avec le progrès, cette image n'a plus sa place aujourd'hui.....
trop machiste !
avec le progrès, cette image n'a plus sa place aujourd'hui.....
ce n'est pas parce que les médias le répètent tous les jours qu'on est un pays libre que le monde nous envie. C'est le fric, pas le pouvoir d'achat (même si globalement très correct), le fric en valeur absolue aux taux de change en vigueur, et l'image déformée (racontez votre pouvoir d'achat sur n'importe quel continent, ils ne vous croiront jamais si pauvre) qui donne envie, et surtout pas la liberté (bien qu'ils la surestiment largement aussi) qui peut faire envie.ProfGrincheux a écrit : ↑10 oct. 2020, 10:13C'est une question politique et nous croyons qu'il vaut mieux les décider par la délibération démocratique, les autres systèmes politiques faisant pire soit sur la liberté soit sur la prospérité individuelles soit sur les deux.
Je pense que ça serait un facteur important de hausse du prix de l'immobilier car 99% de projets de jeunes adultes consiste à acheter sa résidence principale. C'est déjà le cas pour ceux qui peuvent se le permettre mais si en plus c'est incité fiscalement par l'état, cela ne peut aller que dans l'inflation immobilière plutôt que dans la création de start ups et projets innovants.ignatius a écrit : ↑09 oct. 2020, 10:29Je précise que je ne suis pas du tout sur la même ligne que Zola.
Je suis pour ma part pour une incitation forte aux donations, afin de faire circuler l'argent du vivant et favoriser les projets de jeunes adultes.
L'âge moyen d'un bénéficiaire de succession tourne autour de 58 ans.
Si on pouvait le ramener entre 30 et 40 ans, cela serait bénéfique pour tout le monde.
J'ai dit "nous croyons". Lorsque j'emploie ce vocabulaire, c'est à dessein.lecriminel a écrit : ↑10 oct. 2020, 10:24ce n'est pas parce que les médias le répètent tous les jours qu'on est un pays libre que le monde nous envie. C'est le fric, pas le pouvoir d'achat (même si globalement très correct), le fric en valeur absolue aux taux de change en vigueur, et l'image déformée (racontez votre pouvoir d'achat sur n'importe quel continent, ils ne vous croiront jamais si pauvre) qui donne envie, et surtout pas la liberté (bien qu'ils la surestiment largement aussi) qui peut faire envie.ProfGrincheux a écrit : ↑10 oct. 2020, 10:13C'est une question politique et nous croyons qu'il vaut mieux les décider par la délibération démocratique, les autres systèmes politiques faisant pire soit sur la liberté soit sur la prospérité individuelles soit sur les deux.
YES! Enfin un qui rappelle les faits têtus!
Timeo Danaos et dona ferentes.
Non. C'est un autre problème. Tout à fait sérieux d'ailleurs.
Avec des si, on mettrait Paris en bouteille. Et la vie en camemberts.Demain le pognon serait parfaitement géré, et servirait à l’amélioration de la vie des français même 10% de plus ton imposition elle passe crème.
C'est ton opinion de ce qu'est une parfaite gestion de l'argent public. Saturne en a une autre. Vous êtes pourtant libres et égaux en droit.Dans certaines villes les gens sont content de payer une taxe car leur commune ne respecte pas le logement social. Ça améliore leur quotidien.
A l’échelle de la France c’est pareil.
non, la fiscalité n'est pas là que pour cela. C'est sans doute dommage, mais depuis les années 70, on distingue en France plusieurs raisons pour organiser la fiscalité.
C'est pourtant ce qui commence à se passer dans le domaine du contrôle fiscal via la relation de confiance et le partenariat fiscal.ProfGrincheux a écrit : ↑10 oct. 2020, 11:35Timeo Danaos et dona ferentes.
A ton avis, pourquoi les notaires ne sont pas des fonctionnaires?
Nb: tes collègues ont mis 12 jours à me faire le dégrèvement de TF. Je n'avais pas de doute qu'ils le feraient.
