Comment placer 200 000 € ?
Re: Comment placer 200 000 € ?
Sous le prétexte que nous sommes tous mortels, il ne faut rien anticiper ou rien prévoir, et profiter ?
Déjà l'un et l'autre ne sont pas forcément inconciliables.
De plus, c'est justement parce que nous sommes mortels qu'il faut éventuellement être prévoyant.
J'arrive à un âge où les gens commencent à partir autour de moi, et la situation est très différente selon qu'elle ait été anticipée ou non, même avec de très bons revenus.
Le mérite de ce topic aura été de me conforter dans l'idée de consulter un notaire pour debroussailler le sujet et essayer de mettre en place un dispositif pour l'avenir.
Déjà l'un et l'autre ne sont pas forcément inconciliables.
De plus, c'est justement parce que nous sommes mortels qu'il faut éventuellement être prévoyant.
J'arrive à un âge où les gens commencent à partir autour de moi, et la situation est très différente selon qu'elle ait été anticipée ou non, même avec de très bons revenus.
Le mérite de ce topic aura été de me conforter dans l'idée de consulter un notaire pour debroussailler le sujet et essayer de mettre en place un dispositif pour l'avenir.
Re: Comment placer 200 000 € ?
en passant, ca n'a rien d'original en restant dans l'immo, sans diversifier (oui c'est le mal)
tu achètes 2 terrains de 100 k€ dans un coin que tu estimes potable au nom de chacun des enfants (en restant au alentour de bordeaux, cubzac, le barp, la côte si tu estimes que le niveau ne monte pas trop),
ou alors 2 parcelles de bois (ca commence à faire une sacrée surface), niveau fiscalité c'est pas trop cher (pour le moment), mais je ne sais pas s'il y a une limite pour un non professionnel.
tu passes sous la limite des 100 k, à voir avec le notaire
tu achètes 2 terrains de 100 k€ dans un coin que tu estimes potable au nom de chacun des enfants (en restant au alentour de bordeaux, cubzac, le barp, la côte si tu estimes que le niveau ne monte pas trop),
ou alors 2 parcelles de bois (ca commence à faire une sacrée surface), niveau fiscalité c'est pas trop cher (pour le moment), mais je ne sais pas s'il y a une limite pour un non professionnel.
tu passes sous la limite des 100 k, à voir avec le notaire
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Re: Comment placer 200 000 € ?
je te conseillerais plutôt d'aller voir un coiffeur
Le résultats objectifs chez nous : 90% de la population éligible vaccinée en un an. Si on était resté à la chloroquine on serait tous mort. Mais ca doit être un détail.
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Re: Comment placer 200 000 € ?
c'est surtout parce que la société est trop injuste, mal organisée ou tout ce que tu veux, que tu sais que tes enfants sont en danger potentiel sans une grosse bouée d'argent. C'est ce constat inadmissible qu'il faudrait combattre, c'est plus ambitieux mais plus difficile que de transmettre un trop-plein d'argent personnel.
Le résultats objectifs chez nous : 90% de la population éligible vaccinée en un an. Si on était resté à la chloroquine on serait tous mort. Mais ca doit être un détail.
Re: Comment placer 200 000 € ?
J'ai dit qu'il fallait prévoir en cas d'accident de la vie, etc... mais qu'il ne servait à rien de vouloir être Mme soleil pour tes enfants.ignatius a écrit : ↑22 mai 2019, 08:23Sous le prétexte que nous sommes tous mortels, il ne faut rien anticiper ou rien prévoir, et profiter ?
Déjà l'un et l'autre ne sont pas forcément inconciliables.
De plus, c'est justement parce que nous sommes mortels qu'il faut éventuellement être prévoyant.
J'arrive à un âge où les gens commencent à partir autour de moi, et la situation est très différente selon qu'elle ait été anticipée ou non, même avec de très bons revenus.
Le mérite de ce topic aura été de me conforter dans l'idée de consulter un notaire pour debroussailler le sujet et essayer de mettre en place un dispositif pour l'avenir.
- gillesgobillot
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Re: Comment placer 200 000 € ?
OK, cours collectifs, donc...Hippopotameuuu a écrit : ↑21 mai 2019, 22:29Sans déconner !!... Ignatius est un blague blocgillesgobillot a écrit : ↑21 mai 2019, 21:08OK.
Alors claque-les plutôt en cours d'humour par correspondance ....
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Re: Comment placer 200 000 € ?
Il y a une cinquantaine d'année un proche a acheté 5000 m2 sur Opio, pas loin du club med, pour un montant dérisoire, son objectif était de planter quelques tomates et des oliviers, ayant en horreur le jardinage je n'ai pas acheté la parcelle mitoyenne qu'il me suggérait d'acquérir, il y a 30 ans, un peu plus cher.
Actuellement sa parcelle, scindable en quatre, doit valoir beaucoup plus que 600 000 euros. (Opio 06650 les 1000 constructibles sont tous à plus de 300 000). Depuis il a construit une petite RS modeste, il continue à planter ses tomates, ça rapporte les tomates !
Pas de regret, je n'aime toujours pas jardiner, il est toujours facile de détecter les opportunités a posteriori, on peut toujours mieux faire.
… vu la surface du Club Med, en foncier ils font une sacré PV.
Un des facteurs d'explosion du foncier du secteur : Sophia Antipolis.
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Re: Comment placer 200 000 € ?
Oui mais on n'est jamais à l'abri d'une modification des règles d'urbanisme rendant le terrain inconstructible du jour au lendemain.PACA a écrit : ↑22 mai 2019, 15:57Il y a une cinquantaine d'année un proche a acheté 5000 m2 sur Opio, pas loin du club med, pour un montant dérisoire, son objectif était de planter quelques tomates et des oliviers, ayant en horreur le jardinage je n'ai pas acheté la parcelle mitoyenne qu'il me suggérait d'acquérir, il y a 30 ans, un peu plus cher.
Actuellement sa parcelle, scindable en quatre, doit valoir beaucoup plus que 600 000 euros. (Opio 06650 les 1000 constructibles sont tous à plus de 300 000). Depuis il a construit une petite RS modeste, il continue à planter ses tomates, ça rapporte les tomates !
Pas de regret, je n'aime toujours pas jardiner, il est toujours facile de détecter les opportunités a posteriori, on peut toujours mieux faire.
… vu la surface du Club Med, en foncier ils font une sacré PV.
Un des facteurs d'explosion du foncier du secteur : Sophia Antipolis.
Bonjour chez vous !
Re: Comment placer 200 000 € ?
a) Miser sur la convergence UE ? Y-a encore des coins, le SMIC Roumain, Bulgare, Croate ... ne restera pas tjrs à 300 €. or l'immo est corrélé avec les revenues (capa. d'emprunt) de ces gens qui ne connaissent pas encore les loisirs de masse à la neige ou à la plage tout occuper à essayer de manger.
b) Miser sur les nouvelles banlieux (Gd Paris, Saclay, ...) ou infrastructure? Souvent ces coins sont pas chèrs car les infrastructures (train, route, service publique, écoles..) prennent, 10/20 ans à être mise en place. D'un champs tu te retrouve au centre d'une ville pers de la gare,
La carte n'est pas le territoire - Le monde du Ā (1945) 1er axiome de sémantique générale.
Re: Comment placer 200 000 € ?
Oui, l’implantation d'écoles supérieures renommées peut être un indicateur sérieux…. et c'est toujours ça en moins pour Paris IM.
https://www.polytechnique.edu/fr/paris-saclay-60 000 étudiants
-10 500 chercheurs et enseignants-chercheurs
-8 000 publications par an
-Représente 15 % de la recherche publique française
-3 prix Nobel en physique
Re: Comment placer 200 000 € ?
Amha à court terme miser sur les commerces et les services avec ces 70500 nouveaux clients potentiel. A long terme (15 ans) miser sur l'immo. le temps que les infrastructures suivent et se patinent donnant de l'intérêt au CSP++, que ces jeunes enrichissement et donc que les moyens financiers de la commune augmentent et entre temps louer à des gens qui assumeront le manque d'infrastructure ... . ,
Exactement l'Horizon d’investissement d'Ignatius .......... s'enrichir demande de la volonté et souvent proportionnellement peu d'effort
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- gillesgobillot
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Re: Comment placer 200 000 € ?
Trop tard ....PACA a écrit : ↑23 mai 2019, 09:13Oui, l’implantation d'écoles supérieures renommées peut être un indicateur sérieux…. et c'est toujours ça en moins pour Paris IM.https://www.polytechnique.edu/fr/paris-saclay-60 000 étudiants
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Re: Comment placer 200 000 € ?
comprends pas ?gillesgobillot a écrit : ↑24 mai 2019, 20:57Trop tard ....PACA a écrit : ↑23 mai 2019, 09:13Oui, l’implantation d'écoles supérieures renommées peut être un indicateur sérieux…. et c'est toujours ça en moins pour Paris IM.https://www.polytechnique.edu/fr/paris-saclay-60 000 étudiants
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Re: Comment placer 200 000 € ?
Idem, pas compris, pour les loisirs, la vie nocturne ou l'immobilier ?
Je ne connais pas ?
Si c'est pour l'immobilier, une recherche rapide sur les biens à vendre "Saclay" :
- pas d'appart en revente et peu de foncier
- des maisons aux prix comparables à ceux de Sophia
Pas d'immeubles dans le neuf ?
