Date : 29/04/2013
Editeur : Capital
Sans surprise :
Maurepas : -5%
Le Blosne : - 4%
Centre-ville : + 4%
Saint-hélier : + 2%
Colombier : + 2%
Maurepas : -5%
Le Blosne : - 4%
Centre-ville : + 4%
Saint-hélier : + 2%
Colombier : + 2%
lis l'articletoto78 a écrit :Ils sont mignons. Deux quartiers ne sont pas les quartiers.
Il y a des gens sur des fora qui suivent les indices des notaires et croient que l'immobilier augmente de 10%/an.Un propriétaire a ainsi dû se résoudre à céder pour 105 000 euros son trois-pièces de 67 mètres carrés. Situé rue du Cardinal-Charost, il avait été acheté 125 000 euros en 2005.
Je le lus !FunamBulle a écrit :lis l'articletoto78 a écrit :Ils sont mignons. Deux quartiers ne sont pas les quartiers.
Avec les dernière lois sur les plus-values, sur l'encadrement des loyers, on se demande bien ce qui pousserait les investisseurs à acheter subitement à Rennes.«Les investisseurs sont de retour, en quête de produits de qualité», observe Gaëtan Renaudin, de l’agence LFI Centre
Avec une station déjà présente Esplanade Charles de Gaule, il faut s'attendre à une révolution dans le quartier du Colombier!Certes, les grands immeubles des années 1970 de ce quartier n’ont pas grand-chose pour eux. Mais les nombreux commerces adjacents et l’annonce d’une ligne de métro pour 2018 font que les prix, stables en 2012, devraient se raffermir dans les prochains mois.
Prophétie auto réalisatrice. Les vieilles ficelles. Eculé.xavophonic a écrit : Concernant le Colombier.Avec une station déjà présente Esplanade Charles de Gaule, il faut s'attendre à une révolution dans le quartier du Colombier!Certes, les grands immeubles des années 1970 de ce quartier n’ont pas grand-chose pour eux. Mais les nombreux commerces adjacents et l’annonce d’une ligne de métro pour 2018 font que les prix, stables en 2012, devraient se raffermir dans les prochains mois.
A Rennes, le centre-ville garde la cote. Le quartier, traditionnellement recherché, attire de plus en plus d’acquéreurs potentiels, du fait notamment des projets urbains en cours. Ainsi, la rénovation de la gare ou les travaux pour la deuxième ligne de métro, dynamisent une zone déjà traditionnellement prisée.
En revanche, aucun risque de saturation dans la partie sud de la ville, secteur plus populaire, où le marché immobilier est morose depuis déjà quelques années. « Les acheteurs sont quasiment absents, même si les prix sont très bas »
l’attentisme gagne du terrain sur l’ensemble du marché.
« en moyenne, les délais de vente tournent autour de six mois ». Certains biens peuvent cependant rester beaucoup plus longtemps en vitrine.
Si ça ne suffit pas, proposer plus bas que "très bas", pour beaucoup de vendeurs il restera encore de la PV...« Les acheteurs sont quasiment absents, même si les prix sont très bas »