Le dévoiement est récent et pour l'instant contenu.Jeffrey a écrit : ↑10 oct. 2020, 12:33non, la fiscalité n'est pas là que pour cela. C'est sans doute dommage, mais depuis les années 70, on distingue en France plusieurs raisons pour organiser la fiscalité.
Avant cette date, on considérait que l'imposition était là pour financer une dépense qui ne pouvait être assumée par des citoyens individuels ou qui ne pouvaient donner lieu à une exploitation privée.
Mais depuis le début des années 80, des formes d'imposition sont apparues pour inciter à un comportement.
D'abord généralement les taxes écologiques, mais aussi inversement les subventions incitatives.
Un exemple parmi d'autres : les allocations familiales...
Pour rappel mon objectif était de quantifier le cout d'un népotisme républicain (une carrière en secteur protégé pour un enfant peu futé) que je crois être de l'ordre de 10 m€. soit 5 appartements de 80 m2 à Paris. Un bel héritage hors impôts et droit de succession.ProfGrincheux a écrit : ↑08 oct. 2020, 15:21(a) Non. Votre calcul, un peu optimiste tel que vous le faites, indiquerait 3 290 000€.neron a écrit : ↑08 oct. 2020, 12:54A la louche: Espérance de vie à 65 ans: 22 ans , Salaire net moyen FP: 2500 €./mois, Retraite net : 3500 €. (75 % last wage brut+prime (26%) et pas 2500€ (je reviendrai dessus, c'est 3,5 en fait), Ratio coût brut/ salaire net (base privé) : 2; Hausse moyenne salaire FP: 3 à 5 % /an depuis 1990 (RMPP incluant les aug. catégoriel) pour une infla. de 0,5 a 2%).Donc (2500*12*40*2)+(3500*12*27)=3,29 m€. sous forme de rente sur 67 ans, soit une rente indexé disons à 3% de 4092€. sur 67 ans. Soir un coût total d'un emploi .... 10.387.000 €. (*) (*) Ne sont pas inclus les déficits du RG l''espérance de vie de nos enfants +100 ans au lieu de 82 ans, les années d'actif, l'inflation, double régime (60%), ..ProfGrincheux a écrit : ↑08 oct. 2020, 09:52Comment arrivez vous a 10 M€?neron a écrit : ↑07 oct. 2020, 20:05] Non c'est la nature humaine de ceux qui se savent être rien hors du système social que de vouloir transmettre un acquis à leur enfants ...Regardez les régimes spéciaux manifester non pour eux mais pour leur enfants. Eh oui, un poste SNCF, AF,.. c'est la garantie de 10 millions €. TTC. ...Perso. je préfères le tirage au sort, la talentocrathie .. que des apparatchiques autoproclamés défenseurs des pauvres qui se servent avant d'avoir servi.
Votre tour de passe passe avec la rente n'a aucun sens.
Ce qui pourrait aller un peu dans votre sens serait de compter les salaires au cout complet ce qui revient à compter deux fois les pensions de retraite et d'imputer des coûts collectifs pour gonfler les chiffres.
ignatius a dit "dans un premier temps".Jeffrey a écrit : ↑10 oct. 2020, 12:33non, la fiscalité n'est pas là que pour cela. C'est sans doute dommage, mais depuis les années 70, on distingue en France plusieurs raisons pour organiser la fiscalité.
Avant cette date, on considérait que l'imposition était là pour financer une dépense qui ne pouvait être assumée par des citoyens individuels ou qui ne pouvait donner lieu à une exploitation privée.
Mais depuis le début des années 80, des formes d'imposition sont apparues pour inciter à un comportement.
D'abord généralement les taxes écologiques, mais aussi inversement les subventions incitatives.
Un exemple parmi d'autres : les allocations familiales...
Je suis, moi aussi, fonctionnaire. Certes dans un ministère subalterne. Je t'assure que c'est précisément mon expérience de l'administration. A un détail près, les règles sont moins nombreuses mais plus contradictoires entre elles. Parce qu'on nous refourgue les queues de promo de l'ENA pour nous diriger.ignatius a écrit : ↑10 oct. 2020, 12:34L'administration est un partenaire qui aide à appliquer la réglementation et non un père fouettard qui sanctionne dès lors qu'une des 12000 règles n'a pas été correctement appliquée.
