risque de black-out énergétique d'ici deux ans.

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neron
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Re: risque de black-out énergétique d'ici deux ans.

#101 Message par neron » 24 avr. 2020, 14:30

maryd'oc a écrit :
24 avr. 2020, 11:55
Les banques s'apprêtent déjà à saisir les actifs des entreprises canadiennes de fracturation et de sables bitumineux . le secteur et du fait que les entreprises qui ne se livraient qu'à la fracturation n'avaient jamais réalisé de bénéfices ... Ce que la crise de CoVid a fait, c'est précipiter notre chute sur la falaise énergétique vers laquelle nous nous approchions.
Je vous laisse prendre connaissance de l'intégralité de l'article via le lien de Saturne qui nous laisse augurer un avenir bien noir
:lol: Encore une preuve que les adeptes de l’écologisme, néo-fascistes au mieux des totalitaires mous, quêtent, espèrent et appellent la mort de notre société - de ce qui s'opposent à eux, par des peurs et boniments, puis au pouvoir, en sabotant notre société comme ils nous le prouvent tous les jours.

Je ne dis pas qu'on reviendra à la normal mais que l'argumentaire de sa pensée magique "la falaise" ne tient pas.
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1) L'article date d'avril mais ce secteur hyper-réactif pour tirer des Td$, pragmatique, confidentiel car stratégique (à cause de ces Td$) est au courant depuis janvier de la situation donc ses acteurs qui ne manquent pas d'excellants analystes, ont pris des mesures pour en tirer tous les bénéfices (ou alors ils seraient c..),
2) La situation est conjoncturelle (la conso. à LT n'est pas remis en cause) donc si nécessaire tout sera fait pour passer ce cap. En effet c'est le ba.ba de la gestion "Le LT prime sur le CT (stratégie> tactique> opérationnel)" ou le ba ba du capitalisme: "Il faut savoir perdre aujourd'hui pour gagner demain",
3) Depuis -1500, les monothéistes savent tirer avantage de ce type de situation (7 vache grâces, 7 vache maigres),
4) La production est réglable sur certains puits (L'AS a bien baissé sa prod. de 10 mb/j. 60->50),
5) Les stockages ne manquent pas. Au pire on pourrait dans l'urgence les agrandir (mine de sel) voir bruler le surplus (café du brésil),
6) Les banques centrales ont apporté leur garantie aux investissements à long terme (usines, autoroutes et autres infrastructure...) dont l'exploitation pétrolière.
7) Si l'article dit vrai, les investisseurs se précipiteraient pour racheter ces infrastructures qui vaudralent énormément car "après les "x" mois de COVID ..; le prix du brut s'envolerait par manque de production"?
8 ) La baisse du prix a été accélérée par la mise sur le marché des capacités stockées (car remplissable à moindre cout), Il n'y a pas égalité dans le monde réelle entre le prix de vente et d'achat (En fait c'est pas le même brut: l'un est dispo., l'autre non)
9) Le seul problème amah, c'est la coupe réglable mais jusqu'à un certains points. En sus même si ce n'est pas optimal côté pollution (sacré vermine d'écologiste qui ont réussit à détruire la filière nuke ainsi), les centrales peuvent les consommer
10) et d'autres arguments ....
Je vous avais suggéré de regarder navires et stockages car là se trouve la réalité (la façon de gérer ces opportunités par l'état)
La carte n'est pas le territoire - Le monde du Ā (1945) 1er axiome de sémantique générale.

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