ET46 a écrit :Tenir tête, ça veut pouvoir dire par exemple imposer un échéancier, ça peut vouloir dire "je fais pression sur la BCE pour qu'elle m'ouvre un accès au guichet", ça peut vouloir dire une infinité de solutions hétérodoxes.
Et du coup, la maman de Bambi, elle ré-apparaît à quel moment ?
Saisis bien que si la pression diminue, d'une manière ou d'une autre, sur les polititocards d'un pays de l'Euroland, quel-qu’il soit, ce dernier va se consacrer 24/7 à sa future réélection à coups de mesures électoralistes ... et en aucun cas à régler les réels soucis auquel est confronté son pays. Ça, c'est pour l'aspect interne.
Pour l'aspect externe, quand tu vas aller voir les prêteurs et leurs indiquer que tu organises un échéancier pour toutes les dettes des pays de l'Euroland (voir Union Européenne), soit un peu moins de 10.000.000.000.000 d'€... non seulement je ne suis pas certain que ça n'entraîne pas au niveau mondial quelques "chamboulements" (car un échéancier, c'est une manière de faire défaut sur sa dette ; ou en tout cas de briser la confiance entre investisseurs et dépensateur-fou-fou), et je doute qu'on puisse continuer d'emprunter sans rencontrer quelques petits soucis.
... et oui, car on continue d'avoir besoin d'emprunter. Ta solution est viable et a déjà probablement été pensée et validée... mais ne peut être appliquée QUE lorsque les pays seront revenu à l'équilibre, ce que demande l'Allemagne !
ET46 a écrit : Aujourd'hui, les pays européens sont pieds et poings liés aux banques et aux institutions financières parce qu'il n'y a aucune volonté politique alternative. Le sommet qui s'est achevé hier est une illustration de plus de cette lâcheté inacceptable des sociaux démocrates européens, Hollande en tête.
Les pays européens sont à plat ventre car ils l'ont décidé. Soit il fallait qu'ils continuent de faire comme avant, c'est à dire maintenir à terre leurs esclaves et continuer de les exploiter et piller leurs terres (et ce par tous les moyens), soit il fallait arrêter de dépenser l'argent qu'on avait pas. Ou si on choisissait la voie actuelle, alors il aurait fallu aller au bout de l'intégration européenne, autoriser l'accès à la BCE directement aux pays, mais sous couvert d'une surveillance globale et indépendante.
En cela nous nous rejoignons : le sommet est une faillite et les politiques n'ont pas les couilles pour faire les bons choix.
Ps : J'ai passé ton passage insultant, pas le plus intéressant à mon sens... il manquait surtout d'originalité. Tu pourrais au moins t'appliquer