Je ne connais pas ?
Si c'est pour l'immobilier, une recherche rapide sur les biens à vendre "Saclay" :
- pas d'appart en revente et peu de foncier
- des maisons aux prix comparables à ceux de Sophia
Pas d'immeubles dans le neuf ?
Re: Comment placer 200 000 € ?
Après Cergy, Evry, Descartes voici Orsay le futur fiasco. Des universités nouvelles perdues en rase campagne ou ZAC, des PRES qui essayent de se regrouper en COMUE pour cacher la misère. 40 ans de plans à la russe qui prennent pas. Amha Orsay restera une zone pour des décennies
40 ans de socialo-ecolo-marxisme, de massification de l'enseignement, de lutte contre l'élitisme, d'égalitarisme où la quantité primait sur la qualité, la médiocrité sur la méritocratie et le piston/quota sur le travail. Prochaine zone: Paris Nord avec Ile St Denis en cours de dvl.
J'y crois plus: Le vers est dans la pomme, L'arbre ne peut cacher la forêt, Les pommes pourries gâteront le tas, le peu d'excellence restant,
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Re: Comment placer 200 000 € ?
Saclay est un tout petit bourg situé sur la zone à laquelle on donne le nom de plateau de Saclay. C’était une zone agricole et forestière de 77 km2 qui part de Saclay, passe derrière Versailles et va jusqu’à St Quentin .PACA a écrit : ↑25 mai 2019, 05:48Idem, pas compris, pour les loisirs, la vie nocturne ou l'immobilier ?
Je ne connais pas ?
Si c'est pour l'immobilier, une recherche rapide sur les biens à vendre "Saclay" :
- pas d'appart en revente et peu de foncier
- des maisons aux prix comparables à ceux de Sophia
Pas d'immeubles dans le neuf ?
Le projet en cours grignote cette étendue pour construire plus d’un million de bureaux et logements.
Depuis 5/7 ans, les choses se sont énormément accélérées. Ce sont à la fois des écoles et des entreprises qui s’installent dans cette zone. Initialement il y avait l’X, supelec et Hec dans ce coin. Maintenant il y a l’ensta, centrale, l’ens Paris, l’ensae, supoptique agroparistech et télécom paris . L’école de pharmacie va venir s’installer là. Côté entreprises, après Danone, Thales, c’est le siège de la recherche EDF qui s’est installé là il y a 4 ans. Il y a aussi un labo Microsoft .
Il y a certaines oppositions habituelles de la part de composantes locales qui voient leur rayonnement propre diminuer, des luttes d’influence, comme par exemple la fac d’Orsay ou celle de Versailles St Quentin. Mais l’installation de l’ens Paris les entraîne dans la vague...
Pour comprendre l’importance du projet, dans 5 ans, ce pôle universitaire rassemblera 15% des étudiants et des moyens d’enseignements de la France dans les domaines sciences « dures »
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Re: Comment placer 200 000 € ?
Si la ligne 18 se fait rapidement, ça va se développer, d'autant plus que cette ligne semble surdimensionnée par rapport aux besoins actuels.
Re: Comment placer 200 000 € ?
ça va se remplir rapidement. Je miserai bien sur Versailles-Chantiers mais il me semble que les prix sont déjà ajustés, ça devrait calmer un peu Paris IM ?optimus maximus a écrit : ↑25 mai 2019, 10:45Si la ligne 18 se fait rapidement, ça va se développer, d'autant plus que cette ligne semble surdimensionnée par rapport aux besoins actuels.
Le bunker UPMC Jussieu va finir à Saclay aussi ?
Re: Comment placer 200 000 € ?
Euh ... l'idée de la file, c'est de placer 200 000 € en bon père de famille, pas racheter la moitié de l'Ile de France
Re: Comment placer 200 000 € ?
T'étonnes pas avec tes AV de pépé que tes enfants à 20 ans te traite d'As-been voir de looser,
A chaque nouvelles générations de travailleurs et de nouvelles opportunités. Joues les pour eux
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Re: Comment placer 200 000 € ?
Au stade de l'analyse il faut pas se priver c'est sans risque, si tes enfants font du scientifique la probabilité pour qu'ils se trouvent en IDF n'est pas négligeable. Si ils échappent à Paris c'est déjà pas mal.
Re: Comment placer 200 000 € ?
La ligne 18 ce n'est pas pour tout de suite. En attendant, je trouve que c'est une abérration de développer un tel pôle sans offre de transport en conséquence.optimus maximus a écrit : ↑25 mai 2019, 10:45Si la ligne 18 se fait rapidement, ça va se développer, d'autant plus que cette ligne semble surdimensionnée par rapport aux besoins actuels.
Fluctuat Nec Mergitur
Re: Comment placer 200 000 € ?
C'est toi qui dis des aberrations. Conditionner le développement d'un pôle universitaire de rayonnement national à une ligne de métro...Ave a écrit : ↑25 mai 2019, 20:04La ligne 18 ce n'est pas pour tout de suite. En attendant, je trouve que c'est une abérration de développer un tel pôle sans offre de transport en conséquence.optimus maximus a écrit : ↑25 mai 2019, 10:45Si la ligne 18 se fait rapidement, ça va se développer, d'autant plus que cette ligne semble surdimensionnée par rapport aux besoins actuels.
Pour aller où ? à Paris ? Là où les gens s'entassent dans des immeubles haussmanniens du 19e siècle à 10000€ le m² ?
Il y a déjà une offre de transport conséquente dans ce secteur, une proximité d'un aéroport où on n'a pas besoin de passer par le centre de l'omphalos, c'est à dire la capitale, et également une gare TGV de rayonnement national avec Massy.
il y a effectivement pas mal de chercheurs attachés comme des moules à leur petit appart parisien et qui râlent à l'idée de venir en banlieue. C'est désopilant de voir ce conformisme de pensée de la part de gens supposés innover.
Quant aux étudiants, parce que quand on ne voit pas que son petit nombril personnel, la question de la situation des étudiants et de leur accueil dans les universités, un nombre important de résidences universitaires sont en construction sur cette zone.
Ben voilà, dommage pour eux, ce sera galère de remonter sur Paris pour faire la fête le vendredi soir. Mon dieu, c'est une aberration...
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Re: Comment placer 200 000 € ?
Sérieux ?
Sans parler de liaison avec Paris, essaye d'aller depuis n'importe où en IDF à Saclay. C'est juste une galère sans nom.
Développer un pôle dépendant à100% de la bagnole, ce n'est pas XXIème siècle.
Et oui, avant de développer de toutes pièces un pôle qui se veut à rayonnement internationale on réfléchis à l'offre de transport.
Fluctuat Nec Mergitur
Re: Comment placer 200 000 € ?
Tu devrais relire doucement avec le doigt ce que j'ai écrit.
Par ailleurs, essaye de m'expliquer en quoi l'accessibilité d'un centre de recherche par des moyens de transport n'importe où en IDf devrait être un point crucial. POur les étudiants qui résident sur place ? Pour les équipes d'enseignants ? Combien de personnes sont concernées ?Ave a écrit : essaye d'aller depuis n'importe où en IDF à Saclay. C'est juste une galère sans nom.
pour aller d'où à où ? du cœur de Paris à Saclay ? J'aimerais bien comprendre. Enfin, c'est un problème de vision centraliséeAve a écrit : Développer un pôle dépendant à100% de la bagnole, ce n'est pas XXIème siècle.
Et oui, avant de développer de toutes pièces un pôle qui se veut à rayonnement internationale on réfléchis à l'offre de transport.
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Re: Comment placer 200 000 € ?
Il faut bien des transports pour amener les gens qui y travaillent d'un peu partout en IDF car tous ne vont pas habiter sur place, contrairement aux étudiants.
Je connais des gens qui ont refusé des postes intéressants à Saclay à cause du temps de transport et de la galère pour s'y rendre.
Quand on compare avec l'offre de transports qu'ily aura, par exemple, dans le pôle de Pleyel à Saint Denis, c'est carrément autre chose.
Fluctuat Nec Mergitur
Re: Comment placer 200 000 € ?
Je renonce à te faire comprendre l’illogisme profond de tes remarques. D’autres s’y sont essayé avant moi, sans succès.Ave a écrit : ↑25 mai 2019, 21:12Il faut bien des transports pour amener les gens qui y travaillent d'un peu partout en IDF car tous ne vont pas habiter sur place, contrairement aux étudiants.
Je connais des gens qui ont refusé des postes intéressants à Saclay à cause du temps de transport et de la galère pour s'y rendre.
Quand on compare avec l'offre de transports qu'ily aura, par exemple, dans le pôle de Pleyel à Saint Denis, c'est carrément autre chose.
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Re: Comment placer 200 000 € ?
Oui, c'est ça tu as raison. Saclay est très bien pourvu en transports, c'est bien connu. Et d'ailleurs les transports on s'en fiche puisque les gens n'ont qu'à habiter tous sur place. D'ailleurs, on se demande pourquoi on s'emmerde à investir des milliards dans les transports en commun puisque cela marche très bien avec la voiture individuelle.
Fluctuat Nec Mergitur
Re: Comment placer 200 000 € ?
C’est tellement plus logique qu’ils continuent de s’agglutiner dans Paris intra muros, que certains ont même refusé des postes intéressants.
