Je pense qu'on peut reporter à 2020 directdomcat74 a écrit :du coup, il ne nous reste plus beaucoup de temps sur 2016. On reporte pour 2017 ?
Depuis 2008, on nous prédit l'apocalypse financière. Vœu pieux.
Je pense qu'on peut reporter à 2020 directdomcat74 a écrit :du coup, il ne nous reste plus beaucoup de temps sur 2016. On reporte pour 2017 ?
une OST tout simplement ^^domcat74 a écrit :Le gouvernement italien accepte de sauver la Banca Monte dei Paschi (en pleine nuit)
http://www.lemonde.fr/europe/article/20 ... _3214.html
Au 25/11/2016 le cours était de 0,20€. À la clôture.
Au 28/11/2016 , il passait à 18,55€ à l'ouverture de la bourse milanaise.
Pourquoi aucun médias ou spécialistes n'ont évoqué ce fait pourtant au combien important ?
Quel est le but de cette "manœuvre" ?
Qui sont les "initiateurs" qui se cachent derrière cette manœuvre ?
Ça existe déjà. Investis dans les actions des banques Too big to fail!lecriminel a écrit :j'aimerais bien avoir une société, ou des actions de celle-ci, quand tu fais faillite l'Etat intervient et tu ne perds aucun capital.
Je suis sûr qu'en généralisant cette règle, il y aurait beaucoup plus de d'entreprenariat et de prise de "risque" qui n'en serait plus.
http://www.capital.fr/bourse/actualites ... hi-1196111ROME DEVRAIT APPORTER 6,5 MILLIARDS D'EUROS À MONTE DEI PASCHI
par Stefano Bernabei et Silvia Aloisi
L'Etat italien devrait apporter 6,5 milliards d'euros pour sauver la banque toscane en difficulté Monte dei Paschi di Siena, soit davantage que ce qui avait été envisagé jusqu'ici, a-t-on appris mardi de trois sources proches du dossier.
La révision de l'enveloppe à la hausse fait suite à la demande faite par la Banque centrale européenne (BCE) à Monte dei Paschi de combler un manque de fonds propres que l'institut d'émission estime désormais à 8,8 milliards d'euros, soit 3,8 milliards de plus qu'évoqué jusqu'à présent par la banque.
Une injection de capital de 6,5 milliards d'euros porterait la participation de l'Etat dans Monte dei Paschi à environ 70%.
Les 2,3 milliards d'euros restants proviendraient de la conversion en actions des obligations subordonnées détenues par des investisseurs institutionnels, comme l'exige la nouvelle réglementation européenne en cas de crise bancaire.
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ils ont pas compriscashisking a écrit :Whatever it takes, les enfants ...
Tristement vraicashisking a écrit :Whatever it takes, les enfants ...
Shermann a écrit :Cedric1973/EmileZola parraine tout le monde. Mais c'est Jean Sarkozy qui a parrainé Cedric1973/AlainGarnier/EmileZola.
EmileZola a écrit :Ceux qui savent lire ne perdent pas de temps avec ces torchons de propagande. Ils lisent le Figaro ou à la limite Le Monde.
http://www.lemonde.fr/idees/article/201 ... _3232.htmlDix ans après la crise financière, dans l’attente du prochain choc
Editorial. En dépit des « plus jamais ça » et des nouvelles régulations, les excès de la finance sont de retour. Avec le risque d’un nouveau krach.
LE MONDE | 08.07.2017
C’était il y a dix ans. En juillet 2007, la première onde de choc des subprimes, ces crédits immobiliers accordés à des Américains peu solvables, atteignait les marchés. Les banques, investisseurs et fonds spéculatifs commençaient tout juste à comprendre qu’ils avaient joué aux apprentis sorciers avec des produits financiers dont ils ne maîtrisaient pas la complexité. L’incendie n’allait pas tarder à se répandre dans le reste du monde, jusqu’au Brésil, en Chine et en Europe.
Une décennie plus tard, passé les plans de rigueur, les sommets d’urgence, les sauvetages bancaires et les récessions, la reprise est enfin là. La croissance de la zone euro est positive depuis seize trimestres. En 2017, elle devrait frôler les 2 %. Pourtant, nombre d’Européens, et en particulier de Français, n’ont pas le sentiment que la crise est terminée. Cela tient beaucoup au chômage encore élevé, notamment chez les jeunes. Cela tient aussi au sentiment que, depuis 2008, l’ascenseur social ne fonctionne plus, ou moins bien.