Je ne veux pas faire d'anti ENAisme primaire, mais j'ai eu plusieurs types de directeurs :ProfGrincheux a écrit : ↑10 oct. 2020, 13:24Je suis, moi aussi, fonctionnaire. Certes dans un ministère subalterne. Je t'assure que c'est précisément mon expérience de l'administration. A un détail près, les règles sont moins nombreuses mais plus contradictoires entre elles. Parce qu'on nous refourgue les queues de promo de l'ENA pour nous diriger.ignatius a écrit : ↑10 oct. 2020, 12:34L'administration est un partenaire qui aide à appliquer la réglementation et non un père fouettard qui sanctionne dès lors qu'une des 12000 règles n'a pas été correctement appliquée.
non, si on décide un impôt pour inciter les gens à avoir un comportement, la finalité première est l'incitation à avoir ce comportement.ProfGrincheux a écrit : ↑10 oct. 2020, 13:09ignatius a dit "dans un premier temps".Jeffrey a écrit : ↑10 oct. 2020, 12:33non, la fiscalité n'est pas là que pour cela. C'est sans doute dommage, mais depuis les années 70, on distingue en France plusieurs raisons pour organiser la fiscalité.
Avant cette date, on considérait que l'imposition était là pour financer une dépense qui ne pouvait être assumée par des citoyens individuels ou qui ne pouvait donner lieu à une exploitation privée.
Mais depuis le début des années 80, des formes d'imposition sont apparues pour inciter à un comportement.
D'abord généralement les taxes écologiques, mais aussi inversement les subventions incitatives.
Un exemple parmi d'autres : les allocations familiales...
Donc vous avez tous les deux raison.
Sur le sujet :ProfGrincheux a écrit : ↑10 oct. 2020, 10:13Goldo, on a dérivé....L'argument que j'utilisais était que des personnes ayant des opinions politiques à bien des égards opposées pouvaient tomber d'accord sur des faits, mais c'est une technique de persuasion, mon but est de mettre en évidence que la redistribution est difficile à promouvoir dans une société multiculturelle et suggérer que les gens qui promeuvent les deux ont un autre but (qui diffère selon les individus).
If you’re a pro-immigration leftist, these findings will probably fill you with dismay: It sure sounds like low-skill immigration undermines middle-class support for the welfare state. Yet if, like me, you love immigration and loathe the welfare state, it’s good news.
Il ne t'aura pas échappé que nous ne travaillons pas dans le même type d'administration.ignatius a écrit : ↑10 oct. 2020, 13:54Je ne veux pas faire d'anti ENAisme primaire, mais j'ai eu plusieurs types de directeurs :ProfGrincheux a écrit : ↑10 oct. 2020, 13:24Je suis, moi aussi, fonctionnaire. Certes dans un ministère subalterne. Je t'assure que c'est précisément mon expérience de l'administration. A un détail près, les règles sont moins nombreuses mais plus contradictoires entre elles. Parce qu'on nous refourgue les queues de promo de l'ENA pour nous diriger.
- ceux sortis de l'ENA, en général brillants (pour certains d'anciens Préfets), mais qui vivaient un peu hors sol. C'est à dire que les recettes appliquées étaient souvent les mêmes et transposables à tous types d'administration;
La RGPP a eu pour effet de faire disparaitre ces profils.- ceux issus du rang, en général après 5 à 6 sélections internes au cours de leur carrière. La vision est parfois moins flamboyante, mais les solutions proposées sont souvent plus applicables et moins vaporeuses.
Cela étant, l'administration des finances publiques est reconnue comme étant une administration technique.
L'idéal serait de pouvoir combiner les deux principales qualités des deux profils (un peu caricaturaux mais qui traduisent en général la réalité du terrain).
Quand on en tient un de ce type là, c'est un réel de bonheur de travailler avec et surtout de voir avancer les choses.
