Canada / Québec
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Canada / Québec
Le débat est ouvert. Toutes les informations sont les bienvenues.
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Au Canada, ils ont compris le truc, ils achètent mais que des maisons nickels !
http://www.finance-investissement.com/c ... on=2&cat=2
Il y a dix ans, selon CENTURY 21 Canada, les acheteurs d'une première propriété choisissaient des maisons plus anciennes qu'ils rénovaient. Mais les prix, poursuit l'agence immobilière, sont devenus tellement plus élevés que les accédants à la propriété ne peuvent plus se permettre de payer les réparations et les rénovations et décident donc d'investir davantage et d'acheter une copropriété ou une maison en rangée neuve.
http://www.finance-investissement.com/c ... on=2&cat=2
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QC : L'immobilier montréalais se calme
A Montréal aussi ya comme un ralentissement de la hausse dans la torpeur ambiante...
lien :http://radio-canada.ca/nouvelles/Econom ... lier.shtml
Titre : L'immobilier montréalais se calme
[/url]
lien :http://radio-canada.ca/nouvelles/Econom ... lier.shtml
Titre : L'immobilier montréalais se calme
Le reste c'est comme chez nous autres : la langue de bois alambiquéeSur l'île de Montréal, le prix de vente des maisons a reculé de 4 %

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Matinternet le 18/03/2004
http://www.matin.qc.ca/affaires.php?art ... 0317170349
Titre :
http://www.matin.qc.ca/affaires.php?art ... 0317170349
Titre :
La valeur nette nationale a augmenté de 1,4 pour cent au 4e trimestre
La valeur nette nationale représente la somme des actifs des particuliers, des sociétés et des administrations publiques (ce que Statistique Canada appelle le "patrimoine national"), moins la dette extérieure nette (la dette des Canadiens envers les étrangers, moins la dette de ces derniers à l'égard des Canadiens).
Le marché de la revente des biens immobiliers résidentiels a représenté à lui seul environ la moitié de la hausse du patrimoine national.
"La valeur des biens immobiliers résidentiels a progressé dans une moindre mesure au quatrième trimestre comparativement au troisième trimestre, ce qui rend compte du ralentissement des investissements dans la nouvelle construction résidentielle et de la faiblesse du marché de la revente", ajoute l'agence.
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Je reprend le flambeau.
Le système SIA : http://www.sia.ca/map.aspx
La chambre d'immeuble de Montréal: http://www.cigm.qc.ca/
Évidement, au Canada il y a une bulle immobilière, cependant elle est moins exagérée qu'au USA ou en Angleterre.
La bulle est surtout présente dans les grands centres urbains.
Ce qui me fait marrer le plus, c'est la folie du condo. Ils en contruisent à tour de bras comme s'il y avait un boom démographique, alors que les Québécois ne font pas d'enfants.
On commence à voir des pancartes avec "Nouveau prix" ou "Prix réduit" .
Certain AI, annonce une propriété avec le terme "vendeur motivé".
Le système SIA : http://www.sia.ca/map.aspx
La chambre d'immeuble de Montréal: http://www.cigm.qc.ca/
Évidement, au Canada il y a une bulle immobilière, cependant elle est moins exagérée qu'au USA ou en Angleterre.
La bulle est surtout présente dans les grands centres urbains.
Ce qui me fait marrer le plus, c'est la folie du condo. Ils en contruisent à tour de bras comme s'il y avait un boom démographique, alors que les Québécois ne font pas d'enfants.
On commence à voir des pancartes avec "Nouveau prix" ou "Prix réduit" .
Certain AI, annonce une propriété avec le terme "vendeur motivé".
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Je comprends pas, en 99 ils avaient déjà sur-construit à Montreal, anticipant beaucoup trop les volumes du programme d'imigration choisie du Québec, laissant des prix qui étaient extrèmement bas pour la location (j'avoue ne pas avoir vu l'achat à l'époque, j'étais étudiant).Incubus a écrit :
Ce qui me fait marrer le plus, c'est la folie du condo. Ils en contruisent à tour de bras comme s'il y avait un boom démographique, alors que les Québécois ne font pas d'enfants.
Et donc ils recommencent?
Et ben... Vu que c'est une constante, ils n'aiment pas l'immobilier inutilement cher, au moins c'est sain comme démarche

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Je me demande se qu'ils fument .
http://www.ctv.ca/servlet/ArticleNews/s ... TopStories
Ils veulent convaincre les derniers moutons à sauter par dessus le pont du navire.

http://www.ctv.ca/servlet/ArticleNews/s ... TopStories
Ils veulent convaincre les derniers moutons à sauter par dessus le pont du navire.
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Il s'agit plutôt du mont Orford.Mouna a écrit :Pourtant j'ai l'impression qu'au Québec, il y a eu dernièrement de sérieuses manifestations contre des projets immobilier vers le Mont Tremblant, je crois, où il était question de déclasser une zone protégée pour des condos.
Je ne sais pas comment cela s'est terminé ?
http://www.ledevoir.com/2006/06/10/111358.html
Le projet va se faire et des dindons vont acheter des condos au prix fort.
Le plus cocasse, c'est qu'il y a de moins en moins de neige au Québec et plus de pluie l'hiver. C'est mal barré pour faire du ski.
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Dans le nord du Québec il y a de la neige, mais dans la région de Montréal il y évidement de la neige qui tombent mais également de la pluie durant l'hiver. Résultat, à la fin de l'hiver, il y a environ 30 cm au sol au lieu de 1,2 m à Montréal.Mouna a écrit :Tu m'étonnes qu'il n'y ait plus de neige ! Ca chauffe dans les débats
Les stations de ski ont toutes des canons à neige pour fabriquer de la neige durant les jours ou la température le permet, autrement c'est impossible de faire du ski sur de la neige naturelle.
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Pendant ce temps:Incubus a écrit :Je me demande se qu'ils fument .![]()
http://www.ctv.ca/servlet/ArticleNews/s ... TopStories
Ils veulent convaincre les derniers moutons à sauter par dessus le pont du navire.
Credit crash looms
Rate hikes likely to lead to default on loans.

http://torontosun.com/Money/2006/07/05/1668861-sun.html
Il y en a qui sont lucides.
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L'immobilier montréalais approche l'équilibre
En fait, les journalistes sont toujours en retards, le sommet doit être déjà atteint.
Michel Munger
05 juillet 2006 - 10h57
Le marché de l'immobilier montréalais a connu un mois de juin record, mais il s'approche de plus en plus de l'équilibre alors que les maisons à vendre sont de plus en plus nombreuses.
Selon les données que la Chambre immobilière du Grand Montréal publie mercredi, les 4104 transactions enregistrées en juin représentent une croissance de 3,6%. Il s'agit du meilleur mois de l'histoire de la CIGM.
Le volume de ventes a grimpé de 12% à 914,7 M$ comparativement à juin 2005.
«Après un mois de mai très vigoureux, la tendance se maintient en juin avec un autre mois record, indique Michel Beauséjour, chef de la direction de la Chambre immobilière du Grand Montréal. On constate aussi une bonne augmentation des inscriptions en vigueur, ce qui nous amène vers un marché plus équilibré, une bonne nouvelle tant pour les vendeurs que pour les acheteurs.»
En effet, les inscriptions sur le système MLS ont bondi de 15% au 30 juin comparativement à la même date un an plus tôt, pour un total de 32 880 inscriptions.
Pour les six premiers mois de 2006, les transactions ont cru de 3% à 28 436 pour un volume de ventes en hausse de 9% à 6,2 G$.
Une maison unifamiliale : 330 000 $
Acheter une maison continue à coûter de plus en plus cher.
Sur l'île de Montréal, le prix moyen d'une maison unifamiliale a monté de 6% à 330 000 $ lors des six premiers mois de l'année. Dans l'ensemble du territoire de la CIGM, qui inclut Laval, la Montérégie, les Laurentides et Lanaudière, le prix moyen a monté de 7% à 214 000 $.
L'augmentation la plus forte de la valeur des maisons a été notée à Laval, où une progression de 10% a gonflé le prix moyen à 217 000 $.
Forte hausse attendue au Canada
Pendant ce temps, l'agence immobilière Royal LePage prévoit que le marché de l'ensemble du Canada sera effervescent.