Mais il y a d’autres ombres au tableau. En économie comme en finance, on ne peut jamais affirmer que l’on est tiré d’affaires une bonne fois pour toutes. A peine la page d’une crise se tourne-t-elle que déjà les germes de la suivante se préparent. Ainsi la dérive des subprimes de 2007 fut-elle favorisée par la politique des taux bas instaurée auparavant par la Réserve fédérale… pour contrer l’explosion de la bulle Internet, en 2001.
La dette, encore et toujours
D’où le prochain krach viendra-t-il ? Quelles sont, parmi les « bombes à retardement » identifiées par les économistes, celles qui plongeront à nouveau l’économie mondiale dans la tourmente ? Par définition, il est impossible de le prédire. Mais ce ne sont pas les pistes qui manquent. Car, en dépit des « plus jamais ça » et des nouvelles régulations, les excès de la finance sont de retour. En témoigne l’euphorie régnant sur le monde du « leverage buy-out » (LBO, rachat avec effet de levier). S’ils se montrent plus prudents qu’en 2007 – mais pour combien de temps ? –, les fonds de capital-investissement, alliés aux banques, ont recommencé à racheter des entreprises à tour de bras, en recourant massivement à la dette.
La dette, encore et toujours. Celle de l’ensemble du monde, publique et privée, est passée de 190 % à 230 % du produit intérieur brut entre 2001 et aujourd’hui. Aux Etats-Unis, les ménages ont renoué avec le crédit. Moins pour acheter des logements, comme avant la crise, que des voitures, ou pour payer des études. La dette étudiante a ainsi plus que doublé en dix ans, pour atteindre 1 300 milliards de dollars. En Chine, ce sont les entreprises qui ont multiplié par deux leur endettement depuis 2008 : il culmine aujourd’hui à 160 % du PIB. « Cette fois, c’est différent, entend-on dans les deux cas. Il y a des garanties. » Tout est sous contrôle, nous promet-on. Vraiment ?
La vaie question est de savoir si nos économies seront mieux préparées qu’en 2007 pour affronter le prochain choc. La zone euro, elle, a renforcé ses institutions. Mais sa croissance reste artificiellement soutenue par les aides de la Banque centrale européenne. Or, cette béquille n’est pas éternelle. Sans elle et si, entre-temps, les gouvernements n’ont pas retroussé leurs manches pour restaurer leurs marges de manœuvre (budgétaire, mais pas seulement), nos pays seront trop faibles pour faire face.
https://www.lesechos.fr/finance-marches ... 118450.phpLes 10 potentielles causes de la prochaine crise financière
ETIENNE GOETZ Le 30/09/2017 Les Echos
L’économie mondiale pourrait subir un nouveau choc financier, selon les analystes de Deutsche Bank. Sans prétendre en connaître la date ou la cause exacte, ils passent en revue 10 sujets majeurs qui menacent la stabilité financière.
Le monde commence à peine à se relever de la dernière crise financière que la question du prochain choc est déjà sur la table des économistes. Chez Deutsche Bank, les analystes ont consacré une longue note pas vraiment optimiste sur le sujet.
Ils rappellent que les crises reviennent régulièrement . D'autant plus qu'avec la croissance exponentielle de la finance, l'internationalisation des banques, l'abandon de l'étalon-or... l'économie mondiale est devenue de plus en plus instable, augmentant au passage la fréquence et l'ampleur des crises.
Malgré la régulation introduite après 2008, censée rendre le monde plus sûr, et bien que les différentes économies montrent des signes de croissance solide, «ce serait un acte de foi énorme d'affirmer que les crises ne constitueront plus un évènement régulier du système financier en place depuis les années 1970», avertit la banque allemande.
Les économistes de Deutsche Bank se gardent bien de donner un calendrier précis; ils ne s'avancent pas plus sur l'origine exacte de la prochaine crises financière. Ils ont néanmoins relevé une dizaine de sujets majeurs de préoccupation pour la stabilité financière.
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L'économie mondiale se porte bien, même très bien, avec une croissance de +3,6% attendue cette année prédisent les experts du FMI. Mais ce moteur ronflant repose sur un baril de poudre : une dette stratosphérique, de 135 000 milliards de dollars. Cela représente plus de deux fois le produit intérieur brut de l'ensemble des pays du G20. 235%.
Un chiffre à mettre en rapport avec le ratio d'endettement de bon père de famille de 60% du PIB, un niveau considéré comme soutenable dans la zone euro.
En revanche, on sait que les 30 plus grandes banques du monde, c'est-à-dire celles qui présentent un risque systémique de contamination, détiennent le tiers des créances, c'est-à-dire bien assez de carburant pour enflammer toutes les places financières.
