Re: Bourse: à quand les 4000 pts ?
Posté : 03 janv. 2019, 20:41
on y va presque tout droit. Avec ce topic on a trouvé le point pivot du CAC, 4000, il y revient comme un élastique
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https://www.boursorama.com/bourse/actua ... d628374c04CAC 40 : le vote sur le Brexit ne fait pas trembler Paris
Cercle Finance 16/01/2019
- Il est des votes dont le résultat était tellement anticipé qu'ils ne provoquent aucune réaction sur les marchés : celui sur le Brexit est de ceux-là, tant les opérateurs semblent préparés depuis des semaines à un rejet du texte âprement négocié par Theresa May avec l'UE par le Parlement.
Ainsi, le CAC 40 avance le plus tranquillement du monde ce matin, de +0,2%, revenant à proximité des 4.800 points.
'Le résultat du vote du Parlement britannique sur le Brexit était connu d'avance, confirment les équipes de Saxo Banque. L'enjeu était surtout de savoir combien de votes allaient manquer au Premier ministre May. Le consensus tablait sur un écart de 100 votes. Dans les faits, il est de 230 votes !'
'Il s'agit d'une défaite magistrale et éclatante pour le gouvernement qui va accentuer le risque politique et accroître la pression à la baisse sur la livre sterling. Il est encore certainement trop tôt pour savoir ce qui va se passer dans les jours prochains. (...) Nous sommes face à un sabordage sans précédent de l'économie britannique par des parlementaires qui n'ont strictement aucune idée précise de ce que doit être le Brexit. La bonne nouvelle, c'est que l'Europe continentale et ses marchés boursiers semblent immunisés sur le moyen terme par les aléas de la vie politique britannique.'
...................
https://www.lepoint.fr/economie/6-chose ... or=CS3-1926 choses à savoir sur les actionnaires du CAC 40
Euronext a mené l'enquête pour savoir qui se cache derrière le principal indice de la Bourse de Paris, valorisé à 1 447 milliards d'euros.
Par Beatrice Parrino le 17/01/2019 | Le Point.fr
Euronext a mené l'enquête pour savoir à qui appartient le CAC 40, valorisé à 1 447 milliards d'euros. L'opérateur de la Bourse de Paris dresse leur profil dans une étude qui vient de paraître. Voici les principaux enseignements :
Seul 60 % de l'actionnariat du CAC 40 est connu avec certitude. C'est que seuls les actionnaires détenant plus de 5 % d'une entreprise ont l'obligation de dévoiler leurs positions auprès de l'Autorité des marchés financiers (AMF).
Les gestionnaires d'actifs dominent le CAC 40, pesant 26 % de l'actionnariat connu du CAC 40. Cinq fonds d'investissement se distinguent, pesant en tout 7,1 % : trois américains (Vanguard, BlackRock et Capital Group) et deux français, Natixis GAM (1,2 %) et Amundi (1,1 %). Vanguard devient d'ailleurs le premier actionnaire de l'indice phare de la Bourse de Paris, avec 2 % de la capitalisation, devançant BlackRock (1,9 %).
Les entreprises du CAC 40 sont encore largement entre les mains de leurs fondateurs ou de leurs familles. Fin 2017, ils possédaient 11,2 % du CAC 40 (167 milliards)contre 10 % (136 milliards) un an auparavant. Les grands groupes de luxe français, LVMH et Kering (dont le principal actionnaire est la famille Pinault, par ailleurs propriétaire du Point), en bonne forme, ont contribué à ce résultat. Le premier actionnaire du CAC 40 est d'ailleurs la famille Arnault (3,9 %), qui se trouve à la tête de LVMH et détient une participation dans Carrefour. La famille Pinault (Kering/Artemis) arrive pour sa part en septième position avec 1,4 %. À noter le poids d'une autre dynastie, celle des Bettencourt Meyers, qui pèse 2,3 % du CAC 40 (3e place) avec sa participation dans L'Oréal.
L'actionnariat individuel ne représente plus que 4,6 % du CAC 40, contre 5,3 % en 2016. La part des actionnaires particuliers a baissé dans la moitié des vingt sociétés du CAC 40 qui ont publié cette information en 2017.
La présence de l'État français se réduit à 2,7 % du poids du CAC 40 contre 3 % un an plutôt, à travers notamment Airbus, Engie, Safran et Orange. L'APE, l'Agence des participations de l'État, a notamment vendu des actions d'Engie et de Renault.
