@ignatius, j'ai oublié de remplir les année précédente, le cerfa de crédit d'impôt pour les intérêts payés pour une résidence secondaire entre 2010/2011 ...
Jusuq'à quelle année puis-je remonter?
@ignatius, j'ai oublié de remplir les année précédente, le cerfa de crédit d'impôt pour les intérêts payés pour une résidence secondaire entre 2010/2011 ...
Intérêts payés pour une résidence secondaire ?
Glooops ... Principale (c’est de la faute du correcteur d’orthographe)
Bah on va simplifier la fiscalité.
C'est ce qui est prévu ou un souhait ?
Ca ca veut dire que les impôts ont déjà été payés ...
Y compris les Pinel hein
Non les impôts ont été payés par le donateur lorsqu'il a gagné cet argent mais celui qui reçoit lui ne paye rien, c'est un système anti-méritocratique, injuste (celui qui gagne de l'argent par son travail ou sa prise de risque paye des impôts, celui qui reçoit une donation est exempté) et inégalitaire (certains profitent d'un héritage alors que d'autres n'auront rien).
Ils paieront la TVA quand ils dépenseront cet argent. La différence entre un cadeau (les 50 euros de Noël de Mamie pour s'acheter ce qui nous plaît pour lesquels le fisc ne va pas chercher de noises) et une donation à ses enfants, c'est juste la taille du cadeau. J'ai posé la question aux impôts récemment parce que je mets 15 euros tous les mois sur les livrets de mes enfants et me demandais si je devais l'enregistrer comme donation. On m'a dit "présent d'usage" mais on vérifiera quand même le montant cumulé quand je ne serai plus tuteur légal de leurs comptes, c'est ce qui déterminera s'il faut l'enregistrer comme donation ou non. Je leur donnerais 15 euros par mois pour acheter des bonbecs le fisc n'y trouverait rien à redire. Je stockerais cet argent sur mon propre compte en prévision de leur permis de conduire puis leur paierais le permis, le fisc ne trouverait rien à y redire. Les héritiers profitent de l'héritage comme les enfants de parents aisés profitent de l'argent de leurs parents quand ils sont petits. Ce qu'il faut imposer plus c'est l'argent quand il rentre, pas quand il change de main.gilgamesh a écrit : ↑04 juin 2019, 09:52Non les impôts ont été payés par le donateur lorsqu'il a gagné cet argent mais celui qui reçoit lui ne paye rien, c'est un système anti-méritocratique, injuste (celui qui gagne de l'argent par son travail ou sa prise de risque paye des impôts, celui qui reçoit une donation est exempté) et inégalitaire (certains profitent d'un héritage alors que d'autres n'auront rien).
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 2413ab2d76Impôt : la déclaration de revenus en ligne ne convainc pas encore tous les Français
BOURSORAMA AVEC AFP SERVICES•18/06/2019
Environ 25 millions de contribuables ont rempli leur déclaration de revenus 2018 en ligne, soit les deux tiers d'entre eux. Un chiffre en hausse de presque 9% en un an mais bien loin du 100% rêvé par Bercy, souligne Le Figaro.
En matière de déclaration d'impôts, le tout numérique ne convainc pas tout le monde. Cette année, 25 millions des 38,3 millions de foyers fiscaux français ont déclaré leurs revenus courants ou bien exceptionnels perçus en 2018 en ligne, soit les deux tiers, a indiqué lundi 17 juin le ministre de l'Action et des Comptes publics, rapporte Le Figaro. Un chiffre en hausse de presque 9% en un an mais bien loin du 100% rêvé par Bercy, souligne le quotidien.
La généralisation de la déclaration en ligne était pourtant l'une des grandes lignes de la campagne 2019, marquée par l'entrée en vigueur du prélèvement à la source. L'an dernier, les contribuables déclarant moins de 15.000 euros en étaient dispensés. En 2019, seuls ceux dont la résidence principale n'était pas connectée à internet ou qui étaient dans l'incapacité d'effectuer cette démarche pouvaient continuer à utiliser le papier, en signalant leur situation à l'administration. En théorie, 86% des contribuables auraient donc dû déclarer leurs revenus en ligne, explique Le Figaro. Les adeptes de la version papier encourrent en théorie une amende de 15 euros s'ils s'obstinent à faire parvenir leur déclaration par courrier.
L'utilisation d'internet est encouragée", mais elle n'est "pas obligatoire", avait néanmoins assuré M. Darmanin, début avril, lors du lancement de la campagne. L'administration fiscale avait assuré de son côté qu'elle ferait preuve de "bienveillance" sur le sujet.
Vers la fin de la déclaration d'impôts
D'autant qu'avec la mise en place du prélèvement à la source, l'administration a prévu de rendre facultative dès l'an prochain cette déclaration annuelle de revenus pour une partie des contribuables - à savoir ceux dont les revenus ne changent pas d'une année sur l'autre.
"Il y aura l'année prochaine huit millions de foyers qui n'auront pas à faire de démarche de déclaration en 2020", avait indiqué en avril Gérald Darmanin, en précisant que ce nombre serait amené à "augmenter" à moyen terme.
