Cinquième cycle de Kondratieff

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Jean Dupont

#51 Message par Jean Dupont » 30 nov. 2005, 22:01

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_MARIE_

#52 Message par _MARIE_ » 30 nov. 2005, 22:09

Merci pour la courbe. Elle ne vous rappelle rien ?

JD et les autres, je cherche la courbe qui montre les prix de l'immo depuis qqs dizaines d'années, la même existe en version "prix depuis 200 ans). On y voit que cette fois-ci et en francs euros constants, la montée est bien plus importante. Il y avait une belle courbe orange sur le blog de Mérou, mais elle n'y est plus. Où puis-je trouver ça sur le site ?

Un haussier content de lui (vient d'acheter) en doute, j'ai envie de lui clouer gentimment le bec.

Jean Dupont

#53 Message par Jean Dupont » 30 nov. 2005, 22:36

Les courbes de Friggit ne te suffisent pas ?
http://www.foncier.org/statistiques/acc ... tiques.htm (prendre le premier lien => "graphique")

_MARIE_

#54 Message par _MARIE_ » 30 nov. 2005, 22:42

Merci JD, 1. J'avais un pb de winzip (pas la bonne version) donc le fichier ne s'ouvrait pas, 2. J'ai en tête une courbe bcp plus simple et plus lisible. Mais pas moyen d'y mettre la main. Ceux qui les avaient sur leurs blogs, l'ont retirée.

jsp75

#55 Message par jsp75 » 01 déc. 2005, 17:12

Pour revenir à notre bon vieux konfratieff (tiev???)
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0 ... 569,0.html
Depuis 1975, nous vivons ce qui peut être assimilé à la phase descendante d'un "Kondratieff". Ayant duré trente ans, elle arrive à son terme. Tirée par les nouvelles technologies de l'information et la communication, la croissance devrait bientôt repartir. A moins que, comme l'affirme Paul Samuelson, le cycle de Kondratieff ne soit qu'un "objet de science-fiction"...
http://www.ac-versailles.fr/PEDAGOGI/se ... ot/CF7.htm

http://www.euro92.com/edi/dossiers/brux ... sld020.htm

Ca me replonge à l'école....

Il est à noter que c'est une théorie qui a ses détracteurs.
Ses aficionados... (n'est pas JD :wink: )
Mais comme toute théorie à base de cycles... on peut y voir ce qu'on veut.
Finalement, c'est un peu comme les nuages, on les regarde et on y voit ce qu'on veut bien (ou ce qui nous arrange)
Par exemple, selon les sons de cloche, tout le monde n'est pas d'accord pour dire sur quel stade nous sommes...

Mais merci de remettre les théories éco sur la table, c'est toujours passionnant quand on sait se détacher d'elles pour la réalité (économique).

EDIT:
Un autres qui est excellent à lire
http://www.cnam.fr/lipsor/lips/articles ... ssance.pdf

Jean Dupont

#56 Message par Jean Dupont » 27 déc. 2005, 13:56

Big Moments in Financial History... Like Now?
Editeur : elliottwave.com
People are famous for saying big things at big moments in financial history.

"It is obvious that we are through with business cycles…" was such a declaration, made by the head of the NYSE in September 1929. A similar gem appeared some 70 years later (July 1998), from a professor of economics in the Wall Street Journal. He humbly affirmed that "This expansion will run forever," and for good measure he banished future recessions: "We don't want one, we don't need one, we won't have one.... Our policy team will keep it from happening.... The market won't melt down."
Modifié en dernier par Jean Dupont le 27 déc. 2005, 15:23, modifié 1 fois.

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slash33
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#57 Message par slash33 » 27 déc. 2005, 15:07

jsp75 a écrit :Un autres qui est excellent à lire
http://www.cnam.fr/lipsor/lips/articles ... ssance.pdf
J'ai lu. Je garde la référence dans un coin. Votre avis sincère sur ce qui y est dit ?

Allez je ne résiste pas à l'envie de citer la conclusion (rappel : écrit en 2000):

On comprend donc pourquoi s'interrogeant sur la croissance en France pour les 20 prochaines années, Michel Didier avance, si tout va bien, une tendance à 2,2% par an en moyenne. On est loin des 3,5% avancés par le conseil économique et social pour 40 ans ! Enfin, méditons les enseignements de l’histoire : un déclin démographique spectaculaire de l’Empire romain (la population a diminué de moitié en deux siècles) a précédé sa chute économique et politique ! La technologie aura beau faire, quand il n'y a plus d'hommes il n'y a plus d'avenir !

