Le traitement du Covid existe
Posté le 6 décembre 2020 par Gérard Maudrux
https://blog.gerardmaudrux.lequotidiend ... -existe-1/
Article assez impossible à résumer : c'est un vrai développement d'idées où tout se tient.
Néanmoins un extrait.
SPOIL : J'ai posté dans la bonne file.
Intéressant : des retours "terrains" de la part d'un toubib et de ses amis collègues.
En avril, j’évoquais déjà ici le rôle possible de Prévotella, en raison de coïncidences troublantes. Aujourd’hui c’est Mycoplasma, Chlamydia et Legionella, bactéries intracellulaires pulmonaires qui sont évoquées par nombre d’études comme germes complices du Sars-Cov2, favorisant son développement, conduisant à démontrer pourquoi certains antibiotiques seraient efficaces.
Comment est-ce possible, pour des médicaments qui à priori n’ont peut-être pas de propriétés anti virales directes ? Tout simplement en agissant sur un probable « partenaire » du virus, qui l’aide à se développer. Les botanistes connaissent bien ce phénomène : un arbre pousse mieux et plus vite lorsqu’il est accompagné de son « partenaire », en général un champignon (mycorhize). Des travaux sur les virus à ARN comme RSV (pneumovirus de l’enfant) et HIV, ont montré in vitro et in vivo le rôle des mycoplasmes amplifiant la réplication du virus, tout comme les mycorhizes permettent aux racines de l’arbre de mieux l’alimenter. Déjà en début d’année des chercheurs de Wuhan avaient constaté que les patients porteurs d’anticorps IgG actifs contre le mycoplasme, supportaient bien mieux le Covid que ceux qui en étaient dépourvus. En remontant encore plus loin, déjà en 1995, Papierok, Pautrat et Escarguel avaient breveté un procédé de multiplication de ces virus intracellulaires en ensemençant au préalable les cellules avec Chlamydia ou Mycoplasma.
Déjà il y a 8 ans, des chercheurs, suites à plusieurs études, in-vivo et in-vitro, avaient attribué aux macrolides des propriétés antivirales et protectrices de l’orage cytokinique, sans évoquer à l’époque le rôle possible des microbiotes pulmonaires. Ils avaient constaté « une action anti-inflammatoire et immunomodulatrice pouvant garantir une certaine efficacité dans un large spectre d’infections virales respiratoires, notamment Rhinovirus, RSV et grippe, avec réduction de nombre de cytokines pro-inflammatoires responsable de l’orage. »
Outre l’action première des antibiotiques sur la flore microbiote probablement partenaire du virus, il y a une action secondaire sur la surinfection d’un poumon malade, alors sensible aux germes classiques comme pneumocoques, haemophilus, pseudomonas,… Pour la grippe Espagnole probablement due à un coronavirus, il est établi que 90% des décès étaient dûs à ces surinfections, faute d’antibiotiques.
Tout ce que je vous ai décrit converge et concorde, et au nom de quoi, et vu leur (mé)connaissance du Covid-19, nos autorités scientifiques rejetteraient-elles formellement un lien entre développement du virus et bactéries, ignorant volontairement tout traitement antibiotique qui pourrait en découler ? Sur quelles bases scientifiques peuvent-ils dire en 2020 que les antibiotiques, du moins certains, n’ont aucune action directe ou indirecte sur les infections virales ? Pourquoi refuser aux patients une chance, aussi petite soit-elle, d’échapper au pire ?
Signalons par ailleurs que ces antibiotiques peuvent varier d’un pays à l’autre, si AZI marche chez nous, 25% des Mycoplasmes y sont résistants en Italie, et 80% au Japon. D’autres macrolides, des cyclines voire des quinolones peuvent alors être utilisés, mais pas la famille amoxicilline.
Tout ceci se retrouve sur le terrain, mais est volontairement caché. Dans l’est, mais aussi dans toute la France, nombre de médecins traitent depuis le début de l’année, avec des résultats qui font du Covid une maladie moins mortelle que la grippe saisonnière. Là encore, tous leurs résultats concordent, des milliers, des dizaines de milliers de cas le montrent, mais il leur est interdit de le faire savoir, sous peine de sanctions.
Pourquoi ?
Pourquoi les médecins ne doivent pas savoir qu’il existe peut-être des traitements. Il ne faut pas prescrire d’antibiotiques, mais qui peut me le démontrer ?
Qui peut me sortir une étude, randomisée ou non, qui démontre que les macrolides ne donnent aucun résultat ? Pourquoi des médecins envoient 15% de leurs patients à l’hôpital, et d’autres 1 % ?