L'État norvégien, qui possède le plus gros fonds souverain au monde (1 000 milliards de dollars), détient 1,6 % de l'indice, grâce à ses parts dans 38 des membres du CAC 40 (sauf Safran et Airbus).
https://www.lepoint.fr/economie/en-2018 ... 459_28.phpEn 2018, le CAC 40 a redistribué plus de 57 milliards aux actionnaires
Le chiffre devrait, comme d'habitude, faire polémique dans un contexte marqué par le mouvement des Gilets jaunes. Mais il faut relativiser.
Par Marc Vignaud le 09/01/2019 Le Point
On entend déjà les figures des Gilets jaunes reprendre l'argument en boucle sur les plateaux télé. En 2018, les entreprises du CAC 40 ont distribué 57,4 milliards à leurs actionnaires sous forme de dividendes (46 milliards) et de rachats d'actions, soit plus qu'en 2007 avant l'éclatement de la crise financière, selon la lettre spécialisée en finance Vernimmen.net reprise par Les Échos, mercredi 9 janvier.
« Pour la première fois que nous compilons ces données, toutes les entreprises du CAC 40 ont versé un dividende avec le retour au bercail d'ArcelorMittal, certes de façon symbolique (83 millions d'euros), pour une entreprise de cette taille », relèvent les deux auteurs de cette étude, Pascal Quiry et Yann Le Fur, professeurs de finance à HEC.
Mais il faut évidemment relativiser de tels chiffres. D'abord, parce que 2017 a été une année très porteuse pour les groupes français les plus prospères et les plus internationalisés. La croissance mondiale a été bonne et leurs résultats ont aussi progressé. Comparé aux bénéfices, l'augmentation des dividendes par rapport à ceux distribués en 2017, de 4,7 %, est relativement limitée, puis les résultats nets courants part du groupe ont bondi de 18 %, expliquent Pascal Quiry et Yann Le Fur.
Des écarts au sein du CAC
Le taux de distribution, c'est-à-dire le rapport entre les bénéfices du CAC 40 et les dividendes, recule par rapport aux années précédentes, à 46 %. En tenant compte des rachats d'actions et des dividendes extraordinaires, on passe à 59 %.
Ce tableau global cache également de fortes disparités entre groupes du CAC 40. Les trois premiers groupes ont assuré 33 % du volume total distribué ! Total arrive en tête avec 10,1 milliards, suivi de Sanofi (4,8 milliards) et de BNP Paribas (3,8 milliards).
Il s'agit là d'entreprises dites « matures », pour lesquelles il est « plus sain » de reverser des dividendes à leurs actionnaires, « plutôt que de les gaspiller en surinvestissements ou en placements oisifs de trésorerie, et de priver ainsi de capitaux propres d'autres groupes qui en auraient besoin pour se développer et vers qui les dividendes et rachats d'actions de ces mastodontes seront réinvestis », considèrent les deux auteurs. Avant de prendre un exemple : « Dans nos activités d'investissement, nous côtoyons au capital de la start-up prometteuse Karos un des fonds d'investissement de la famille Arnault, alimenté grâce au 5e payeur de dividendes qu'est LVMH. »
L'exception française
Il faut aussi noter que les entreprises du CAC 40 ont un profil très particulier. « Par construction, le CAC 40 regroupe les 40 groupes cotés français ou d'origine française aux meilleures performances. Pas plus que l'on ne peut juger du niveau en finance des Français en interrogeant nos 40 meilleurs étudiants, on ne peut juger de la bonne santé de l'économie française en se penchant uniquement sur le CAC 40, dont le périmètre évolue au demeurant chaque année pour sortir les moins performants (LafargeHolcim et Solvay en 2018) et leur substituer des impétrants plus performants (Hermès et Dassault Systèmes) », argumentent les auteurs.
Dans une chronique pour Le Point, l'économiste Patrick Artus, pourtant auteur d'un livre sur les excès du capitalisme actionnarial (Et si les salariés se révoltaient), rappelait, au moment de la sortie d'une étude de l'ONG Oxfam censée illustrer les excès de distribution de dividendes des grands groupes français, que si ceux-ci versent effectivement des dividendes élevés, « la rémunération totale du capital pour les actionnaires est de l'ordre de 9 %, ce qui est probablement acceptable et est beaucoup plus faible qu'aux États-Unis, où elle atteint 14 % alors que les dividendes sont faibles et que les actionnaires sont rémunérés par la hausse des cours boursiers due en particulier aux rachats d'actions par les entreprises ». Car la valeur actionnariale dépend aussi de l'évolution des cours de la Bourse…
Est-ce à dire qu'il n'y a pas de problème avec la répartition de la valeur dans le monde ? Pas si l'on en croit Patrick Artus, le directeur de la recherche économique de la banque Natixis. « Dans la plupart des pays de l'OCDE, la dynamique à l'œuvre est bien celle d'une déformation permanente du partage de revenus en faveur des profits et au détriment des salariés. Le processus a débuté à la fin des années 80 », écrit-il dans son livre corédigé avec la journaliste Marie-Paule Virard. Mais ce phénomène est moins fort en Europe qu'aux États-Unis et au Japon, qui peine à se sortir d'une déflation larvée, tant la progression des salaires y est faible.
