Re: Réchauffement climatique
Posté : 03 juil. 2019, 16:29
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Je suis d'accord, nous devons faire des efforts collectivement.
Parfait,moinsdewatt a écrit : ↑03 juil. 2019, 15:03Oui c'est d' actualité, c'est sans doute en rapport avec cette news :
Le gouvernement veut faire des économies d'eau
vu qu'il t'est facturé, le concessionnaire s'en tape des fuites, lui n'a pas de pénalité, ou pire, mauvaise conscience ...Un litre d'eau potable sur cinq est perdu chaque année dans des fuites de canalisations en France, selon une enquête de « 60 Millions de consommateurs ».
...
Dans un quart des préfectures, le taux dépasse les 25 %
Il faudrait déjà récupérer et réutiliser l'eau autant que possible.moinsdewatt a écrit : ↑03 juil. 2019, 15:03Oui c'est d' actualité, c'est sans doute en rapport avec cette news :
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 153c362750Le gouvernement veut faire des économies d'eau
REUTERS•01/07/2019
Le gouvernement français a dévoilé lundi une série de mesures censées permettre de mieux gérer les ressources du pays en eau, appelées à se raréfier dans les décennies à venir, en évitant notamment les gaspillages.
Le ministère de la Transition écologique souhaite réduire la consommation d'eau de 10% d'ici à 2025 et de 25% en 15 ans.
Le but est de préparer la France à un avenir dans lequel l'eau sera moins abondante : selon une étude gouvernementale parue en 2013, le débit moyen des cours d'eau devrait baisser de 10% à 40% au cours du prochain demi-siècle.
"L'eau, c'est l'un des combats prioritaires dans l'action écologique", a déclaré le ministre de la Transition écologique, François de Rugy, lors de la restitution de sept mois de travaux dans le cadre des "Assises de l'eau".
Pour faire baisser la consommation, le gouvernement souhaite moduler la tarification de l'eau en faisant davantage payer les gros consommateurs - les propriétaires de maison avec piscine, par exemple - dont les besoins excèdent l'usage normal.
Il revient aux collectivités locales, seule habilitées à fixer les prix, d'appliquer ou non ce principe. "On mettra en place le cadre et les incitations pour les collectivités pour le faire", précise la secrétaire d'Etat Emmanuelle Wargon.
Les mesures concernent également certains secteurs économiques, notamment celui de la construction, qui verra ses normes environnementales évoluer à partir de 2022.
L'exécutif ambitionne en outre de tripler d'ici à 2025 les volumes d'eau dite non conventionnelle - eaux usées traitées ou eaux de pluie - utilisée pour les usages ne nécessitant pas d'eau potable, comme l'arrosage des espaces verts. Une pratique normale dans certains pays d'Europe mais encore rare en France.
Le plan présenté lundi inclut également des mesures visant à préserver les rivières et à protéger les sites de captage - à partir de nappes phréatiques, de cours d'eau, de lacs ou de retenues - afin de garantir la qualité de l'eau.
C'est voir le problème sous l'angle d'un taxe pour les français.Ave a écrit : ↑03 juil. 2019, 18:14Il faudrait déjà récupérer et réutiliser l'eau autant que possible.moinsdewatt a écrit : ↑03 juil. 2019, 15:03Oui c'est d' actualité, c'est sans doute en rapport avec cette news :
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 153c362750Le gouvernement veut faire des économies d'eau
REUTERS•01/07/2019
Le gouvernement français a dévoilé lundi une série de mesures censées permettre de mieux gérer les ressources du pays en eau, appelées à se raréfier dans les décennies à venir, en évitant notamment les gaspillages.
Le ministère de la Transition écologique souhaite réduire la consommation d'eau de 10% d'ici à 2025 et de 25% en 15 ans.
Le but est de préparer la France à un avenir dans lequel l'eau sera moins abondante : selon une étude gouvernementale parue en 2013, le débit moyen des cours d'eau devrait baisser de 10% à 40% au cours du prochain demi-siècle.
"L'eau, c'est l'un des combats prioritaires dans l'action écologique", a déclaré le ministre de la Transition écologique, François de Rugy, lors de la restitution de sept mois de travaux dans le cadre des "Assises de l'eau".
Pour faire baisser la consommation, le gouvernement souhaite moduler la tarification de l'eau en faisant davantage payer les gros consommateurs - les propriétaires de maison avec piscine, par exemple - dont les besoins excèdent l'usage normal.
Il revient aux collectivités locales, seule habilitées à fixer les prix, d'appliquer ou non ce principe. "On mettra en place le cadre et les incitations pour les collectivités pour le faire", précise la secrétaire d'Etat Emmanuelle Wargon.