Le seul concours de ce genre que j'aurais pu tenter est Inspecteur des Finances. Tout court. Parce que je suis méchant.J'encourage donc ceux qui le souhaitent à tenter le concours externe d'inspecteur des finances publiques, en ce moment c'est open bar, le nombre de recrutements est très élevé vu le nombre de départs en retraite, et le nombre de candidats faible.
Le taux de sélectivité a fortement chuté ces dernières années (1 candidat sur 30 quand j'ai passé le concours, 1 sur 5 à l'heure actuelle)
Jeffrey a écrit : ↑10 oct. 2020, 13:59non, si on décide un impôt pour inciter les gens à avoir un comportement, la finalité première est l'incitation à avoir ce comportement.ProfGrincheux a écrit : ↑10 oct. 2020, 13:09ignatius a dit "dans un premier temps".Jeffrey a écrit : ↑10 oct. 2020, 12:33non, la fiscalité n'est pas là que pour cela. C'est sans doute dommage, mais depuis les années 70, on distingue en France plusieurs raisons pour organiser la fiscalité.
Avant cette date, on considérait que l'imposition était là pour financer une dépense qui ne pouvait être assumée par des citoyens individuels ou qui ne pouvait donner lieu à une exploitation privée.
Mais depuis le début des années 80, des formes d'imposition sont apparues pour inciter à un comportement.
D'abord généralement les taxes écologiques, mais aussi inversement les subventions incitatives.
Un exemple parmi d'autres : les allocations familiales...
Donc vous avez tous les deux raison.
C'est particulièrement vrai pour les taxes écologiques ou pour la politique familiale.
Ah, ce concours existe ?ProfGrincheux a écrit : ↑10 oct. 2020, 14:27Le seul concours de ce genre que j'aurais pu tenter est Inspecteur des Finances. Tout court.
Pas d'accord.ignatius a écrit : ↑10 oct. 2020, 10:54
En restant dans une enveloppe identique pour ma part, je recommande de taxer différemment donations et successions au profit des donations (en l'etendant aux fratries, ou aux petits enfants) et en alourdissant les successions.
Cela aurait le mérite de fluidifier les transmissions de patrimoine.
Implicitement.meskiangasher a écrit : ↑10 oct. 2020, 14:39Ah, ce concours existe ?ProfGrincheux a écrit : ↑10 oct. 2020, 14:27Le seul concours de ce genre que j'aurais pu tenter est Inspecteur des Finances. Tout court.
Et pourtant distribuer son patrimoine avant (si on s'entend avec ses enfants) est un bon plan : aides spécifiques pour la vieillesse dépendante, et surtout défiscalisation des aides versées aux ascendants. Personnellement je répète à ma grand-mère "je te donne de l'argent quand tu veux", mais bon elle ne raisonne pas ainsi...clairette2 a écrit : ↑10 oct. 2020, 14:43
Pas d'accord.
Je pense qu'il est prudent de conserver une partie conséquente de son patrimoine car on ne sait pas comment on terminera. On peut avoir besoin d'une coûteuse aide à domicile, d'une maison de retraite ou d' EHPAD... Perso, je naimerais pas me retrouver dans un établissement minable car incapable de le financer après avoir distribué mes biens aux enfants ( qui auront alors peut être dépensé tout cet argent facile...). Ni leur demander de financer mes vieux jours.
C'est un choix et je ne vois pas pourquoi la politique fiscale devrait privilégier un autre choix.
Je comprends queProfGrincheux a écrit : ↑10 oct. 2020, 10:13Goldo, on a dérivé....L'argument que j'utilisais était que des personnes ayant des opinions politiques à bien des égards opposées pouvaient tomber d'accord sur des faits, mais c'est une technique de persuasion, mon but est de mettre en évidence que la redistribution est difficile à promouvoir dans une société multiculturelle et suggérer que les gens qui promeuvent les deux ont un autre but (qui diffère selon les individus).