La France, au contraire, fait figure d'exception, selon l'économiste. « Le partage des revenus y est favorable aux salariés en France et la rentabilité du capital pour l'actionnaire y est nettement plus faible que dans le monde anglo-saxon. » Ce qui ne veut pas dire que tout va bien dans l'Hexagone. Mais plutôt que les performances des entreprises françaises sont insuffisantes pour dégager une progression suffisante des salaires, surtout face à l'explosion des prix de l'immobilier.
Lorsqu'on évoque les dividendes versées par les entreprises du cac 40, on omet très souvent de préciser qu'ils sont majoritairement versés à des investisseurs étrangers et non-résidents en France...moinsdewatt a écrit : ↑18 janv. 2019, 00:49https://www.lepoint.fr/economie/6-chose ... or=CS3-1926 choses à savoir sur les actionnaires du CAC 40
Euronext a mené l'enquête pour savoir qui se cache derrière le principal indice de la Bourse de Paris, valorisé à 1 447 milliards d'euros.
Par Beatrice Parrino le 17/01/2019 | Le Point.fr
Euronext a mené l'enquête pour savoir à qui appartient le CAC 40, valorisé à 1 447 milliards d'euros. L'opérateur de la Bourse de Paris dresse leur profil dans une étude qui vient de paraître. Voici les principaux enseignements :
Seul 60 % de l'actionnariat du CAC 40 est connu avec certitude. C'est que seuls les actionnaires détenant plus de 5 % d'une entreprise ont l'obligation de dévoiler leurs positions auprès de l'Autorité des marchés financiers (AMF).
Les gestionnaires d'actifs dominent le CAC 40, pesant 26 % de l'actionnariat connu du CAC 40. Cinq fonds d'investissement se distinguent, pesant en tout 7,1 % : trois américains (Vanguard, BlackRock et Capital Group) et deux français, Natixis GAM (1,2 %) et Amundi (1,1 %). Vanguard devient d'ailleurs le premier actionnaire de l'indice phare de la Bourse de Paris, avec 2 % de la capitalisation, devançant BlackRock (1,9 %).
Les entreprises du CAC 40 sont encore largement entre les mains de leurs fondateurs ou de leurs familles. Fin 2017, ils possédaient 11,2 % du CAC 40 (167 milliards)contre 10 % (136 milliards) un an auparavant. Les grands groupes de luxe français, LVMH et Kering (dont le principal actionnaire est la famille Pinault, par ailleurs propriétaire du Point), en bonne forme, ont contribué à ce résultat. Le premier actionnaire du CAC 40 est d'ailleurs la famille Arnault (3,9 %), qui se trouve à la tête de LVMH et détient une participation dans Carrefour. La famille Pinault (Kering/Artemis) arrive pour sa part en septième position avec 1,4 %. À noter le poids d'une autre dynastie, celle des Bettencourt Meyers, qui pèse 2,3 % du CAC 40 (3e place) avec sa participation dans L'Oréal.
L'actionnariat individuel ne représente plus que 4,6 % du CAC 40, contre 5,3 % en 2016. La part des actionnaires particuliers a baissé dans la moitié des vingt sociétés du CAC 40 qui ont publié cette information en 2017.
La présence de l'État français se réduit à 2,7 % du poids du CAC 40 contre 3 % un an plutôt, à travers notamment Airbus, Engie, Safran et Orange. L'APE, l'Agence des participations de l'État, a notamment vendu des actions d'Engie et de Renault.
L'État norvégien, qui possède le plus gros fonds souverain au monde (1 000 milliards de dollars), détient 1,6 % de l'indice, grâce à ses parts dans 38 des membres du CAC 40 (sauf Safran et Airbus).
Tu veux dire si tu avais investi presque pile au creux de 2009 (creux en mars 2009, plus de -50% du prix par rapport à 2007) et que tu n'avais pas payé d’impôts sur les dividendes? Comme ca, c'est sûr que c'est intéressant.olmostoline a écrit : ↑05 févr. 2019, 18:302000, 2007, 2012. 3 krachs ? Et entre chaque krach des périodes de hausses. En 10 ans le CAC GR a fait x2. J'aurais bien voulu être tondu comme ca.
Edith : x2,5, presque x3.
