30 millions environ, faute de meilleurs infos.
Un nénuphar double de surface tous les jours. Au bout de 17 jours il a couvert la moitié de l'étang. Combien de temps mettra t il a couvrir tout l'étang ?
30 millions environ, faute de meilleurs infos.
30 millions environ, faute de meilleurs infos.
Je te donnerai la réponse demain.
C'est subtil la bonne stratégie, parce que c'est celle qui correspond à la culture du pays.Pi-r2 a écrit : ↑12 mars 2020, 11:41Non, il faut aussi limiter la vitesse de propagation de la maladie par des mesures de confinement.
Sinon, le nombre de lit ne sera jamais suffisant face à une hausse exponentielle (dans 3 semaines ils sont pleins à ce rythme)on est exactement dans le même cas, voire pire, grâce à des gens qui comme toi minorent la situation. L'économie ça repart, les morts non.
Le Japon et la Corée ont la bonne stratégie. La létalité on ne la connait pas, de même qu'on ne connait pas les effets secondaires du virus ni d'un éventuel futur vaccin, ni si le virus va revenir ou non, ni si il va muter.
ça fait beaucoup d'inconnues avec lesquelles il ne faut pas jouer.
Le lendemain si c'est la moitié recouverte à la fin de la journée du 17 soit le 18, ou le 17 au soir si c'était le matin du 17ième jour
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 7136f40375Disney ferme ses parcs aux Etats-Unis et en France
REUTERS•13/03/2020
Walt Disney a annoncé jeudi la fermeture de ses parcs d'attractions en France, en Floride et en Californie, prenant acte des mesures prises par les autorités publiques pour ralentir la propagation de l'épidémie de coronavirus.
"Nous commençons à fermer nos parcs d'attraction Walt Disney World Resort en Floride et Disneyland Paris Resort, la fermeture sera effective dimanche 15 mars et durera jusqu'à la fin du mois", dit le groupe dans un communiqué.
Disney avait auparavant annoncé la fermeture de ses parcs en Californie.
Les hôtels présents sur les sites Walt Disney World et Disneyland Paris resteront ouverts jusqu'à nouvel ordre.
"Covid-19 : la faillite d’un système"
Bruno GUIGUE
On aura tout lu, tout vu, tout entendu : "le régime chinois a fait faillite", la Chine est "au bord du gouffre", le "système s’écroule", Xi Jinping est "politiquement en danger" et "pris au piège", la "dictature est chancelante", le "totalitarisme est ébranlé" et "avoue son échec", "rien ne sera plus comme avant".
Une chose est sûre en effet, c’est que rien ne sera plus comme avant, et pour une bonne raison : la République populaire a manifestement vaincu l’épidémie en deux mois. Les oiseaux de mauvais augure diront que c’est faux, que les chiffres sont truqués, que l’épidémie peut rebondir. Mais les experts internationaux disent le contraire, et les faits parlent d’eux-mêmes. Le nombre quotidien de nouvelles contaminations est désormais 50 fois plus élevé dans le reste du monde qu’en République populaire de Chine. Sur les 80 000 cas recensés depuis janvier dans ce pays, 70 000 patients sont déjà guéris. Les restrictions aux déplacements sont levées progressivement et l’activité économique redémarre.
On comprend que cette réalité attriste les ennemis de la Chine qui pullulent dans les médias du monde libre, mais il va falloir qu’ils s’y fassent. La Chine a réussi ce qu’aucun pays n’a jamais réussi à faire : vaincre une épidémie par une mobilisation massive de la société et de l’Etat. Après avoir signalé le virus à l’OMS le 31 décembre 2019, la Chine s’est mise en ordre de bataille. Sans précédent dans l’histoire, le confinement de 50 millions de personnes, dès le 23 janvier, a ralenti la progression de l’épidémie. Apparu masqué à la télévision le 8 février, le président Xi a décrété "une guerre du peuple contre le nouveau démon". Des dizaines de milliers de volontaires ont afflué au Hubei, des dizaines d’hôpitaux ont été construits en quelques semaines, des milliers d’équipes ont été envoyées pour tracer les contacts entre les malades et leur entourage. Un seul exemple : à la fin des festivités du Nouvel An chinois, 860 000 personnes sont rentrées à Pékin. Le gouvernement leur a ordonné de rester chez pendant deux semaines et la municipalité a mobilisé 160 000 gardiens d’immeubles pour s’assurer du respect de cette consigne.
Si l’épidémie est en recul, ce n’est pas parce qu’on a fait tourner des moulins à prière, c’est parce que le peuple chinois a fait des efforts gigantesques. En Europe on critique la Chine, on tergiverse, on "privilégie l’économie", et en attendant la pandémie se répand. En 2009, le virus H1N1 apparu au Mexique et aux EU a infecté 1 600 000 personnes et en a tué 284 000 dans le monde entier. Washington a brillé par sa nullité dans le traitement de cette pandémie, et les médias occidentaux ont préféré regarder ailleurs. Aujourd’hui, il va falloir admettre que notre système est inopérant, tandis que le socialisme chinois a fait une nouvelle démonstration de sa supériorité. Car pour combattre un telle menace, encore faut-il avoir un Etat. Mais le nôtre, où est-il ? La santé publique est-elle sa priorité ? Serait-il capable de construire de nouveaux hôpitaux, alors même qu’il s’acharne à détruire ceux qui existent ?