Ignatius, tu devrais venir expliquer cela a tes collègues de Versailles, pour eux, le contribuable est un fraudeur en puissance, avec interprétation de loi mal foutue en leur faveur (les fameux crédit impôts de l'époque Segogol, où une partie de la main d'oeuvre était incluse ...)ignatius a écrit : ↑10 oct. 2020, 12:34C'est pourtant ce qui commence à se passer dans le domaine du contrôle fiscal via la relation de confiance et le partenariat fiscal.ProfGrincheux a écrit : ↑10 oct. 2020, 11:35Timeo Danaos et dona ferentes.
A ton avis, pourquoi les notaires ne sont pas des fonctionnaires?
Nb: tes collègues ont mis 12 jours à me faire le dégrèvement de TF. Je n'avais pas de doute qu'ils le feraient.
C'est également ce qui se passe depuis de nombreuses dans le monde anglo-saxon et les pays nordiques.
L'administration est un partenaire qui aide à appliquer la réglementation et non un père fouettard qui sanctionne dès lors qu'une des 12000 règles n'a pas été correctement appliquée.
Parce la politique fiscale correspond déjà à un choix.clairette2 a écrit : ↑10 oct. 2020, 14:43Pas d'accord.ignatius a écrit : ↑10 oct. 2020, 10:54
En restant dans une enveloppe identique pour ma part, je recommande de taxer différemment donations et successions au profit des donations (en l'etendant aux fratries, ou aux petits enfants) et en alourdissant les successions.
Cela aurait le mérite de fluidifier les transmissions de patrimoine.
Je pense qu'il est prudent de conserver une partie conséquente de son patrimoine car on ne sait pas comment on terminera. On peut avoir besoin d'une coûteuse aide à domicile, d'une maison de retraite ou d' EHPAD... Perso, je naimerais pas me retrouver dans un établissement minable car incapable de le financer après avoir distribué mes biens aux enfants ( qui auront alors peut être dépensé tout cet argent facile...). Ni leur demander de financer mes vieux jours.
C'est un choix et je ne vois pas pourquoi la politique fiscale devrait privilégier un autre choix.
Ou qui raisonnent en s'appuyant sur des hypothèses plausibles mais fausses, en prenant leur idéologie pour une connaissance.Goldorak2 a écrit : ↑10 oct. 2020, 15:31
Bon on discoure, et on arrive aux théories du complot. Mais l'explication la plus simple et la plus probable (rasoir d'Ockham), c'est que nous sommes gouvernés par des ânes, des idiots, aux courtes vues, qui s'indignent et communiquent mais ne raisonnent pas.
ça se module, on peut/doit garder un minimum de sécurité, avec l'usufruit sur un patrimoine immobilier on a de quoi vivre largement, c'est mon cas, j'ai donné l'ensemble de la nue propriété. .... j'en fait quoi ?C'est un choix et je ne vois pas pourquoi la politique fiscale devrait privilégier un autre choix.
C'est un peu + vicieux.PACA a écrit : ↑10 oct. 2020, 16:42.., avec l'usufruit sur un patrimoine immobilier .. j'ai donné l'ensemble de la nue propriété. .... j'en fait quoi
Pour le fisc, c'est une question de logique financière : l'état va privilégier les rentrées d'argent immédiates, si le fisc gagne en moyenne 20 ans de paiement anticipé avec les donations sur les hypothétique successions, ça peut faire quelques milliards d'euros dans les caisses.
Un tien vaut mieux que deux tu l'auras => une petite taxation fiscale certaine vaut mieux qu'une hypothétique grosse dans 20 ans .... si il en reste !