La remontée des taux d'intérêt pourrait être douloureuse.
C'est le terreau qui peut favoriser une crise. La réserve fédérale a commencé et les autres devraient suivre.
Le risque c'est de revivre une réplique de 2008 ?
D'après le FMI le choc serait moindre. Mais quand même... on parle d'un recul du PIB, d'une chute violente des bourses et des marchés immobiliers. Un risque que les investisseurs visiblement ignorent totalement. Ils sont toujours en pleine euphorie,
ah ben oui c'est plus tard.moinsdewatt a écrit :Pour la nouvelle crise financière on m' informe que c'est retardé à 2018.
Ah moins que ça soit plus tard.
http://www.slate.fr/story/157630/econom ... hiller-vixOn ne veut pas vous faire paniquer, mais une crise boursière va probablement éclater en 2019
Pierre Rondeau — 14 février 2018
Si l’on en croit deux indices boursiers et l’éminent économiste Patrick Artus de la banque Natixis, il faudrait s'attendre à une crise des actions dès l'année prochaine.
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https://usbeketrica.com/article/la-proc ... qu-en-2007« La prochaine crise financière sera bien pire qu'en 2007 »
fev 2018
Dix ans après la crise financière et économique qui a ébranlé le monde, tout pourrait recommencer, en pire. Des bulles spéculatives ont gonflé un peu partout et la régulation de la finance est loin d’avoir été aussi efficace qu’escompté. Et pour ne rien arranger, le monde est plus endetté, et donc plus vulnérable, que lors de la crise des subprimes. De Jean-Claude Trichet, ancien président de la Banque centrale européenne, à Benjamin Coriat, membre des économistes atterrés, l’analyse n’est pas à l’optimisme. Et le risque concerne le court terme.
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cette lecture est pour vous :Tom-Personne a écrit :Par exemple, il y a pas mal de gens qui proposent d'acheter de l'or, mais ça m'a toujours paru très douteux.
Outre que l'or ne se mange pas, il suffit d'une simple loi pour que l'Etat le confisque.
http://www.24hgold.com/francais/contrib ... .+Phillips.La confiscation de l’or par les Etats-Unis en 1933 pourrait-elle se reproduire ?
Vous savez certainement que la possession d’or a été rendue illégale aux Etats-Unis le premier mai 1933. Ce que l’on ne vous dit pas, c’est que les citoyens Américains, selon la loi 6102, étaient autorisés à détenir jusqu’à 100 dollars sous forme de pièces d’or (soit un peu plus de cinq onces d’or). Aujourd’hui, la valeur de ces pièces serait d’un peu moins de 8400 dollars. Cette loi permettait aux citoyens de conserver une partie de leur or, dans le même temps que la possession d’or réelle était abolie. Afin de pouvoir comprendre pleinement l’attitude des gouvernements envers l’or en temps de crise, jetons un œil sur le paragraphe ci-dessous :
Le Congrès pourrait aisément révoquer à nouveau ce privilège. A dire vrai, tout au long de ce dernier siècle, le gouvernement des Etats-Unis n’a jamais officiellement reconnu le droit des particulier à posséder de l’or. Le Trading with the Enemy Act, invoqué par le président Roosevelt en 1933 afin de restreindre les transactions en or entre particuliers, est aujourd’hui toujours de rigueur. Bien que la propriété privée d’or ait été rendue légale aux Etats-Unis le 15 août 1974, le président possède encore le droit de confisquer l’or de ses citoyens. Le président des Etats-Unis a la possibilité, grâce à l’Emergency Banking Act, ‘d’examiner, de réguler et de prohiber… l’importation, l’exportation, la propriété et la fonte d’or’ en cas d’urgence. Il est très peu probable que les tribunaux ou le Congrès parviennent à défendre le fait que la confiscation de l’or ne soit pas implicite à l’Emergency Banking Act si une crise fiduciaire ou fiscale forçait à nouveau le président à nationaliser l’or de ses citoyens.
Le privilège, et non le droit, pour les citoyens Américains de posséder de l’or, a été restauré le 15 août 1974 (et non en 1971, lorsque Nixon décidait de faire flotter le dollar par rapport à l’or et d’empêcher les banques centrales de convertir leurs dollars en or). Il est important de bien comprendre l’importance de l’or aux yeux du gouvernement, et que le droit de confiscation puisse ne pas se restreindre aux individus et institutions, mais à un ou plusieurs nations.