Ses prévisions sont celles d'une hausse de 9,2% du prix moyen des résidences cette année pour atteindre 272 000 $, avec une augmentation de 0,4% du volume de ventes.
Dans un rapport qu'elle publie mercredi, l'agence constate une demande hors de l'ordinaire et un parc immobilier limité.
C'est dans l'Ouest du pays que le marché est le plus serré, surtout à Calgary où les prix des maisons ont monté de plus de 50% au deuxième trimestre par rapport à l'an dernier. Le prix moyen atteignait 371 000 $.
Les prix des maisons unifamiliales
Secteurs Prix moyen Variation
Montréal 330 000 $ 6%
Laval 217 000 $ 10%
Montérégie 198 000 $ 7%
Laurentides 191 000 $ 7%
Lanaudière 156 000 $ 6%
Michel Munger
05 juillet 2006 - 10h57
Le marché de l'immobilier montréalais a connu un mois de juin record, mais il s'approche de plus en plus de l'équilibre alors que les maisons à vendre sont de plus en plus nombreuses.
Selon les données que la Chambre immobilière du Grand Montréal publie mercredi, les 4104 transactions enregistrées en juin représentent une croissance de 3,6%. Il s'agit du meilleur mois de l'histoire de la CIGM.
Le volume de ventes a grimpé de 12% à 914,7 M$ comparativement à juin 2005.
«Après un mois de mai très vigoureux, la tendance se maintient en juin avec un autre mois record, indique Michel Beauséjour, chef de la direction de la Chambre immobilière du Grand Montréal. On constate aussi une bonne augmentation des inscriptions en vigueur, ce qui nous amène vers un marché plus équilibré, une bonne nouvelle tant pour les vendeurs que pour les acheteurs.»
En effet, les inscriptions sur le système MLS ont bondi de 15% au 30 juin comparativement à la même date un an plus tôt, pour un total de 32 880 inscriptions.
Pour les six premiers mois de 2006, les transactions ont cru de 3% à 28 436 pour un volume de ventes en hausse de 9% à 6,2 G$.
Une maison unifamiliale : 330 000 $
Acheter une maison continue à coûter de plus en plus cher.
Sur l'île de Montréal, le prix moyen d'une maison unifamiliale a monté de 6% à 330 000 $ lors des six premiers mois de l'année. Dans l'ensemble du territoire de la CIGM, qui inclut Laval, la Montérégie, les Laurentides et Lanaudière, le prix moyen a monté de 7% à 214 000 $.
L'augmentation la plus forte de la valeur des maisons a été notée à Laval, où une progression de 10% a gonflé le prix moyen à 217 000 $.
Forte hausse attendue au Canada
Pendant ce temps, l'agence immobilière Royal LePage prévoit que le marché de l'ensemble du Canada sera effervescent.
Ses prévisions sont celles d'une hausse de 9,2% du prix moyen des résidences cette année pour atteindre 272 000 $, avec une augmentation de 0,4% du volume de ventes.
Dans un rapport qu'elle publie mercredi, l'agence constate une demande hors de l'ordinaire et un parc immobilier limité.
C'est dans l'Ouest du pays que le marché est le plus serré, surtout à Calgary où les prix des maisons ont monté de plus de 50% au deuxième trimestre par rapport à l'an dernier. Le prix moyen atteignait 371 000 $.
Les prix des maisons unifamiliales
Secteurs Prix moyen Variation
Montréal 330 000 $ 6%
Laval 217 000 $ 10%
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"Those who cannot remember the past are condemned to repeat it."
"If the wind blows hard enough, even turkeys fly."
Warren Buffett: "Ce que le sage fait au début, l'idiot le fait à la fin"
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La construction résidentielle en baisse au Québec
Incroyable, comme je disais dans le précédent post.
11 juillet 2006
Presse Canadienne
La construction résidentielle a connu un autre recul au Québec, le mois dernier, le nombre de mises en chantier ayant diminué de 11% par rapport à juin 2005, selon les plus récentes données de la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL).
Au total, le mois dernier, 3 138 logements ont été mis en chantier dans les centres urbains de 10 000 habitants et plus.
Selon la SCHL, la baisse a été observée pour les deux grands types d'habitations (maisons individuelles et logements collectifs) ainsi que dans la majorité des grands centres urbains de la province.
Dans les agglomérations urbaines de 50 000 à 100 000 habitants, les mises en chantier ont affiché des baisses encore plus marquées, a souligné l'agence.
http://www.canada.com/topics/news/en_fr ... 7b&k=31960

11 juillet 2006
Presse Canadienne
La construction résidentielle a connu un autre recul au Québec, le mois dernier, le nombre de mises en chantier ayant diminué de 11% par rapport à juin 2005, selon les plus récentes données de la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL).
Au total, le mois dernier, 3 138 logements ont été mis en chantier dans les centres urbains de 10 000 habitants et plus.
Selon la SCHL, la baisse a été observée pour les deux grands types d'habitations (maisons individuelles et logements collectifs) ainsi que dans la majorité des grands centres urbains de la province.
Dans les agglomérations urbaines de 50 000 à 100 000 habitants, les mises en chantier ont affiché des baisses encore plus marquées, a souligné l'agence.
http://www.canada.com/topics/news/en_fr ... 7b&k=31960
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LE HAUT DE GAMME À QUÉBEC
LE HAUT DE GAMME À QUÉBEC
24 maisons d’un million à vendre
Louise Lemieux
Le Soleil
Des maisons en vente à plus d’un million de dollars sont de plus en plus communes dans la région. Et ce sont surtout les Québécois qui les achètent.
« Une maison à un million ? C’est vraiment rien pour écrire à sa mère. Construire aujourd’hui, ça coûte tellement cher », lance Lorraine Demers, agente d’immeubles.
« Il y a beaucoup de maisons à ce prix-là ! », renchérit Yvan Drouin, lui aussi dans le métier depuis une quinzaine d’années.
« Des gens qui ont de l’argent, il y en a à Québec et ça ne paraît pas. Il y a un marché pour le haut de gamme », constate Lorraine Demers.
En ce moment, 24 maisons de plus d’un million de dollars sont sur le marché immobilier, selon la Chambre immobilière de Québec.
Par contre, les ventes ne sont pas nombreuses, les délais de vente pour ce type de maison étant généralement plus longs. En 2005, une seule maison millionnaire a été vendue dans la région, aucune en 2004, selon les données de la Chambre immobilière.
La propriété la plus chère sur le marché en ce moment se trouve à Lac-Beauport. Prix demandé : 4,3 millions de dollars. La propriété est à vendre depuis plus d’un an.
En ville, la maison la plus chère est celle du 1010, Grande Allée Ouest. Prix demandé : 3,9 millions $. C’est la première fois qu’une maison de ce prix est à vendre à Québec.
Cette maison a été construite il y a à peine trois ans, là où était la résidence du lieutenant-gouverneur du Québec. Elle est sur le marché immobilier depuis à peine trois semaines que déjà des acheteurs potentiels se manifestent.
« Des gens intéressés m’ont appelée, des Québécois qui ont les moyens de payer. Mais il n’y a pas eu de visites encore. Les gens sont à l’extérieur en ce moment. Ils vont probablement fixer un rendez-vous à leur retour de vacances. La maison suscite un intérêt, en dépit du prix », souligne Lorraine Demers, qui a trois « prospects » pour cette propriété.
Justement, qui sont les acheteurs de ces maisons millionnaires ?
Des Québécois surtout, répondent Lorraine Demers et Yvan Drouin.
« Les gens de Québec ont de l’argent ! » répète Mme Demers.
Yvan Drouin constate la même chose. La clientèle pour des maisons de plus d’un million de dollars sont des hommes d’affaires, des gens impliqués dans l’informatique, des industriels montréalais qui veulent investir à Québec, des médecins.
« Quand un couple de médecins revient à Québec après 10 ans en région, il a de l’argent plein les poches. Ces médecins n’ont pas dépensé et en plus ils ont reçu des primes », constate M. Drouin.
