BulleDog a écrit :boisse a écrit :dontigny il va falloir qu'il aie vite raison si il veut pouvoir continuer sa chronique
Il nous rabache que le krack boursier est imminent depuis un certain temps. Le pire c'est que je suis persuadé qu'il a entierement raison.
Excellent.
En attendant qu'il ait raison, le CAC a fait +1.92% en ligne droite vers 3700 pts.
je vois quelqu'un de tres sensé, argumentant simlement en se basant sur des faits incontestables, et qui de plus a une meilleure connaissance des marches que nous tous reunis. J'ai tendance a le rejoindre dans ses craintes.Cedric1973 a écrit :Dontigny a fait pssiiitttttttt....
je ne l'exclue pas non plus, la bourse est folle. Plus dure sera la chute. Je ne remet pas mes billes la dedans avant l'année prochaine sauf grosse chuteGei a écrit :Je suis assez d'accord avec toi (et avec Dontigny, donc), ce qui n'exclut pas un rallye boursier jusqu'en septembre...
Il a raison et tort en même temps.boisse a écrit :dontigny il va falloir qu'il aie vite raison si il veut pouvoir continuer sa chronique
Il nous rabache que le krack boursier est imminent depuis un certain temps. Le pire c'est que je suis persuadé qu'il a entierement raison.
"Ils" viennent de décider que ça commençait maintenant (rigueur partout en Europe)...cassios a écrit :La seule vraie question, c'est quand seront-ils à court de magouilles pour fausser les choses?
Les US, via la FED, semblent vouloir emprunter un autre chemin...pangloss a écrit :"Ils" viennent de décider que ça commençait maintenant (rigueur partout en Europe)...cassios a écrit :La seule vraie question, c'est quand seront-ils à court de magouilles pour fausser les choses?
Lisez entre les lignes chers investisseurs. Voyez à travers la fumée. Lisez les petits caractères au bas du contrat. Ne vous laissez pas tromper par les fraudes que les institutions financières américaines commettent en cachant les pertes réelles qui s'accumulent. La reprise n'est pas là réellement et la seule chose qui soit véritablement en croissance c'est notre dette qui finance des dépenses d'épicerie à court terme pour gonfler artificiellement les ventes du pays PNB (et je crois que c'est sensiblement la même chose au Canada ... oui ... au Canada !)
La question étant évidemment de deviner lesquelles, à moins que de miser sur toutes pour lisser le risque.Incubus a écrit :Il a raison et tort en même temps.boisse a écrit :dontigny il va falloir qu'il aie vite raison si il veut pouvoir continuer sa chronique
Il nous rabache que le krack boursier est imminent depuis un certain temps. Le pire c'est que je suis persuadé qu'il a entierement raison.
Il parle de façon générale.
Il y a des compagnies qui vont bien faire tandis que d'autres vont se casser la gueulle.
C'est surtout un film nettement moins bon que le premier, avec des tonnes d'incohérences.Le film Wall Street 2 est une illustration très fiable de la réalité de la crise
Jake : (en regardant l'appartement) Pourtant vous semblez avoir toujours autant d'argent.
Gordon : Pas du tout, je suis redevenu locataire...
Jake : (regard empli de pitié)
oui, faut pas oublier que son scenario vaut pour l'amerique.parisien a écrit :J'aime bien son expression québecoise : "les gouvernements sont en train d'pelleter en avant, là."
3dsman a écrit : Pourquoi tu dit ca? Le marché est saint !
Prions pour lui.
Il n’y a aucun doute que ce danger d’éclatement du schème de Ponzi est présent et que nous sommes avancés dans ce scénario, dans ce processus économique difficile à revirer, à contrer. Même en sachant que nous sommes pris dans ce cercle vicieux, ça ne nous dit malheureusement pas comment ce ridicule processus se terminera. Mais ça risque fort de se terminer très mal car nous avons dépassé epuis très longtemps le point de non-retour pour un ménage facile au niveau de la quantité de dette mondiale soutenable.
Non Non rien a changé, tout tout va continuer yeye ...Moody’s placed the long-term Aa2 rating of Canada’s fourth- biggest bank and ratings for its subsidiaries on review for downgrade, the rating company said today in a statement. Bank of Montreal’s short-term Prime-1 ratings were affirmed.
