petit jaloux
ca serait sympa de vivre la vie de bédoin, moi ça me plairait bien.
petit jaloux
Justement, Carlos avait trouvé des placements défiscalisés, mais il avait sous-estimé les risques.
Ou pour le FPLP
Bien vu ! D'après le financial time, il serait tombé dans un piège. Il préparait une grosse fusion Nissan Renault, qui ne plaisait pas aux japonais.cashisking a écrit : ↑19 nov. 2018, 13:27La demande d'éviction de Ghosn est venue très très très très rapidement.
Y'aurait un complot là-dessous pour prendre le contrôle de Renault que ça ne m'étonnerait qu'à moitié.
ou peut-etre que c'était seulement devenu un boulet avec son salaire astronomique, défaut aggravé si son salaire l'interessait plus que la boite, défaut aggravé si son salaire dépendait du court-terme le menant à un politique type J2M.clairette2 a écrit : ↑21 nov. 2018, 08:07Bien vu ! D'après le financial time, il serait tombé dans un piège. Il préparait une grosse fusion Nissan Renault, qui ne plaisait pas aux japonais.cashisking a écrit : ↑19 nov. 2018, 13:27La demande d'éviction de Ghosn est venue très très très très rapidement.
Y'aurait un complot là-dessous pour prendre le contrôle de Renault que ça ne m'étonnerait qu'à moitié.
Ne pas sous estimer le nationalisme japonais...
Un des cadres dirigents de Nissan aurait collaboré avec les autorité japonnaises. Nissan risque aussi d'être mise en cause dans l'affaire.flipper le dauphin a écrit : ↑21 nov. 2018, 10:52On a du mal à croire qu'à la direction de Nissan, aucun haut dirigeant n'etait au courant des avantages (achat et mise à disposition de logement) et des salaires versés à Ghosn
A mon avis, il s'y connaissait bien mieux que quiconque ici en la matière.
https://www.lepoint.fr/economie/l-affai ... or=CS3-192L'affaire Carlos Ghosn cache-t-elle un règlement de comptes chez Nissan ?
Saikawa, successeur du PDG de Nissan, et les salariés du constructeur s'en donnent désormais à cœur joie pour critiquer Ghosn. Le point sur l'enquête.
Par Louis Morin, à Tokyo le 21/11/2018
Là où Nissan évoque une dénonciation de Carlos Ghosn par un « lanceur d'alerte », des journalistes préfèrent dire « coup d'État ». Quoi qu'il en soit, ce qui arrive à l'ex-chef d'orchestre du constructeur automobile est rarissime dans l'industrie japonaise. Les observateurs du pays du Soleil-Levant ne se rappellent pas avoir vu une enquête de ce niveau être menée en secret et déboucher sur une arrestation aussi soudaine et retentissante sans fuites dans la presse auparavant. Rien n'avait laissé supposer un tel événement. Carlos Ghosn lui-même a dû tomber des nues quand les inspecteurs sont entrés dans son jet privé à son arrivée lundi après-midi à Tokyo.
Il y a un homme qui semble prêt à vider son sac : c'est l'actuel patron exécutif de Nissan, Hiroto Saikawa. Là aussi, son attitude est peu commune. La règle au Japon quand un scandale touche une entreprise ou un responsable est que l'intéressé ou ses principaux collaborateurs fassent une « conférence de presse d'excuses » au cours de laquelle tous les médias peuvent faire la photo voulue des membres de la direction courbés à 90 degrés en train de « demander à tous d'excuser la gêne causée ». Cette fois, Hiroto Saikawa, qui s'est présenté seul devant plusieurs centaines de journalistes lundi soir, ne s'est pas plié à cette tradition de la contrition. Au contraire, il a désigné un coupable et a brossé un portrait peu clément de Carlos Ghosn, même si c'est à lui qu'il doit sa place. Les phrases étaient un peu alambiquées, mais le message était clair : « Ghosn a concentré tout le pouvoir dans ses seules mains pendant des années ; et son long règne avec la double casquette de PDG de Nissan et de Renault a eu des conséquences malsaines. »
Magouille ?
En écoutant Hiroto Saikawa, on pouvait se remémorer des articles parus dans la presse japonaise ces derniers mois qui laissaient transpirer une grande frustration chez Nissan. De qui émanaient les informations qui prêtaient au gouvernement français l'intention d'une absorption de Nissan par Renault ? Toujours est-il que les journalistes qui se faisaient l'écho de ces supputations et de ces tensions avaient des sources en interne chez Nissan. Si l'Alliance Nissan-Renault-Mitsubishi Motors fondée par Carlos Ghosn apparaissait comme une machine à gagner, chez Nissan, il semblerait que beaucoup se soient sentis lésés. « Les technologies, elles ont été données à Renault par Nissan, non ? » assénait, au lendemain de l'arrestation de Carlos Ghosn, un salarié du groupe, à la sortie du siège du constructeur japonais à Yokohama.