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Acheter un plan "B" : une maison a la campagne chauffée au bois avec un potager et des arbres fruitiers.Tom-Personne a écrit :Puisque la file est remontée, j'en profite pour demander : quelles sont les options pour se mettre à l'abri, autant que faire se peut ?
N'importe quoi. En 1945 le pays était en ruine, ils ont mis les tickets de rationnement. Personne n'est mort de faim. Là il y a les réserves de pâtes et de conserves pour tenir des semaines, les agriculteurs continueront à produire, une nouvelle monnaie sera émise et en attendant éventuellement que ca se calme les gens feront du troc.Hippopotameuuu a écrit :Acheter un plan "B" : une maison a la campagne chauffée au bois avec un potager et des arbres fruitiers.Tom-Personne a écrit :Puisque la file est remontée, j'en profite pour demander : quelles sont les options pour se mettre à l'abri, autant que faire se peut ?
Quand ça va s'effondrer, les grandes villes vont devenir des enfers sur terre.
achillemo a écrit : En 1945
Surface agricole et population en 1945 ? Aujourd'hui ?Il faut des hectares pour nourrir une famille.
Pooteen président !Shermann a écrit :It's a jungle out there : 978-2412019689
Clairement, dans les campagnes, a cette epoque là, ils ne savaient meme pas à quoi servait un ticket de rationnement. la bureaucratie aux citadins, dans les campagnes, la ferme, la terre et l echange permettaient de nourrir tout le monde a sa faim sans avoir besoin de rationner.achillemo a écrit :N'importe quoi. En 1945 le pays était en ruine, ils ont mis les tickets de rationnement. Personne n'est mort de faim.Hippopotameuuu a écrit :Acheter un plan "B" : une maison a la campagne chauffée au bois avec un potager et des arbres fruitiers.Tom-Personne a écrit :Puisque la file est remontée, j'en profite pour demander : quelles sont les options pour se mettre à l'abri, autant que faire se peut ?
Quand ça va s'effondrer, les grandes villes vont devenir des enfers sur terre.
St Ex, Le petit prince a écrit :Les hommes n'ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis.
https://www.capital.fr/entreprises-marc ... te-1296619UNE CRISE FINANCIÈRE COMPARABLE À 1998 EST-ELLE IMMINENTE ?
05 juillet 2018
Dans une étude, le géant bancaire Bank of America Merrill Lynch affirme que la situation actuelle n’est pas sans rappeler celle de 1997-1998, marquée par une crise financière historique en Asie, des turbulences dans le monde émergent et la débâcle des Bourses mondiales.
L’été pourrait être agité, prévient Bank of America Merrill Lynch (BofAML). Dans une note de recherche relayée par Bloomberg il y a quelques jours, la banque d'investissement met en garde les investisseurs sur les troublantes similitudes existant entre la situation actuelle de l’économie et des marchés mondiaux et celle qui prévalait près de vingt ans plus tôt. Et ce, alors que la planète avait connu à l’époque des turbulences majeures, avec une débâcle historique des monnaies et des Bourses asiatiques, la cessation de paiement de Moscou et une panique des marchés financiers mondiaux.
Les analystes de BofAML rappellent qu'entre juillet et octobre 1998, les actions des pays émergents avaient perdu près de 60% de leur valeur exprimée en dollar, que le S&P500 (indice actions américain plus représentatif que le Dow Jones) avait plongé de 22%, le Nasdaq (indice américain riche en valeurs technologiques) de 33% et que la volatilité avait bondi. L'indice de la peur (le Vix, mesurant la volatilité des actions à Wall Street) était alors passé de 16 à 50. Les points communs entre 2018 et 1997-1998 sont nombreux : tour d’horizon.
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Krach en vue sur les actions ?
Dans ces conditions, Bank of america Merrill Lynch n’exclut pas de prochaines turbulences cet été, avec une possible chute de près de 20% du Nasdaq, ce qui le ramènerait à 6.000 points, soit le niveau d’avril 2017...
Je confirme.m.enfin a écrit :Clairement, dans les campagnes, a cette epoque là, ils ne savaient meme pas à quoi servait un ticket de rationnement. la bureaucratie aux citadins, dans les campagnes, la ferme, la terre et l echange permettaient de nourrir tout le monde a sa faim sans avoir besoin de rationner.achillemo a écrit :
N'importe quoi. En 1945 le pays était en ruine, ils ont mis les tickets de rationnement. Personne n'est mort de faim.