Jean Dupont

#58 Message par Jean Dupont » 29 déc. 2005, 15:46

Risky business in 2006? Could be
Editeur : money.cnn.com
Housing market slowdown
While many experts say fears of a housing market bubble bursting are overblown, nearly all real estate economists say housing is likely to slow in 2006, which could dent economic growth.

White hot sales of new homes have led to a boom in hiring by construction firms, real estate agents and mortgage finance companies in recent years, so a housing retreat could mean slower job growth in 2006.

UCLA's Anderson Forecast projects that 500,000 construction jobs and 300,000 finance jobs could be lost even if the housing market slows without collapsing, due to a reduction in home building.

But beyond a drop in construction, a leveling off in home price appreciation coupled with higher mortgage rates could shut off an important source of cash for homeowners who have used their homes like ATMs in recent years, said Carl Steidtmann, chief economist with Deloitte Research.

"The housing market has had a huge wealth effect," he said. "That wealth effect is not going to be nearly as strong. That will give consumers a sense of not being as flush. That is where you'll feel it the most."
[JD : lisez le reste... c'est une vision à la sauce Kondratieff :wink: ]

Jean Dupont

#59 Message par Jean Dupont » 30 déc. 2005, 16:12

[JD : En France aussi, on prépare le terrain à l'arrivée de difficultés]
PROJET DE LOI de sauvegarde des entreprises
Editeur : ASSEMBLÉE NATIONALE

EXPOSÉ DES MOTIFS

Mesdames, Messieurs,

La sauvegarde des entreprises est un enjeu majeur pour notre économie et les hommes qui la développent. La législation relative au traitement des difficultés des entreprises, issue des lois du 1er mars 1984 et du 25 janvier 1985, codifiées au livre VI du code de commerce, peut être analysée à la lumière de près de vingt années d'application au cours desquelles des modifications importantes, mais néanmoins insuffisantes, ont été apportées à la matière, dans un contexte juridique et économique qui a considérablement évolué.

Ce droit est désormais inadapté à notre économie. Il trouvait sa place dans un principe d'économie dirigée, caractérisé par les nationalisations et l'interventionnisme de l'Etat dans la vie des entreprises. Il se traduisait par un considérable amoindrissement des droits des créanciers, au profit de la recherche à tout prix du sauvetage de la plus grande part des entreprises en difficulté, et par une attention insuffisante portée aux objectifs et au déroulement de la liquidation judiciaire. L'objectif recherché n'a pas donné les résultats espérés.

Le présent projet corrige ces défauts.

L'objectif de la sauvegarde de l'entreprise est crucial. Il doit être poursuivi par des moyens diversifiés, sans porter d'atteintes excessives aux autres entreprises que sont les créanciers. Pour ce faire, la loi doit permettre d'appréhender les difficultés de l'entreprise dès qu'elles deviennent prévisibles, avant même qu'elles ne se traduisent en trésorerie. Visant des situations différentes, plus ou moins graves, elle doit comporter des procédures adaptées à ces différences et aux conditions d'ouverture élargies.

Les procédures sont diversifiées, car la procédure judiciaire n'est pas le seul moyen de traitement des difficultés d'une entreprise : la conclusion d'un accord amiable sérieux est depuis longtemps reconnue comme un instrument fiable, le débiteur étant le mieux à même d'apprécier la procédure la mieux adaptée à sa situation. La faiblesse juridique du dispositif actuel dans lequel s'insère un accord entre le débiteur et les créanciers a conduit l'ensemble des milieux économiques intéressés à souhaiter sa redéfinition. Le domaine du traitement amiable des difficultés des entreprises est donc élargi et permet aux créanciers, aux investisseurs et aux débiteurs de conclure un accord juridiquement sécurisé.

Les conditions d'ouverture des procédures sont élargies, car elles ne permettent actuellement que rarement la mise en ½uvre d'une véritable solution pour sauver l'entreprise. L'un des motifs juridiques de cet échec est l'impossibilité d'ouvrir une procédure lorsque l'entreprise rencontre des difficultés sérieuses mais qu'elle n'est pas en cessation des paiements. Le projet met fin à cet obstacle par la création d'une procédure de sauvegarde, destinée, dès que le débiteur justifie de difficultés susceptibles de conduire à la cessation des paiements, à la réorganisation de l'entreprise afin de permettre la poursuite de l'activité économique, le maintien de l'emploi et l'apurement du passif.