En l'espace de quelques heures, Carlos Ghosn est passé du statut de génie des patrons, de figure la plus charismatique du Goth des dirigeants, à celle d'escroc avide d'argent. Certains médias qui félicitaient encore Ghosn récemment pour le sauvetage de Nissan en 1999 le chargent aujourd'hui. Ils sont allés chercher des vétérans du groupe qui avaient fait partie de la charrette des 20 000 suppressions d'emplois décidées à l'époque par le « costkiller ».
Les précédents Toshiba et Olympus
Qu'il y ait ou non une magouille pour faire tomber Ghosn, plusieurs choses font de cette affaire un cas à part. À commencer par la dénonciation. Certes, il y en a eu d'autres dans des sociétés de premier plan, comme chez Toshiba. Mais elles concernaient plus un système qu'un homme nommément identifié. En plus, dans le cas Nissan, il s'agit d'un étranger. Il est, en outre, soupçonné d'enrichissement personnel sur les deniers de son entreprise. Or, dans la société japonaise, on est surtout censé œuvrer pour un groupe de personnes et, même dans le cas de malversations, on joue à plusieurs. En outre, on ne dénonce généralement pas les camarades. Chez Olympus, par exemple, au moment de la révélation d'un vaste scandale de dissimulation d'un fiasco financier, les administrateurs avaient tous couvert les manipulations comptables pendant 20 ans. Dans le cas présent, Carlos Ghosn est perçu comme celui qui a joué « perso ». Et qui plus est, c'était le patron le mieux payé du Japon.
Désormais, tout est réuni pour que les médias s'en donnent à cœur joie. Les procureurs enquêtent sur le volet de déclarations erronées de revenus aux services fiscaux, mais les médias avancent déjà beaucoup d'autres soupçons, aidés par des sources internes de Nissan. L'achat de résidences de luxe payées par une obscure filiale d'investissement, l'encaissement indu de primes destinées à d'autres administrateurs du groupe. Les révélations vont sans doute pleuvoir au fil des jours, et les langues, en partie, se délier. Du fond du centre de détention où il pourrait passer plusieurs semaines, Carlos Ghosn a du souci à se faire.
un levantin au pays du soleil levant ? Il est d’Hawaï avec le même bronzage que barrack ?
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... dcc0b824f0Le parquet de Tokyo refuse de dire si Ghosn reconnaît les faits
Reuters•22/11/2018
Le parquet de Tokyo ne peut pas dire si Carlos Ghosn a reconnu ou non les faits de fraude financière qui lui sont reprochés, a déclaré jeudi Shin Kukimoto, procureur adjoint.
Le président de Nissan, que le conseil d'administration du constructeur japonais pourrait révoquer ce jeudi, est incarcéré dans un centre de détention à Tokyo et la justice japonaise a approuvé mercredi son maintien en détention pour 10 jours, a ajouté Shin Kukimoto.
Carlos Ghosn, également PDG de Renault et de l'alliance Renault-Nissan, a été arrêté lundi. Nissan l'accuse d'avoir minoré ses revenus déclarés aux autorités japonaises et d'avoir utilisé des fonds de l'entreprise à des fins personnelles.
Un ancien responsable du parquet de Tokyo a été désigné avocat pour assurer sa défense, a rapporté la chaîne de télévision NHK jeudi.
Ces décisions étaient elles prises par un seul homme, sans accord des autres dirigeants locaux de l’entreprise ?alexlyon a écrit : ↑22 nov. 2018, 10:01Le Levant (Liban, Syrie), et non pas le soleil levant.
Ghosn a licencié des dizaines de milliers de personnes, dans un pays où cela ne se fait pas.
Non pas qu'il ait eu tort, mais n'importe qui d'autre aurait pu réussir ainsi. Mais c'était comme tricher avec un recours économique trop facile et interdit.
Culturellement, franchir le Rubicon c'est se condamner à mort soi-même (pour non respect de ce qui se fait dans une culture donnée).
Louis Schweitzer, ancien président de Renault a écrit :La mondialisation, ce sont des salaires américains pour les dirigeants et des salaires chinois pour les ouvriers.
St Ex, Le petit prince a écrit :Les hommes n'ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis.
prix de vente et salaires des patrons ou actionnaires -> prix américains
https://www.lemonde.fr/economie/article ... 234.htmlPraséodyme a écrit : ↑22 nov. 2018, 13:51Peut être que c'est une cabale, peut être pas.
Moralité, à ce niveau de responsabilité il vaut mieux être irréprochable, au moins sur le plan personnel.