Ce qui a donné lieu à une inflation importante, jusqu'en 1948/1949. Exemple, une femme et ses 2 enfants, 80% de ses revenus partaient dans la nourriture, un travailleur de force c'était 40/50% de ses revenus.achillemo a écrit :En 1945 le pays était en ruine, ils ont mis les tickets de rationnement.
"Quant aux biens de standing, ils n'ont rien perdu de leur valeur puisqu'ils ne se vendent pas." Alain Le Bloas, Le Télégramme 18/09/2009
c'est plus qu'aujourd'hui ? je veux dire que peut-être que les dépenses contraintes de l'époque (alimentation, 80% des revenus) sont équivalentes à celles d'aujourd'hui (alimentation, assurances obligatoires, impots, éventuelement frais de déplacement, 80% pour ceux qui sont sous la mediane ?)Paf La Bulle ! a écrit :Ce qui a donné lieu à une inflation importante, jusqu'en 1948/1949. Exemple, une femme et ses 2 enfants, 80% de ses revenus partaient dans la nourriture, un travailleur de force c'était 40/50% de ses revenus.achillemo a écrit :En 1945 le pays était en ruine, ils ont mis les tickets de rationnement.
Lire le reste.Préparez-vous à la crise mondiale, lancée par la Chine... et par l’énergie
Mark Newton est un ancien de Wall Street, ancien analyste technique en chef du fonds spéculatif de plusieurs milliards de dollars Greywolf Capital, et auparavant stratège technique de Morgan Stanley. Newton pronostique que le marché boursier étasunien est sur le point d’atteindre un pic qui sera suivi d’une chute massive de 40 à 50 % à partir du printemps 2019 ou au plus tard en 2020...
Les prévisions de Newton sont similaires à celles de l’économiste étasunien Robert Aliber, professeur à la Booth School of Business de l’Université de Chicago. Plus tôt cette année, Insurge Intelligence (le site animé par l’auteur de cette tribune, NDLR) a rendu compte en exclusivité de la prévision par Aliber d’un krach boursier (40-50 % en 2018 ou peu après), sur le fondement des analyses des crises bancaires précédentes...
Cela pourrait bien conduire à un scénario de krach financier mondial bien pire que celui qui a commencé en 2008...
L’équipe a tenté d’affiner le calcul du TRE, notant que les calculs standard de ce rendement se fondent sur l’énergie produite au niveau du puits rapportée à celle utilisée pour l’extraire, alors qu’une mesure plus précise prendrait en compte l’énergie disponible au « point de consommation » (après non seulement extraction, mais aussi transformation et transport jusqu’au point d’utilisation concrète). En utilisant cette approche du TRE, l’étude constate que, sur une période d’environ trois décennies (entre 1987 et 2012), le rendement de l’extraction des combustibles fossiles domestiques de la Chine a diminué de plus de moitié, passant de 11 pour 1 à 5 pour 1...
« En 1987, les secteurs de production d’énergie consommaient en moyenne 1 tonne d’équivalent charbon standard (TEC) d’énergie pour produire 10,01 TEC d’énergie nette. Mais en 2012, ce rapport est tombé à 4,25. »...
Mais la Chine n’est pas la seule à connaître un déclin de son TRE. Il s’agit d’un phénomène mondial, qui a récemment été noté dans un rapport scientifique aux Nations unies...
Je viens de me faire le document introductif. C'est diablement creux et tout juste bon à indexer des références sans lien clair.Des scientifiques avertissent l'ONU de la fin imminente du capitalisme libéral.
The UN’s Global Sustainable Development Report is being drafted by an independent group of scientists (IGS) appointed by the UN Secretary-General. The IGS is supported by a range of UN agencies including the UN Secretariat, the UN Educational, Scientific and Cultural Organization, the UN Environment Programme, the UN Development Programme, the UN Conference on Trade and Development and the World Bank.
BIOS est une unité de recherche autonome de Finlande.The paper, co-authored by Dr Järvensivu with the rest of the BIOS team, was commissioned by the UN’s IGS specifically to feed into the chapter on ‘Transformation: the Economy.’ Invited background documents are used as the basis of the GSDR, but what ends up in the final report will not be known until the final report is released next year.
http://www.leparisien.fr/economie/georg ... 039421.php«La finance va vivre un tsunami d’ici fin 2020», selon l’ex-n°2 de Wall Street
Delphine Denuit et Matthieu Pelloli| 25 mars 2019,
Ancien vice-président de la Bourse de New York, Georges Ugeux tire la sonnette d’alarme sur le niveau de surendettement explosif des pays industrialisés.