Je ne vois pas le rapport. Mais au fait, la silicon valley, elle est traversée par une voie de métro ou par une highway ?Ave a écrit : D'ailleurs, on se demande pourquoi on s'emmerde à investir des milliards dans les transports en commun puisque cela marche très bien avec la voiture individuelle.
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Re: Comment placer 200 000 € ?
C’est l’highway twoël, mondialement connue grâce à une chanson. La légende raconte que c’est un breton qui a foulé cette terre en premier
Modifié en dernier par kamoulox le 25 mai 2019, 22:54, modifié 1 fois.
Re: Comment placer 200 000 € ?
C'est toi qui fait une fixette sur Paris IM. Je n'ai absolument pas cité Paris.
Parce que le modèle tout voiture américain serait le modèle à suivre ?Je ne vois pas le rapport. Mais au fait, la silicon valley, elle est traversée par une voie de métro ou par une highway ?
Enfin, en tout cas j'espère pour eux qu'il y a moins de bouchons qu'en IDF.
Je ne comprends pas pourquoi tu t'obstines à nier l'évidence : les infrastructures de transport à Saclay ne sont pas à la hauteur de l'ambition affichée pour ce site. Je trouve ue c'est très dommageable.
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Re: Comment placer 200 000 € ?
C'est juste parce que t'as pas réfléchi. Tu as écrit que c'était une aberration de ne pas prévoir de transports en commun. Pour aller d'où à où les transports en commun au juste ? Je t'ai proposé Paris, tu n'as pas répondu autrement qu'en disant que le tout voiture n'était pas possible. C'est vraiment court comme lecture de la question.
Pour l'instant, les travaux sur le plateau de Saclay sont desservis par un réseau de transport en commun en site propre. Les seuls qui râlent actuellement, ce sont les chercheurs qui habitent sur Paris, les pôvres. A tel point que certains labos ont migré sur Paris par choix d'un ou deux pontes. La ligne 18 de transport en communs ne reliera pas paris, mais Orly.
Je vois surtout que tu ne connais strictement rien au dossier. Il n'y a aucune implantation d'unités d'enseignement ou de recherche directement à Saclay. C'est un bled totalement perdu au milieu du plateau.Ave a écrit :Parce que le modèle tout voiture américain serait le modèle à suivre ?Je ne vois pas le rapport. Mais au fait, la silicon valley, elle est traversée par une voie de métro ou par une highway ?
Enfin, en tout cas j'espère pour eux qu'il y a moins de bouchons qu'en IDF.
Je ne comprends pas pourquoi tu t'obstines à nier l'évidence : les infrastructures de transport à Saclay ne sont pas à la hauteur de l'ambition affichée pour ce site. Je trouve ue c'est très dommageable.
Pour le reste, qu'il s'agisse de la fac d'Orsay ou de bures sur Yvette, il y a déjà des commodités de transport en commun qui relient à la gare TGV de Massy. Temps de transport ? Entre 8 et 20 minutes selon le laboratoire visé en site propre, et il y a aussi la ligne B du RER selon la localisation des installations ciblées.
https://www.universite-paris-saclay.fr/fr/transports
Le métro est prévu dans 7 ans, et les implantations de bâtiments sont en cours encore pendant le même laps de temps.
Juste un detail, la ligne 14 qui remonte sur Paris passera avant parce que ça dessert les installations prévues pour les JO 2024. On se donne les moyens qu'on veut dans une société...
Tu n'as surement jamais foutu les pieds sur ce plateau pour savoir ce que sont réellement les moyens de transport en commun prévus. Sans compter sur les innombrables pistes cyclables et les solutions de transport doux mises en place.
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Re: Comment placer 200 000 € ?
Le rer b fonctionne assez mal et est bondé dans la traversée de Paris im alors qu'il était très bien il y a 30 ans - quand il n'y avait pas grève.... Pour les gens qui travailleront sur ces sites, vivre à Paris im ne sera probablement pas la meilleure solution. Ca tombe bien, ils ne pourront pas se le payer avec leur salaire.
Ignorés: Manfred, titano.
Re: Comment placer 200 000 € ?
Vivre à Paris IM ne sera pas la meilleure solution c’est sur mais vivre dans la banlieue sauf à être sur le tracé de la ligne 18 non plus.
Sinon, j’ai fait une formation de plusieurs semaines à HEC j’ai du rester à l’hôtel tellement c’était galère pour les transports.
Le rer B, laisse tomber c’est juste le cauchemar.
Bref, il y a qd même mieux comme site desservi par les transports en commun en IDF.
Eh oui, avoir une vocation de pôle international et ne pas être relié à Paris est un handicap pour attirer les meilleurs talents.
Dans ce sens le site de Pleyel aura des vrais atouts : liaison directe à Paris, La Défense et CDG.
https://www.lemonde.fr/campus/article/2 ... 01467.html
http://www.leparisien.fr/essonne-91/tra ... 358466.php
Sinon, j’ai fait une formation de plusieurs semaines à HEC j’ai du rester à l’hôtel tellement c’était galère pour les transports.
Le rer B, laisse tomber c’est juste le cauchemar.
Bref, il y a qd même mieux comme site desservi par les transports en commun en IDF.
Eh oui, avoir une vocation de pôle international et ne pas être relié à Paris est un handicap pour attirer les meilleurs talents.
Dans ce sens le site de Pleyel aura des vrais atouts : liaison directe à Paris, La Défense et CDG.
https://www.lemonde.fr/campus/article/2 ... 01467.html
Afin d’accéder au quartier de Polytechnique, par exemple, où d’autres écoles d’ingénieurs commencent à se regrouper, il faut compter une bonne heure depuis le centre de Paris. Par le RER B, jusqu’à Massy-Palaiseau, puis par les bus de la ligne 91-06, dont le cadençage toutes les quatre minutes aux heures de pointe s’avère déjà insuffisant : « Le matin, il y a plusieurs files de gens qui attendent de pouvoir monter dans le bus, et on y est un peu serrés comme des sardines », explique un cadre d’une grande école, qui l’emprunte depuis plusieurs années.
Mais sinon, c'est super bien planifié Saclay.Sur le plateau, la saturation des transports est déjà évidente, au quotidien, pour les personnels et les désormais 10 200 étudiants – 4 000 sont arrivés en septembre à la faveur du déménagement de CentraleSupélec et de l’Ensae. Non sans quelques déconvenues. Installé cet été dans sa nouvelle résidence étudiante, Simon Freyburger, élève de l’Ensae, a rapidement constaté qu’il lui fallait « deux heures pour aller acheter une baguette » : le premier commerce est accessible à deux lointaines stations de bus, lequel, même pendant l’année, ne passe que toutes les trente minutes
http://www.leparisien.fr/essonne-91/tra ... 358466.php
Le décalage est saisissant entre la façon dont les institutions et politiques présentent le plateau de Saclay, territoire « d’avenir et d’innovation », et le ressenti des personnes qui y travaillent ou y habitent déjà qui parlent « de galère ».
Sinon, l'avis de la cours de comptes sur le manque d'organisation et planification évident :Si personne ne semble attendre les futurs aménagements promis comme la ligne 18 du Grand Paris Express, tous veulent une amélioration des transports déjà existants. Et ils rient jaune quand on leur dit que le plateau est « la vitrine » de la France. « Ils vont halluciner les touristes étrangers pendant les Jeux olympiques ou l’Exposition universelle. Et nous, on vivra un enfer encore plus grand avec cet afflux de voyageurs », gausse un habitant de Gif-sur-Yvette.
La Cour constate que l'État s'est lancé dans le projet très ambitieux de Paris-Saclay sans avoir au préalable défini clairement les moyens permettant de le réaliser.
Le projet est aujourd'hui entré dans une phase opérationnelle interdisant tout retour en arrière, avec le déménagement en cours de plusieurs établissements d'enseignement supérieur. S'il est naturellement trop tôt pour apprécier son degré de réussite, qui ne pourra être évalué qu'à long terme, la Cour observe qu'il existe un risque de dilution de l'ambition initiale de développement d'un « cluster » de niveau mondial. Elle constate que les volets respectifs de regroupement académique et scientifique, d'aménagement et de développement économique du site, indissociables pour la réussite globale du projet, n'ont pas été coordonnés, alors qu'intervient une multiplicité d'acteurs dont les compétences, les périmètres, les moyens et les intérêts divergent.
Fluctuat Nec Mergitur
Re: Comment placer 200 000 € ?
le campus Hec n'est pas situé dans le projet de campus Paris Saclay. Il est sur le même plateau géographique, mais totalement isolé et sans rapport avec le pôle scientifique. Il a été construit le long de Jouy en Josas. Avec Google maps, depuis l'entrée du campus jusqu'à la gare rer de jouy, il y a 3 km. C'est sûr que c'est paumé pour une parisienne.Ave a écrit : ↑26 mai 2019, 08:40Vivre à Paris IM ne sera pas la meilleure solution c’est sur mais vivre dans la banlieue sauf à être sur le tracé de la ligne 18 non plus.
Sinon, j’ai fait une formation de plusieurs semaines à HEC j’ai du rester à l’hôtel tellement c’était galère pour les transports.
ah.Ave a écrit : Le rer B, laisse tomber c’est juste le cauchemar.
des gens comme toi ? on s'en passe.Ave a écrit : Bref, il y a qd même mieux comme site desservi par les transports en commun en IDF.