Dans un pays où la propriété publique est négative, où l’on a privatisé et démantelé les services publics, où l’Etat est l’otage volontaire des milieux financiers, serions-nous capables d’effectuer 10% de ce que les Chinois ont fait ? Il est vrai qu’à Pékin on n’applique pas les consignes néolibérales, les banques obéissent au gouvernement, la propriété publique pèse 50% de la richesse nationale, l’Etat a une obligation de résultat, il est jugé par 800 millions d’internautes sur sa capacité à régler les problèmes, il sait qu’il est comptable de l’intérêt national, que son mandat n’est reconduit que s’il fait ses preuves dans les faits et non en paroles. Dictature totalitaire, ce système ?
Etrange dictature où le débat est permanent, les erreurs dénoncées, les manifestations fréquentes, les institutions soumises à la critique. Ce serait un régime totalitaire, parce qu’il astreint des populations entières au confinement massif dont tous les experts disent qu’il est la seule mesure efficace ? C’est un système imparfait sans doute, mais qui fonctionne et tient compte de ses erreurs. Tandis que chez nous, l’autosuffisance tient lieu d’autocritique, le dénigrement des autres remplace la prise de responsabilité et le bla-bla permanent l’action efficace. L’éditorialiste du "Monde", ce coryphée de la science, a bien raison : "c’est la faillite d’un système". Sauf que le système en faillite n’est pas celui qu’on croit.
Les politiciens occidentaux travaillent pour les plus riches, mais ils ne sont pas complètement débiles non plus : il y a quelques leçons de l'histoire qu'ilis ont retenu : notamment, le peuple ne doit jamais manquer de pain. Probablement que le prix des pâtes baisserait si la situation devenait vraiment difficile. Parce que sinon, je ne donnerais pas cher de ces gouvernements démocratiques.Immopaparis a écrit : ↑13 mars 2020, 08:48
- Où va se rediriger l'argent que les gens sortent de la bourse? Les actifs spéculatifs (bourse, or, cryptos) s'effondrent. Est-ce que l'immobilier peut flamber d'avantage encore? Ou s'effondrer? Mais imaginez un instant que dans leur panique, les gens se mettent à acheter... je sais pas moi... des pâtes. Alors oui, on ne parle pas des riches dans un premier temps, mais des pauvres qui s'affolent. J'ai encore vu un article sur des supermarchés en France où cela est arrivé. Si tout à coup les denrées alimentaires et de première nécessité deviennent très demandées, certains tarés de spéculateurs vont vouloir se faire du fric avec.
=> Donc augmentation des prix des biens de consommation => donc inflation?
Jusqu'ici tout le fric des banques centrales était aspiré par la bourse, l'immo et les placements spéculatifs. Ou est-ce que ce fric va filer à présent que les gens ont peur?
La population étant une ressource limitée, on notera que passé un tel seuil, le nombre de contaminations ne peut que s'effondrer.
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https://www.boursorama.com/bourse/actua ... db1b483339Coronavirus: pas de dividende Lufthansa pour l'exercice 2019
AFP•14/03/2020
Le groupe allemand de transport aérien Lufthansa a annoncé vendredi qu'il ne verserait pas de dividende au titre de son exercice 2019, son secteur se débattant dans la "crise exceptionnelle" provoquée par le coronavirus.
Cette mesure vise à préserver les liquidités du groupe au moment où il est confronté à de nombreuses annulations de vols et à un effondrement des réservations dû en partie aux restrictions sur les voyages imposées par les gouvernements.
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Lufthansa a averti que dans les prochaines semaines son programme de vols "pourrait être encore réduit de jusqu'à 70% par rapport au programme originel".
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Sans doute la plus mauvaise nouvelle de la journée.moinsdewatt a écrit : ↑14 mars 2020, 09:16https://www.boursorama.com/bourse/actua ... db1b483339Coronavirus: pas de dividende Lufthansa pour l'exercice 2019
AFP•14/03/2020
Le groupe allemand de transport aérien Lufthansa a annoncé vendredi qu'il ne verserait pas de dividende au titre de son exercice 2019, son secteur se débattant dans la "crise exceptionnelle" provoquée par le coronavirus.
Cette mesure vise à préserver les liquidités du groupe au moment où il est confronté à de nombreuses annulations de vols et à un effondrement des réservations dû en partie aux restrictions sur les voyages imposées par les gouvernements.
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Lufthansa a averti que dans les prochaines semaines son programme de vols "pourrait être encore réduit de jusqu'à 70% par rapport au programme originel".