@neron: Vous devriez déplacer votre contribution sur un autre fil. Je ne veux pas y répondre ici. C'est une tout autre question.neron a écrit : ↑10 oct. 2020, 12:41Pour rappel mon objectif était de quantifier le cout d'un népotisme républicain (une carrière en secteur protégé pour un enfant peu futé) que je crois être de l'ordre de 10 m€. soit 5 appartements de 80 m2 à Paris. Un bel héritage hors impôts et droit de succession.ProfGrincheux a écrit : ↑08 oct. 2020, 15:21(a) Non. Votre calcul, un peu optimiste tel que vous le faites, indiquerait 3 290 000€.neron a écrit : ↑08 oct. 2020, 12:54A la louche: Espérance de vie à 65 ans: 22 ans , Salaire net moyen FP: 2500 €./mois, Retraite net : 3500 €. (75 % last wage brut+prime (26%) et pas 2500€ (je reviendrai dessus, c'est 3,5 en fait), Ratio coût brut/ salaire net (base privé) : 2; Hausse moyenne salaire FP: 3 à 5 % /an depuis 1990 (RMPP incluant les aug. catégoriel) pour une infla. de 0,5 a 2%).Donc (2500*12*40*2)+(3500*12*27)=3,29 m€. sous forme de rente sur 67 ans, soit une rente indexé disons à 3% de 4092€. sur 67 ans. Soir un coût total d'un emploi .... 10.387.000 €. (*) (*) Ne sont pas inclus les déficits du RG l''espérance de vie de nos enfants +100 ans au lieu de 82 ans, les années d'actif, l'inflation, double régime (60%), ..
Votre tour de passe passe avec la rente n'a aucun sens.
Ce qui pourrait aller un peu dans votre sens serait de compter les salaires au cout complet ce qui revient à compter deux fois les pensions de retraite et d'imputer des coûts collectifs pour gonfler les chiffres.
J'ai estimé le cout actuel de ces postes à 4090 €/mois (soit 3,29 m€ sur une vie) de plusieurs façons:
- soit à partir des dépenses de personnel de l'état de 250 mds pour 2,5 m. d'agent soit 100.000 €/ an, soit sur "40 ans", les 4 millions bien qu'il sous-estime les transferts (l'auto-conso. de ses agents (sécu, social, ...)
- soit à partir des couts sociaux dans la FPE donc le coeff. "cout total/Salaire net" est au moins de 2,73: 2500*12*40*2,75 = 3,29 m€. En effet dans le RG (au coeff. de 2), la cotisation CNAV+Arco est de 33% sur le brut alors qu'il est de 100 % ds la FPE et RS: 76 % ((tableau 11)) en sus de 25 % qu'il pioche autre part (10/54 mds). Soit un cout supplémentaire supporté par l'état de 67 % du salaire brut soit 75 % sur le net.
- Soit à partir du cout salariaux (2500*12*40*2) en rajoutant le surcout des caisses retraites des RS (FPE, RAPT, IEG, ..) soit 24.000 / an /cotisant de plus que celle du RG (CNAV/ARCO). soit 1 m€. sur une carrière de 40 ans: En effet le budget de la CAS (retraite FPE) est de 54 mds pour 1,5 m. de ccotisants soit 36 k€. € /cotisant alors qu'à la CNAV+ARCO, le budget est de 90 mds (hors SSI) + 83 mds (page 3) pour 19 millions de cotisants, (page 9) (voir + si l'on comptait les indigents), soit 10.000 €. /an,
- Soir à partir du cout salariaux (2500*12*40*2) en rajoutant le surcout des prestations reçues: la retraite dans le privé est de 50% pour 100 % dans le public (75% dernier salaire du Brut+prime), soit la moitie du salaire 1750 €. auquel il faut rajouter les avtg. invisibles perçues ds les RS (mutuelle, prévoyance, assurance, log. (1% & réservé), aide loisirs / enfants, crédit, réductions, ...chiffrée par exemple dans les IEG par la CdC à +50% d'un salaire brut, ce qu'ils coutent aux d'autres administrations, la reversion 50 % différente du RG (+3 ans), l'espérance de vie sectorielle (un secret d'état, ils font par classe ) disons 4 ans, et la hausse de l'espérance de vie (1,5 mois / an) non financée par le coeff. de 2 du RG, soit dans 20 ans +3 ans ou dans 60 ans +10 ans. Ainsi à la place de 3500*12*27, ca serait 1750*12*(27+3+4+10).
