l’investissement locatif est derrière nous, mais les ressorts sont toujours présents.
Grâce aux ressorts on aura un petit rebond avant le grand plongeon dans l’inconnu.
La fin de la période de garanti des loyers est attendu avec inquiétude par les professionnels qui redoutent un effet médiatique chez les primo-investisseurs qui rejeteraient sans distinction tout investissement locatif
J’adore cette phrase : les professionnel redoutent un effet médiatique ??? Certains disent que les bulles explosent toute seules; je persiste : une bonne médiatisation des familles et c’est plié.
Un consensus semble se faire autour d’un scénario consistant en une régulation – parfois sévère –pénalisant les biens les moins attractifs, mais sans baisse des loyers.
Ça me paraît logique, Le marché est bloqué du fait de rendements locatifs faible (loyer/prix du logement), pour que le rendement locatif redevienne à la normal (normal => le rendement net est équivalent à celui des taux d'intérêt) soit les loyers augmentent (là c’est plus possible) soit les prix des logements baisse.
Par contre, si les loyers baissent, le rendement baisse encore et les prix des logements vont carrément chuter.