Pas sûr que la leçon soit entendue par les patrons français...
oui mais les autres patrons français ne sont pas de kakous au point de vouloir être aussi grand patron à l'étranger développé, et c'est ça qui l'a perdu.Praséodyme a écrit : ↑22 nov. 2018, 13:51Peut être que c'est une cabale, peut être pas.
Moralité, à ce niveau de responsabilité il vaut mieux être irréprochable, au moins sur le plan personnel.
Pas sûr que la leçon soit entendue par les patrons français...
J'ai eu ce genre de réflexion avec mon papa qui râlait après les salariés protégés (France Télécom et EDF).lecriminel a écrit : ↑22 nov. 2018, 11:52prix de vente et salaires des patrons ou actionnaires -> prix américains
salaires des ouvriers et paiement des taxes -prix chinois et caimaniens
c'est pourtant simple, la mondialisation.
il est vrai que ces gens là tirent toujours des lecons du passé ..wasabi a écrit : ↑22 nov. 2018, 14:08oui mais les autres patrons français ne sont pas de kakous au point de vouloir être aussi grand patron à l'étranger développé, et c'est ça qui l'a perdu.Praséodyme a écrit : ↑22 nov. 2018, 13:51Peut être que c'est une cabale, peut être pas.
Moralité, à ce niveau de responsabilité il vaut mieux être irréprochable, au moins sur le plan personnel.
Pas sûr que la leçon soit entendue par les patrons français...
Le 19 mai 2014, Jean-Marie Messier est condamné par la cour d'appel de Paris à dix mois de prison avec sursis et 50 000 euros d'amende pour abus de biens sociaux à l'occasion de son départ du groupe Vivendi en 2002 (notamment de son indemnité de départ de 18,5 millions de dollars), sa peine étant réduite par rapport à la peine de trois ans avec sursis prononcée en première instance en 2011.
St Ex, Le petit prince a écrit :Les hommes n'ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis.
Ohé pas de maiprizance envers premier de cordé ruisselant (de sueur ?) number one.
il parait qu'il résumait ça avec des camemberts sur excel. Gage de sérieux.
Jusque la, ce ne sont que des "on-dit" et du conditionnel. Ça parait tellement énorme !ab86 a écrit : ↑22 nov. 2018, 13:59https://www.lemonde.fr/economie/article ... 234.htmlPraséodyme a écrit : ↑22 nov. 2018, 13:51Peut être que c'est une cabale, peut être pas.
Moralité, à ce niveau de responsabilité il vaut mieux être irréprochable, au moins sur le plan personnel.
Pas sûr que la leçon soit entendue par les patrons français...
Il se serait fait payer des maisons au Bresil, au Liban, etc par Nissan;
Rémunération "énorme" pour prestations fictives payées à sa soeur pendant plus de 15 ans.
détournement des rémunérations du conseil d'administration, etc...
Le petit pourri de service corrompu, adorateur de POGNON ! Et qui en plus crache sur ses employés.
Il lui faut un comptable habilité pour réaliser ce genre d'opération. Et les personnes lésées ne disaient rien ? Bizarre...Selon le quotidien The Mainichi, Carlos Ghosn aurait également détourné à son profit une partie des rémunérations destinées aux membres du conseil d’administration. Soit un milliard de yens sur trois (7,5 millions d’euros sur 23).
clairette2 a écrit : ↑22 nov. 2018, 18:21Jusque la, ce ne sont que des "on-dit" et du conditionnel. Ça parait tellement énorme !ab86 a écrit : ↑22 nov. 2018, 13:59https://www.lemonde.fr/economie/article ... 234.htmlPraséodyme a écrit : ↑22 nov. 2018, 13:51Peut être que c'est une cabale, peut être pas.
Moralité, à ce niveau de responsabilité il vaut mieux être irréprochable, au moins sur le plan personnel.
Pas sûr que la leçon soit entendue par les patrons français...
Il se serait fait payer des maisons au Bresil, au Liban, etc par Nissan;
Rémunération "énorme" pour prestations fictives payées à sa soeur pendant plus de 15 ans.
détournement des rémunérations du conseil d'administration, etc...
Le petit pourri de service corrompu, adorateur de POGNON ! Et qui en plus crache sur ses employés.
Certaines choses me semblent étranges. Par ex :Il lui faut un comptable habilité pour réaliser ce genre d'opération. Et les personnes lésées ne disaient rien ? Bizarre...Selon le quotidien The Mainichi, Carlos Ghosn aurait également détourné à son profit une partie des rémunérations destinées aux membres du conseil d’administration. Soit un milliard de yens sur trois (7,5 millions d’euros sur 23).
Les hommes sont décidément très cons.optimus maximus a écrit : ↑24 nov. 2018, 23:56Le total de la fraude s'élèverait à 100 millions de dollars
https://www.zerohedge.com/news/2018-11- ... ion-report
Avec un peu de chance les peines sont cumulables, et peuvent s'additionner !