Non, tout cela ne va plus continuer bien longtemps...neron a écrit :Non Non rien a changé, tout tout va continuer yeye ...Moody’s placed the long-term Aa2 rating of Canada’s fourth- biggest bank and ratings for its subsidiaries on review for downgrade, the rating company said today in a statement. Bank of Montreal’s short-term Prime-1 ratings were affirmed.
Perspectives 2011
Je suis régulièrement les billets de Paul Dontigny depuis maintenant 2 ans. C'est la première fois que je le vois dire explicitement que les carottes sont cuites:1950-1970 – L’ère des investisseurs individuels qui croyaient que bonne nouvelle = bonne compagnie = bon titre à acheter. Ces investisseurs avaient confiance en leur capacité à prédire et observaient beaucoup les prix relatifs des titres. Ces investisseurs agissaient à court terme et avec beaucoup d’émotion dans leur processus décisionnel (ressemble aux institutions d’aujourd’hui …)
1965-1985 – L’ère des investisseurs institutionnels qui ont apporté une structure dans l’évaluation de compagnies et qui ont remplacé les émotions par une approche plus structurée avec un horizon d’investissement à long terme. Ils ont commencé à utiliser l’actualisation de profits futurs estimés et des ordinateurs pour sélectionner les titres selon plusieurs facteurs diverses.
1980 à maintenant (1987 selon l’article) L’ère de « corporate valuation » ou des corporations évaluatrices. L’évaluation des titres était faite en fonction de leurs profits à long terme, ajustés pour les synergies de fusions et acquisitions, ou nettoyés pour les dispositions de parties de la compagnie ou de filiales.
Je propose que la première et la troisième ères étaient clairement plus spéculatives et correspondaient à des périodes où la spéculation et l’endettement ont créé des bulles, alors que la période où les méthodes d’évaluation, l’investissement prudent et le long terme étaient favoris (1965-1985) sauf au début et à la fin qui ont toutes deux été caractérisés par une bulle qui a éclaté.
Et je propose que nous sommes depuis 1996-2000 dans une nouvelle ère. Celle d’un support artificiel des marchés et de l’économie par certains participants faisant partie des groupes suivants : gouvernement, Fed, dirigeants d’entreprise, Wall Street et les autres institutions financières.
La quatrième ère, celle du support artificiel, se terminera. Et elle se terminera très mal. C’est déjà le temps de commencer à penser à ce que sera la prochaine ère. Selon les leçons de l’histoire et à mon avis personnel, elle sera une ère dans laquelle l’évaluation des entreprises redeviendra basée sur les véritables données économiques, sur l’investissement à long terme et sur la prudence du bon père de famille qui a une responsabilité fiduciaire envers ses clients, que ces clients soient des individus, des caisses de retraite, ou des organismes gouvernementaux comme la Caisse de dépôt ou des fonds souverains.
Êtes-vous prêts pour la nouvelle ère ?
Après plusieurs billets un peu fades, je trouve celui-ci très bon. Le fait que Hoenig fasse ce genre de déclaration publique est-il fait pour préparer les américains à un infléchissement de la politique monétaire US? Ou s'agit-il seulement de quelques moulinets suivis sans doute de quelques coupes dans le train de vie de l'état et les budgets santé et éducation pour finalement faire un QE3 le 31 mars (date annoncée d'assèchement du budget US)?domcat74 a écrit :25 février 2011
Le risque systémique au système financier américain est pire qu'avant la crise
http://www.lesaffaires.com/videos/chron ... ise/527845
En fait je trouve ça super étonnant qu'au sein même de la FED qu'il y ait ce genre de déclaration. La FED me parait le QG du système de monnaie fiat. Et a tout fait pour virer l'or du système monnaitaire.Le bureau est l'organe dirigeant de la Réserve fédérale, dont le siège est à Washington, D.C.. Il compte sept membres nommés par le président des États-Unis et confirmés par le Sénat américain. Leur mandat est de quatorze ans non renouvelable. Celui du président est de quatre ans renouvelable sans limite. Malgré ce processus de désignation, l'institution est en pratique quasiment indépendante du pouvoir politique. Le gouverneur dépose néanmoins régulièrement devant les commissions des affaires monétaires et financières du Congrès.
date du 23 juin