Les mesures concernent également certains secteurs économiques, notamment celui de la construction, qui verra ses normes environnementales évoluer à partir de 2022.
L'exécutif ambitionne en outre de tripler d'ici à 2025 les volumes d'eau dite non conventionnelle - eaux usées traitées ou eaux de pluie - utilisée pour les usages ne nécessitant pas d'eau potable, comme l'arrosage des espaces verts. Une pratique normale dans certains pays d'Europe mais encore rare en France.
Le plan présenté lundi inclut également des mesures visant à préserver les rivières et à protéger les sites de captage - à partir de nappes phréatiques, de cours d'eau, de lacs ou de retenues - afin de garantir la qualité de l'eau.
Quand je vois qu'on utilise l'eau potable pour arroser les jardins ou pour le nettoyage....
Evidemment. On ne dispose pas en France de deux réseaux de distribution d'eau, un pour l'eau potable, et l'autre pour l'eau non potable. Il faudrait faire quoi ? construire deux fois plus de chateaux d'eau et tirer des canalisations dans les rues et les campagnes ?
Je parle de moi, mais c'est comme cela dans toute ma commune, qui fait partie d'une des plus grande en surface de France. Par exemple aucun permis de construire avec garage en sous sol depuis 20 ans car ça devient des piscines et la mairie avait trop de procès aux fesses. Y'a des drains partout ici, on a trop d'eau.
En France, le vrai problème de l'eau, c'est bien l'irrigation dans l 'agriculture,mais comme c'est notre modèle économique...
En France, qui est un pays qui ne manque pas d'eau, ce n'est pas le Sahel, La Californie ou les steppes d'Asie Centrale, le problème n'est pas la consommation d'eau. Les écolos comme souvent n'ont rien compris, en particulier le "cycle de l'eau" ça doit pas leur parler.
C'est probablement le message sous-jacent de cette publication, plutôt qu'un programme.
Il y a bien une obligation d'avoir des réseaux séparatifs pour les EP et les EU donc on peut bien avoir 2 reseaux de distribution également, cela se fait dans beaucoup d'endroits. Dans les projets que je gère on commence tout juste à se poser la question de stocker l'eau de pluie et la réutiliser pour le nettoyage....en Espagne j'ai toujours connu le recyclage de l'eau et le stockage de l'eau de pluie. Pénurie oblige. C'est comme ça qu'une ville comme Madrid, où il peut se passer des mois sans qu'une goutte d'eau tombe, arrive à tenir. Les solutions existent, c'est une question de volonté. Sachant que l'eau potable est une ressource rare, moi ça me fait mal au coeur de la voir gaspillée.Jeffrey a écrit : ↑04 juil. 2019, 21:10Evidemment. On ne dispose pas en France de deux réseaux de distribution d'eau, un pour l'eau potable, et l'autre pour l'eau non potable. Il faudrait faire quoi ? construire deux fois plus de chateaux d'eau et tirer des canalisations dans les rues et les campagnes ?
https://www.lemonde.fr/planete/article/ ... _3244.htmlLa température dépasse 32 °C dans le sud de l’Alaska, record historique
Selon les météorologues, la température maximale moyenne pour un 4 juillet à Anchorage est de 18,3 °C. L’Alaska avait déjà battu des records de douceur au printemps.
Le Monde avec AFP Publié aujourd’hui
C’est un record historique inquiétant. La température a dépassé jeudi 32 °C à Anchorage, plus grande ville de l’Etat américain de l’Alaska, ont annoncé les services météorologiques. « A 17 heures, l’aéroport international d’Anchorage a officiellement atteint 90 degrés (Fahrenheit, soit environ 32,2 °C) pour la première fois » depuis que des relevés y sont effectués, a tweeté l’agence du National Weather Service (NWS) pour la ville.
Le précédent record avait été établi le 14 juin 1969, à 85 degrés Fahrenheit, soit 29,4 °C. Selon les météorologues, la température maximale moyenne pour un 4 juillet à Anchorage est de 18,3 °C. « Plusieurs autres records historiques ont été battus dans différents sites d’observation répartis dans le sud de l’Alaska », a ajouté le NWS vendredi matin.
Réchauffement deux fois plus rapide
Ces températures exceptionnellement chaudes sont provoquées par une « vaste zone de haute pression qui se trouve juste au-dessus de nous », a expliqué le météorologue Bill Ludwig, du NWS, au journal Anchorage Daily News.