Tu plaisantes, Le Maire nous a dit en quelques heures qu'il n'y avait aucun problème fiscal en France pour Ghosn.moinsdewatt a écrit : ↑25 nov. 2018, 11:44Il y peu de chance que le fric soit encore au Japon. Donc la prochaine étape dans moins d'un mois ne serait elle pas une demande d'enquête internationale Interpol et marchés financiers??
En particulier en Europe et en France.
Et si sur de tels soupçons une enquête démarrait en France ?
Finir sa vie en taule, comme un ouvrier de chez Renault qui n'a fait que travailler de la taule toute sa vie. La morale de l'histoire.
oui bah à force de payer des cafés à tout le monde, il ne reste plus d'eau dans la cafetière.
https://www.rtl.fr/actu/international/r ... 698497/ampRenault-Nissan : Carlos Ghosn nie les accusations qui le visent au Japon
https://www.ouest-france.fr/economie/en ... 090184/ampChâteau de Versailles, vignes du Liban... Le train de vie de Carlos Ghosn
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... c9b4f5a73cAprès Nissan, Mitsubishi Motors évince aussi Ghosn
AFP26/11/2018
Carlos Ghosn a été déchu lundi de son titre de président du conseil d'administration de Mitsubishi Motors, quelques jours après sa révocation de Nissan pour des malversations financières présumées.
A l'issue d'une réunion extraordinaire d'à peine plus d'une heure, le troisième groupe de l'alliance automobile Renault-Nissan a jugé "difficile" de maintenir en poste le puissant capitaine d'industrie de 64 ans.
............
Premier de cordée, les potes à Macron, je vous dis...Citant plusieurs sources anonymes, le journal précise que
lorsque la banque de Carlos Ghosn lui a réclamé davantage de
collatéral garantissant un contrat sur dérivés de changes noué
en 2006, le dirigeant a transféré tous les droits relatifs à ce
contrat à Nissan, le constructeur ayant absorbé de ce fait 1,7
milliard de yens (13,2 millions d'euros) de pertes.
Vous pouvez aussi rajouter qu'avant Ghosn Renault ne savait peut être pas fabriquer correctement des automobiles, mais ils avaient des services efficaces pour inventer des nouveaux segments et concepts, ils ont inventé des marchés avec la Renault 5 en plastique, la micro citadine qu'était la twingo, le monospace sous la forme d'Espace puis de scénic... des segments qui n'existaient pas avant. Alors que sous Ghosn Renault a complètement abandonné factuellement les segments au dessus de mégane / Scénic et n'a rien inventé, elle a eu un rôle de suiveur bien en retard avec les déclinaisons SUV que sont les Captur ou Kadjar, s'est contenté de rebadger des véhicules asiatiques dans le haut de gamme. Elle est loin l'époque où on voyait des R25 ou des Safrane partout.ab86 a écrit : ↑27 nov. 2018, 11:27En plus, cela m'énerve, chaque fois qu'on entend parler de lui dans les médias français, "grand dirigeant", "visionnaire", etc ...
Mais en fait ...
la première twingo, il était contre ; le rachat de Dacia et développement de Dacia, il était contre ; même le rachat de Samsung et Nissan, il était contre !
Par contre :
- la fiabilité désastreuse de Renault au moment de la Laguna II, et la réputation que la boite traine depuis cette génération c'est lui (A la fin de Schweitzer, Renault était au top), c'est trop bien de gagner immédiatement du fric sans aucune réserve...
- la twingo II qui s'est vendue presque 3 fois moins que la version 1, c'est lui.
- la perte de marché de Renault (je compte pas Dacia dedans) et le fait que la France est importatrice nette de vehicules Renault depuis qu'il a pris les rênes, c'est lui.
- la descente en gamme de Renault, c'est lui.
- les véhicules qu'il a imposé : Twizy (3000 par an), et Wind (12000 exemplaires au total et moins de 400 ventes annuelles au bout de 3 ans de commercialisation), c'est quand que vous avez vu un de ces trucs la dernière fois ?
- le fiasco de l'affaire de l'espionnage chez Renault.
etc...
l'invention de la porte coulissante existait déjà sur de nombreux modèle bien avant l'air kangoo (sorti en 1993 ) du genre ce modèle nippon de 1985 (comparable au kangou ) :achillemo a écrit : ↑27 nov. 2018, 14:08
@Wasabi: Renault a lancé plusieurs concepts gagnants (tu as oublié le Kangoo et sa porte coulissante, devenue un classique) ET faisait des voitures assez fiables mais pas toujours bien finies, (quoi que depuis la R19 de 1988 je n'ai jamais trouvé les Renault mal finies ni mal présentées).