L’ancien numéro deux de la Bourse de New York est formel. Il faut se préparer à vivre une crise financière mondiale sans précédent avant la fin 2020. À 74 ans, l’actuel président et patron belge de la société de conseil Galileo Global Advisors, Georges Ugeux, tire la sonnette d’alarme et en décrypte les ressorts dans son dernier ouvrage « la Descente aux enfers de la finance »*.
Plus dévastatrice encore que celle qui a secoué la planète en 2008, cette crise serait cette fois non plus causée par les mauvais placements des banques mais par le niveau extrêmement élevé de l’endettement des États. Il nous explique ce qui lui fait craindre le pire.
Dix ans après la crise de 2008, qu’est-ce qui vous fait dire qu’on va dans le mur ?
GEORGES UGEUX. Depuis des années, les États ont pu s’endetter dans des conditions excessivement favorables et ne s’en sont pas privés. À tel point que des pays comme l’Italie, la France, les États-Unis et le Japon sont arrivés à niveau d’endettement qui n’est plus soutenable. Le montant de la dette publique mondiale s’élève désormais à 63 000 milliards de dollars (55 000 milliards d’euros) dont 10 000 milliards de dollars (8 800 milliards d’euros) émanant de l’Europe, 10 000 milliards de dollars du Japon et 22 000 milliards de dollars (19 000 milliards d’euros) des États-Unis… Au fur et à mesure que les taux d’intérêt augmentent -comme c’est déjà le cas-, les déficits budgétaires augmentent et menacent la notation de ces pays et leur capacité à se refinancer sans exploser. C’est arithmétique. C’est ce qui me fait dire que d’ici à fin 2020, nous allons vivre un tsunami financier. Ce qui est arrivé à Lehman Brothers, c’est lilliputien à côté de ce qui nous attend !
Quelle serait l’étincelle ?
Je ne connais pas l’élément déclencheur… Les banques centrales et les gouvernements vont peut-être la déclencher par leur action. En se rendant compte de la dangerosité et du niveau de leurs emprunts d’État, certains de ces acteurs risquent de commencer à les vendre et lancer la spirale qui va faire grimper les taux d’intérêt et on connaît la suite.
Quelles solutions préconisez-vous ?
Il faut sortir du déni. Les banques centrales doivent absolument arrêter progressivement d’emprunter de l’argent facile. Les gouvernements doivent avoir une meilleure discipline budgétaire. Et il faut tester la hausse graduelle des taux d’intérêt comme l’ont fait les États-Unis pour sortir d’urgence des taux négatifs. Je suis convaincu que lorsqu’on a des taux extrêmement bas, le fait de les bouger dans un sens ou un autre n’a aucun impact sur la décision d’un chef d’entreprise ou d’un ménage d’investir.
La France est secouée par la crise des Gilets jaunes, comment l’interprétez-vous ?
Nous vivons une perversion du capitalisme où les entreprises parviennent à faire faire aux États à peu près ce qu’elles veulent alors qu’elles contribuent peu aux besoins de l’État. Typiquement, un dispositif, le CICE (Crédit d’impôt compétitivité emploi), mis en place sous la présidence de François Hollande, a permis d’octroyer 40 milliards d’euros aux entreprises. Et alors qu’on avait demandé au Medef de s’engager sur la création d’un million d’emplois, rien n’a été fait…
Le gouvernement a pourtant mis sur la table 11 milliards d’euros, était-ce une erreur ?
Ce qui s’est passé sur les Champs-Élysées n’est pas un problème d’argent. Le problème, c’est qu’une classe moyenne entière se sent complètement déconnectée, que son vote ne sert à rien, que le président, élu théoriquement d’un gouvernement de gauche, mène une politique de droite. Emmanuel Macron a joué avec le feu. Ce qui pèche, c’est davantage la séquence des mesures lancées par Emmanuel Macron que les mesures elles-mêmes…
Que voulez-vous dire ? Il ne fallait pas supprimer l’Impôt sur la fortune (ISF) ?
Si, bien sûr. L’ISF est une aberration fiscale non parce qu’elle taxe les riches mais parce qu’elle taxe le stock de richesses qu’on appauvrit, ce qui ne sert à rien. Il aurait fallu le remplacer par une tranche d’impôt supplémentaire, une cinquième tranche imposée à 55 % à partir de 1 million d’euros de revenus par exemple. Si le citoyen a le sentiment que le système fiscal est inéquitable, il devient désespéré et c’est ce à quoi on assiste avec la crise des Gilets jaunes.
Votre discours dénote de la part d’un banquier… Seriez-vous un banquier de gauche ?