La clientèle pour les grosses maisons comprend aussi des jeunes professionnels. « Les jeunes investissent dans l’achat d’une maison parce qu’ils y passent plus de temps. Certains achètent grâce à un héritage familial », explique M. Drouin.
L’agent immobilier est même surpris du peu de reprises de finance de ces grosses maisons. « Les acheteurs n’hypothèquent pas leur achat à 95 % ».
Les Européens, des Français et des Belges surtout, aiment acheter des propriétés chères au Québec. « À cause de la valeur de l’euro et la cherté de l’immobilier en Europe », explique Gina Gaudreault, directrice générale de la Chambre immobilière de Québec. {on recrute des moutons
}
Alors que les Européens achètent surtout à Lac-Beauport, à Stoneham et sur le bord du fleuve, les Américains, eux, préfèrent le pied-à-terre dans le Vieux-Québec.
[img]http://www.cyberpresse.ca/apps/pbcs.dll ... 2FCPSOLEIL[/img]
24 maisons d’un million à vendre
Louise Lemieux
Le Soleil
Des maisons en vente à plus d’un million de dollars sont de plus en plus communes dans la région. Et ce sont surtout les Québécois qui les achètent.
« Une maison à un million ? C’est vraiment rien pour écrire à sa mère. Construire aujourd’hui, ça coûte tellement cher », lance Lorraine Demers, agente d’immeubles.
« Il y a beaucoup de maisons à ce prix-là ! », renchérit Yvan Drouin, lui aussi dans le métier depuis une quinzaine d’années.
« Des gens qui ont de l’argent, il y en a à Québec et ça ne paraît pas. Il y a un marché pour le haut de gamme », constate Lorraine Demers.
En ce moment, 24 maisons de plus d’un million de dollars sont sur le marché immobilier, selon la Chambre immobilière de Québec.
Par contre, les ventes ne sont pas nombreuses, les délais de vente pour ce type de maison étant généralement plus longs. En 2005, une seule maison millionnaire a été vendue dans la région, aucune en 2004, selon les données de la Chambre immobilière.
La propriété la plus chère sur le marché en ce moment se trouve à Lac-Beauport. Prix demandé : 4,3 millions de dollars. La propriété est à vendre depuis plus d’un an.
En ville, la maison la plus chère est celle du 1010, Grande Allée Ouest. Prix demandé : 3,9 millions $. C’est la première fois qu’une maison de ce prix est à vendre à Québec.
Cette maison a été construite il y a à peine trois ans, là où était la résidence du lieutenant-gouverneur du Québec. Elle est sur le marché immobilier depuis à peine trois semaines que déjà des acheteurs potentiels se manifestent.
« Des gens intéressés m’ont appelée, des Québécois qui ont les moyens de payer. Mais il n’y a pas eu de visites encore. Les gens sont à l’extérieur en ce moment. Ils vont probablement fixer un rendez-vous à leur retour de vacances. La maison suscite un intérêt, en dépit du prix », souligne Lorraine Demers, qui a trois « prospects » pour cette propriété.
Justement, qui sont les acheteurs de ces maisons millionnaires ?
Des Québécois surtout, répondent Lorraine Demers et Yvan Drouin.
« Les gens de Québec ont de l’argent ! » répète Mme Demers.
Yvan Drouin constate la même chose. La clientèle pour des maisons de plus d’un million de dollars sont des hommes d’affaires, des gens impliqués dans l’informatique, des industriels montréalais qui veulent investir à Québec, des médecins.
« Quand un couple de médecins revient à Québec après 10 ans en région, il a de l’argent plein les poches. Ces médecins n’ont pas dépensé et en plus ils ont reçu des primes », constate M. Drouin.
La clientèle pour les grosses maisons comprend aussi des jeunes professionnels. « Les jeunes investissent dans l’achat d’une maison parce qu’ils y passent plus de temps. Certains achètent grâce à un héritage familial », explique M. Drouin.
L’agent immobilier est même surpris du peu de reprises de finance de ces grosses maisons. « Les acheteurs n’hypothèquent pas leur achat à 95 % ».
Les Européens, des Français et des Belges surtout, aiment acheter des propriétés chères au Québec. « À cause de la valeur de l’euro et la cherté de l’immobilier en Europe », explique Gina Gaudreault, directrice générale de la Chambre immobilière de Québec. {on recrute des moutons

Alors que les Européens achètent surtout à Lac-Beauport, à Stoneham et sur le bord du fleuve, les Américains, eux, préfèrent le pied-à-terre dans le Vieux-Québec.
[img]http://www.cyberpresse.ca/apps/pbcs.dll ... 2FCPSOLEIL[/img]
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24 maisons d’un million à vendre
Louise Lemieux
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Des maisons en vente à plus d’un million de dollars sont de plus en plus communes dans la région. Et ce sont surtout les Québécois qui les achètent.
« Une maison à un million ? C’est vraiment rien pour écrire à sa mère. Construire aujourd’hui, ça coûte tellement cher », lance Lorraine Demers, agente d’immeubles.
« Il y a beaucoup de maisons à ce prix-là ! », renchérit Yvan Drouin, lui aussi dans le métier depuis une quinzaine d’années.
« Des gens qui ont de l’argent, il y en a à Québec et ça ne paraît pas. Il y a un marché pour le haut de gamme », constate Lorraine Demers.
En ce moment, 24 maisons de plus d’un million de dollars sont sur le marché immobilier, selon la Chambre immobilière de Québec.
Par contre, les ventes ne sont pas nombreuses, les délais de vente pour ce type de maison étant généralement plus longs. En 2005, une seule maison millionnaire a été vendue dans la région, aucune en 2004, selon les données de la Chambre immobilière.
La propriété la plus chère sur le marché en ce moment se trouve à Lac-Beauport. Prix demandé : 4,3 millions de dollars. La propriété est à vendre depuis plus d’un an.
En ville, la maison la plus chère est celle du 1010, Grande Allée Ouest. Prix demandé : 3,9 millions $. C’est la première fois qu’une maison de ce prix est à vendre à Québec.
Cette maison a été construite il y a à peine trois ans, là où était la résidence du lieutenant-gouverneur du Québec. Elle est sur le marché immobilier depuis à peine trois semaines que déjà des acheteurs potentiels se manifestent.
« Des gens intéressés m’ont appelée, des Québécois qui ont les moyens de payer. Mais il n’y a pas eu de visites encore. Les gens sont à l’extérieur en ce moment. Ils vont probablement fixer un rendez-vous à leur retour de vacances. La maison suscite un intérêt, en dépit du prix », souligne Lorraine Demers, qui a trois « prospects » pour cette propriété.
Justement, qui sont les acheteurs de ces maisons millionnaires ?
Des Québécois surtout, répondent Lorraine Demers et Yvan Drouin.
« Les gens de Québec ont de l’argent ! » répète Mme Demers.
Yvan Drouin constate la même chose. La clientèle pour des maisons de plus d’un million de dollars sont des hommes d’affaires, des gens impliqués dans l’informatique, des industriels montréalais qui veulent investir à Québec, des médecins.
« Quand un couple de médecins revient à Québec après 10 ans en région, il a de l’argent plein les poches. Ces médecins n’ont pas dépensé et en plus ils ont reçu des primes », constate M. Drouin.
La clientèle pour les grosses maisons comprend aussi des jeunes professionnels. « Les jeunes investissent dans l’achat d’une maison parce qu’ils y passent plus de temps. Certains achètent grâce à un héritage familial », explique M. Drouin.
L’agent immobilier est même surpris du peu de reprises de finance de ces grosses maisons. « Les acheteurs n’hypothèquent pas leur achat à 95 % ».
Les Européens, des Français et des Belges surtout, aiment acheter des propriétés chères au Québec. « À cause de la valeur de l’euro et la cherté de l’immobilier en Europe », explique Gina Gaudreault, directrice générale de la Chambre immobilière de Québec. {on recrute des moutons
}
Alors que les Européens achètent surtout à Lac-Beauport, à Stoneham et sur le bord du fleuve, les Américains, eux, préfèrent le pied-à-terre dans le Vieux-Québec.
http://www.cyberpresse.ca/article/20060 ... 8/CPSOLEIL
24 maisons d’un million à vendre
Louise Lemieux
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Des maisons en vente à plus d’un million de dollars sont de plus en plus communes dans la région. Et ce sont surtout les Québécois qui les achètent.