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La trésorerie c'est sacré. Surtout dans un secteur connu pour ses taux de marge très faibles. Ils peuvent en profiter pour acheter du kérosène à bas prix.moinsdewatt a écrit : ↑14 mars 2020, 09:16https://www.boursorama.com/bourse/actua ... db1b483339Coronavirus: pas de dividende Lufthansa pour l'exercice 2019
AFP•14/03/2020
Le groupe allemand de transport aérien Lufthansa a annoncé vendredi qu'il ne verserait pas de dividende au titre de son exercice 2019, son secteur se débattant dans la "crise exceptionnelle" provoquée par le coronavirus.
Cette mesure vise à préserver les liquidités du groupe au moment où il est confronté à de nombreuses annulations de vols et à un effondrement des réservations dû en partie aux restrictions sur les voyages imposées par les gouvernements.
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Lufthansa a averti que dans les prochaines semaines son programme de vols "pourrait être encore réduit de jusqu'à 70% par rapport au programme originel".
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http://www.presseagence.fr/lettre-econo ... -faillite/CORONAVIRUS, les autocaristes proches de la faillite !
80 % des réservations de transport pour le mois de Mars ont été annulées
74% de baisse des réservations
Suite à l’annonce du président hier soir de fermer les écoles, 400 sorties scolaire prévues dans les 15 jours à venir ont été annulées.
Alexandre Woog, directeur général de Alliance Autocar détaille : « La situation est catastrophique pour l’ensemble du secteur du transport et des autocars, il faut absolument obtenir des subventions pour tenir pendant cette crise ! Les mesures annoncées par le gouvernement sont très bonnes mais ne suffisent pas à payer les coûts fixes de l’entreprise dont le carnet de commande est quasi vide à cause de cette crise sanitaire ».
Le président a indiqué clairement lors de son intervention : « J’invite tous les Français à limiter leurs déplacements au strict nécessaire ».
Alexandre Woog commente : « Cette annonce semble légitime mais signe en l’état l’arrêt de mort de nombreux autocaristes en France ».
Et les assistés au RSA ?pimono a écrit : ↑14 mars 2020, 14:55elle est flippante cette société où le moindre aléa doit être pris systématiquement en charge par l'Etat ! les agriculteurs c'est pareil dès que le temps est mauvais, hop on couine et l'Etat défraie... les gens n'ont pas fini de payer des impôts avec autant de gens assistés !
Le RSA c'est que ~ 500e par mois et par an, on coute que ~ 16 milliards qui se retrouvent dans l'économie réelle chaque année contrairement aux autres milliards qu'on donne à des gens pour faire semblant de travailler et qui finissent dans des comptes épargnes ou à l'étranger et qui plombent complétement l'économie jusqu'à la rendre incompétitive.meskiangasher a écrit : ↑14 mars 2020, 15:03Et les assistés au RSA ?pimono a écrit : ↑14 mars 2020, 14:55elle est flippante cette société où le moindre aléa doit être pris systématiquement en charge par l'Etat ! les agriculteurs c'est pareil dès que le temps est mauvais, hop on couine et l'Etat défraie... les gens n'ont pas fini de payer des impôts avec autant de gens assistés !
Pimono raconte pas queud'lamardepimono a écrit : ↑14 mars 2020, 15:13Le RSA c'est que ~ 500e par mois et par an, on coute que ~ 16 milliards qui se retrouvent dans l'économie réelle chaque année contrairement aux autres milliards qu'on donne à des gens pour faire semblant de travailler et qui finissent dans des comptes épargnes ou à l'étranger et qui plombent complétement l'économie jusqu'à la rendre incompétitive.meskiangasher a écrit : ↑14 mars 2020, 15:03Et les assistés au RSA ?pimono a écrit : ↑14 mars 2020, 14:55elle est flippante cette société où le moindre aléa doit être pris systématiquement en charge par l'Etat ! les agriculteurs c'est pareil dès que le temps est mauvais, hop on couine et l'Etat défraie... les gens n'ont pas fini de payer des impôts avec autant de gens assistés !
je parlais pas du cas du coronavirus,
https://www.boursorama.com/bourse/actua ... 7e860a1e84Ferrari victime de graves problèmes d'approvisionnement pour ses usines italiennes
REUTERS•14/03/2020
https://www.capital.fr/entreprises-marc ... ie-1364703Entre le 22 février dernier, date des premières mesures mises en place par le gouvernement, et le 11 mars, la fréquentation dans les centres italiens de Klépierre a reculé de 30 %. Cette baisse atteignait 45 % sur les 7 derniers jours de cette période.
Bien qu'une part très importante de ces loyers bruts (90,5 % en 2019) soit constituée de loyers minima garantis pour une durée moyenne résiduelle de 4,1 années, une baisse prolongée, aggravée et généralisée du chiffre d'affaires des commerçants pourrait détériorer leur solvabilité et donc la capacité du groupe à recouvrer une partie de ses loyers.
"Étant donné l'absence de visibilité quant à la durée de l'épidémie, il n'est pas possible à ce stade de mesurer son impact sur le cash-flow net courant par action du groupe pour 2020 ", a conclu Klépierre.