La crise économique de 2020 a commencé (covid 19)

[titano]

modéré

[kamoulox]

modéré

[m.enfin]

merci de reprendre le sujet de ce fil économique,
la politique est en section politique

[Qqun_de_Passage]

modéré

[Qqun_de_Passage]

modéré

[kamoulox]

modéré

[m.enfin]

la répétition, comme faire le ménage, m'exaspère

[ddv]

Pourquoi ce fil a gardé comme titre "la crise économique de 2020" ? Il y a eu une crise économique en 2020 au final ?

[slash33]

Forte hausse des défaillances d'entreprise en 2023, que l'INSEE doit confirmer prochainement, mais sous le niveau d'avant covid. Bref on revient petit à petit à la normalité.

https://www.lesechos.fr/finance-marches ... ns-2047018

Le détail par la BdF:
https://www.banque-france.fr/index.php/ ... 3-dec-2023

[castralroc]

Marrant que tu sortes ces chiffres.
Marc Touati les a analysé et il n’a pas la même vision que toi sur cette normalité.
Les défaillances d’entreprises en 2023 sont monstrueuses sans parler du déficit (-195 milliards en 2023!!)

https://youtu.be/0hACkRiMue8?feature=shared

[slash33]

Je suis Touati. C'est utile pour avoir une synthèse de situation. Mais il est toujours trop alarmiste et, comme pas mal de confrères, nie qu'il existe des effets de rétroactions qui changent le diagnostic établi. Les acteurs prennent des décisions, le système se corrige, les analyses économiques restent figées.

[crispus]

"Les loyers sont bas" rapportés au revenu de l'ensemble des ménages... Ce qui n'est pas pertinent en temps de bulle, pour les raisons que j'ai détaillées plus haut.

Après plusieurs itérations, le parc locatif privé se retrouve occupé par des locataires de moins en moins solvables : le nombre de bénéficiaires de l'APL et d'impayés ne peut que le confirmer.

L'inquiétante évolution des impayés de loyer

https://www.bfmtv.com/immobilier/locati ... 10336.html

(Sept 2023)

Avec l'inflation et la perte de pouvoir d'achat, les locataires ont clairement de plus en plus de mal à payer leur loyer en temps et en heure. Et c'est l'augmentation des petits impayés qui est la plus spectaculaire. Ceux qui nécessitent des relances à J+1. En région parisienne on est passé de 5% de baux concernés avant le Covid à 18% au mois d'août.

Plus inquiétant encore, l'état de ces mêmes petits impayés à l'échelle des 10 plus grandes villes de France en dehors de la capitale. Là les relances à J+1 concernent désormais 25% des dossiers de location. Un record historique. Même chose sur le reste du territoire. Un locataire sur 4 doit désormais être relancé, insiste le gestionnaire Imodirect.

Mais au-delà de ces "petits impayés" se sont ceux de plus de 30 jours qui sont évidemment les plus inquiétants. Ceux-là restent heureusement ultra-minoritaires. Ils représentent 3,7% des dossiers. Cela peut paraître relativement faible mais c'est en réalité 4 fois plus qu'avant la crise sanitaire.