L’Alaska avait déjà battu des records de douceur au printemps, particulièrement dans la zone arctique, très sensible au changement climatique.
Selon les scientifiques, l’Alaska subit un réchauffement deux fois plus rapide que la moyenne du globe. De « 1901 à 2016, les températures moyennes aux Etats-Unis ont augmenté d’un degré Celsius, tandis qu’en Alaska elles ont gagné 2,6 degrés », relevait ainsi en avril Rick Thoman, expert du Centre d’évaluation et de politique du climat de l’Alaska.
C'est un peu normal, c'est de loin la zone la plus industrialisée des USA.De « 1901 à 2016, les températures moyennes aux Etats-Unis ont augmenté d’un degré Celsius, tandis qu’en Alaska elles ont gagné 2,6 degrés »
La question des réseaux séparatifs EU/EP est différente. D'abord il n'y a pas de question de pompage/alimentation régulière, on ne monte pas l'eau usée en haut des chateaux d'eau que je sache. Par ailleurs, la séparation n'est pas systématique, il faut que des cours d'eau soient susceptibles de recueillir les eaux de pluie. L'avantage est que les stations de filtration peuvent être sous dimensionnées, mais en revanche cela induit des coûts de récurage croissants sur les réseaux EU.Ave a écrit : ↑05 juil. 2019, 18:01Il y a bien une obligation d'avoir des réseaux séparatifs pour les EP et les EU donc on peut bien avoir 2 reseaux de distribution également, cela se fait dans beaucoup d'endroits. Dans les projets que je gère on commence tout juste à se poser la question de stocker l'eau de pluie et la réutiliser pour le nettoyage....en Espagne j'ai toujours connu le recyclage de l'eau et le stockage de l'eau de pluie. Pénurie oblige. C'est comme ça qu'une ville comme Madrid, où il peut se passer des mois sans qu'une goutte d'eau tombe, arrive à tenir. Les solutions existent, c'est une question de volonté. Sachant que l'eau potable est une ressource rare, moi ça me fait mal au coeur de la voir gaspillée.Jeffrey a écrit : ↑04 juil. 2019, 21:10Evidemment. On ne dispose pas en France de deux réseaux de distribution d'eau, un pour l'eau potable, et l'autre pour l'eau non potable. Il faudrait faire quoi ? construire deux fois plus de chateaux d'eau et tirer des canalisations dans les rues et les campagnes ?
oui, mais il parait que les prélevements en eau pour l'agriculture dans le sous sol sont de plus en plus importants par rapport aux arrivages d'eau, on appelle ça "taper dans les réserves" même s'il y a encore beaucoup d'eau. j'ai un puits, en été il est quasi à sec, alors que les anciens disaient qu'ils ne se tarissait jamais, c'est l'agriculture qui pompe les nappes , je m'intérroge si je l'approfondis ou pas !
De plus en plus dans des projets industriels on récupère les eaux pluviales ou usées (après traitement) et on les stocke (souvent dans des bassins de rétention enterrés) et on les réutilise avec des pompes de relevage. Pour ce qui est du séparatif, c'est devenu une obligation réglémentaire. L'eau potable est une ressource rare qu'il ne faut pas gaspiller.Jeffrey a écrit : ↑05 juil. 2019, 21:24La question des réseaux séparatifs EU/EP est différente. D'abord il n'y a pas de question de pompage/alimentation régulière, on ne monte pas l'eau usée en haut des chateaux d'eau que je sache. Par ailleurs, la séparation n'est pas systématique, il faut que des cours d'eau soient susceptibles de recueillir les eaux de pluie. L'avantage est que les stations de filtration peuvent être sous dimensionnées, mais en revanche cela induit des coûts de récurage croissants sur les réseaux EU.Ave a écrit : ↑05 juil. 2019, 18:01Il y a bien une obligation d'avoir des réseaux séparatifs pour les EP et les EU donc on peut bien avoir 2 reseaux de distribution également, cela se fait dans beaucoup d'endroits. Dans les projets que je gère on commence tout juste à se poser la question de stocker l'eau de pluie et la réutiliser pour le nettoyage....en Espagne j'ai toujours connu le recyclage de l'eau et le stockage de l'eau de pluie. Pénurie oblige. C'est comme ça qu'une ville comme Madrid, où il peut se passer des mois sans qu'une goutte d'eau tombe, arrive à tenir. Les solutions existent, c'est une question de volonté. Sachant que l'eau potable est une ressource rare, moi ça me fait mal au coeur de la voir gaspillée.Jeffrey a écrit : ↑04 juil. 2019, 21:10Evidemment. On ne dispose pas en France de deux réseaux de distribution d'eau, un pour l'eau potable, et l'autre pour l'eau non potable. Il faudrait faire quoi ? construire deux fois plus de chateaux d'eau et tirer des canalisations dans les rues et les campagnes ?