Eh oui, avoir une vocation de pôle international et ne pas être relié à Paris est un handicap pour attirer les meilleurs talents.
Qu'est ce que je disais ? Le mètre étalon , c'est le coeur de Paris, la place devant notre dame.Ave a écrit : Dans ce sens le site de Pleyel aura des vrais atouts : liaison directe à Paris, La Défense et CDG.
https://www.lemonde.fr/campus/article/2 ... 01467.html
Afin d’accéder au quartier de Polytechnique, par exemple, où d’autres écoles d’ingénieurs commencent à se regrouper, il faut compter une bonne heure depuis le centre de Paris.
C'est trop drôle, on est un peu serrés comme des sardines dans les transports en commun. Pas banal quand même . Cadençage toutes les 4 minutes. Capacité des bus à articulation autour de 150 personnes. ça fait ... plus de 2000 personnes par heure depuis la gare de massy sur une seule ligne.Ave a écrit : Par le RER B, jusqu’à Massy-Palaiseau, puis par les bus de la ligne 91-06, dont le cadençage toutes les quatre minutes aux heures de pointe s’avère déjà insuffisant : « Le matin, il y a plusieurs files de gens qui attendent de pouvoir monter dans le bus, et on y est un peu serrés comme des sardines », explique un cadre d’une grande école, qui l’emprunte depuis plusieurs années.
En fait, la ligne du Stif met en place 40 horaires de départ de 6h à 10h, allez, on va faire raisonnable, de 7h45 à 9h30 , il y a 23 départ de bus articulés, soit une capacité de 3500 personnes. Sinon, on peut aussi prolonger deux/trois ou quatre stations de RER depuis massy et accéder au plateau par un chemin piéton de 800 m. Vu qu'il y a six mille personnes qui y travaillent... ce serait bête de s'imaginer qu'elles viennent toutes en rer depuis massy.
http://www.albatrans.net/wp-content/upl ... -hiver.pdf
Pauvre Simon Freiburger? Burger libre ? elève de l'ensae qui a rapidement constaté que la première boulangerie était à deux heures de trajet. C'est dommage, l'école ENSAE est implantée à l'intérieur du campus de polytechnique; Quand on fait une recherche Google maps, on constate que l'entrée principale de l'école ENSAE est située à 850 mètres à pied de la boulangerie Quellier, dans le quartier de Lozère, ville de Palaiseau.Sur le plateau, la saturation des transports est déjà évidente, au quotidien, pour les personnels et les désormais 10 200 étudiants – 4 000 sont arrivés en septembre à la faveur du déménagement de CentraleSupélec et de l’Ensae. Non sans quelques déconvenues. Installé cet été dans sa nouvelle résidence étudiante, Simon Freyburger, élève de l’Ensae, a rapidement constaté qu’il lui fallait « deux heures pour aller acheter une baguette » : le premier commerce est accessible à deux lointaines stations de bus, lequel, même pendant l’année, ne passe que toutes les trente minutes
la preuve :
https://www.google.fr/maps/dir/Boulange ... 78!1m0!3e2
Peut être que ce Simon ne sait pas se servir de Google Maps pour errer à trouver une boulangerie pas loin. Peut être que Simon est un pauvre parisien perdu loin de son métro. Peut être que le "journaliste" qui écrit ce torchon est perdu quand il quitte sa capitale. Va savoir.
C'est un campus en construction. Tiens, un autre exemple pour ce pauvre Simon qui cherche une boulangerie. Le campus s'étire sur 7 km, les résidences universitaires ont été réparties sur une dizaine de sites, depuis Palaiseau jusqu'à Gif sur Yvette. Certaines des résidences sont encore en construction, mais par exemple, celles ouvertes sur la zone sud du campus, vers massy et Palaiseau, partagent les immeubles avec des commerces. Et comme par hasard, il y a des boulangeries en bas des résidences universitaires sur le quartier de polytechnique.Ave a écrit : Mais sinon, c'est super bien planifié Saclay.
Quant au déménagement de Centrale sur des nouveaux locaux, deux énormes complexes ont été bâtis, avec notamment deux restaurants universitaires plus une cafétéria dans les murs du campus même. Il y a aussi une pizzeria et un restaurant intégrés aux bâtiments. Et un hôtel. On se demande même si c'est bien une école. N'importe quel étudiant de centrale ayant connu la restauration sur le campus de Chatenay hallucine en voyant la différence.
Et pour les équipements et logements, cette zone est en pleine explosion de bâtiments. Les premiers bâtiments d'habitation à l'intérieur du campus centrale seront livrés à partir de septembre prochain, avec des magasins ouverts à 50 m de l'entrée de l'école. Il y aura même une crèche je crois avoir lu.
Tout devrait se construire à la mode sim city ? Avec un raccordement direct au cœur de Paris ?
On est dans l'information là. on sent les faits et les chiffres.Ave a écrit : http://www.leparisien.fr/essonne-91/tra ... 358466.php
Le décalage est saisissant entre la façon dont les institutions et politiques présentent le plateau de Saclay, territoire « d’avenir et d’innovation », et le ressenti des personnes qui y travaillent ou y habitent déjà qui parlent « de galère ».Si personne ne semble attendre les futurs aménagements promis comme la ligne 18 du Grand Paris Express, tous veulent une amélioration des transports déjà existants. Et ils rient jaune quand on leur dit que le plateau est « la vitrine » de la France. « Ils vont halluciner les touristes étrangers pendant les Jeux olympiques ou l’Exposition universelle. Et nous, on vivra un enfer encore plus grand avec cet afflux de voyageurs », gausse un habitant de Gif-sur-Yvette.
Et on voit bien la confusion, la petite info de 'Mot2Cambronne' qui recueille l'avis d'un particulier riverain de Gif. Qu'est ce qu'iraient foutre des touristes venus pour les jeux olympiques sur le campus universitaire de Saclay ? on se le demande. Dommage que la journaliste n'ait pas posé la question à son riverain qui donnait son avis.
C'est bien vague. Il y a beaucoup de problèmes à résoudre, c'est certain, surtout des problèmes de mentalité, des gens qui ne veulent pas travailler ensemble, ou qui ne savent pas. Des gens qui habitent dans Paris et ne veulent pas venir en banlieue. Cela n'a jamais été nouveau, mais toi tu es une parisienne, c'est un autre point de vue. En ce qui me concerne, les difficultés de transport des parisiens qui doivent se rendre sur leur lieu de travail en banlieue, je m'en fous complètement. C'est un retour de monnaie.Ave a écrit :
Sinon, l'avis de la cours de comptes sur le manque d'organisation et planification évident :La Cour constate que l'État s'est lancé dans le projet très ambitieux de Paris-Saclay sans avoir au préalable défini clairement les moyens permettant de le réaliser.
Le projet est aujourd'hui entré dans une phase opérationnelle interdisant tout retour en arrière, avec le déménagement en cours de plusieurs établissements d'enseignement supérieur. S'il est naturellement trop tôt pour apprécier son degré de réussite, qui ne pourra être évalué qu'à long terme, la Cour observe qu'il existe un risque de dilution de l'ambition initiale de développement d'un « cluster » de niveau mondial. Elle constate que les volets respectifs de regroupement académique et scientifique, d'aménagement et de développement économique du site, indissociables pour la réussite globale du projet, n'ont pas été coordonnés, alors qu'intervient une multiplicité d'acteurs dont les compétences, les périmètres, les moyens et les intérêts divergent.
Quis custodiet ipsos custodes?
Re: Comment placer 200 000 € ?
SI tu mets plus d'une heure pour venir de Paris, je te laisse imaginer ce que ça peut être pour n'importe quel banlieusard autre que ceux qui habitent à Massy ou Palaiseau.Jeffrey a écrit : ↑26 mai 2019, 16:56le campus Hec n'est pas situé dans le projet de campus Paris Saclay. Il est sur le même plateau géographique, mais totalement isolé et sans rapport avec le pôle scientifique. Il a été construit le long de Jouy en Josas. Avec Google maps, depuis l'entrée du campus jusqu'à la gare rer de jouy, il y a 3 km. C'est sûr que c'est paumé pour une parisienne.Ave a écrit : ↑26 mai 2019, 08:40Vivre à Paris IM ne sera pas la meilleure solution c’est sur mais vivre dans la banlieue sauf à être sur le tracé de la ligne 18 non plus.
Sinon, j’ai fait une formation de plusieurs semaines à HEC j’ai du rester à l’hôtel tellement c’était galère pour les transports.
ah.Ave a écrit : Le rer B, laisse tomber c’est juste le cauchemar.des gens comme toi ? on s'en passe.Ave a écrit : Bref, il y a qd même mieux comme site desservi par les transports en commun en IDF.
