Mais ça a été le cas !wasabi a écrit : ↑25 nov. 2021, 18:46En particulier un truc m'avait choqué, c'est il y a quelques années quand ça chauffait en cote d'ivoire, les occidentaux avaient tout fait pour que les leaders ne soient pas exécutés. Imagine t'on qu'une puissance qui se mêle de tout aurait empêché pendant la révolution qu'on tue des nobles ou le roi ? Est ce que ça aurait changé l'histoire, est ce que ça aurait donné l'impression aux politiques d'être irresponsables car quoi qu'ils fassent au pire ils allaient terminer leur vie en exil dans le luxe ? Certaines transitions sociétales nécessitent de la violence.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Manifeste_de_Brunswick
Et les réponses, ce fut les guerres contre les puissances étrangères "moralisatrices", Valmy et des violences aux nobles et à la famille royale (qui auraient sans doute eu lieu tout pareil sans injonction étrangère (ici prussienne)).Le manifeste de Brunswick est une proclamation attribuée au chef de l’armée prussienne, Charles-Guillaume-Ferdinand, duc de Brunswick en date du 25 juillet 1792, et adressée au peuple de Paris.
Destiné à intimider Paris, ce manifeste qui « rendant personnellement responsables de tous les événements, sur leurs têtes, pour être jugés militairement, sans espoir de pardon, tous les membres de l’assemblée nationale, du département, du district, de la municipalité, et de la garde-nationale de Paris, juges de paix, et tous autres qu’il appartiendra ; déclarant en outre leurs dites majestés, sur leur foi et parole d’empereur et de roi, que si le château des Tuileries est forcé ou insulté ; que s’il est fait la moindre violence, le moindre outrage à LL. MM. le roi et la reine, et à la famille royale ; s’il n’est pas pourvu immédiatement à leur sûreté, à leur conservation et à leur liberté, elles en tireront une vengeance exemplaire et à jamais mémorable, en livrant la ville de Paris à une exécution militaire et à une subversion totale, et les révoltés, coupables d’attentats, au supplice qu’ils auront mérité » n’aboutit, au contraire, qu’à radicaliser un peu plus la Révolution française.