En vertu de cette réforme, les contribuables qui n'ont rien à modifier ou compléter sur leur déclaration pré-remplie pourront dès l'an prochain la valider tacitement. "Ils recevront alors un avis d'impôt sur la base des éléments connus de l'administration", selon Bercy. La déclaration restera en revanche nécessaire pour les travailleurs indépendants, qui versent un acompte à l'administration, calculé en fonction de leurs revenus des mois précédents, et pour les contribuables bénéficiant de crédits ou réductions d'impôts.
https://www.bfmtv.com/economie/12-milli ... 34605.html12 millions de foyers en ont fini avec la déclaration de revenus
21/07/2019
Il s'agit des ménages qui n'ont pas modifié cette année leur déclaration pré-remplie par l'administration. Gérald Darmanin estime dans le JDD que d'ici trois ou quatre ans, plus aucun Français n'aura à remplir de déclaration de revenus.
Et une tâche administrative en moins : la déclaration de revenus est en train de disparaître. En 2020, 12 millions de foyers n'auront pas à la remplir, selon des chiffres de Bercy révélés dans le Journal du Dimanche. Il s'agit des ménages qui n'ont pas effectué de modifications sur leur déclaration cette année. Ils recevront un document récapitulant leurs informations fiscales et s'ils n'ont rien à modifier, ils n'auront aucune démarche à effectuer. S'ils veulent changer certaines informations, ils devront alors remplir une déclaration comme de coutume.
"C'est une énorme simplification pour les Français, c’est toujours fastidieux de faire sa déclaration de revenus, explique Gérald Darmanin, le ministre de l’Action et des Comptes publics dans le JDD. L'administration fiscale aussi est gagnante, car c'est autant de paperasse à gérer qui disparaît.
Bercy ne compte s'arrêter là. Tous les contribuables devraient prochainement ne plus avoir de déclaration à remplir. "Je pense qu’on y arrivera d’ici trois à quatre ans", fait savoir le ministre.
Cette simplification des démarches s'inscrit dans la réforme du prélèvement à la source. Six mois après sa mise en place, c'est l'heure des premiers bilans. "Non seulement la mise en place du prélèvement à la source a été un succès technique, mais il continue d’apporter ses effets positifs pratiques aux Français, qui peuvent moduler en temps réel leur taux d’imposition", met en avant le ministre de l’Action et des Comptes publics.
Des rentrées fiscales en hausse
Dans le détail, 9 millions de foyers fiscaux ont indiqué un changement de leur situation personnelle ou matérielle. Pour 870.000 d’entre eux cela a permis de réviser à la baisse leur prélèvement et pour les 600.000, une hausse.
Ce système favorise aussi les rentrées d'argent. Le taux de recouvrement d'avant la réforme était de 95% s'est nettement amélioré. "Avec 98,5 %, il s’approche de celui des cotisations sociales, qui est de 99 %, se félicite Gérald Darmanin dans les colonnes du JDD. C'est plus que ce que Bercy prévoyait, qui tablait sur 97%.
"Nous avons récupéré des recettes fiscales supérieures à ce que l’on imaginait. Non pas, pour la première fois dans l’histoire du budget, en augmentant l’impôt, mais en faisant payer ceux des Français qui, par fraude ou par phobie des formalités, ne s’en acquittaient pas. Or tant qu’il n’y a pas de déclaration, il ne peut pas y avoir de contrôle." se réjouit le ministre. "C’est une très bonne chose pour l’État et pour la justice que souhaitent nos concitoyens. "
Sont bons les mecs des impôts
Ben suffit de faire gaffe.optimus maximus a écrit : ↑23 avr. 2020, 20:30L'histoire de la déclaration pré-remplie qu'il suffit de valider en un clic, c'est quand même une belle entourloupe. Tu peux oublier quelques centaines d'euros de réduction d'impôts si tu fais pas gaffe.
Des gens qui ont droits à des crédits d'impôt de petite valeur (<500 euros) peuvent de bonne foi penser que la déduction est déjà prise en compte.ignatius a écrit : ↑23 avr. 2020, 20:32Ben suffit de faire gaffe.optimus maximus a écrit : ↑23 avr. 2020, 20:30L'histoire de la déclaration pré-remplie qu'il suffit de valider en un clic, c'est quand même une belle entourloupe. Tu peux oublier quelques centaines d'euros de réduction d'impôts si tu fais pas gaffe.
Pour les professions libérales dans le secteur de la santé, c'est la généralisation du croisement des déclarations d'impôt et des remboursements de sécurité sociale qui rendent la fraude moins aisée.
Je télédéclare depuis des années et c'est fluide, simple et efficace.
Un p'tit coup de Tipp-Ex par-ci, par-là...
"Quant aux biens de standing, ils n'ont rien perdu de leur valeur puisqu'ils ne se vendent pas." Alain Le Bloas, Le Télégramme 18/09/2009
Le problème c'est qu'en suite il faut changer l'écran de ton ordinateur
"Quant aux biens de standing, ils n'ont rien perdu de leur valeur puisqu'ils ne se vendent pas." Alain Le Bloas, Le Télégramme 18/09/2009
CA doit être pour la régularisation en septembre.Paf La Bulle ! a écrit : ↑03 mai 2020, 16:03J'ai un souci avec la case "autoriser le prélèvement", avec mes coordonnées bancaires.
J'ai peur qu'en cliquant j'ai le droit à un double prélèvement : à la source + sur compte bancaire.
Cette case "autoriser le prélèvement", c'est pour les indépendants ? Pas pour les salariés ?
ignatius a écrit : ↑03 mai 2020, 15:57Le problème c'est qu'en suite il faut changer l'écran de ton ordinateur
"Quant aux biens de standing, ils n'ont rien perdu de leur valeur puisqu'ils ne se vendent pas." Alain Le Bloas, Le Télégramme 18/09/2009