Gpzzzz a écrit : ↑28 mars 2024, 22:36
Déjà le problème c est le thermomètre..
Comparer le déficit a la richesse produite c'est ridicule.. ça sert a ne pas alarmer mme michu mais ça n a aucune logique économique..
Le vrai déficit de la France c est pas 4.9 ou 5.5% c est plutôt 30%.. chaque année on gagne 500 milliards mais on en dépense 150 de plus...
C'est comme si un Français gagnait 50ke par an et en dépensait 65ke.. ça ne viendrait jamais a l'idée de la commission de surendettement ou a un banquier de comparer ce cash flow négatif de 15ke avec le chiffre d affaire de 200ke que génère ce salarié dans l'entreprise qui l'emploie..
Pas tout à fait d'accord. Certes il y a des trous béants dans la compta française (des provisions pour charges qui ne sont pas faites comme relevé plus haut), mais l'endettement/déficit pourrait aussi être vu comme de l'investissement. t
Augmenter la masse monétaire en échange de titre de dette d'état (remboursables et donc destructibles) pour stimuler de la vrai croissance, IE produire plus de richesses, de biens et de services, peut être tout à fait concevable.
Mais là, l'endettement Fr a une très très large part qui n'aura absolument aucun roi, voire un roi négatif, par exemple quand on maintient sciemment des individus dangereux sur le territoire à coup de subventions, de centre d'accueil, de soin, d'apl, de frais de justice, de prison, etc... Alors qu'il suffirait de les déporter à la moindre incartade pour en être débarassé.
Quand on subventionne la hausse de l'immo et autres actifs de première nécessité sur le marché secondaire, on fait exactement ce qu'un état devrait éviter de faire avec de la dette.
Pareil, taxer le travail pour payer des retraites (qui souvent sont réinvesties en spéculation immo, camping car fabriqués en Italie, croisière ou voyages à l'étranger, quand ce n'est pas carrément un exil fiscal au Portugal...)
Sur la baisse des droits au chômage je suis mitigé, dans l'absolu c'est une bonne idée, en temps de quasi plein emploi (s'entends, dans une nation de fainéants et de rentiers), mais surtout si ça vient en contrepartie d'une baisse des cotisations pour contrebalancer le risque pris par les travailleurs.
Ici balek, les travailleurs vont supporter plus de risque, sans contrepartie, et les retraités/pensionnés/immigrés/malade, bref les improductifs ne vont absolument pas être mis à contribution.
Dans un monde idéal, à partir de 2008/2012 on aurait dû supprimer toutes les aides à la pierre (APL, ptz Robien, Duflot scellier, censi Bouvard, mes couilles et j'en passé), taxer les plus value immobilière à 100%, sauf pour les biens achetés sur le marché primaire (le neuf).
PS: @boeuf, j'ai moins de 35 ans, je me suis déjà expatrié, et c'était une super expérience, par ailleurs très lucrative (aux standard français). Mais j'ai du rentrer pour des raisons familiales. Pour le moment et dans un future visible je ne pourrais pas repartir, car mes attaches familiales et morales (je ne me permettrais pas d'imposer un départ forcé à ma famille qui ne le souhaite pas pour l'instant), sont plus fortes que mon attrait pour une vie plus facile, raison pour laquelle je me plains continuellement de ce pays de m*** au lieu d'en partir.