Eh oui, avoir une vocation de pôle international et ne pas être relié à Paris est un handicap pour attirer les meilleurs talents.Qu'est ce que je disais ? Le mètre étalon , c'est le coeur de Paris, la place devant notre dame.Ave a écrit : Dans ce sens le site de Pleyel aura des vrais atouts : liaison directe à Paris, La Défense et CDG.
https://www.lemonde.fr/campus/article/2 ... 01467.html
Afin d’accéder au quartier de Polytechnique, par exemple, où d’autres écoles d’ingénieurs commencent à se regrouper, il faut compter une bonne heure depuis le centre de Paris.C'est trop drôle, on est un peu serrés comme des sardines dans les transports en commun. Pas banal quand même . Cadençage toutes les 4 minutes. Capacité des bus à articulation autour de 150 personnes. ça fait ... plus de 2000 personnes par heure depuis la gare de massy sur une seule ligne.Ave a écrit : Par le RER B, jusqu’à Massy-Palaiseau, puis par les bus de la ligne 91-06, dont le cadençage toutes les quatre minutes aux heures de pointe s’avère déjà insuffisant : « Le matin, il y a plusieurs files de gens qui attendent de pouvoir monter dans le bus, et on y est un peu serrés comme des sardines », explique un cadre d’une grande école, qui l’emprunte depuis plusieurs années.
En fait, la ligne du Stif met en place 40 horaires de départ de 6h à 10h, allez, on va faire raisonnable, de 7h45 à 9h30 , il y a 23 départ de bus articulés, soit une capacité de 3500 personnes. Sinon, on peut aussi prolonger deux/trois ou quatre stations de RER depuis massy et accéder au plateau par un chemin piéton de 800 m. Vu qu'il y a six mille personnes qui y travaillent... ce serait bête de s'imaginer qu'elles viennent toutes en rer depuis massy.
http://www.albatrans.net/wp-content/upl ... -hiver.pdf
Pauvre Simon Freiburger? Burger libre ? elève de l'ensae qui a rapidement constaté que la première boulangerie était à deux heures de trajet. C'est dommage, l'école ENSAE est implantée à l'intérieur du campus de polytechnique; Quand on fait une recherche Google maps, on constate que l'entrée principale de l'école ENSAE est située à 850 mètres à pied de la boulangerie Quellier, dans le quartier de Lozère, ville de Palaiseau.Sur le plateau, la saturation des transports est déjà évidente, au quotidien, pour les personnels et les désormais 10 200 étudiants – 4 000 sont arrivés en septembre à la faveur du déménagement de CentraleSupélec et de l’Ensae. Non sans quelques déconvenues. Installé cet été dans sa nouvelle résidence étudiante, Simon Freyburger, élève de l’Ensae, a rapidement constaté qu’il lui fallait « deux heures pour aller acheter une baguette » : le premier commerce est accessible à deux lointaines stations de bus, lequel, même pendant l’année, ne passe que toutes les trente minutes
la preuve :
https://www.google.fr/maps/dir/Boulange ... 78!1m0!3e2
Peut être que ce Simon ne sait pas se servir de Google Maps pour errer à trouver une boulangerie pas loin. Peut être que Simon est un pauvre parisien perdu loin de son métro. Peut être que le "journaliste" qui écrit ce torchon est perdu quand il quitte sa capitale. Va savoir.C'est un campus en construction. Tiens, un autre exemple pour ce pauvre Simon qui cherche une boulangerie. Le campus s'étire sur 7 km, les résidences universitaires ont été réparties sur une dizaine de sites, depuis Palaiseau jusqu'à Gif sur Yvette. Certaines des résidences sont encore en construction, mais par exemple, celles ouvertes sur la zone sud du campus, vers massy et Palaiseau, partagent les immeubles avec des commerces. Et comme par hasard, il y a des boulangeries en bas des résidences universitaires sur le quartier de polytechnique.Ave a écrit : Mais sinon, c'est super bien planifié Saclay.
Quant au déménagement de Centrale sur des nouveaux locaux, deux énormes complexes ont été bâtis, avec notamment deux restaurants universitaires plus une cafétéria dans les murs du campus même. Il y a aussi une pizzeria et un restaurant intégrés aux bâtiments. Et un hôtel. On se demande même si c'est bien une école. N'importe quel étudiant de centrale ayant connu la restauration sur le campus de Chatenay hallucine en voyant la différence.
Et pour les équipements et logements, cette zone est en pleine explosion de bâtiments. Les premiers bâtiments d'habitation à l'intérieur du campus centrale seront livrés à partir de septembre prochain, avec des magasins ouverts à 50 m de l'entrée de l'école. Il y aura même une crèche je crois avoir lu.
Tout devrait se construire à la mode sim city ? Avec un raccordement direct au cœur de Paris ?On est dans l'information là. on sent les faits et les chiffres.Ave a écrit : http://www.leparisien.fr/essonne-91/tra ... 358466.php
Le décalage est saisissant entre la façon dont les institutions et politiques présentent le plateau de Saclay, territoire « d’avenir et d’innovation », et le ressenti des personnes qui y travaillent ou y habitent déjà qui parlent « de galère ».Si personne ne semble attendre les futurs aménagements promis comme la ligne 18 du Grand Paris Express, tous veulent une amélioration des transports déjà existants. Et ils rient jaune quand on leur dit que le plateau est « la vitrine » de la France. « Ils vont halluciner les touristes étrangers pendant les Jeux olympiques ou l’Exposition universelle. Et nous, on vivra un enfer encore plus grand avec cet afflux de voyageurs », gausse un habitant de Gif-sur-Yvette.
Et on voit bien la confusion, la petite info de 'Mot2Cambronne' qui recueille l'avis d'un particulier riverain de Gif. Qu'est ce qu'iraient foutre des touristes venus pour les jeux olympiques sur le campus universitaire de Saclay ? on se le demande. Dommage que la journaliste n'ait pas posé la question à son riverain qui donnait son avis.
C'est bien vague. Il y a beaucoup de problèmes à résoudre, c'est certain, surtout des problèmes de mentalité, des gens qui ne veulent pas travailler ensemble, ou qui ne savent pas. Des gens qui habitent dans Paris et ne veulent pas venir en banlieue. Cela n'a jamais été nouveau, mais toi tu es une parisienne, c'est un autre point de vue. En ce qui me concerne, les difficultés de transport des parisiens qui doivent se rendre sur leur lieu de travail en banlieue, je m'en fous complètement. C'est un retour de monnaie.Ave a écrit :
Sinon, l'avis de la cours de comptes sur le manque d'organisation et planification évident :La Cour constate que l'État s'est lancé dans le projet très ambitieux de Paris-Saclay sans avoir au préalable défini clairement les moyens permettant de le réaliser.
Le projet est aujourd'hui entré dans une phase opérationnelle interdisant tout retour en arrière, avec le déménagement en cours de plusieurs établissements d'enseignement supérieur. S'il est naturellement trop tôt pour apprécier son degré de réussite, qui ne pourra être évalué qu'à long terme, la Cour observe qu'il existe un risque de dilution de l'ambition initiale de développement d'un « cluster » de niveau mondial. Elle constate que les volets respectifs de regroupement académique et scientifique, d'aménagement et de développement économique du site, indissociables pour la réussite globale du projet, n'ont pas été coordonnés, alors qu'intervient une multiplicité d'acteurs dont les compétences, les périmètres, les moyens et les intérêts divergent.
Le problème est que les gens qui sont censés travailler là ont peut être aussi des conjoints qui, eux, ne travaillent pas dans ce coin, donc c'est pour ça qu'un site excentré a plus de mal à attirer des bons profils qu'un site plus centrale et mieux desservi. Surtout avec les millenials, ils sont beaucoup plus sensibles aux conditions de travail que les anciennes générations.
Quant à la capacité de 2000 voyageur/heure.... tu sais quelle est la capacité d'une seule rame de RER?
150 personnes par bus c'est vraiment quedalle.
Il faut espérer pour ceux qui vont devoir subir ça que la ligne 18 n'aie pas plus de retard que prévu. Mais c'est mal barré...8 ans à patienter encore dans le meilleur de cas pour la connexion à Orly et 11 pour la connexion à Versailles...
Sinon, oui, quand tu as l'ambition de construire un pôle mondial de la recherche, le nouveau Silicon Valley etc etc tu penses d'abord les transports avant tout à défaut de choisir une localisation déjà bien desservie.
C'est sur que les 2000 voyageurs /heure des bus ça va pas le faire...Si les jeunes pousses ne sont pas encore légion sur le plateau, Philippe Van de Maele se dit bien décidé à les y attirer, avec l’ouverture, dans deux ans, d’un IPHE (incubateur, pépinière, hôtel d'entreprises). Il a organisé, avec VivaTech, la première édition du Paris-Saclay Spring, qui a rassemblé 320 start-up et nombre de directeurs R&D en mai 2018.”Il faut que Paris-Saclay soit dans le logiciel des investisseurs et des business angels”, proclame-t-il. Les locataires de l’IPHE pourront en tout cas tester leur ingéniosité en s’efforçant d’améliorer la vie quotidienne sur le plateau, car elle relève plus aujourd’hui de la galère et de la débrouille que de la fluidité propre aux grands campus technologiques.
En attendant la nouvelle ligne de métro, les accès au plateau sont longs et pénibles. -
Pis : alors que l’ouverture de la ligne 18 du métro était programmée en 2024, le gouvernement l’a repoussée à 2027 pour le tronçon vers Orly et à 2030 vers Versailles ! Un mauvais coup porté à Paris-Saclay. “C’est à croire que l’Etat ne comprend pas son propre projet", glisse un observateur, amer, qui rappelle que 50.000 personnes gagneront le plateau tous les jours en 2020 et 70.000, à terme. Certaines entreprises ont déjà mis en place des navettes, comme celle que se partagent les salariés d’EDF, de l’Onera et du CEA, à partir de la porte d’Orléans, à Paris. L’autopartage a de beaux jours devant lui… ainsi que les embouteillages, déjà légendaires. Sans compter que ce gros raté pourrait aussi refroidir les ardeurs de certaines entreprises… et des habitants appelés à s’installer bientôt dans les 10.000 logements familiaux planifiés sur le site.