« Une maison à un million ? C’est vraiment rien pour écrire à sa mère. Construire aujourd’hui, ça coûte tellement cher », lance Lorraine Demers, agente d’immeubles.
« Il y a beaucoup de maisons à ce prix-là ! », renchérit Yvan Drouin, lui aussi dans le métier depuis une quinzaine d’années.
« Des gens qui ont de l’argent, il y en a à Québec et ça ne paraît pas. Il y a un marché pour le haut de gamme », constate Lorraine Demers.
En ce moment, 24 maisons de plus d’un million de dollars sont sur le marché immobilier, selon la Chambre immobilière de Québec.
Par contre, les ventes ne sont pas nombreuses, les délais de vente pour ce type de maison étant généralement plus longs. En 2005, une seule maison millionnaire a été vendue dans la région, aucune en 2004, selon les données de la Chambre immobilière.
La propriété la plus chère sur le marché en ce moment se trouve à Lac-Beauport. Prix demandé : 4,3 millions de dollars. La propriété est à vendre depuis plus d’un an.
En ville, la maison la plus chère est celle du 1010, Grande Allée Ouest. Prix demandé : 3,9 millions $. C’est la première fois qu’une maison de ce prix est à vendre à Québec.
Cette maison a été construite il y a à peine trois ans, là où était la résidence du lieutenant-gouverneur du Québec. Elle est sur le marché immobilier depuis à peine trois semaines que déjà des acheteurs potentiels se manifestent.
« Des gens intéressés m’ont appelée, des Québécois qui ont les moyens de payer. Mais il n’y a pas eu de visites encore. Les gens sont à l’extérieur en ce moment. Ils vont probablement fixer un rendez-vous à leur retour de vacances. La maison suscite un intérêt, en dépit du prix », souligne Lorraine Demers, qui a trois « prospects » pour cette propriété.
Justement, qui sont les acheteurs de ces maisons millionnaires ?
Des Québécois surtout, répondent Lorraine Demers et Yvan Drouin.
« Les gens de Québec ont de l’argent ! » répète Mme Demers.
Yvan Drouin constate la même chose. La clientèle pour des maisons de plus d’un million de dollars sont des hommes d’affaires, des gens impliqués dans l’informatique, des industriels montréalais qui veulent investir à Québec, des médecins.
« Quand un couple de médecins revient à Québec après 10 ans en région, il a de l’argent plein les poches. Ces médecins n’ont pas dépensé et en plus ils ont reçu des primes », constate M. Drouin.
La clientèle pour les grosses maisons comprend aussi des jeunes professionnels. « Les jeunes investissent dans l’achat d’une maison parce qu’ils y passent plus de temps. Certains achètent grâce à un héritage familial », explique M. Drouin.
L’agent immobilier est même surpris du peu de reprises de finance de ces grosses maisons. « Les acheteurs n’hypothèquent pas leur achat à 95 % ».
Les Européens, des Français et des Belges surtout, aiment acheter des propriétés chères au Québec. « À cause de la valeur de l’euro et la cherté de l’immobilier en Europe », explique Gina Gaudreault, directrice générale de la Chambre immobilière de Québec. {on recrute des moutons

Alors que les Européens achètent surtout à Lac-Beauport, à Stoneham et sur le bord du fleuve, les Américains, eux, préfèrent le pied-à-terre dans le Vieux-Québec.
http://www.cyberpresse.ca/article/20060 ... 8/CPSOLEIL
"Those who cannot remember the past are condemned to repeat it."
"If the wind blows hard enough, even turkeys fly."
Warren Buffett: "Ce que le sage fait au début, l'idiot le fait à la fin"
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un million de dollars canadiens soit 650.000 euros. 24 maisons affichées à ce prix au Québec et une seule vente à ce prix en 2005 PTDR, il sont petits joueurs! 24 années de stock!!!!
ici dans mon secteur de 100.000 hab, j'en ai une bonne dizaine, sans compter les châteaux!
Ils sont si pauvres , au canada?
ici dans mon secteur de 100.000 hab, j'en ai une bonne dizaine, sans compter les châteaux!
Ils sont si pauvres , au canada?
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Je crois qu'ils sont surtout moins c... que nous !mat49 a écrit :un million de dollars canadiens soit 650.000 euros. 24 maisons affichées à ce prix au Québec et une seule vente à ce prix en 2005 PTDR, il sont petits joueurs! 24 années de stock!!!!
ici dans mon secteur de 100.000 hab, j'en ai une bonne dizaine, sans compter les châteaux!
Ils sont si pauvres , au canada?
Et puis ils ont plus de la place, la pénurie de foncier, ça doit les faire rigoler.
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En fait, les endroits les plus riches au Canada sont : Ontario, Alberta et la Colombie-Britanique.
Le Québec est considéré comme une province pauvre compte tenu de ses finances publiques dans un état mal en point. Trop de taxes et dépenses et pas assez de revenus.
Les gens aisés quittent en général le Québec lors de leur retraite afin de payer moins d'impôt, cela me fait donc marrer de voir des maisons pour "riches" à 1 million.
Le revenu médian des familles Québécoises est d'environ $56000 par année.
Le Québec est considéré comme une province pauvre compte tenu de ses finances publiques dans un état mal en point. Trop de taxes et dépenses et pas assez de revenus.
Les gens aisés quittent en général le Québec lors de leur retraite afin de payer moins d'impôt, cela me fait donc marrer de voir des maisons pour "riches" à 1 million.
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Quelle connerie
Baie-des-Chaleurs
Le boom immobilier des baby-boomers
Mise à jour le vendredi 28 juillet 2006, 9 h 54 .
Les jeunes retraités sont attirés par la beauté des lieux
Le retour des baby-boomers a fait grimper le prix des maisons de 20 % depuis trois ans dans la Baie-des-Chaleurs.
Certaines maisons au bord de la mer se vendent désormais plus du double de leur évaluation foncière.
L'agent immobilier Donald Leblanc explique que la beauté des lieux attire les jeunes retraités. D'ailleurs, la moitié des acheteurs proviennent de l'extérieur de la région.
Deux autres facteurs expliquent également la hausse du prix des maisons: les prix étaient sous évalués jusqu'à récemment et les terrains disponibles le long des cours d'eau sont rares.
Ils viennent en été lorsqu'il fait 30 degrés, alors que "l'été" ne dure qu'à peine 2 mois, avec 10 mois de temps de 'Mot2Cambronne' dans cette région.
Lorsqu'ils reviennent l'été suivant, il y a des chance que la "maison" a été vidée.
Le boom immobilier des baby-boomers
Mise à jour le vendredi 28 juillet 2006, 9 h 54 .
Les jeunes retraités sont attirés par la beauté des lieux
Le retour des baby-boomers a fait grimper le prix des maisons de 20 % depuis trois ans dans la Baie-des-Chaleurs.
Certaines maisons au bord de la mer se vendent désormais plus du double de leur évaluation foncière.
L'agent immobilier Donald Leblanc explique que la beauté des lieux attire les jeunes retraités. D'ailleurs, la moitié des acheteurs proviennent de l'extérieur de la région.
Deux autres facteurs expliquent également la hausse du prix des maisons: les prix étaient sous évalués jusqu'à récemment et les terrains disponibles le long des cours d'eau sont rares.
Ils viennent en été lorsqu'il fait 30 degrés, alors que "l'été" ne dure qu'à peine 2 mois, avec 10 mois de temps de 'Mot2Cambronne' dans cette région.
Lorsqu'ils reviennent l'été suivant, il y a des chance que la "maison" a été vidée.

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In the heat of summer real estate market running out of stea
2006-08-03
On commence en a parler un peu du "ralentissement"
In the heat of summer real estate market running out of steam
In these dog days of summer when most of the news has been focused on either fallout from the current mid east crisis or the prospects and pending results of what the Fed does on Tuesday, in fact other than in energy and a bit in the precious metals, most markets have been treading water awaiting outcomes in both arenas. However, just to divert this morning, especially as the real estate market starts to cool in a lot of Canada, even including red hot Alberta, this cartoon in the Vancouver Sun caught our eye the other day. It serves to point out how when a market starts to feed on itself, and is on the verge of at least a major correction if not a downright crash in some highly speculative areas, we can see valuations start to get a bit to the silly side.