Ainsi, par l'anticipation qu'elle permet, la procédure de sauvegarde renforce l'efficacité de notre droit. Elle permet l'adoption de nouvelles mesures, débattues par le débiteur avec ses créanciers réunis au sein de comités. Lorsque les comités ont adopté un projet de plan, le tribunal arrête le plan conformément à ce projet après s'être assuré que les intérêts de tous les créanciers sont suffisamment sauvegardés.

Par ailleurs, la loi doit établir une distinction claire fondée sur l'objectif des différentes procédures. La sauvegarde, de même que le redressement, sont les seules procédures utiles lorsque le débiteur peut poursuivre lui-même son activité. En revanche, la liquidation est destinée à réaliser l'actif de la personne concernée, si possible au moyen de la reprise de l'entreprise par un tiers capable d'assurer la poursuite de l'exploitation. Par conséquent, les dispositions instituant un plan de cession de l'entreprise ne peuvent demeurer dans le cadre du redressement et ainsi créer une insécurité juridique.

Le traitement des difficultés des entreprises ne se conçoit pas sans une procédure de liquidation susceptible d'être adaptée à l'importance de l'actif, permettant dans un délai raisonnable de le réaliser, de payer les créanciers et de mettre fin à l'activité du débiteur afin de lui permettre d'exercer à nouveau sa capacité d'entreprendre, si le tribunal n'estime pas nécessaire de prononcer à son encontre une mesure emportant interdiction de gérer.

L'efficacité retrouvée des procédures de traitement des difficultés des entreprises conduit à inclure dans leur domaine tous les acteurs économiques, ainsi que l'a révélé l'importante concertation préalable à l'élaboration du projet de loi. Les dispositions actuelles selon lesquelles les personnes physiques exerçant une profession libérale ne peuvent bénéficier d'aucune procédure collective de traitement de leurs dettes professionnelles sont préjudiciables aux intéressés, à leurs créanciers et à leurs salariés. Elles sont modifiées. Cette réforme intervient en tenant le plus grand compte des spécificités liées à l'existence d'ordres professionnels, garants des intérêts collectifs de la profession, et dans le respect du secret professionnel qui s'impose à certaines professions libérales.

Enfin, dès lors que la réforme diversifie les procédures de traitement des difficultés que le chef d'entreprise peut engager, elle modifie profondément le régime juridique de sa responsabilité. En conséquence, le régime des sanctions commerciales et professionnelles qu'il encourt est modifié. Le projet abroge des dispositions qui ne correspondent aucunement à la finalité économique des procédures, conduisant à l'ouverture d'un redressement ou d'une liquidation à l'égard de personnes qui ne connaissent pas de difficulté. Paradoxalement, celles-ci ne permettent pas de poursuivre efficacement les entrepreneurs de mauvaise foi. Le projet permet de distinguer clairement les situations et d'adapter les réponses à chacune d'elles. Le débiteur malchanceux sera distingué du maladroit. Les sanctions professionnelles sont limitées dans le temps. Le débiteur interdit de gérer ne subira plus la reprise des poursuites des ses créanciers, actuellement prévue. Enfin, dans un souci d'aggravation du sort des débiteurs malhonnêtes, une sanction pénale entraînera, après la clôture de la liquidation, la reprise des poursuites individuelles par la victime créancière de dommages-intérêts.

Jean Dupont

#60 Message par Jean Dupont » 01 janv. 2006, 17:46

Are bears roaming Broad & Wall? (3 pages)
Editeur : ABC news
"If Santa Claus should fail to call, bears may come to Broad and Wall," the Stock Trader's Almanac says, referring to the site of the New York Stock Exchange in lower Manhattan.

That adage suggests that if a Santa rally, which typically occurs in the last five days of the year and the first two days of January, doesn't materialize, stocks will fall in the coming year.
[JD: J'en crois pas mes yeux...]

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Droopy_man
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#61 Message par Droopy_man » 01 janv. 2006, 21:19

Dans ce même article, il y a aussi :
"There is this simplistic notion around that because the yield curve is inverted, therefore, economic growth is going to slow down, but … no consideration is given as to why the economy would slow down," said Charles Lieberman, chief investment officer of Advisors Capital Management LLC in Paramus, New Jersey.
Je ne suis pas un expert, mais cette remarque pour moi fait sens.
You know what ?...

