Je m'interroge sur la réalité de ce qui est annoncé pour la France... A mon avis, le marché parisien est l'arbre encore vert qui cache la forêt mourante...
Le lien (qui ne marche pas toujours, mais on peut encore accéder au cache) : http://www.angers.maville.com/actu/actu ... mpaign=RSS
C'est un article tiré de Ouest-France.
Les maisons anciennes situées dans le centre-ville d'Angers accusent ainsi un net recul de -14,6 %. Des biens sont devenus très difficiles à vendre et certains propriétaires s'arrachent les cheveux.
A noter, selon le journaliste, qu'une baisse de 5 à 6 % marque une relative stabilité. Sur un an, c'est quand même conséquent, même si ce n'est pas un krach.Appartements anciens : une relative stabilité
Une légère baisse dans les quartiers d'Angers, avec les secteurs Saint-Léonard - Eblé et Sainte-Thérèse - hôpital où le prix des appartements anciens reculent respectivement de 6,1 % et 5 %.
Appartements neufs : les prix baissent à Angers
Les notaires relèvent à Angers une baisse de 3,6 %.
Pour conclure, je ne comprends pas d'où sortent les chiffres qui nous expliquent que les prix de l'immobilier n'ont jamais été aussi hauts.Et dans la périphérie ?
On notera dans la première couronne angevine, la baisse significative du prix de vente des maisons anciennes à Saint-Barthélemy-d'Anjou, qui s'écroule de 16,6 % !