Pour ce qui est des solutions adoptées en Espagne, nul doute que la pluviométrie n'est pas exactement la même. En France, il n'y pas que peu de problème d'eau en dehors des consommations exubérantes de l'agriculture, l'eau n'est pas à proprement parler une ressource rare. La principale problématique de l'eau est le coût de son traitement.
tu lis les réponses avant d'en remettre une couche ?Ave a écrit : ↑05 juil. 2019, 23:21De plus en plus dans des projets industriels on récupère les eaux pluviales ou usées (après traitement) et on les stocke (souvent dans des bassins de rétention enterrés) et on les réutilise avec des pompes de relevage. Pour ce qui est du séparatif, c'est devenu une obligation réglémentaire. L'eau potable est une ressource rare qu'il ne faut pas gaspiller.Jeffrey a écrit : ↑05 juil. 2019, 21:24
La question des réseaux séparatifs EU/EP est différente. D'abord il n'y a pas de question de pompage/alimentation régulière, on ne monte pas l'eau usée en haut des chateaux d'eau que je sache. Par ailleurs, la séparation n'est pas systématique, il faut que des cours d'eau soient susceptibles de recueillir les eaux de pluie. L'avantage est que les stations de filtration peuvent être sous dimensionnées, mais en revanche cela induit des coûts de récurage croissants sur les réseaux EU.
Pour ce qui est des solutions adoptées en Espagne, nul doute que la pluviométrie n'est pas exactement la même. En France, il n'y pas que peu de problème d'eau en dehors des consommations exubérantes de l'agriculture, l'eau n'est pas à proprement parler une ressource rare. La principale problématique de l'eau est le coût de son traitement.
En France dès qu'il ne plait pas pendant 3 semaines c'est la panique, cela montre bien qu'il y a de la marge de progrès...
J'ai du mal à saisir ton avis, qu'il n'y a pas besoin en France de mettre en place de systèmes de récupération des EP/réutilisation des EU pour économiser l'eau potable ? que ce n'est pas possible ?Jeffrey a écrit : ↑05 juil. 2019, 23:30tu lis les réponses avant d'en remettre une couche ?Ave a écrit : ↑05 juil. 2019, 23:21De plus en plus dans des projets industriels on récupère les eaux pluviales ou usées (après traitement) et on les stocke (souvent dans des bassins de rétention enterrés) et on les réutilise avec des pompes de relevage. Pour ce qui est du séparatif, c'est devenu une obligation réglémentaire. L'eau potable est une ressource rare qu'il ne faut pas gaspiller.Jeffrey a écrit : ↑05 juil. 2019, 21:24
La question des réseaux séparatifs EU/EP est différente. D'abord il n'y a pas de question de pompage/alimentation régulière, on ne monte pas l'eau usée en haut des chateaux d'eau que je sache. Par ailleurs, la séparation n'est pas systématique, il faut que des cours d'eau soient susceptibles de recueillir les eaux de pluie. L'avantage est que les stations de filtration peuvent être sous dimensionnées, mais en revanche cela induit des coûts de récurage croissants sur les réseaux EU.
Pour ce qui est des solutions adoptées en Espagne, nul doute que la pluviométrie n'est pas exactement la même. En France, il n'y pas que peu de problème d'eau en dehors des consommations exubérantes de l'agriculture, l'eau n'est pas à proprement parler une ressource rare. La principale problématique de l'eau est le coût de son traitement.
En France dès qu'il ne plait pas pendant 3 semaines c'est la panique, cela montre bien qu'il y a de la marge de progrès...
ben tu vois, quand tu comprends pas, tu me demandes, si on s'est mal compris, je suis disposé à apporter toutes les précisions souhaitables.
Le chiffre peut apparaitre énorme mais il ne l'est pas tant que cela .Pour réduire le réchauffement climatique, il faudrait planter 1.000 milliards d’arbres !
Bolsonaro veut rien savoir.
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 039515719eBrésil: La déforestation de l'Amazonie a augmenté de 88% en un an
REUTERS•03/07/2019
La déforestation de la partie brésilienne de l'Amazonie a augmenté de 88% en juin par rapport à il y a un an, poursuivant une tendance qui s'est renforcée depuis l'élection du président d'extrême droite Jair Bolsonaro.