Jean Dupont

#62 Message par Jean Dupont » 01 janv. 2006, 23:01

Le coup de l'inversion de la courbe renferme une sorte de "grandeur magique". On ne sait pas pourquoi c'est comme ça. Mais avouons que 13 recessions sur 14 inversions (sauf 1967), c'est quand même un signe suffisant pour mettre le doute dans les esprits. Et je crois qu'en bourse, la psychologie joue un grand rôle.

Jean Dupont

#63 Message par Jean Dupont » 08 janv. 2006, 08:59

Voici un article de Ph75 ( viewtopic.php?t=6347 ) dans lequel les économistes résument parfaitement la teneur du fil "Cinquième cycle de Kondratieff". (Ecoutez le mp3 !)
- l'économiste fait référence à Schumpeter (qui a repris les thèses de Kondratieff)
- Les cycles de forte croissance nécessitent un recours au crédit
- Aux U.S. pour chaque dollar sorti de la planche à billet, on lève 3 dollars de dette à l'étranger.
- A la fin, il faudra de toutes façon payer ses dettes...

cab

#64 Message par cab » 06 mai 2006, 12:42

En bref ? Il faudra avoir de l'immobilier, de l'or, des voitures, des tableaux, du vin, des montres... de tout, SAUF de l'argent qui dort à la banque. L'effet d'une inflation maîtrisée à 5/6% par an sera mortel pour l'argent qui dort à la banque.
En période inflationiste, les taux n'étaient-ils pas à 12 et 16% et les rémunérations sicav à + de 9% ?
je ne suis pas économiste corrigez moi si je me trompe!

cab

#65 Message par cab » 06 mai 2006, 12:45

Concernant le cycle kongratieff et pour le peu que j'en connaisse, ne dit-il pas que ces cycles que je croyais sur 30 ans correspondaient à chaque fois à un nouvel essor industriel / branche (le dernier informatique) ?
En tout cas je trouve ce file passionnant... merci à JDupont et Gold pour ce pense-bête

Invité

#66 Message par Invité » 06 mai 2006, 12:55

Schumpeter a repris les théories de kondratieff et a mis en évidence que les innovations apparaissent en grappes (une innovation majeures en entrainant d'autres dans son sillage).

Ces innovations incitent les entrepreneurs à investir et nombreux sont ceux qui se lancent sur ces nouveaux marchés. Ala fin un phase d'expansion importante, les taux augmentent. Cette augmentation a pour effet de rendre non rentable certains projets d'investissements et de mettre en difficulté les projets peu rentables. Les derniers arrivés ne peuvent alors continuer leurs activités et des pertes d'emplois surviennent avec tous les effets sur la consommation et donc le PIB.

Par rapport à Kondratieff, deux facteurs peuvent influer sur la durée de vie des cycles :
1) la durée de vie des innovations est beaucoup plus courtes
2) la longévité et l'inversion de la pyramide démographique.
Modifié en dernier par Invité le 31 déc. 2006, 15:11, modifié 1 fois.

quartz313

#67 Message par quartz313 » 08 mai 2006, 22:51

Jean Dupont a écrit :Présentation Flash : thelongwaveanalyst.ca

Cette présentation montre entre autre que le krach de 2000 était un "krach de bébé" par rapport à celui 1929.
ça c'est pas sûr , on pourait être en "sursaut " dans la phase de krach et cela pourrait cacher un mouvement de plus grande ampleur (un semblant de rebond conséquence de la politique de la fed )
mais aussi le krach boursier de 2000 a été initié par les valeurs techno-internet et cela pourait être considéré comme " l'arbre qui cache la forêt "

Luc

#68 Message par Luc » 18 juin 2006, 20:59

Je vous invite à aller visiter AgoraVox, le "média citoyen" où vous trouverez un excellent article sur la théorie de Kondratieff... et une description du dernier cycle. On adhère ou pas, en tout cas l'exposé est très accessible.
http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=6024

Puche

#69 Message par Puche » 18 juin 2006, 21:41

Intéressant. Merci!

Jean Dupont

#70 Message par Jean Dupont » 31 déc. 2006, 06:35

The season to be jolly but beware the wintry blast
Date : 16/12/2006
Editeur : theaustralian.news.com.au
WHAT with the West Australian resources boom, the local housing price bubble, and Christmas fast approaching, you could be forgiven for thinking 'tis the season to be jolly in Perth. And so it is, unless you happen to believe in Russian economist Nikolai Kondratieff's long wave - the 50-to-60-year economic cycle that he said would plague the capitalist world.
There is at least one Perth financial adviser who does, and I got another email from him recently to let me know the next Great Depression is about to arrive.
If you haven't heard of the K-Wave, you can get a quick internet course from Wikipedia. The relevant pages contain a chart of the five Kondratieff cycles the world economy has experienced so far, starting with the Industrial Revolution in 1771. It shows that, if you believe the theory, we are indeed at the turning point of the fifth Kondratieff cycle and about to plunge into a nasty trough.