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Re: Comment placer 200 000 € ?
C'était il y a 5 ou 10 ans qu'il fallait foncer.Jeffrey a écrit : ↑25 mai 2019, 00:12comprends pas ?gillesgobillot a écrit : ↑24 mai 2019, 20:57Trop tard ....PACA a écrit : ↑23 mai 2019, 09:13Oui, l’implantation d'écoles supérieures renommées peut être un indicateur sérieux…. et c'est toujours ça en moins pour Paris IM.https://www.polytechnique.edu/fr/paris-saclay-60 000 étudiants
-10 500 chercheurs et enseignants-chercheurs
-8 000 publications par an
-Représente 15 % de la recherche publique française
-3 prix Nobel en physique
Maintenant, tu va tout payer au prix fort.
Exemple: juste en face d'un gare importante de RER/TGV de banlieue parisienne se construit un superbe (?) immeuble pour investisseurs (pigeons?).
Vu les prix d'achat, pour rentabiliser le truc, il faudrait louer le studio plus de 1000 euros/mois (ou alors avoir la déficalisation de la mort ?).
Trop tard !!!
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Re: Comment placer 200 000 € ?
Nan vas-y dis moi ?
Depuis une autre université ?
Depuis le sud parisien ?
Tu ne comprends le problème que d'une manière : centralisatrice. Pas grave. Tu n'es pas la cible.
Il y a deux profils de personnes parmi le personnel de recherche pour faire simple. Les professeurs âge >45, salaire 3000 à 4000€ jusqu'à la retraite, les chercheurs moins de 45 , maitre de conf, salaire de 1800€ à 3000 €.Ave a écrit : Le problème est que les gens qui sont censés travailler là ont peut être aussi des conjoints qui, eux, ne travaillent pas dans ce coin, donc c'est pour ça qu'un site excentré a plus de mal à attirer des bons profils qu'un site plus centrale et mieux desservi. Surtout avec les millenials, ils sont beaucoup plus sensibles aux conditions de travail que les anciennes générations.
Aucun de ces deux publics ne peut plus s'installer sur paris intra muros, à moins d'habiter un placard à balais.
Ceux qui cherchent encore et toujours à centraliser leur position sont idiots, et il vaut mieux qu'ils soient recrutés par d'autres facs. Je parle de profils que je connais.
Tout dépend ... du nombre de salariés d'un tel pôle. D'ailleurs, on se demande comment font les gens. Parce qu'il y a déjà 370 000 emplois sur le secteur dont on parle, et 35000 emplois concernant directement la recherche. C'est en termes d'effectifs la troisième zone de concentration de cadres supérieurs sur la France. Et sans métro jusqu'à Paris . Je vois pas l'intérêt prioritaire - je souligne prioritaire - de développer une ligne de métro et un couloir aérien.Ave a écrit : Quant à la capacité de 2000 voyageur/heure.... tu sais quelle est la capacité d'une seule rame de RER?
150 personnes par bus c'est vraiment quedalle.
C'est un simple constat. ça marche pour l'instant sans métro. Il y aura un métro, mais ce n'est pas la priorité.
Tu n'y connais rien. Quand on a l'ambition de construire un pôle mondial de recherche, on cherche d'abord, pendant, après, à recruter des pointures de renommée mondiale. Les routes, on s'en cogne.Ave a écrit : Il faut espérer pour ceux qui vont devoir subir ça que la ligne 18 n'aie pas plus de retard que prévu. Mais c'est mal barré...8 ans à patienter encore dans le meilleur de cas pour la connexion à Orly et 11 pour la connexion à Versailles...
Sinon, oui, quand tu as l'ambition de construire un pôle mondial de la recherche, le nouveau Silicon Valley etc etc tu penses d'abord les transports avant tout à défaut de choisir une localisation déjà bien desservie.
En fait, il y a déjà plusieurs incubateurs sur place. Pour ce qui est des accès, tout dépend d'où on part. Les gens qui vienent en train ou avion ne passent pas par Paris, c'est déjà un fait.Ave a écrit :Si les jeunes pousses ne sont pas encore légion sur le plateau, Philippe Van de Maele se dit bien décidé à les y attirer, avec l’ouverture, dans deux ans, d’un IPHE (incubateur, pépinière, hôtel d'entreprises). Il a organisé, avec VivaTech, la première édition du Paris-Saclay Spring, qui a rassemblé 320 start-up et nombre de directeurs R&D en mai 2018.”Il faut que Paris-Saclay soit dans le logiciel des investisseurs et des business angels”, proclame-t-il. Les locataires de l’IPHE pourront en tout cas tester leur ingéniosité en s’efforçant d’améliorer la vie quotidienne sur le plateau, car elle relève plus aujourd’hui de la galère et de la débrouille que de la fluidité propre aux grands campus technologiques.
En attendant la nouvelle ligne de métro, les accès au plateau sont longs et pénibles. -
Mais tout ça, c'est comme ton exemple d'étudiant qui cherche une boulangerie et qui n'en trouve pas à moins de deux heures de transport. ça ne vaut pas tripette comme déclaration.
C'est sûr que dans une même phrase expliquer que 50000 personnes vont travailler sur le secteur et que construire 10000 logements sur place pourrait décourager les gens à venir s'installer en raison des difficultés de transport depuis Paris, c'est d'une logique remarquable. Je ne vois pas quoi rajouter à la question.Ave a écrit :C'est sur que les 2000 voyageurs /heure des bus ça va pas le faire...Pis : alors que l’ouverture de la ligne 18 du métro était programmée en 2024, le gouvernement l’a repoussée à 2027 pour le tronçon vers Orly et à 2030 vers Versailles ! Un mauvais coup porté à Paris-Saclay. “C’est à croire que l’Etat ne comprend pas son propre projet", glisse un observateur, amer, qui rappelle que 50.000 personnes gagneront le plateau tous les jours en 2020 et 70.000, à terme. Certaines entreprises ont déjà mis en place des navettes, comme celle que se partagent les salariés d’EDF, de l’Onera et du CEA, à partir de la porte d’Orléans, à Paris. L’autopartage a de beaux jours devant lui… ainsi que les embouteillages, déjà légendaires. Sans compter que ce gros raté pourrait aussi refroidir les ardeurs de certaines entreprises… et des habitants appelés à s’installer bientôt dans les 10.000 logements familiaux planifiés sur le site.
il y a eu trop de dépenses engagées sur ces projets, des tonnes et des tonnes de béton, des unités déplacées, des fusions de labo, des écoles qui s'installent. Quant aux embouteillage, n'importe quel usager de la 118 voit tous les jours la différence : vaut-il mieux aller vers Paris ou en venir le matin. ça ne te parle pas, à d'autres c'est certain qu'ils comprendront le problème .
Quis custodiet ipsos custodes?
Re: Comment placer 200 000 € ?
Je sais pas, il met combien en transports en commun quelqu'un qui habite Reuil Malmaison, Cergy, Fontenay sous Bois , Pantin, Vincennes, ou que sais je ? Pas mieux que Paris, puisque les transports passent par Paris.
I
Non, c'est sur qu'avec ce niveau de salaire, je ne suis pas la cible .l y a deux profils de personnes parmi le personnel de recherche pour faire simple. Les professeurs âge >45, salaire 3000 à 4000€ jusqu'à la retraite, les chercheurs moins de 45 , maitre de conf, salaire de 1800€ à 3000 €.
Ce que je ne comprends pas est comment ils font pour attirer les pointures mondiales...Tu n'y connais rien. Quand on a l'ambition de construire un pôle mondial de recherche, on cherche d'abord, pendant, après, à recruter des pointures de renommée mondiale. Les routes, on s'en cogne.
Ca marche pour qui, pour toi ? parce que franchement, ce n'est pas ce qu'il en ressort de tous les rapports à disposition, à commencer par celui de la cour de comptes. Mais bon, si pour toi ça marche bien c'est le principal. A se demander pourquoi ils insistent à vouloir à tout prix dépenser 5Mds dans la ligne 18 si ce n'est pas une priorité.C'est un simple constat. ça marche pour l'instant sans métro. Il y aura un métro, mais ce n'est pas la priorité.
Personnellement je m'en cogne, je ne suis pas concernée, mais je plains vraiment les gens qui doivent aller travailler là bas dans les conditions actuelles.
Fluctuat Nec Mergitur
Re: Comment placer 200 000 € ?
La logique actuelle de localisation des structures publiques est à la déconcentration, ainsi qu'à la démétropolisation.
Le mouvement est engagé.
Dans moins d'un mois, toutes les cartes concernant les structures de la DGFIP sortiront.
Le principe, rapprocher les services qui n'accueillent pas de public du lieu de résidence des agents.
Pour faire du traitement de données, pas besoin d'étre installé au coeur d'une métropole.
Objectif : économie sur les loyers, traitement social de la grogne des fonctionnaires (pour pas un rond), et dans certains cas une logique d'aménagement du territoire (QPV et ZRR sont clairement ciblés).
