Que que quoi?
Mais non!
Je ferai une mise à jour sur l'autre topic mais en gros l'architecte de la Mairie de Nantes (pas l'ABF) n'est pas d'accord avec notre projet
Donc on négocie dur
Que que quoi?
C'est possible que les proprios aient demandé à Castorus de "casser" l'historique ou pas ? Ou bien ça arrive souvent qu'il ne fasse pas le lien ?
Je me suis posé la question plusieurs fois : les pertes d'historique sont parfois troublantes.
Un rien ............. demande à Osef
Pour Paris IM c'est assez rare, impossible, surtout à ce prix, à la louche 4 niveaux c'est un très bon coup même en rasant tout on récupère la mise.
=> que comprennent ces montants toujours dans les clous pour la surface ?A propos de la copropriété :
Pas de procédure en cours
Nombre de lots : 20
Charges prévisionnelles annuelles : 6000 €
Oui c'est pas vraiment l'inflation le soucis. C'est plutôt que je ne voulais pas gâcher l'opportunité de valoriser le cash sorti de la Bourse.Jeffrey a écrit : ↑05 juil. 2023, 11:27c'est une remarque très pertinente, qui dépasse le cadre de l'achat projeté ici. On a parlé récemment du problème de la brusque inflation. En fait, c'est à relativiser. L'inflation du prix de l'alimentaire, c'est un problème majeur, pour ceux chez qui c'est une dépense conséquente par rapport au capital ou aux revenus. Pour un achat de type transfert patrimoine vers usage d'un bien à long terme, comme une résidence principale, il faut faire une moyenne temporisée sur une très longue période.p0ulp3 a écrit : ↑05 juil. 2023, 08:38Pourquoi le protéger de l'inflation ? tu comptes acheter des pates avec 1 ou 2 millions d'€ ?
Tu dois le protéger de l'inflation de l'objet pour lequel cet argent est destiné, ici l'immo.
Si ton argent monte de 1% et l'immo baisse de 3%, tu auras gagné 4%.
Si par contre avec ton million, tu veux acheter des pates (qui montent de 3%/an par ex), alors il te faudra trouver un placement supérieur ou égal à 3%.
Ne rien faire, à part un fonds € c'est ce qui est le plus simple et te permet de sortir rapidement l'argent sans prise de tete.
Si par contre tu changes d'avis ensuite et ne veux plus du tout investir dans l'immo, alors la question se reposera (et tu auras peut etre fait un moment placement).
C'est une négociation entre toi et le vendeur. Donc tout dépend.WolfgangK a écrit : ↑25 avr. 2024, 13:17J'ai reçu le brouillon de promesse de vente.
Un point qui n'est pas encore réglé est le délai maximal pour l'exécution de la vente.
Si on signe la promesse de vente début mai. Quelle date butoir semble raisonnable ?
Il me semble qu'il faut au moins 3 mois pour couvrir les possibilités de préemption, la mairie (?) ayant 2 mois pour préempter + 1 mois s'ils veulent visiter le bien, donc il faudrait pouvoir se donner le temps d'attendre que ce délai soit passé pour faire la vente définitive. Ça nous ferait signer en été mais je n'avais pas du tout prévu d'être à Paris pour les JO.
Est-ce que ça serait abuser si je demandais une validité jusqu'à début septembre ?
Non. Les taux sont trop élevés et la Bourse trop haute pour que ça vaille le coup à mon avis.
Ça n'a pas été préempté il y a 2 ans et c'est seulement 13% moins cher, donc c'est pas vraiment une affaire à ce prix, même si je suis sûr qu'Hidalgo aimerait ajouter 600 m² de logement social dans ce quartier, pour faire fuir les gens qui votent mal.
Dans ce cas ça parait bien long de demander 4 mois de délais entre le compromis et la signature, mais tu peux expliquer au vendeur que t'es pas là au mois d'aout, vous trouvez une solution.
Un notaire peut parfaitement faire l'acte de vente en moins de 3 mois, il reprend juste ce qui n'est pas un "brouillon" mais une vomissure de son logiciel complétée par les infos spécifiques à la vente, sans le plus souvent en retirer les passages n'ayant rien à faire là dans le cas précis...WolfgangK a écrit : ↑25 avr. 2024, 13:17J'ai reçu le brouillon de promesse de vente.
Un point qui n'est pas encore réglé est le délai maximal pour l'exécution de la vente.
Si on signe la promesse de vente début mai. Quelle date butoir semble raisonnable ?
Il me semble qu'il faut au moins 3 mois pour couvrir les possibilités de préemption, la mairie (?) ayant 2 mois pour préempter + 1 mois s'ils veulent visiter le bien, donc il faudrait pouvoir se donner le temps d'attendre que ce délai soit passé pour faire la vente définitive. Ça nous ferait signer en été mais je n'avais pas du tout prévu d'être à Paris pour les JO.
Est-ce que ça serait abuser si je demandais une validité jusqu'à début septembre ?