J'ai estimé le montant de 10 m€. en capitalisant ce salaire médian temps plein sur 67 ans avec sa hausse (%) :
Montant reçu= 4090 +4090*(1+%)+4090*(1+%)*(1+%) ... 4090*(1+%)*...*(1+%). C'est pas un tour de passe-passe mais du b.a.ba de finance
La hausse que j'ai pris est celle du RMPP stable de 1990 (page 11) à 2019 (page 522) entre 3&5 % que l'état a dit maintenir. Cette hausse sera supérieure à celle de son budget puisqu'il dit réduire ses effectifs. Je sais le passé ne préjuge de l'avenir mais faut bien une valeur
"La rémunération moyenne des personnes en place (RMPP) retrace l’évolution de la feuille de paye des agents présents d’une année sur l’autre en prenant en compte les mesures générales, les mesures salariales dites catégorielles, les mesures d’avancement individuel et les requalification des emplois. Elle constitue une moyenne hausse des dépenses de l'état"". Il s'agit de revalorisation de poste, des changement catégorielle de grille (A->B), de la grille (échelons / an (GVT),.. et de hausse du point. Ca n'existe que les secteurs d'état (Airbus, Areva, Banque, Assurance, FTE, ETI,...). Il ne s'agit non de promotion / qualification individuelle, mais collective à poste égal alors que ds de nb. secteur c'est l'inverse:. Comme si Peugeot décidait que les OS devenait statutairement "agent de maitrise". Dans les faits l'AM (BTS et +) est payé au SMIC (prix de l'ex-OS).
J'ai trouvé que c'était +/- la valeur des presta. recues à la date d'aujourd'hui en effet avec des OAT à 0% sur 50 ans, y-a pas besoin d'actualisation suivant la formule (valeur 2020)= (valeur2087)/infla(2020/2087). De plus je n'ai pas tenue compte de l'effet inflation dans la capitalisation (j'ai même ôté 1%). Néanmoins le puriste, tiendra compte d'un hausse de (3%+2% d'inflation) puis divisera le résultat obtenu par 3,87 (la hausse de l'inflation de (2020 à 2087) à 2%/an) et trouvera plus que 10 m€ en valeur actualisée.
Et hors des secteurs protégés : C'est pas l'objet et pas le temps: Disons 1230 € capitalisé à 1% sur 67 ans soit 1,4 M€ sf si vs trouvez mieux
En effet le Régime général (CNAV, CAF, CPAM, Chomage) est équilibré par un tx de charge sur salaire net de 2. Or la masse salarial secteur privé est de [ur=https://www.acoss.fr/files/Publications ... at_287.pdf[/urll]600 mds €.[/url] brute (146*4) pour 38 millions en age de travailler (21 à 67 ans) (pyramide) auquel faut retirer 5,5 m.de personnes dans la FP . Soit un revenu salarial moyen de 1538 brut, 1230 net en comptant les situations ""pimolo"". Le tx d'augmentation de la Masse salariale privée (pas des salaires ni plein temps .. ) a été entre 0 ou 1 % hors inflation suivant les sources (à creuser). En attendant en valeur il a été de 2%/an, hausse à laquelle j'avais soustrait pour les RS type FPE, 1% d'inflation
------------------------------------------------------------------------
PS: J'ai trouvé ce lien sympas (des info perce par la gestion privé de Macron). Si j'ai le temps, je vais essayé de trouver les déciles de salaires hors secteurs protégés (étatisés) sf si vs les avez déjà. Je pense en effet que se cache là une fracture que je constate autour de moi et qui serait justifié par le fait que l'Etat, pour a politique sociale, n'a pu intervenir depuis 1990/2000 que sur les revenus de sa sphère d'influence.
ver 2: un lien sauté
J'entends bien, mais je me contente de décrire, je ne cautionne pas.ProfGrincheux a écrit : ↑10 oct. 2020, 14:34
Je suis un type un peu primaire. J'aime bien que les institutions publiques servent à faire ce pour quoi elles ont été créées. L'école pour instruire, l'université pour que les étudiants étudient, les enseignants-chercheurs pour qu'ils enseignent et cherchent, la justice pour juger, la police pour maintenir l'ordre, toussa...