Le mouvement est engagé.
Dans moins d'un mois, toutes les cartes concernant les structures de la DGFIP sortiront.
Le principe, rapprocher les services qui n'accueillent pas de public du lieu de résidence des agents.
Pour faire du traitement de données, pas besoin d'étre installé au coeur d'une métropole.
Objectif : économie sur les loyers, traitement social de la grogne des fonctionnaires (pour pas un rond), et dans certains cas une logique d'aménagement du territoire (QPV et ZRR sont clairement ciblés).
Re: Comment placer 200 000 € ?
Au moins, même sans le réaliser, tu admets que tu ne t'échappes pas d'un modèle centralisateur. Pas de souci pour moi.Ave a écrit : ↑26 mai 2019, 18:42Je sais pas, il met combien en transports en commun quelqu'un qui habite Reuil Malmaison, Cergy, Fontenay sous Bois , Pantin, Vincennes, ou que sais je ? Pas mieux que Paris, puisque les transports passent par Paris.
Ce sont des gens qui savent mieux calculer que toi. Admettons que tu gagnes deux fois plus, c'est à dire 8000€ par mois. ça fait 90K€ net par an. à la louche, avec un tel salaire, tu as une imposition de 20K€ par an sur le revenu. Tu compares cela à un salaire de moitié. Impot sur le revenu 7K€. Hop, 1K€ d'écart rattrapé. Ensuite, tu achètes à Paris, 10K€ par m², si tu achètes à Gif ou Orsay, ou dans le coin, 3K€ le m², différence 7K€ par m². Un 100m² ? ça fait 700K€ de différence.Ave a écrit :
INon, c'est sur qu'avec ce niveau de salaire, je ne suis pas la cible .l y a deux profils de personnes parmi le personnel de recherche pour faire simple. Les professeurs âge >45, salaire 3000 à 4000€ jusqu'à la retraite, les chercheurs moins de 45 , maitre de conf, salaire de 1800€ à 3000 €.
A raison de 3k€ de plus par mois en salaire, tu rattrapes la différence en... 20 ans
Chacun son truc. Pas de problème pour moi.
Après tu peux trouver mon calcul grossier, mais je ne suis pas loin du compte. Et on ne parle pas de qualité de vie.
Offrir des moyens de recherche.Ave a écrit :Ce que je ne comprends pas est comment ils font pour attirer les pointures mondiales...Tu n'y connais rien. Quand on a l'ambition de construire un pôle mondial de recherche, on cherche d'abord, pendant, après, à recruter des pointures de renommée mondiale. Les routes, on s'en cogne.
Je m'inquiète pas pour mon job, j'ai de la ressource. Quoi qu'il se passe, je saurai trouver une place.Ave a écrit :Ca marche pour qui, pour toi ? parce que franchement, ce n'est pas ce qu'il en ressort de tous les rapports à disposition, à commencer par celui de la cour de comptes.C'est un simple constat. ça marche pour l'instant sans métro. Il y aura un métro, mais ce n'est pas la priorité.
C'est un problème politique, tel qu'il a été par le passé avec les différents zoiseaux qui sont passés en gestion de ce problème sur le plateau. Pas le temps d'en refaire l'historique.Ave a écrit : Mais bon, si pour toi ça marche bien c'est le principal. A se demander pourquoi ils insistent à vouloir à tout prix dépenser 5Mds dans la ligne 18 si ce n'est pas une priorité.
Je plains effectivement les gens qui sont obligés de prendre les transports en commun dans un sens ou dans l'autre, sauf les rigolos qui veulent absolument acheter sur Paris et qui ne réfléchissent pas plus loin que le bout de leur nez.Ave a écrit : Personnellement je m'en cogne, je ne suis pas concernée, mais je plains vraiment les gens qui doivent aller travailler là bas dans les conditions actuelles.
Quis custodiet ipsos custodes?
Re: Comment placer 200 000 € ?
Tu as des problèmes avec le 2ème dégrée. Mon commentaire était ironique car d'un côté tu parles d'attirer les meilleurs chercheurs au niveau international et de l'autre tu annonces des salaires qui n'en sont pas à la hauteur de l'enjeu. Puis il semble que le seul moyen de travailler là bas est de vivre à proximité car en étant parisien ou même banlieusard autre ce n'est pas la peine. Ca limite pas mal. Il faut chercher des pointures mondiales qui veuillent bien gagner 3k€ et souhaitent par dessus tout vivre à Massy.Jeffrey a écrit : ↑26 mai 2019, 19:08Admettons que tu gagnes deux fois plus, c'est à dire 8000€ par mois. ça fait 90K€ net par an. à la louche, avec un tel salaire, tu as une imposition de 20K€ par an sur le revenu. Tu compares cela à un salaire de moitié. Impot sur le revenu 7K€. Hop, 1K€ d'écart rattrapé. Ensuite, tu achètes à Paris, 10K€ par m², si tu achètes à Gif ou Orsay, ou dans le coin, 3K€ le m², différence 7K€ par m². Un 100m² ? ça fait 700K€ de différence.
A raison de 3k€ de plus par mois en salaire, tu rattrapes la différence en... 20 ans
Chacun son truc. Pas de problème pour moi.
Après tu peux trouver mon calcul grossier, mais je ne suis pas loin du compte. Et on ne parle pas de qualité de vie.
Je pense que chacun fait comme il peut avec les cartes qu'il a dans son jeu en fonction de ses priorités et ses goûts. La vie en banlieue n'est pas du goût de tout le monde. Tout comme la vie à Paris. La seule différence est que en général ceux qui vivent à Paris peuvent se permettre d'aller vivre en banlieue si ça les prend. L'inverse n'est pas toujours vrai.Je plains effectivement les gens qui sont obligés de prendre les transports en commun dans un sens ou dans l'autre, sauf les rigolos qui veulent absolument acheter sur Paris et qui ne réfléchissent pas plus loin que le bout de leur nez.
Fluctuat Nec Mergitur
Re: Comment placer 200 000 € ?
pour faire de l'ironie, il faut savoir de quoi on parle. ça permet de déclarer des propos qui peuvent avoir une pointe d'interprétation double. Dans le cas précis, ce n'est pas de l'ironie, mais de l'ignorance de ta part. Les chercheurs les mieux rémunérés en France dans le domaine public ne gagnent que très rarement plus de 5000K€ net. Il faut être hors classe dernier échelon. http://www.snpreesfo.fr/index.php/9-unc ... chercheursAve a écrit : ↑26 mai 2019, 21:06Tu as des problèmes avec le 2ème dégrée. Mon commentaire était ironique car d'un côté tu parles d'attirer les meilleurs chercheurs au niveau international et de l'autre tu annonces des salaires qui n'en sont pas à la hauteur de l'enjeu.Jeffrey a écrit : ↑26 mai 2019, 19:08Admettons que tu gagnes deux fois plus, c'est à dire 8000€ par mois. ça fait 90K€ net par an. à la louche, avec un tel salaire, tu as une imposition de 20K€ par an sur le revenu. Tu compares cela à un salaire de moitié. Impot sur le revenu 7K€. Hop, 1K€ d'écart rattrapé. Ensuite, tu achètes à Paris, 10K€ par m², si tu achètes à Gif ou Orsay, ou dans le coin, 3K€ le m², différence 7K€ par m². Un 100m² ? ça fait 700K€ de différence.
A raison de 3k€ de plus par mois en salaire, tu rattrapes la différence en... 20 ans
Chacun son truc. Pas de problème pour moi.
Après tu peux trouver mon calcul grossier, mais je ne suis pas loin du compte. Et on ne parle pas de qualité de vie.
Alors, ta blague ironique n'a pas de sens. Ce qui motive une pointure à travailler dans un labo, ce sont les moyens offerts, pas le salaire. Et ensuite il y a toute la gamme de chercheurs qui ne sont pas en fin de carrière, qui sont motivés par travailler dans une unité renommée. Et tout le monde n'est pas en fin de grille. Enfin, dans la fonction publique, il y a plein d'emplois qui ne sont pas seulement chercheurs, mais personnels d'accompagnement des chercheurs, ces gens là ne gagnent pas autant. Et pour finir, les pointures qui gagnent le plus n'ont généralement pas de charge d'enseignement. Ou alors ils ont une poignée de thésards qui publient pour eux.
Les pointures mondiales ? Bah, si tout le monde dans une boite gagnait autant que le pdg, ça se saurait.Ave a écrit : Puis il semble que le seul moyen de travailler là bas est de vivre à proximité car en étant parisien ou même banlieusard autre ce n'est pas la peine. Ca limite pas mal. Il faut chercher des pointures mondiales qui veuillent bien gagner 3k€ et souhaitent par dessus tout vivre à Massy.
Maintenant , je vois bien que ce genre de motivation et de monde te passe au dessus de la tête. Un chercheur ne gagne pas aussi bien sa vie qu'un cadre sup ingé de premier groupe qui travaille dans un groupe avec du pognon et qui a des responsabilités. Si c'est une découverte pour toi, c'est dommage. Et donc, en matière de perspective professionnelle, pas mal de gens de ce type ont intérêt matériellement à s'excentrer de Paris. cela va de soit.
