Intéressant concept que je ne connaissais pas, merci.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Fen%C3%AAtre_d%27Overton
Je n'accepte effectivement pas la modification de la fenêtre d'Overton en faveur de l'islam et de l'immigration opérée par les merdias et les intellectuels depuis les 80's de ma jeunesse, voir depuis les 60's de mon illustre idole De Gaulle.Selon la description d'Overton, sa fenêtre comprend une gamme de politiques considérées comme politiquement acceptables au regard de l'opinion publique existante, et qu'une personnalité politique peut donc proposer sans être considérée comme trop extrême, pour gagner ou conserver une fonction publique.
Après la mort d'Overton, d'autres ont examiné le concept d'ajustement de cette fenêtre d'idées acceptables, par la promotion délibérée d'idées en dehors de cette fenêtre (ou d'idées situées à la « frange externe ») avec l'intention de rendre acceptables, par comparaison, des idées jusqu'alors considérées comme marginales. [...]
Les médias, en tant qu'acteurs influents de l'opinion publique, sont susceptibles d'être un outil de la modification de cette fenêtre
L'islamisation de la France était impensable à ces époques. Le grand remplacement aussi... sauf dans l'esprit de De Gaulle comme une menace et il décolonise l'Algérie pour l'éviter. L'immigration était tolérée voir encouragée (portugais) sous condition de travail et d'assimilation complète aux moeurs françaises.
Toutes choses que les merdias mainstream tentent de faire passer pour acceptable voir inévitable. Non.
Comme quoi les gilets jaunes ont eu raison. Et ils doivent redonner de la voix. Et les français doivent emmerder Macron et les élus LREM.Dans son discours West India Emancipation à Canandaigua, New York, en 185712, le chef abolitionniste Frederick Douglass a décrit comment l'opinion publique limite la capacité des personnes au pouvoir d'agir en toute impunité :
« Trouvez simplement ce qu'un peuple est prêt à subir en silence, cela vous donnera la mesure exacte de l'injustice et du mal qui lui seront imposés, et cela continuera jusqu'à ce que se manifeste une résistance par les mots ou la violence, ou les deux. Les limites des tyrans sont fixées par l'endurance de ceux qu'ils oppressent. »