Merci pour le conseil que j'aimerais bien suivre, mais le problème c'est que je manque d'imagination sur le genre de vice caché qui vaudrait le coup de renoncer à l'achat si le vendeur refusait de conserver la garantie. À part découvrir un sous-sol caché avec une fabrique clandestine d'amiante radioactive, je ne vois pas trop ce qui pourrait encore alourdir trop considérablement le budget travaux vu que j'achète surtout la parcelle et quelques murs porteurs centenaires. Je n'ai pas prévu de refaire la toiture qui n'a que 40 ans, mais si c'était nécessaire, ça ne serait pas déterminant. Et c'est pas vraiment comme si c'était ce bien là ou un autre équivalent vu que des biens équivalents, il n'y en a tout simplement pas.Hourvari a écrit : ↑27 avr. 2024, 13:53
Un notaire peut parfaitement faire l'acte de vente en moins de 3 mois, il reprend juste ce qui n'est pas un "brouillon" mais une vomissure de son logiciel complétée par les infos spécifiques à la vente, sans le plus souvent en retirer les passages n'ayant rien à faire là dans le cas précis...
Le délai est affaire entre vendeur & acquéreur, donc.
Mais là si on compte 3 mois ça amène de toutes façons en plein été.
On peut aussi rédiger pour signature au plus tard X jours après l'épuisement du délai de préemption, soit 2 ou 3 mois selon le cas.
Je rappelle qu'il faut absolument se conserver la garantie des vices cachés!
Il y a par exemple l'évacuation des EU(égouts), tout ce qui est canalisations qui pourraient passer sur les parties privatives mitoyennes sans autorisation contractuelle de servitude avec un acte notarié, en la matière la prescription trentenaire n'existe pas.
EDIT: Le point qui me fait tiquer et que j'ai déjà signalé est qu'il ne me semble pas qu'il y ait explicitement la garantie que le bien est vide de tout occupation au moment de la vente.Le BENEFICIAIRE profitera ou supportera les servitudes ou les droits de
jouissance spéciale, s’il en existe.
Le PROMETTANT déclare :
ne pas avoir créé ou laissé créer de servitude ou de droit de jouissance
spéciale qui ne seraient pas relatés aux présentes,
qu'à sa connaissance, il n'existe pas d'autres servitudes ou droits de
jouissance spéciale que celles ou ceux résultant, le cas échéant, de l’acte,
de la situation naturelle et environnementale des lieux et de l'urbanisme.
mais je ne comprends pas pourquoi c'est 'les parties' et non 'le promettant' .les parties déclarant que le BIEN est entièrement libre de location ou occupation.
okWolfgangK a écrit : ↑28 avr. 2024, 09:09Je vois effectivementmais je ne comprends pas pourquoi c'est 'les parties' et non 'le promettant' .les parties déclarant que le BIEN est entièrement libre de location ou occupation.
Le vendeur a reçu la propriété en 2022 à l'occasion d'une succession.
Et oui, la parcelle n'est pas enclavée du tout.
les parties déclarant que le BIEN est entièrement libre de location ou de toute occupation.
Oui, je comprends bien, mais je pense demander à virer la clauseHourvari a écrit : ↑28 avr. 2024, 16:171) les vices cachés sont par définition différent des vices "pas cachés" que tout acquéreur diligent peut voir avant d'acheter (et s'il n'a pas fait attention, tant pis pour lui, c'est du "bon dol" que la justice tolère)
Ce sont ceux qu'on découvre APRES l'achat. Et qui étaient difficiles à voir, ou même cachés par mauvais dol (genre mérule derrière de la frisette, ou DPE 'acheté' après en avoir fait faire de plus défavorables.
Mais ne pas en faire un point bloquant lorsqu'ils refuseront, pour la simple raison que je préfère acheter ce bien sans la possibilité de recours que d'y renoncer : c'est le problème des négociations, on ne peut pas exiger plus que ce que l'on exige réellement.I n'aura aucun recours contre le PROMETTANT pour quelque cause que ce soit notamment en raison :
des vices apparents,
des vices cachés.
Merci de me confirmer que je ne suis pas parano en tiquant sur 'les parties'.Hourvari a écrit : ↑28 avr. 2024, 16:174) là c'est vicieux côté notaire (ou tiré du logiciel) car "les parties déclarant que le BIEN est entièrement libre de location ou de toute occupation" veut dire vendeur et acquéreur, donc à remplacer par "le vendeur déclare que le BIEN est entièrement libre de location ou de toute occupation, si une occupation se trouvait être constatée le jour de la réitération de l'acte, il appartiendra au vendeur, qui s'y oblige, de faire cesser etc."
L'acquéreur n'a rien à déclarer du tout à ce sujet et ne peut savoir, lui, s'il ne traîne pas un bail quelque part!
Oui, ce sont les raisons de ma demande : je n'ai pas envie de me taper un aller-retour SFO - CDG en plein JO juste pour signer en juillet ou en août.Vincent92 a écrit : ↑28 avr. 2024, 10:13Décidément, rien n’est pas simple avec cette vente.
Demander 1 ou 2 mois supplémentaires de délais ne devrait pas être un gros problème, mise à part si le vendeur est particulièrement pressé.
C’est même facile à argumenter (délais lié à la préemption, juillet/août au milieu, etc.).
???
Merci, mais tout ce qui pourrait disparaître, ça ferait ça de moins pour la décharge, donc si qq'un veut l'enlever gratuitement, ça m'arrangerait.Fluctuat a écrit : ↑28 avr. 2024, 13:51Le conseil donné habituellement est de visiter le bien le matin même de la signature, pour s'assurer qu'il n'y a pas de surprise de dernière minute. Pour un appartement standard, ce n'est pas forcément nécessaire, pour les maisons c'est davantage recommandé (pour s'assurer que la chaudière ne s'est pas mystérieusement fait la malle ou autre).