C'est un propos profondément débile. Les gens qui vivent à Paris n'ont pas toujours les ressources pour aller travailler en banlieue, ni même en province. Si tu penses que c'est une affaire de goût, tu vis vraiment dans un aquarium.Ave a écrit :Je pense que chacun fait comme il peut avec les cartes qu'il a dans son jeu en fonction de ses priorités et ses goûts. La vie en banlieue n'est pas du goût de tout le monde. Tout comme la vie à Paris. La seule différence est que en général ceux qui vivent à Paris peuvent se permettre d'aller vivre en banlieue si ça les prend. L'inverse n'est pas toujours vrai.Je plains effectivement les gens qui sont obligés de prendre les transports en commun dans un sens ou dans l'autre, sauf les rigolos qui veulent absolument acheter sur Paris et qui ne réfléchissent pas plus loin que le bout de leur nez.
Quis custodiet ipsos custodes?
Re: Comment placer 200 000 € ?
Faut parler des postes hors grille FPE R&D ( doyen, collège france, ... ), les cumuls et avtg. : Directeur de labo CNRS: 6500 € /mois + Prof. a l'ENS: 6000 € /mois + Conseiller scientifique chez Sanofi/pasteur & co (souvent offert) + Les publications + jetons de présence + conférences + études privées + royalties des brevets + hôtel particulier ds le Vem + sursalaire fam. 25% + retraite à 90 % + congés + horaire + primes + ...
Oui un chercheur qui feignasse restera à 6000 € net mais un ing. de la métallurgie c'est 3000 € (niveau IIIA, ind.130) ou "hors cadre" 6000 (IIIA).
La carte n'est pas le territoire - Le monde du Ā (1945) 1er axiome de sémantique générale.
Re: Comment placer 200 000 € ?
Salaire brut,neron a écrit : ↑27 mai 2019, 08:24Faut parler des postes hors grille FPE R&D ( doyen, collège france, ... ), les cumuls et avtg. : Directeur de labo CNRS: 6500 € /mois + Prof. a l'ENS: 6000 € /mois + Conseiller scientifique chez Sanofi/pasteur & co (souvent offert) + Les publications + jetons de présence + conférences + études privées + royalties des brevets + hôtel particulier ds le Vem + sursalaire fam. 25% + retraite à 90 % + congés + horaire + primes + ...
Oui un chercheur qui feignasse restera à 6000 € net mais un ing. de la métallurgie c'est 3000 € (niveau IIIA, ind.130) ou "hors cadre" 6000 (IIIA).
J’ai écrit salaire net.
Et j’ai écrit « très rarement ». C’est vraiment grotesque de me reprendre en parlant de désinformation et en citant les présidents d’universites Et les membres du collège de France
Quis custodiet ipsos custodes?
Re: Comment placer 200 000 € ?
Tu ne m'as pas lu. Depuis 80 ans les syndicats de la FTE&co ont peaufiner un discours, des concepts, une sémantique de négociations. Oui tu fais de la désinfo. car tu nous parle de l'image dans lesquels ils s'y complaisent et non de l'objet que j'ai essayé de te dessiner sans succès
Ces concepts de la FPE minimisent les ressources perçues par les agents (prime, sursalaire, net/brut..); taisent le cout réel des accotés dont les avtg acquis payés après (la retraite à 90%, nb d'années de travail surévalué), les avtg. (mutuelles et postes à vie autorisant la médiocratie), maximisent les temps de travail réellement au poste (25 h. voir 3h évalués comme étant 35 heures) et les congés réels (3 mois /an), les sur-qualifications offertes (diplômes internes facilités), taient les changement de statut/grille par des lois (les instits devenus prof de collège), maximisent les intitulés ( chercheurs, directeur), ... Tout un ensemble d'abus de langage et de sens acceptés lors de négociations bipartite (et non tri-partite) de entre gens eux même intéressés dont les bénéficiaires en use les prenant pour argent contant sans aucun recul
Modifié en dernier par neron le 27 mai 2019, 09:32, modifié 1 fois.
La carte n'est pas le territoire - Le monde du Ā (1945) 1er axiome de sémantique générale.
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Re: Comment placer 200 000 € ?
6000 brut par mois c'est en fin de carrière et le plus facile est de passer professeur, avoir toutes les promos et la pedr, c'est un parcours du combattant mais on jouit de beaucoup de liberté. Il faut juste participer à la gestion des facs et des labos, c'est le truc pénible à faire, la corvée.
Les organismes de recherche publics ne permettent qu'une carrière lente et difficile. Les gens qui se retrouvent au collège de France sont exceptionnels sur tous les plans et on leur épargne les corvées.
Tout à fait autre chose que les présidents d'université dont les meilleurs sont ceux qui decident de sacrifier toute activité de recherche à 40 ans mais qui sont souvent des apparatchiks. Ils travaillent enormement mais ce qu'ils font je trouverais au moins aussi gratifiant de le faire dans une boite du cac40 ce qui permet au moins de vraiment gagner du POGNON.
Il y a possibilité de mieux en étant au cea et surtout en étant membre d'un grand corps de l'état affecté dans un labo. Ce ne sont d'ailleurs pas les meilleurs chercheurs dans mon domaine. Ils sont plutôt bons, cela dit, mais pas meilleurs que les autres.
Il suffit d'assez peu pour être éjecté du système à 30-35 ans et on peut aussi avoir une carrière stagnante à partir de 40 ans. C'est même qui arrive au chercheur médian. La plupart se concentrent alors sur l'enseignement et la gestion des facs ce qui est un travail à temps plein , mais beaucoup continuent la recherche. La proportion habituelle dans tous les emplois de cadre moyen en profite pour glander.
Les organismes de recherche publics ne permettent qu'une carrière lente et difficile. Les gens qui se retrouvent au collège de France sont exceptionnels sur tous les plans et on leur épargne les corvées.
Tout à fait autre chose que les présidents d'université dont les meilleurs sont ceux qui decident de sacrifier toute activité de recherche à 40 ans mais qui sont souvent des apparatchiks. Ils travaillent enormement mais ce qu'ils font je trouverais au moins aussi gratifiant de le faire dans une boite du cac40 ce qui permet au moins de vraiment gagner du POGNON.
Il y a possibilité de mieux en étant au cea et surtout en étant membre d'un grand corps de l'état affecté dans un labo. Ce ne sont d'ailleurs pas les meilleurs chercheurs dans mon domaine. Ils sont plutôt bons, cela dit, mais pas meilleurs que les autres.
Il suffit d'assez peu pour être éjecté du système à 30-35 ans et on peut aussi avoir une carrière stagnante à partir de 40 ans. C'est même qui arrive au chercheur médian. La plupart se concentrent alors sur l'enseignement et la gestion des facs ce qui est un travail à temps plein , mais beaucoup continuent la recherche. La proportion habituelle dans tous les emplois de cadre moyen en profite pour glander.
Modifié en dernier par ProfGrincheux le 27 mai 2019, 09:48, modifié 2 fois.
Ignorés: Manfred, titano.
Re: Comment placer 200 000 € ?
vous m'excuserez,
suite au poste de neron je vais voir les RH de ce pas avec ses affirmations gratuites,
in-fine je pense pouvoir tripler mon taux horaire annualisé (voir même sur une vie, vu le taux de remplacement élucubré au départ en retraite)
suite au poste de neron je vais voir les RH de ce pas avec ses affirmations gratuites,
in-fine je pense pouvoir tripler mon taux horaire annualisé (voir même sur une vie, vu le taux de remplacement élucubré au départ en retraite)
St Ex, Le petit prince a écrit :Les hommes n'ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis.
Re: Comment placer 200 000 € ?
Ca pourrait rendre le concours dgfip intéressant °°ignatius a écrit : ↑26 mai 2019, 18:46La logique actuelle de localisation des structures publiques est à la déconcentration, ainsi qu'à la démétropolisation.
Le mouvement est engagé.
Dans moins d'un mois, toutes les cartes concernant les structures de la DGFIP sortiront.
Le principe, rapprocher les services qui n'accueillent pas de public du lieu de résidence des agents.
Pour faire du traitement de données, pas besoin d'étre installé au coeur d'une métropole.
Objectif : économie sur les loyers, traitement social de la grogne des fonctionnaires (pour pas un rond), et dans certains cas une logique d'aménagement du territoire (QPV et ZRR sont clairement ciblés).
Re: Comment placer 200 000 € ?
De la désinformation ? On parlait des revenus des salariés de la fonction publique dans la recherche et de leur adéquation avec un niveau de vie sur Paris, notamment les prix de l’immobilier. Et toi, tu donnes le lien du salaire des professeurs au collège de France et des présidents d’université, tu parles de ticket de présence chez sanofi. Et maintenant tu nous parles de retraite.neron a écrit : ↑27 mai 2019, 09:22Tu ne m'as pas lu. Depuis 80 ans les syndicats de la FTE&co ont peaufiner un discours, des concepts, une sémantique de négociations. Oui tu fais de la désinfo. car tu nous parle de l'image dans lesquels ils s'y complaisent et non de l'objet que j'ai essayé de te dessiner sans succès
Tu as vraiment l’impression d’avoir tapé dans le subterfuge de la désinformation quand je parle des capacités de niveau de vie des universitaires en activité ?
C’est vrai, après tout, si un chercheur n’est pas assez rémunéré pour s’acheter un manoir, il n’a qu’à faire des cours au collège de France ou prendre sa retraite.
Quis custodiet ipsos custodes?