In the U.S. there is a huge pending problem as ARMS (adjustable rate mortgages,similar to our variable rate or sub-prime mortgages) are now being revalued at the new interest rates. Homebuyers that got into the market when interest rates in the U.S. were at 50+ year lows are now coming to anniversary dates on their ARMS mortgages and a lot of families are finding that they just cannot afford the new payment schedule. Three years ago a short term ARMS mortgage was available for just about anyone who applied, good credit risk or not, at about 4%. To renew today, after 17 Fed hikes in a row, the same mortgage is about 7%.
For too many new home buyers, or those that remortgaged at exceptionally low rates and spent the proceeds, the payment difference could end up in a default, with foreclosures and homes put up for resale. Add to that the number of spec and recreational projects thrown at the market that are now starting to back up big time as the economic winds change, and the unsold or pending inventory is starting to mount in a scary fashion.
In central Canada the market has already shown signs of getting long in the tooth with a preponderance of "For Sale" signs growing every day. Anecdotally, even here on the booming west coast we see more and more houses on the market, and although sales are still robust, the backup of inventory is starting to appear here also. Speculative markets such as Phoenix, San Francisco and South Florida are already showing ominous signs of the bubble exploding, whereas here in Canada we hope that we will just see some air come out of the real estate balloon and not a downright popping of the U.S. style real estate bubble.
On commence en a parler un peu du "ralentissement"
In the heat of summer real estate market running out of steam
In these dog days of summer when most of the news has been focused on either fallout from the current mid east crisis or the prospects and pending results of what the Fed does on Tuesday, in fact other than in energy and a bit in the precious metals, most markets have been treading water awaiting outcomes in both arenas. However, just to divert this morning, especially as the real estate market starts to cool in a lot of Canada, even including red hot Alberta, this cartoon in the Vancouver Sun caught our eye the other day. It serves to point out how when a market starts to feed on itself, and is on the verge of at least a major correction if not a downright crash in some highly speculative areas, we can see valuations start to get a bit to the silly side.
In the U.S. there is a huge pending problem as ARMS (adjustable rate mortgages,similar to our variable rate or sub-prime mortgages) are now being revalued at the new interest rates. Homebuyers that got into the market when interest rates in the U.S. were at 50+ year lows are now coming to anniversary dates on their ARMS mortgages and a lot of families are finding that they just cannot afford the new payment schedule. Three years ago a short term ARMS mortgage was available for just about anyone who applied, good credit risk or not, at about 4%. To renew today, after 17 Fed hikes in a row, the same mortgage is about 7%.
For too many new home buyers, or those that remortgaged at exceptionally low rates and spent the proceeds, the payment difference could end up in a default, with foreclosures and homes put up for resale. Add to that the number of spec and recreational projects thrown at the market that are now starting to back up big time as the economic winds change, and the unsold or pending inventory is starting to mount in a scary fashion.
In central Canada the market has already shown signs of getting long in the tooth with a preponderance of "For Sale" signs growing every day. Anecdotally, even here on the booming west coast we see more and more houses on the market, and although sales are still robust, the backup of inventory is starting to appear here also. Speculative markets such as Phoenix, San Francisco and South Florida are already showing ominous signs of the bubble exploding, whereas here in Canada we hope that we will just see some air come out of the real estate balloon and not a downright popping of the U.S. style real estate bubble.
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Résisterons-nous à la déprime américaine?
Tiens, on commence en à parler.
Résisterons-nous à la déprime américaine?
Rudy Le Cours
1er septembre 2006 - 17h14
Les signes d'essoufflement de l'économie américaine se multiplient depuis le printemps.
Cette fois-ci, ce n'est pas comme en 2001, quand l'éclatement de la technobulle avait provoqué une récession chez les entreprises qui avaient investi trop, trop vite, créant du coup une surcapacité qu'il a bien fallu amortir.
«Aujourd'hui, la cause du ralentissement, c'est le consommateur américain qui doit réapprendre à vivre selon ses moyens et arrêter de s'hypothéquer à long terme pour financer des achats à court terme», résume Clément Gignac, économiste en chef à la Financière Banque Nationale (FBN).
Pendant cinq ans, les ménages américains ont vu le prix de leur maison s'apprécier en moyenne de 7% par année avec une pointe de 12% l'an dernier.
Les institutions financières leur ont proposé de la refinancer pour leur permettre de dépenser illico la plus-value de la propriété. En contre-partie, l'amortissement initial de 30 ou 40 ans s'alourdissait de quelques années.
Bref, les ménages ont utilisé leur maison comme un guichet automatique et ont perdu les sains réflexes de l'épargne.
La récréation est cependant terminée, tant pour eux que pour les fabricants de biens de consommation qui ont cru la manne inépuisable.
Le prix des maisons plafonne sur le marché de la revente cette année; celui des condos a commencé à diminuer. Ça pourrait continuer, car il reste de l'air dans la bulle.
Un dossier à lire dans La Presse du samedi 2 septembre

Résisterons-nous à la déprime américaine?
Rudy Le Cours
1er septembre 2006 - 17h14
Les signes d'essoufflement de l'économie américaine se multiplient depuis le printemps.
Cette fois-ci, ce n'est pas comme en 2001, quand l'éclatement de la technobulle avait provoqué une récession chez les entreprises qui avaient investi trop, trop vite, créant du coup une surcapacité qu'il a bien fallu amortir.
«Aujourd'hui, la cause du ralentissement, c'est le consommateur américain qui doit réapprendre à vivre selon ses moyens et arrêter de s'hypothéquer à long terme pour financer des achats à court terme», résume Clément Gignac, économiste en chef à la Financière Banque Nationale (FBN).
Pendant cinq ans, les ménages américains ont vu le prix de leur maison s'apprécier en moyenne de 7% par année avec une pointe de 12% l'an dernier.
Les institutions financières leur ont proposé de la refinancer pour leur permettre de dépenser illico la plus-value de la propriété. En contre-partie, l'amortissement initial de 30 ou 40 ans s'alourdissait de quelques années.
Bref, les ménages ont utilisé leur maison comme un guichet automatique et ont perdu les sains réflexes de l'épargne.
La récréation est cependant terminée, tant pour eux que pour les fabricants de biens de consommation qui ont cru la manne inépuisable.
Le prix des maisons plafonne sur le marché de la revente cette année; celui des condos a commencé à diminuer. Ça pourrait continuer, car il reste de l'air dans la bulle.
Un dossier à lire dans La Presse du samedi 2 septembre
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http://www2.canoe.com/infos/quebeccanad ... 81117.htmlMarché immobilier
Aucun ralentissement à Québec
Source: Le Journal de Québec
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Une raison de plus pour la baisse de l'immobilier au Québec. Les gens ne travaillent pas suffisament et les salaires sont inférieurs.
Vives réactions aux propos de Lucien Bouchard
Les propos tenus par l'ancien premier ministre Lucien Bouchard sur les ondes de TVA suscitent de vives réactions un peu partout au Québec.
Dans une entrevue exclusive diffusée lundi soir, M. Bouchard affirme que rien n'a changé un an après la publication de son manifeste Pour un Québec lucide.
Selon lui, il est déplorable que les Québécois «travaillent moins» que les Ontariens et les Américains. Il ajoute que la situation risque d'être très difficile pour les générations futures si les Québécois ne changent pas d'attitude. Il prévient: si l'on ne crée pas de richesse, on ne pourra bientôt plus se payer les services dont on s'est doté durant les années 1960.
Ce témoignage a fait bondir plusieurs personnalités du monde syndical. En entrevue sur les ondes de LCN, le vice-président de la CSN, Roger Valois, a déclaré que les Québécois souhaitaient travailler, mais à des salaires décents. Selon lui, la richesse au Québec existe, mais elle est mal répartie.
Revoyez la version intégrale de l'entrevue réalisée avec Lucien Bouchard.
Le président de la FTQ, Henri Massé, admet que le Québec a un problème de productivité, mais il croit que les solutions identifiées par M. Bouchard ne sont pas les bonnes. Il pense plutôt qu'il faut investir en recherche et en développement, dans le renouvellement du parc technologique et dans l'innovation.
