neron a écrit : ↑29 mars 2020, 19:46
Praséodyme a écrit : ↑29 mars 2020, 17:16
Staline.., Nasser et Mao ... Cela fait de Roosevelt et Hitler des soviétiques"!?*., . Kennedy, De Gaulle, Colbert, Sully ou Napoléon III également"?!"
La mobilisation des forces vives d'une nation sous l'égide de son état pour de grands projets d'utilité publique, ça me paraît justement être l'antidote à l'idéologie individualiste libérale .... qui nous a mené là où nous sommes.
Oui on peut tout faire avec les mots mais je ne vois pas en quoi cela résoudrait notre incapacité societale à fabriquer entre autres notre PQ .
La taxation inefficace à 60% du travail des "forces vives" te suffit pas. Tu nous jure que ton capitalisme étatique au main de fonctionnaires aura plus de résultats si il en contrôle 100 %. Cela s'appelle du totalitarisme.
Heureusement mes enfants ne vivent plus en Europe et moi j'ai plus fine a en attendre
a) Tu plaque une solution simplete sans avoir analyser les causes de notre situation,: j'ai mal au pied/ je change de pied, j'ai pas d'argent/j'en prend a côté, ..
b) La logique de ta réthorique est foireuse. La.négation d'une négation ne fait pas du juste: C'est à toi de contrecarrer mon argumentation qui dis que ta solution ne repose que tes mots ne sont que vides incantations, images d'Épinal surfaites, solutions surannées, usées inadaptees non objectivées.
x) Tu me trouvera où est la nation, cette motivation, force vive, cette idéologie individualisme, ce libéralisme Français ou Européen alors que notre modèle depuis 39 ans sont les ex-democratie sociale avancée du Nord de l'Europe où l'on est à +60% de taxe en période de paix
c) Tous tes exemples sont des replis nationalistes souvent totalitarisme autour d'une figure forte. Tu me diras que nous avons Martine pour le rôle de Mao, Staline, Naser, Napoléon III, ... (tiens t'a oublié Hitler) ou Merkel tremblotante dans le rôle de Roosevelt.
d) Plus de 80% de ces personisations ont conduit à des génocides, sans amélioration pour les populations si ce n'est des mots,
e) Napoléon III, à part défaite de Sedan, la perte de l'Alsace Lorraine, de nos positions en Amérique (Canada, lexique, Louisiane), en Italie, il a bien fallu contrecarrer ces désastres par de la com,
f) Où sont "ces forces vives", comment tu vas les motiver concrètement ? Oü est cette nation : Hormis une incantation de vertus surjoués par les suppôts du pouvoir actuel. As tu bien conscience qu'elles sont passé du côté obscur de cette force qui fait la fin des empires et de la puissance?
g) Sur qu'elle spoliation, révolution, valeurs nouvelles bâtiras-tu cet élan ?: Napoléon 1er a profité de l'énergie libérée par la disparition de l'aristocratie et les sciences (l'anilatant la suprématie française), Sully de la disparition des grands féodaux, des charges et des progrès agricoles (la France y perdant sa suprématie coloniale), Colbert de la razia de tout les pouvoirsnoar Louis XIV, de l'esclavage et des manufactures, Kennedy à part la Lune et le Vietnam je ne vois pas ???,
h) De Gaulle n'est pour rien dans la reconstruction qui se serait fait sans lui (dommage qu'il ait pas pris le plan Marshall)
Pas besoin de nationaliser 100% de l'économie pour lancer de grands chantiers. C'est ton approche tout-ou-rien qui est simplette.
Bien que les trois-quarts de ton message soient illisibles ou relèvent d'une méconnaissance du sujet, je vais tenter de répondre sur le fond.
Où trouver l'argent ?
Nous avons une banque centrale qui mine du bit-euro par centaines de milliards et sans limite quantitative. Cet argent ne sert qu'à maintenir le coût de la dette des états à un niveau supportable et finit surtout par alimenter le marché secondaire, maintenant les prix des actifs financiers et de l'immo d'occasion ua bénéfice des rentiers. Dans une optique productiviste, cet argent ou ne serait-ce qu'une fraction serait bien mieux dans les poches des travailleurs-consommateurs de l'économie réelle, quitte à les inciter à consommer Européen avec des barrière douanières.
Pour cela, on aurait pu le faire pleuvoir dans les rues par hélicoptère, plutôt que de le confier aux banques d'investissements. On pourrait aussi s'en servir pour créer de grands chantiers d'aménagement du territoire (c'est ce qui est fait dans l'Est de l'UE et pas assez dans le Sud) et dans des grands projets d'excellence technologique.
Pour rappel, le QE actuel de la BCE c'est un ITER par mois. EN 2016, c'était quatre ITER par mois. Idem pour celui de la Fed. Qu'on ne vienne pas nous dire qu'il n'y a pas d'argent magique.
Où sont ces forces vives ?
Rien qu'en France, on forme 37 000 ingénieurs chaque année. Quoi qu'en disent les RH, il n'y a pas de pénurie. Si tel était le cas, on paierait les débutants un peu plus que deux smics. Il y en a un bon paquet qui seraient motivés pour travailler à des projets d'envergure soit directement d'utilité publique (parc électronucléaire, transition énergétique, réseaux, biomédical, etc.), soit de développement technologique à retombées différées (spatial, fission nucléaire, hyperloop, etc.)