Donc ou bien on part du principe que l'impôt devrait servir à financer quelque chose d'utile dans le sens amont/aval, ou bien on admet que la réforme de l'imposition qui est proposée est une tentative d'action d'un état pour détourner la fonction première de l'impôt.Pour lutter contre l’inégalité des chances et éviter l’apparition d’une société à deux vitesses, où le
patrimoine serait hérité à un âge avancé par une petite partie de la population, la fiscalité a un rôle
important à jouer.
Bien sur... Je ne compte pas garder tout mon patrimoine jusqu'au bout si j'ai suffisamment pour donner à mes enfants quand ils en auront besoin.PACA a écrit : ↑10 oct. 2020, 16:42ça se module, on peut/doit garder un minimum de sécurité, avec l'usufruit sur un patrimoine immobilier on a de quoi vivre largement, c'est mon cas, j'ai donné l'ensemble de la nue propriété. .... j'en fait quoi ?C'est un choix et je ne vois pas pourquoi la politique fiscale devrait privilégier un autre choix.
Pour le fisc, c'est une question de logique financière : l'état va privilégier les rentrées d'argent immédiates, si le fisc gagne en moyenne 20 ans de paiement anticipé avec les donations sur les hypothétique successions, ça peut faire quelques milliards d'euros dans les caisses.
Un tien vaut mieux que deux tu l'auras => une petite taxation fiscale certaine vaut mieux qu'une hypothétique grosse dans 20 ans .... si il en reste !
Si on a plus d'un enfant ça limite les sources de conflit ..... ils ont eu le temps de réfléchir.
andrei a écrit : ↑08 oct. 2020, 15:54Bah si, c'est pertinent. Si il s'agit de l'argent - c'est mes enfants qui vont payer la TVA. Et si il s'agit de l'immobilier - ca obligera peut etre mes enfants de vendre (si l'incapacité de payer la taxe sur les prix bullesques).
De plus cette taxe sert à favoriser le comportement de sur-consommation. T'as pas tout consommé - taxe (punition). On a beau après nous rabattre les oreilles avec l’écologie, préservons la planète...
L’état aurait tout à gagner à voir le pognon circuler dans l’économie plutôt que d’aller massivement dans la pierre.ignatius a écrit : ↑10 oct. 2020, 22:10Je pense m'être mal fait comprendre.
Je suis quasiment à l'opposé de la position de Zola.
Par ailleurs je suis pour réduire les montants des donations autorisées mais également pour réduire la durée entre 2 donations, justement pour que l'argent soit consommé et non pas utilisé pour acheter cash un bien immobilier (ou alors un studio en province).
Tout à fait.
Effet pervers : on pourrait imaginer que les 1*150k soient immédiatements injectés en immo (et dans l'engraissement de ton ministère), tandis que les 50k seraient thésaurisés jusqu'à atteindre la somme désirée pour un achat immo.
lecriminel a écrit : ↑21 mars 2020, 13:19Imagine Ben92, lui s'est bien fait bananer et le paye très cher en période de confinement. Il n'a tué personne mais est enfermé dans une cellule de 20m2.
Si c'est pour mon post précédent que tu fais la remarque, je crois que j'ai parfaitement compris,ignatius a écrit : ↑10 oct. 2020, 22:10Je pense m'être mal fait comprendre.
Je suis quasiment à l'opposé de la position de Zola.
Par ailleurs je suis pour réduire les montants des donations autorisées mais également pour réduire la durée entre 2 donations, justement pour que l'argent soit consommé et non pas utilisé pour acheter cash un bien immobilier (ou alors un studio en province).
Ouais, j'avais aussi pensé à une taxation dynamique des donations, en fonction de l'état de l'économie (surchauffe immo -> petits montants ; investissements en giletjaunie -> gros montants), mais je me suis ravisé
lecriminel a écrit : ↑21 mars 2020, 13:19Imagine Ben92, lui s'est bien fait bananer et le paye très cher en période de confinement. Il n'a tué personne mais est enfermé dans une cellule de 20m2.