La présidente de la CSN, Claudette Carbonneau, déplore quant à elle «l'analyse superficielle» de M. Bouchard. Elle souligne que derrière cette réalité statistique des Québécois qui travaillent moins d'heures, il y a «le temps partiel involontaire», les employés à statut précaire, ceux qui sont au chômage et ceux qui ont été mis à pied.
http://lcn.canoe.com/lcn/infos/national ... 72121.html
Vives réactions aux propos de Lucien Bouchard
Les propos tenus par l'ancien premier ministre Lucien Bouchard sur les ondes de TVA suscitent de vives réactions un peu partout au Québec.
Dans une entrevue exclusive diffusée lundi soir, M. Bouchard affirme que rien n'a changé un an après la publication de son manifeste Pour un Québec lucide.
Selon lui, il est déplorable que les Québécois «travaillent moins» que les Ontariens et les Américains. Il ajoute que la situation risque d'être très difficile pour les générations futures si les Québécois ne changent pas d'attitude. Il prévient: si l'on ne crée pas de richesse, on ne pourra bientôt plus se payer les services dont on s'est doté durant les années 1960.
Ce témoignage a fait bondir plusieurs personnalités du monde syndical. En entrevue sur les ondes de LCN, le vice-président de la CSN, Roger Valois, a déclaré que les Québécois souhaitaient travailler, mais à des salaires décents. Selon lui, la richesse au Québec existe, mais elle est mal répartie.
Revoyez la version intégrale de l'entrevue réalisée avec Lucien Bouchard.
Le président de la FTQ, Henri Massé, admet que le Québec a un problème de productivité, mais il croit que les solutions identifiées par M. Bouchard ne sont pas les bonnes. Il pense plutôt qu'il faut investir en recherche et en développement, dans le renouvellement du parc technologique et dans l'innovation.
La présidente de la CSN, Claudette Carbonneau, déplore quant à elle «l'analyse superficielle» de M. Bouchard. Elle souligne que derrière cette réalité statistique des Québécois qui travaillent moins d'heures, il y a «le temps partiel involontaire», les employés à statut précaire, ceux qui sont au chômage et ceux qui ont été mis à pied.
http://lcn.canoe.com/lcn/infos/national ... 72121.html
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Les logements sont trop chers pour 1,7 million de Canadiens
22 novembre 2006
Presse Canadienne
Plus de 1,7 million de ménages canadiens ont consacré, en 2004, 30 % ou plus de leur budget pour se loger, soit la proportion seuil de l'abordabilité, a indiqué Statistique Canada mercredi.
En 2004, environ 14 pour cent des ménages ont consacré au moins 30 pour cent de leur budget aux coûts du logement. Parmi eux, 12 pour cent ont dépensé entre 30 pour cent et 50 pour cent, et 2 pour cent ont dépensé 50 pour cent ou plus.
Statistique Canada a expliqué que, traditionnellement, le concept d'abordabilité a toujours été défini comme le ratio de coûts du logement au revenu total du ménage. Un ménage qui consacre au logement 30 pour cent ou plus de son revenu avant impôt est considéré comme ayant des problèmes d'abordabilité. Toutefois, la nouvelle étude met plutôt l'accent sur les dépenses des ménages qui, selon l'agence, est une méthode de calcul plus significative.
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La fin des années folles
La fin des années folles
Maxime Bergeron
La Presse
Carole Rochon et Tony Modafferi ne manquent pas de boulot. Les deux agents immobiliers du quartier Sainte-Rose, à Laval, comptent parmi les plus actifs de leur secteur. Mais cette année, les maisons ne s'envolent plus toutes seules. Ils doivent redoubler d'efforts.
«L'année passée, on n'avait même pas le temps de l'annoncer dans les journaux, elle était vendue. On appelait le photographe pour annuler la prise de photo. Aujourd'hui, on l'appelle pour lui demander pourquoi les photos ne sont pas encore sur le site!» raconte Mme Rochon.
Même si la frénésie des dernières années est chose du passé, l'immobilier va bien au Québec. Pour la troisième année d'affilée, le nombre de transactions et les prix de vente fracasseront des records en 2006 dans la grande région de Montréal.
«L'immobilier va bien, c'est juste qu'il y a moins de stress, dit Michel Beauséjour, président de la Chambre immobilière du Grand Montréal. Les acheteurs ont le temps de bien boucler leur transaction.»
Les premiers acheteurs ont aussi de plus en plus de difficulté à accéder à la propriété, résultat des hausses constantes de prix des dernières années.
Certains secteurs sont aussi à surveiller, comme l'annoncera dans deux jours la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL). Dans certaines régions, le nombre de condos invendus s'accumule. Au centre-ville de Montréal, il faudrait deux ans pour vendre toutes les unités achevées ou en construction... si aucun autre projet ne voyait le jour d'ici là!
Bref, le marché est de plus en plus à l'avantage de l'acheteur, dans bien des segments. Un retour du balancier après quelques années folles.
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Curieux,
Trois-Rivières est une ville pauvre et les Québécois ne font pas d'enfants.
Trois-Rivières est une ville pauvre et les Québécois ne font pas d'enfants.

Projet immobilier de 10 M$ à Trois-Rivières
6 décembre 2006 - 06h13
Le Nouvelliste
Martin Francoeur
Un imposant projet immobilier est en train de voir le jour dans le secteur Saint-Louis-de-France, à Trois-Rivières. Les Développements TEM projettent de construire pas moins de dix-sept immeubles à logements au cours des trois prochaines années. Déjà, la première phase est en cours de réalisation.
Il s'agit d'un projet dont la valeur totale pourra atteindre 10 millions $. Le projet tel que conçu comprendra des immeubles de quatre à six logements, comme le prévoit le zonage à cet endroit. Le nouveau développement s'articulera autour d'une nouvelle artère, la rue Louis-IX, dont le nom évoque le roi de France qui a été surnommé Louis de France, également connu sous le nom de saint Louis. Louis IX était le neuvième de la dynastie des Capétiens directs, fils de Louis VIII et de Blanche de Castille.
La nouvelle rue Louis-IX débouchera sur le chemin Saint-Alexis Ouest, entre le carrefour giratoire et le chemin Masse. Les immeubles qui y seront construits seront recouverts de brique et le contour des ouvertures (portes et fenêtres) seront d'une couleur neutre. Les stationnements seront asphaltés et des garages séparés de l'immeuble principal seront construits.
Des logements de cinq pièces et demie (5 1/2) et de trois pièces et demie (3 1/2) seront offerts aux locataires intéressés. Différents modèles seront disponibles, dont certains de 1320 pieds carrés (122 mètres carrés) offrant des chambres de seize pieds sur dix-huit.
La mise en chantier du projet domiciliaire des "Terrasses Louis-de-France" constitue l'aboutissement d'un long travail de préparation de la part des promoteurs. L'entrepreneur principal, Tony Pratte, a travaillé dans le domaine de l'aéronautique pendant huit ans avant de revenir dans sa région et d'opter pour le secteur de la construction. Il avait acheté un premier immeuble dans le secteur il y a quelques années. Intéressé à y faire du développement domiciliaire, il a acquis un terrain de quatre hectares, l'a défriché et a élaboré un plan de développement. Simplement pour amener les réseaux de services publics, environ 180 000 $ auront été investis.
Le promoteur espère avoir complété la construction des trois premiers immeubles pour le mois d'avril. Deux autres pourraient suivre dès juillet. Les investisseurs peuvent aussi acheter un de ces immeubles puisque les entrepreneurs sont disposés à en vendre quelques-uns.
Pour le maire de Trois-Rivières, Yves Lévesque, ce projet témoigne bien de la vitalité de la construction résidentielle. "Pour créer de la richesse, ça prend des entrepreneurs qui croient en la ville et on en a un bel exemple aujourd'hui", explique-t-il. Le maire rappelle que le mot d'ordre à l'hôtel de ville est d'offrir un soutien constant aux promoteurs qui viennent présenter un projet.
Yves Lévesque s'est aussi montré optimiste quant à la possibilité de louer ces logements rapidement.