Pourquoi ne doit-on pas savoir ce qui les différencie ?
J’ai déjà dans plusieurs billets donné nombre d’exemples ici et là. Sont-ils tous des menteurs, leurs patients fictifs ?
Les chiffres d’Ameli que je donne sont-ils faux ? En septembre près de 100 000 patients auraient été traités (voir mon billet précédent), pourquoi pas tous, et pourquoi il y a eu dans la seconde vague beaucoup moins d’hospitalisés et de réanimations ?
Est-ce que j’ai des visions et prend des vessies pour des lanternes ?
Mon ami de Moselle qui dans son cabinet, à deux, ont traité plus de 600 patients avec leur second hospitalisé récent, avec zéro décès, est-il aussi aveugle que moi ?
Pourquoi ne pas écouter ces médecins, pourquoi ne pas les croire, pourquoi les faire taire ?
Les explications scientifiques sont là. Des expériences in-vitro confirment. L’expérience dans d’autres affections virales confirme, de même que certaines études sur le Covid. Les constatations de terrain s’expliquent et confirment. Les traitements existent, qu’est-ce qu’on attend pour bouger ? 50 000 morts de plus ?
----
2ième article (paru avant le 1er ci-dessus) mais qui vient confirmer les retours terrains simplement en observant le nombre de boîte de médicaments vendues...
Traitement du Covid-19 : cessez cette hypocrisie mortelle.
Posté le 2 décembre 2020
https://blog.gerardmaudrux.lequotidiend ... -mortelle/
Au sujet des congélateurs nécessaires aux vaccins...
Pour la petite histoire, Véran a commandé au chinois domestique Haier, alors que nous avons un spécialiste médical à Lyon, qui fournit à l’étranger. Espérons aussi qu’ils ne finiront pas comme les 10 000 respirateurs commandés en avril, et passés je ne sais où, car non adaptés aux besoins des services de réanimation (ce qui aurait pu faire 10 000 lits de plus…).
Malgré ces pressions diverses, certains reviennent à la raison, à la base de leur métier. On traite de plus en plus, du coup les hospitalisations, les passages en réanimation baissent. En septembre, au début de la seconde vague, 277 528 cas ont été diagnostiqués. En aout il y a eu 223 406 boîtes d’Azythromycine remboursées, et septembre 361 776, soit une augmentation de 60 %. Si on compare à septembre 2019 (256 524 boîtes), cela fait 40% de plus. Les chiffres de mars avril (410 000 de moyenne) n’ont pas été atteints, mais septembre était le tout début de la seconde vague qui a atteint son pic le 7 novembre (805 000 cas de plus en octobre contre 277 000 en septembre).
Nous attendons avec impatience les chiffres d’octobre, non encore publiés, pour voir si cela confirme ou infirme cette tendance très marquée entre aout et septembre, ainsi que par rapport à 2019.
Pour les autres macrolides, la Clarithromycine a doublé en 1 mois (36 539 à 64 115 boîtes, mais reste inférieure à 2019). Ivermectine, augmentation de 33% en 1 mois (passage de 43 707 boîtes à 58 191), mais restant aussi inférieure à 2019. Signalons que les boîtes de 20 cprs ne sont pas décomptées car non remboursées.
Quant à HCQ, presque statut quo (109 700 boîtes contre 101 800 en aout et 114 300 en juillet), normal vu les interdictions, mais quand même 18 000 boîtes de plus que le même mois de 2019 (91 646 boîtes), soit + 20%.
Au total, au vu de ces chiffres, on peut évaluer à 80 à 100 000 les patients traités pour le Covid (en tenant compte du fait que HCQ et IVER sont souvent associés à AZI). Résultat, si lors de la première vague, près de 9 000 patients ont été hospitalisés en réanimation + soins intensifs, pour la seconde on a frôlé les 5 000. Les Allemands ont 3 fois moins de décès que nous, et à part le fait que les médecins sont libres de traiter, quelqu’un a-t-il une autre explication crédible pour cette différence ? (Même ethnie, même climat, même mode de vie, même niveau de vie, même niveau sanitaire, mêmes mesures sanitaires,…).
Aujourd’hui, nous assistons à une hécatombe dans les Ehpad où l’on traite moins. Depuis 3 semaines, ces établissements sont le siège de 40% des décès dus au Covid ! Pourtant les bénéfices du traitement précoce ont été démontrés dès la première vague, diminuant de moitié les décès, confirmés par mes amis qui traitent dans les Ehpad avec AZI seule (et qui affichent des résultats encore meilleurs).
Cette hécatombe n’est plus due au Covid, mais à l’omerta qui entoure le traitement précoce.