Non, d’ailleurs je ne suis plus tout à fait un banquier mais un financier. J’ai vu la finance évoluer et j’ai vécu mon chemin de Damas en 2008 en voyant à quel point les banques avaient agi de manière irresponsable et mon regard critique s’est acéré. Parce que, soyons clairs, on ment aux citoyens.
*La Descente aux enfers de la finance, préfacé par Jean-Claude Trichet, éditions Odile Jacob, 336 pages, 23,90 euros.
Rien du tout, le pli est pris, les banques centrales interviendront. On suit l'exemple japonais, une sorte d’économie dirigée en quelle que sorte.moinsdewatt a écrit : ↑25 mars 2019, 20:37http://www.leparisien.fr/economie/georg ... 039421.php«La finance va vivre un tsunami d’ici fin 2020», selon l’ex-n°2 de Wall Street
Delphine Denuit et Matthieu Pelloli| 25 mars 2019,
Ancien vice-président de la Bourse de New York, Georges Ugeux tire la sonnette d’alarme sur le niveau de surendettement explosif des pays industrialisés.
L’ancien numéro deux de la Bourse de New York est formel. Il faut se préparer à vivre une crise financière mondiale sans précédent avant la fin 2020. À 74 ans, l’actuel président et patron belge de la société de conseil Galileo Global Advisors, Georges Ugeux, tire la sonnette d’alarme et en décrypte les ressorts dans son dernier ouvrage « la Descente aux enfers de la finance »*.
Plus dévastatrice encore que celle qui a secoué la planète en 2008, cette crise serait cette fois non plus causée par les mauvais placements des banques mais par le niveau extrêmement élevé de l’endettement des États. Il nous explique ce qui lui fait craindre le pire.
Dix ans après la crise de 2008, qu’est-ce qui vous fait dire qu’on va dans le mur ?
La France est secouée par la crise des Gilets jaunes, comment l’interprétez-vous ?
*La Descente aux enfers de la finance, préfacé par Jean-Claude Trichet, éditions Odile Jacob, 336 pages, 23,90 euros.
Aussi il faut voir des phrases chocs pour la promotion de son livre.
https://www.les-crises.fr/la-montagne-d ... toussaint/La montagne de dettes privées des entreprises sera au coeur de la prochaine crise financière, par Eric Toussaint
4 mai 2019
Les ingrédients d’une nouvelle crise financière internationale majeure sont réunis. Les dirigeants des banques centrales le savent de même que les dirigeants d’institutions comme le FMI, l’OCDE et la Banque des règlements internationaux. De nombreux articles de la presse spécialisée y sont consacrés. Un des facteurs qui mènent l’économie vers une crise vers une nouvelle crise internationale de grande ampleur, c’est l’énorme accumulation de dettes par les grandes entreprises privées et l’usage qui est fait de ces dettes.
Pourtant les gouvernements des principales économies de la planète avaient promis de rétablir une discipline financière qui respecterait l’intérêt général et éviterait de nouvelles crises aux effets douloureux pour la population. Afin de défendre ce système capitaliste qui écœure une majorité de l’opinion publique, ils ont multiplié les effets d’annonce de mesures fortes visant à réformer le système pour lui donner un “visage humain”, mais bien sûr sans que cela ne change quoi que ce soit en pratique. En réalité, la politique que les gouvernements et les dirigeants des banques centrales ont menée a ménagé et favorisé les intérêts du grand capital, notamment celui des grandes sociétés financières. Aucune mesure stricte n’a sérieusement obligé les capitalistes à mettre un frein à la prise de risque, à réduire la spéculation, à investir dans la production.
Les crises font partie du métabolisme du système capitaliste mais elles ne se ressemblent pas toutes. Dans le présent article, il ne s’agit pas de revenir sur les causes générales des crises capitalistes. Il s’agit ici de diagnostiquer des facteurs qui conduisent certainement à une nouvelle crise de grande ampleur.
Quand elle éclatera, les gouvernements, les dirigeants des banques centrales et la presse dominante feindront l’étonnement comme à chaque fois.
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https://www.parismatch.com/Actu/Economi ... le-1642163Wall Street redoute une récession mondiale
Paris Match | Publié le 14/08/2019
La Rédaction avec AFP
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http://www.leparisien.fr/economie/vers- ... 131626.phpVers une nouvelle crise économique mondiale à la fin de l’été ?
Les soubresauts sur les marchés financiers, bousculés par la crise entre les Etats-Unis et la Chine, font craindre, à certains spécialistes, une très chaude fin d’été.