"Je suis convaincu que ça va se louer parce que le taux de vacance, du côté locatif, est très bas", croit-il. L'agent immobilier chargé de ce dossier confirme qu'il y a bel et bien une demande pour ce type de résidence.
Le conseiller du district de Saint-Louis-de-France, Michel Bronsard, a pour sa part expliqué qu'il s'agit d'un projet qui saura répondre aux besoins de nouveaux résidents, notamment ceux des jeunes familles.
"Il y a des 5 1/2 pour des jeunes familles. Ils sont collés sur la piste cyclable et sur le parc Masse, qui est doté de plusieurs équipements de loisirs", conclut le conseiller.
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Le nombre de condos inquiète à Montréal
Le nombre de condos inquiète à Montréal
10 janvier 2007 - 06h36
La Presse
Laurier Cloutier
Le nombre de condos neufs invendus a quintuplé depuis décembre 2002 dans la région métropolitaine de Montréal et ça devient plutôt «inquiétant», selon l'analyste de la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), Paul Cardinal.
En quatre ans, le nombre de condos invendus a grimpé de 511 à 2553, en décembre dernier, a précisé Paul Cardinal à La Presse Affaires.
Les constructeurs ont lancé moins de chantiers de condos en 2006, par rapport à 2005, mais c'était encore trop parce que l'année a fini en lion, a expliqué l'analyste de la SCHL.
«Il est souhaitable que la cadence ralentisse. D'ailleurs, les promoteurs devraient corriger encore davantage le tir cette année», a déclaré Paul Cardinal.
La forte croissance s'explique en partie par la mise en chantier de tours de condos dès avant que toutes les unités soient vendues, dans un marché où la la demande ralentit.
Paul Cardinal prévoit une chute de 19 % des mises en chantier de condos dans la région de Montréal cette année, à 6500 unités, comparativement à 8050 en 2006.
10 janvier 2007 - 06h36
La Presse
Laurier Cloutier
Le nombre de condos neufs invendus a quintuplé depuis décembre 2002 dans la région métropolitaine de Montréal et ça devient plutôt «inquiétant», selon l'analyste de la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), Paul Cardinal.
En quatre ans, le nombre de condos invendus a grimpé de 511 à 2553, en décembre dernier, a précisé Paul Cardinal à La Presse Affaires.
Les constructeurs ont lancé moins de chantiers de condos en 2006, par rapport à 2005, mais c'était encore trop parce que l'année a fini en lion, a expliqué l'analyste de la SCHL.
«Il est souhaitable que la cadence ralentisse. D'ailleurs, les promoteurs devraient corriger encore davantage le tir cette année», a déclaré Paul Cardinal.
La forte croissance s'explique en partie par la mise en chantier de tours de condos dès avant que toutes les unités soient vendues, dans un marché où la la demande ralentit.
Paul Cardinal prévoit une chute de 19 % des mises en chantier de condos dans la région de Montréal cette année, à 6500 unités, comparativement à 8050 en 2006.
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CANADA
Voici les graphes des prix canadiens
http://www.canadian-housing-price-charts.235.ca/
On voit bien que Vancouver, Toronto et Calgary se retournent.
D'autant que là-bas la construction a battu son plein.
Par contre, pour Ottawa et Montreal, rien à signaler.
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On voit bien que Vancouver, Toronto et Calgary se retournent.
D'autant que là-bas la construction a battu son plein.
Par contre, pour Ottawa et Montreal, rien à signaler.
Modifié en dernier par BulleDog le 04 févr. 2007, 20:13, modifié 1 fois.
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Situation à Calgary
La situation à Calgary : http://www.cbc.ca/canada/calgary/story/ ... homes.html
Pourtant eux ils ont du pétrole !
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Re: Canada : les graphes des prix de l'immo
Oui, ils y sont pas allé de main morte:BulleDog a écrit : D'autant que là-bas la construction a battu son plein.





(J'ai pris ces photos en Septembre...)
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Qu'est-ce que c'est laid. On se croirait à Shangai.
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Respect, c'est autre chose qu'un p'tit pavillon à la ***...
Je n'ose imaginer le raccordement à l'assainissement, ou l'arrivée d'elec dans ce genre de batiment...
Concernant le chauffage que j'imagine collectif au fioul, je n'ose imaginer le nb de chaudieres en // ...
Si vous avez des infos sur ces parametres je suis preneur...
C'est peut etre ca l'avenir... une dizaine de tours dans lesquelles habitent 10 000 personnes.
Je n'ose imaginer le raccordement à l'assainissement, ou l'arrivée d'elec dans ce genre de batiment...
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graphs canadiens
une remarque en passant :
concernant les graphs, il y a un effet de saisonnalité très marqué(données sur 3 ans) qui ne permet pas d'être si affirmatif que ça.
Il sera intéressant de voir l'évolution en janv/fev/mars.
a bientot,
xav
concernant les graphs, il y a un effet de saisonnalité très marqué(données sur 3 ans) qui ne permet pas d'être si affirmatif que ça.
Il sera intéressant de voir l'évolution en janv/fev/mars.
a bientot,
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Ces buildings ont quand même quelques avantages:
- Ils sont à 10 minutes à pied du centre d'affaire.
- Certains sont suffisament hauts pour que vous puissiez voir les matchs de baseball dans le stade au pied de la CN tower...
Bon après ils sont coincés entre la 2x3 voies qui est tout le temps bouchée et le train...
Et puis comme le disait mon hôte à Toronto: Toronto c'est une ville pour faire du buisness. Donc sur un plan culturel à part des machins faits pour l'"entertainement" style "ontario place" qui est un sorte de parc d'attraction et quelques sporadiques clubs de Jazz, y'a rien...
- Ils sont à 10 minutes à pied du centre d'affaire.
- Certains sont suffisament hauts pour que vous puissiez voir les matchs de baseball dans le stade au pied de la CN tower...

Bon après ils sont coincés entre la 2x3 voies qui est tout le temps bouchée et le train...
Et puis comme le disait mon hôte à Toronto: Toronto c'est une ville pour faire du buisness. Donc sur un plan culturel à part des machins faits pour l'"entertainement" style "ontario place" qui est un sorte de parc d'attraction et quelques sporadiques clubs de Jazz, y'a rien...
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Re: graphs canadiens
En effet après 12 mois de baisse on pourra dire que c'est plus qu'une tendance.xav a écrit :une remarque en passant :
concernant les graphs, il y a un effet de saisonnalité très marqué(données sur 3 ans) qui ne permet pas d'être si affirmatif que ça.
Il sera intéressant de voir l'évolution en janv/fev/mars.
a bientot,
xav
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Comment qualifier la bulle de Vancouver ?
http://van-housing.blogspot.com/search/label/media
Entre mathématique, économie, et réalité : http://van-housing.blogspot.com/search/label/media
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Près du Stade Olympique c'est le quartier des assistés sociaux.Gabe_ a écrit :J'ai un ami qui vient d'acheter un immeuble avec deux 4.5 et un grand jardin à Montréal, près du stade olympique... Apparement il en a eu pour 190 000$can, il m'a dit avoir fait une bonne affaire.
Je ne connais pas les prix moyens, qu'en pensez vous?
A ce prix, c'est une veille batisse (duplex).
Je ne pense pas qu'il n'y a pas de bonnes affaires à Montréal en ce moment.
Lorsque le marché va reculer, il vendra probablement à perte ou bien il devra conserver son immeuble pour le vendre lors du procahin sommet de l'immobilier dans 15 ou 20 ans!
"Those who cannot remember the past are condemned to repeat it."
"If the wind blows hard enough, even turkeys fly."
Warren Buffett: "Ce que le sage fait au début, l'idiot le fait à la fin"
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C'est chauffé à l'electricité.Anonymous a écrit :Respect, c'est autre chose qu'un p'tit pavillon à la ***...
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Comment vont les bulles canadiennes ? Vancouver et Calgary ?Incubus a écrit : C'est chauffé à l'electricité.
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F2A a écrit :Le gros problème au Canada, c'est le manque d'espace pour construire, c'est pour ça qu'ils font des tours très hautes.
j'ai plutôt l'impression que les gens veulent tous habiter au même endroit.