Le CAC GR, tu peux investir depuis un PEA. Et depuis 2007, ca doit être un peu moins bon mais l'indice CAC GR n'existait pas, alors je ne peux qu'extrapoler. En février 2008 le CAC GR était à 8000 points. Si on imagine qu'il était à 10 000 points au plus haut de 2007, ca donne un +45% sur la période. Ca donne 3,7% de performance annuelle. Ca fait 3% de performance annuelle nette de CSG pour celui qui aurait éventuellement investi au point haut. Je t'accorde que le graphique de 10 ans, proposé de base par le site que je consultais, faisait tombé le démarrage de la courbe proche du point bas historique de l'indice.Vincent92 a écrit : ↑05 févr. 2019, 18:37Tu veux dire si tu avais investi presque pile au creux de 2009 (creux en mars 2009, plus de -50% du prix par rapport à 2007) et que tu n'avais pas payé d’impôts sur les dividendes? Comme ca, c'est sûr que c'est intéressant.olmostoline a écrit : ↑05 févr. 2019, 18:302000, 2007, 2012. 3 krachs ? Et entre chaque krach des périodes de hausses. En 10 ans le CAC GR a fait x2. J'aurais bien voulu être tondu comme ca.
Edith : x2,5, presque x3.
En commençant à investir en 2007 et en comptant l'imposition ca donne quoi?
J'ai édité.olmostoline a écrit : ↑05 févr. 2019, 17:44Donc on achète et on vend en même temps ? C'est plus compliqué que prévu...
3% sachant que le livret A n'a pas toujours été à 0,75% depuis 2007 .olmostoline a écrit : ↑05 févr. 2019, 18:56Le CAC GR, tu peux investir depuis un PEA. Et depuis 2007, ca doit être un peu moins bon mais l'indice CAC GR n'existait pas, alors je ne peux qu'extrapoler. En février 2008 le CAC GR était à 8000 points. Si on imagine qu'il était à 10 000 points au plus haut de 2007, ca donne un +45% sur la période. Ca donne 3,7% de performance annuelle. Ca fait 3% de performance annuelle nette de CSG pour celui qui aurait éventuellement investi au point haut. Je t'accorde que le graphique de 10 ans, proposé de base par le site que je consultais, faisait tombé le démarrage de la courbe proche du point bas historique de l'indice.Vincent92 a écrit : ↑05 févr. 2019, 18:37Tu veux dire si tu avais investi presque pile au creux de 2009 (creux en mars 2009, plus de -50% du prix par rapport à 2007) et que tu n'avais pas payé d’impôts sur les dividendes? Comme ca, c'est sûr que c'est intéressant.olmostoline a écrit : ↑05 févr. 2019, 18:302000, 2007, 2012. 3 krachs ? Et entre chaque krach des périodes de hausses. En 10 ans le CAC GR a fait x2. J'aurais bien voulu être tondu comme ca.
Edith : x2,5, presque x3.
En commençant à investir en 2007 et en comptant l'imposition ca donne quoi?
En 2011, le point haut est atteint le 1 février. Pour arriver à ce niveau, il faut attendre avril 2013. 2 ans et 2 mois. Et ca c'est pour le malchanceux qui investit au point haut. Il y a un autre pic le 1 juillet 2015, retrouvé le 1 novembre 2016. En moyenne, quand on investit sur un pic, on met 24 mois pour retomber sur le montant de sa mise initiale. 2007, c'était un gros creux donc ca a du être pire.
source : https://www.abcbourse.com/graphes/eod.a ... 1GRp&t=lc9
C'est un peu comme ça que je vois 2019 : grosse remontée jusque vers mai-juin (on touchera les 6000), correction assez sévère au cours de l'été (retour sur les 5000) et krach (un vrai, cette fois) à l'automne (on commencera 2020 sous 3500).optimus maximus a écrit : ↑05 févr. 2019, 16:53Une poussée de fièvre jusqu'à 6000 points avant la chute ?
je pense que la publication BNP demain matin va donner la tendance.. c est la grosse banque française et elle a un PER de 8 donc si les résultats sont pas bons ça veut dire que toute l économie est en train de ralentir plus fort qu on ne le pense..Delambre a écrit : ↑05 févr. 2019, 19:21C'est un peu comme ça que je vois 2019 : grosse remontée jusque vers mai-juin (on touchera les 6000), correction assez sévère au cours de l'été (retour sur les 5000) et krach (un vrai, cette fois) à l'automne (on commencera 2020 sous 3500).optimus maximus a écrit : ↑05 févr. 2019, 16:53Une poussée de fièvre jusqu'à 6000 points avant la chute ?
En plus, ce serait le scénario idéal pour moi...
C'est ce que j'ai joué en achetant du SG hier matin.
Là on est à -3.7%...