Vincent92 a écrit : ↑31 juil. 2023, 21:12
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As tu une source qui irait
vraiment de ton sens?
N.B. : Pas la peine de faire une tirade avec 5 astérisques sans rapport.
Tu te rends compte que dans ton argumentaire, tu produis d’une part deux cartes espacées de 10 ans et montrant des différences de température de plus de 10°C au même endroit, et qu’ensuite tu exhibes une courbe globale sur 140 ans qui montre un réchauffement de 1,2°C ?
Qu’est-ce que tu en comprends selon toi ?
….
Tu peux répondre avant de lire ma réponse si tu veux tenter, sinon,
Je vais te dire ce que cela signifie :
…
Tu es en face d’une grandeur extrêmement variable. Même s’il n’y avait aucun changement climatique (de 1 ou 2°C par siècle), il y aurait exactement les mêmes variations à 10 ans d’intervalle, à l’échelle d’une ville, d’un pays, d’un continent ou d’un morceau de continent.
Donc, montrer de telles variations - qui sont patentes parce que mesurées - ne sont en aucun cas ni une preuve ni une contre preuve d’un réchauffement climatique ni local ni global.
C’est la preuve qu’on ne peut argumenter en exhibant un record ou un extrême pour justifier d’un changement global.
C'est un problème d'ordre de grandeur, entre 1°C par siècle et 10°C au même endroit sur dix ans d'écart, il y a un facteur 100 d'amplitude.
C'est une imposture de le présenter comme un stigmate du réchauffement.
Inversement, cela ramène à la réalité des ordres réels de grandeur, qui sont totalement imperceptibles : 0,01 degré par an.
plus encore, cela questionne sur les extrapolations dans le passé, où on montre que pendant 1000 ans, on n'a pas connu de telles variations de températures, à partir de carotages glaciaires ou de pollens et de cernes sur les arbres... Est-ce que quelqu'un est capable de réaliser que même si le climat change dans l'autre sens, de telles variations aussi importantes ont toujours existé ?