Bien entendu quand les gens veulent tous la même chose. ça coince.
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Non, c'est juste parce qu'ils veulent se tenir chaud. ça pèle là bas en hiver !!!!BulleDog a écrit :F2A a écrit :Le gros problème au Canada, c'est le manque d'espace pour construire, c'est pour ça qu'ils font des tours très hautes.
j'ai plutôt l'impression que les gens veulent tous habiter au même endroit.
Bien entendu quand les gens veulent tous la même chose. ça coince.
Extrait tiré d'un article du "Soleil" publié par INCUBUS.Des gens qui ont de l’argent, il y en a à Québec et ça ne paraît pas. Il y a un marché pour le haut de gamme », constate Lorraine Demers.
Lorraine Demers est la personne qui a vendu notre maison au Québec en juin 2005.
A l' époque, je l'avais mise en ligne dans un site pour particuliers, et nous étions trés impatients de vendre pour fuir cette ville que nous détestions.
Lorraine Demers m'a harcelé pour avoir cette maison dans son agence et j'ai fini par craqué.
Résultat, elle m'a présenté mes futurs acheteurs un beau jour, et ceux ci m'ont avoués avoir découvert ma maison de ce fameux site (trés bien fait) pour les particuliers, mais le jour ou ils ont voulu me contacter, j'avais filer le mandat à l'agence, et au Québec, on ne peux pas à la fois vendre par le particulier et par Agence..
Donc 'Mot2Cambronne', j'ai refilé à cette gourdasse d'AI un gros % pour RIEN.
En tout cas, elle est pleine de fric, c'est sûr.
Les gens au Québec ne sont pas riches comme elle le prétend. Il y a dans cette ville quelques trés belles maisons à vendre, trés chères et qui ne partent pas, ou trés lentement et trés négociées.
Le probléme majeur du QC, c'est sa trés faible démographie.
Pour tenter de le juguler , le QC fait des campagnes publicitaires type marketing, pour vendre le QC aux GOGOS Français, qui pensent que là bas, ils auront une vie meilleure qu'en France (gogo dont nous avons fait partie, quoique notre situation était un peu différente puisque le QC à fait appel à nous de facon spécifique).
Bref, l'immigration Francophone est un FLOP. Les Français arrivent la bas la fleur au fusil, et repartent ruinés par ce pays qui bouffe tout votre pognon ( c'est quand même la province la plus taxée de toute l'amérique du nord).
Souvent, j'entends les gens dire : ouis, génial le QC, les maisons sont immenses et peu chères.
Les maisons québécoises sont construites de façon trés sheap, les toitures sont en goudron, les murs en "gibrock" (placos platre), et l'éxtérieur bien souvent en clin de vynil, c'est à dire en plastique. Donc, par rapport aux maisons en générale en France, c'est de la 'Mot2Cambronne'.
Mais les impots locaux sont trés élevés, les taxes d'habitation, les taxes pour retirer la neige devant chez toi, tout tout se paye. Même un clebard se paye. Il y a une taxe pour les chiens ou chat chaque année..
Le maudit bulot
http://www.remax-quebec.com/fr/indexhtml.html
Cliquer sur ce lien, puis trouver les 2 références suivantes
Fiche descriptive # ULS Q-624521 - (63/70)
Fiche descriptive # ULS Q-607226 - (68/70)
Ces 2 maisons sont en vente depuis 3 ans et demi..
Il y a peut çetre des riches au Canada, mais ils ne se bousculent pas pour acheter ces maisons..
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Fiche descriptive # ULS Q-624521 - (63/70)
Fiche descriptive # ULS Q-607226 - (68/70)
Ces 2 maisons sont en vente depuis 3 ans et demi..
Il y a peut çetre des riches au Canada, mais ils ne se bousculent pas pour acheter ces maisons..
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- Localisation : Montréal, Québec
C'est une question de localisation. Elles sont situées dans la ville de Québec et très peu de personnes ont les moyens de les acheter.
Si ces maisons étaient situées à Toronto, Calgary ou Vancouver alors elles seraient vendues depuis une belle lurette.
Si ces maisons étaient situées à Toronto, Calgary ou Vancouver alors elles seraient vendues depuis une belle lurette.
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- Localisation : Montréal, Québec
Quelle incidence l’immobilier américain a-t-il au Canada?
4 avril 2007 | Paul Dontigny jr., Investissements PDJ
Le facteur le plus important aujourd’hui concernant l’avenir des marchés boursiers est sans aucun doute le marché immobilier américain.
En résumant, on peut dire que deux grandes questions reviennent sans cesse en filigrane dans la presse financière.
Est-ce que les déboires de l’immobilier ont atteint un plancher? Et est-ce qu’il y a ou aura contagion dans le reste de l’économie et des marchés financiers américains? Une troisième question se pose de surcroît aux Canadiens, à savoir quel est l’impact de tout ceci chez nous.
Je peux vous garantir deux choses au sujet des développements des 12 prochains mois dans le marché de l’immobilier et des hypothèques. C’est rare que l’on puisse garantir quoi que ce soit en investissement, mais dans ce cas-ci je me le permets.
1- Personne ne connait la vérité;
2- Vous allez entendre une quantité impressionnante de commentaires rassurants venant de toutes sortes d’institutions gouvernementales et financières. C’est leur job de rassurer, alors ne vous y fiez pas aveuglément.
À mon avis, la contagion est inévitable et voici pourquoi. Selon divers estimés, il y a environ pour 2 000 G$ US d’hypothèques (8 millions de maisons à 250 000$ chacune) qui doivent être renouvelées d’ici deux ans et dont le taux d’intérêts et les paiements augmenteront de façon significative. La majorité de ces prêts ont été faits ou bien à des personnes qui n’avaient pas les moyens et qui ont emprunté 100% du prix de la maison. Ou bien à des personnes ayant davantage de moyens, qui ont pris en général des hypothèques de plus de 400 000$.
Or, le prix moyen des maisons baisse par rapport à l’an dernier. Du coup, ces personnes ne peuvent pas faire ce que les emprunteurs des années précédentes ont fait : emprunter du nouveau capital pour payer les intérêts accumulés ou dus. S’ils revendent la maison pour rembourser l’hypothèque, alors plusieurs devront faire un chèque. Le résultat de tout ça, c’est que la baisse de prix dans l’immobilier et la réduction des transactions ne font que commencer.
Pour que les prix de l’ensemble des maisons montent, il faut nécessairement qu’il y ait des acheteurs d’une première maison, et il s’agit là justement de la plupart des personnes qui ont déjà fortement emprunté. Étant donné la quantité de renouvellements hypothécaires, il semble inévitable que cette portion du marché sera faible pour au moins deux ans, soit un cycle immobilier normal.
De plus, la Fed a récemment serré la vis, et les normes de crédit sont devenues plus sévères. Conséquence : les déboires vont se poursuivre et pourraient même se faire contagieux. Le consommateur devra se serrer la ceinture, car la presque totalité de la croissance des dernières années a découlé du financement immobilier. Cela a permis aux consommateurs américains de continuer à dépenser au-dessus de leurs moyens.
Pour ce qui est du Canada, nos pratiques de prêts sont beaucoup plus conservatrices, mais ont tout de même connu un grand relâchement ces derniers temps. Par exemple, on peut se demander qui achète ces centaines de maisons à 600 000$ sur le bord de golfs. Il est surprenant de savoir que, bien que certaines soient payées à 100%, la majorité des maisons (opinion personnelle basées sur des conversations) sont financées à forts pourcentages.
Mais la contagion ne se fera pas directement par l’entremise de l’immobilier, à mon avis. Si les consommateurs ralentissent leurs dépenses aux États-Unis, c’est à titre d’exportateur que nous serons touchés. Si comme je le crois la récession américaine s’annonce, il est pratiquement assuré que le Canada marchera dans les traces de son plus gros client. Notre marché boursier très fortement pondéré en commodités et dans les banques se fera frapper.
N’oubliez pas que même si les banques canadiennes sont très solides financièrement, leur prix en bourse est fonction de la croissance de leurs profits. Un simple ralentissement de leur croissance estimée les fera chuter plus que la plupart des gens ne le croient.
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Les graphiques de prix au CANADA
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