10 août 2019 Le parisien
https://www.boursorama.com/bourse/actua ... f82d326f87Le krach de 1929 fête son 90 ème anniversaire
BOURSORAMA•24/10/2019
Le jeudi 24 octobre 1929, la Bourse de New York vivait son « jeudi noir » : une séance boursière marquée par une chute de 22,6% pour l'indice phare de Wall Street, le Dow Jones. Un effondrement qui restera dans les annales comme la plus importante crise de l'histoire du capitalisme moderne et qui précipita les Etats-Unis dans la grande dépression. Retour sur cette séance historique, 90 ans après, jour pour jour.
Origines du krach
Les années 20 ont été marquées par une phase de forte croissance économique. Au sortir de la Première Guerre mondiale, le monde industriel vit deux révolutions majeures dans deux secteurs clés, que sont l'industrie et l'automobile . C'est l'époque du Fordisme. Le progrès technique permet alors d'engendrer des gains de productivité qui hissent les Etats-Unis au rang de première puissance industrielle au monde.
Sur la période 1917-1927, la croissance moyenne de la productivité atteint en moyenne 3,8% par an, «son plus haut niveau de l'histoire», selon l'économiste Jean-Pierre Petit.
De 1922 à 1929, l'indice Dow Jones progresse en moyenne de 18% par an, soit une hausse de plus de 300% en seulement 8 ans. Dans le même temps, la production industrielle américaine enregistre une hausse de 50%, une progression significative mais qui reste loin des 300% de hausse du Dow Jones sur la période.
Exubérance irrationnelle
«Le cours des titres augmente plus que les profits des entreprises, qui eux-mêmes augmentent plus que la production, la productivité, et enfin plus que les salaires, bons derniers dans cette course», résume un spécialiste de l'histoire économique. C'est cette déconnexion entre la réalité économique et le sentiment que la Bourse ne peut que monter qui alimenta tous les excès.
Une bulle spéculative se forme alors, amplifiée par le nouveau système d'achat à crédit d'actions. Baptisé call loan, ce système permet aux investisseurs d'acheter des titres avec une couverture de seulement 10% : ainsi un dollar déposé permet d'acheter 10 dollars. Quelques jours avant le krach (les 18, 19 et 23 octobre), les premières ventes massives ont lieu. Ce sont encore des prises de bénéfices, mais elles commencent à entraîner les cours à la baisse.
Retour sur le «jeudi noir»
Le jeudi 24 octobre 1929, un vent de panique se met à souffler sur les marchés. L'étincelle qui a mis le feu aux poudres ? Une rumeur qui circule dans les salles de marchés selon laquelle de gros investisseurs auraient pris massivement leurs bénéfices. La nouvelle se répand comme une trainée de poudre. A l'approche de la mi-séance, les acheteurs ont déserté le marché. Plus personne ne veut acheter, quel que soit le prix, ce qui provoqua un effondrement des cours. À midi, l'indice Dow Jones accuse une perte de 22,6 %, c'est la plus forte chute d'un indice boursier de l'histoire.
Face au désastre, les principaux banquiers de new York se réunissent en urgence et décident d'intervenir pour soutenir les cours, ce qui permet de contenir la baisse. Mais cela ne suffit pas à rassurer les organismes de prêts qui demandent aux emprunteurs de leur restituer les liquidités prêtées. De nombreux investisseurs qui ont emprunté pour spéculer sont ainsi contraints de liquider leurs positions (appels de marge ou margin calls) ce qui accentue la baisse. A la clôture, le Dow Jones parvient à limiter son repli à 13% pour ce seul jeudi noir.
Entre octobre et fin décembre 1929, la chute des indices se poursuivit, avec un repli de 32% pour le Dow Jones. Ce krach boursier eut des répercussions majeures, aux quatre coins du globe. L'Amérique traversa une période de déflation et de grande dépression. Pour d'autres pays comme l'Allemagne c'est au contraire l'hyperinflation qui mis à genoux l'économie et constitua un terreau fertile pour l'avènement du troisième Reich.
Attention à Delamarche.olmostoline a écrit : ↑25 oct. 2019, 06:07Delamarche continue à dire que le monde boursier va s'effondrer lamentablement, et pendant ce temps la le CAC talonne les 5700 points.
Tout à fait.cashisking a écrit : ↑25 oct. 2019, 09:33J'aurais mis ma main à couper pour un krach immo entre 2005 et 2007, aujourd'hui les prix ont doublé et ceux qui ont acheté en 2005 ont fini de payer.
Mieux vaut rester humble devant tout ça.