Ah, on s'est pas compris là: l'A/R que j'ai pas reçu, c'était (du moins je suppose car j'ai pas vu son contenu) une mise en demeure de payer mon loyer du mois. L'A/R a été envoyé le 12 (enfin, peu importe la date) alors que mon chèque a été envoyé le 9-10.
Petite chronologie pour que ce soit plus clair:
Le 29/12, j'ai reçu mon avis d'échéance du mois de janvier (avec le loyer normal, sans frais additionnels)
Le 9/01, j'envoie le chèque
Le 12/01, l'agence n'a toujours pas reçu le chèque et envoie l'A/R avec (imaginons) la mise en demeure pour le loyer du mois de janvier
Le 13/01, l'agence reçoit finalement le chèque et l'encaisse (peut-être pas aussitôt, mais la somme a été débitée le 23 de mon compte)
Le 15/01, le facteur passe (?), je ne suis pas là (boulot), et ne laisse pas d'avis de passage
Le 23/01, le chèque est débité et tout semble OK pour moi, sauf que...
Le 30/01, je reçois l'avis d'échéance de février et sur l'avis d'échéance, des frais de relance
Comme tu as entre temps payé le loyer, comme l'atteste formellement le débit de ton compte, ils ne peuvent plus faire jouer la clause pénale. C'est ce qu'ils auraient dû faire dès le départ (mais ce sont des gros neuneus, qui se sont juste énervés parce que tu contestais - à raison - leurs frais... !! )
En fait, c'est ça ma question: peuvent-ils faire jouer la clause pénale à postériori. Si c'est le cas, j'ai intérêt à m'écraser et payer les frais de relance, même illégaux de 18¤, plutôt que 50¤. Si c'est pas le cas, je peux contester les frais de relance, obtenir leur remboursement sans craindre que la clause pénale soit utilisée.
donc, tu peux encore les faire ch.... mais t'auras plus droit à l'erreur ensuite !
J'ai mieux: puisque j'ai 5 ans pour contester après le départ du logement (que je quitte mi-mai), j'attend qu'ils me restituent la caution (raison de plus pour que ça se passe au mieux d'ici là), et après, je demande le remboursement des frais de relance