comme d'habitude, ce que tu dis est faux.Lo2 a écrit :Les premiers QE (je pense notamment au Japon) ne représentaient pas quelque chose de phénoménal. Les premières baisses de taux n'ont choqué personne.
Là, on parle d'une action qui a pour seule limite la confiance de nos monnaies. Inflation ou pas.
Les premiers QE représentaient quelque chose de phénoménal. Mais on vous a expliqué pourquoi ça ne pouvait pas générer d'inflation durable. Jamais. A cause des trappes à liquidités que sont les dettes actuelles et parce que ce sont des dettes qui sont émises et parcequ'elles sont émises au profit de ceux qui ont déjà trop de capital. MAIS vous vous refusez obstinément à comprendre quelque chose qui est démontré désormais. Vous vous raccrochez à des formules imprécises qui mélangent tout pour ne pas s'attaquer au vrai problème mathématique et physique de la répartition équilibrée du capital dans l'économie.
On vous déjà démontré aussi que le crédit et la dette ne crée pas vraiment d'argent. Et ça non plus vous ne voulez pas le comprendre. Là encore les questions monétaires servent de paravent à la seule vraie problématique : le fait que le capitalisme est un système qui conduit mathématiquement et mécaniquement à ce que le capital se concentre en un nombre réduits de mains improductives, par effet de rente, au détriment de ceux qui génèrent des richesses par le Travail et l'innovation.
Du coup, la, on commence vaguement à parler de diluer un peu le capital par injection monétaire directe vers le quidam, mais toujours sans changer un système qui fait que fondamentalement, le capital s'accumule là où il n'y en a pas besoin (bulles spéculatives sur l'immo, l'or, la bourse + endettement des États au principal profit des possedants) et le capital fait défaut là où il y en aurait usage (société de consommation de masse)
Dans un contexte où la confiance dans les monnaies fiduciaires majeures est gigantesque. Comme en témoignent les taux negatifs.
Les gens sont prêts à payer pour récupérer une part de monnaie fiduciaire dans dix ans plutot que faire quoi que ce soit d'autres. C'est dire leur confiance absolue dans leur monnaie fiduciaire, par opposition à tout le reste.