The trough has the unsettling title of the Kondratieff Winter. Alan Greenspan once allegedly said he knew how to deal with this Winter - pump out plenty of liquidity, just as he did after the tech bubble burst in 2000 (Kondratieff's cycles are driven by waves of innovation and new technology).

More than a few economists - most, if not all, non-believers in Kondratieff - still think the jury is out on whether that was a smart move. They would say Greenspan fed other bubbles outside the stock market, notably the US housing boom.

The impact of the bursting of the US housing bubble on the US economy is an issue currently exercising the minds of the Federal Reserve and financial markets. They seem to have reached different conclusions.

This week financial markets were pricing in three rate cuts by the end of 2007, presumably on the assumption that the US economy is taking a hit and will need help from monetary policy to avoid the risk of recession.

The Fed has also been viewing the housing slump as the main threat to growth. But, according to The Wall Street Journal this week, Fed officials are becoming more relaxed about this risk and are forecasting moderate growth over the next few quarters and a rebound in mid-2007.

Hence Fed chairman Ben Bernanke's warnings that inflation risks remain. The picture is complicated by a debate over whether the US economy's potential growth rate - its speed limit, above which inflation begins to rise - is lower now. Citigroup's US economist Robert DiClementi says research by Fed staff suggests it is.

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#71 Message par slash33 » 31 déc. 2006, 10:09

Je vais emprunter la signature de quelqu'un qui me paraît de circonstance:

Wait & see

un utilisateur

Re: Cinquième cycle de Kondratieff

#72 Message par un utilisateur » 01 févr. 2008, 21:38

Trouvé ceci au hasard du net :

http://www.southerndomains.com/southernbanks/p2.htm

Smith, Marx, Kondratieff and Keynes:
Their Intellectual Life Spans, the Convergence of their Theories based upon the Long Wave Hypothesis and the Internet

SouthernBanking.Com

Datant d'avant la bulle internet, notez-bien. Une veillerie.
Surtout intéressant pour les parties historiques.

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Re: Cinquième cycle de Kondratieff

#73 Message par slash33 » 02 févr. 2008, 22:03

Merci beaucoup.

un utilisateur

Re: Cinquième cycle de Kondratieff

#74 Message par un utilisateur » 05 févr. 2008, 07:25

Autre trouvaille :

http://aix1.uottawa.ca/%7Erroberge/berryk.htm
Long Wave explanations : Krondatiev and his successors.

Un peu pénible à lire.
Il y a me semble-t-il dans certaines parties du texte une relation avec la question de l'énergie qui nous chagrine tous un peu (Cf files sur le sujet).

un utilisateur

Re: Cinquième cycle de Kondratieff

#75 Message par un utilisateur » 05 févr. 2008, 08:12

Et cette critique en règle qui mérite une lecture attentive.
http://www.lewrockwell.com/rothbard/rothbard44.html
The Kondratieff Cycle: Real or Fabricated?
by Murray N. Rothbard

un utilisateur

Re: Cinquième cycle de Kondratieff

#76 Message par un utilisateur » 04 avr. 2008, 18:00

Une perspective LT sur la crise des marchés
Analyse postée le 03 Apr 2008, 18:15
Sur daily bourse http://www.daily-bourse.fr/analyse-Une- ... c-5650.php
L'idée fait son chemin.

un utilisateur

Re: Cinquième cycle de Kondratieff

#77 Message par un utilisateur » 05 juil. 2008, 21:20

Jean Dupont devrait apprécier ce communiqué (repris de la file inflation/deflation...).

http://online.wsj.com/article/SB121482012286515509.html
The global economy may be close to a "tipping point" that could see it enter a slowdown so severe that it transforms the current period of rising inflation into a period of falling prices, the Bank for International Settlements said Monday.
...

Dommage qu'il ne soit plus avec nous.

aquafiestas

Re: Cinquième cycle de Kondratieff

#78 Message par aquafiestas » 06 juil. 2008, 09:55

Ca continue ici, pour pas polluer la file :
viewtopic.php?f=3&t=41940
Merci. :wink:

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