Selon les données de l'agence spatiale brésilienne, 920 km2 de forêt tropicale ont disparu le mois dernier. Cela représente une hausse de 88,4% par rapport à juin 2018.
Alors que les chiffres annuels seront communiqués à la fin du mois sur la base d'une analyse plus détaillée des images satellites, la déforestation de l'Amazonie a atteint 4.565 km2, soit la superficie du département français des Hautes-Pyrénées, au cours des 11 derniers mois, en hausse de 15% par rapport à la même période l'an dernier.
Jair Bolsonaro s'est engagé à favoriser le développement de l'Amazonie en l'ouvrant davantage aux investissements agricoles et miniers. Il a promis d'assouplir les réglementations environnementales mises en place par ses prédécesseurs et de réduire les amendes imposées aux exploitants forestiers et aux agriculteurs qui y contreviennent.
Depuis la fin de la saison des pluies, en mai, le rythme de la déforestation explose. Il avait déjà atteint 34% sur un an en mai et s'est encore accéléré en juin.
Interrogé par Reuters, le ministre de l'Environnement, Ricardo Salles, a assuré que le gouvernement prenait "toutes les mesures pour combattre la déforestation illégale".
La forêt amazonienne, plus grand puits de carbone au monde, se trouve à 60% sur le territoire du Brésil, qui fait figure de pays clé dans la lutte contre le dérèglement climatique.
Ça n'est pas quand on coupe l'arbre. C'est quand celui ci est coupé en bûche et brûlé dans une cheminée, ou quand l'arbre est déchiqueté en plaquette pour des centrales biomasse.
Les plantations massives, en général, c'est du mono espèce et dans le seul but d'exploiter la "forêt" = aucune biodiversité + sol appauvri.
J'avais vu un reportage à la télé, les zones boisées en France, sont peut être coupées pour l'exploitation, mais ils sont obligés de replanter après. C'est une obligation légale (code forestier).
Quelle région ?crispus a écrit : ↑08 juil. 2019, 07:57J'ai un ami fermier. Au fur et à mesure que les anciens prennent leur retraite dans repreneur, ce sont des groupements de chasseurs (dont un ancien ministre) qui rachètent massivement les terres et les font reboiser pour en faire un gigantesque domaine de chasse privée, qu'ils louent au plus offrant... Sachant que les bois sont exemptés de TF, c'est le plan win.
La responsabilité anthropique du changement climatique observée au siècle dernier est donc exagérée de façon injustifiée et les prévisions catastrophiques sont irréalistes.
Le climat est le système le plus complexe sur notre planète : nous devons donc l’aborder avec des méthodes appropriées et adaptées à son niveau de complexité. Les modèles de simulation climatique ne reproduisent pas la variabilité naturelle observée du climat et, en particulier, ne reconstituent pas les périodes chaudes des 10 000 dernières années. Celles-ci se sont répétées environ tous les mille ans : on y trouve la période médiévale chaude, bien connue, la période romaine chaude, et généralement de grandes périodes chaudes pendant l’Optimum holocène (il y a 8000 ans).
Ces périodes passées étaient plus chaudes que la période actuelle, bien que la concentration de CO2 y ait alors été inférieure à la concentration actuelle ; elles sont liées aux cycles millénaires de l’activité solaire. Ces effets ne sont pas reproduits par les modèles.
Rappelons que le réchauffement observé de 1900 à nos jours a en fait commencé en 1700, c’est-à-dire au minimum du Petit Âge glaciaire, qui est la période la plus froide des 10 000 dernières années, et qu’il correspond à un minimum millénaire de l’activité solaire que les astrophysiciens appellent minimum solaire de Maunder. Depuis, l’activité solaire, suivant son cycle millénaire, a augmenté et réchauffé la surface de la Terre.
Les médias affirment également que les événements extrêmes, tels qu’ouragans et cyclones, ont augmenté de façon inquiétante. Non ! Ces événements, sont comme de nombreux systèmes climatiques, modulés par le cycle de 60 ans que l’on vient de signaler. Voyons par exemple les données officielles depuis 1880 sur les cyclones tropicaux atlantiques qui ont frappé l’Amérique du Nord : elles montrent une forte oscillation de 60 ans, corrélée à l’oscillation thermique de l’océan Atlantique appelée Atlantic Multi-decadal Oscillation (AMO). Les pics observés pendant dix ans sont comparables pour les années 1880-90, 1940-50 et 1995-2005. De 2005 à 2015, le nombre de cyclones a diminué, suivant le cycle susmentionné.
Ainsi, sur la période 1880-2015, il n’y a pas de corrélation entre le nombre de cyclones, qui oscille et le CO2 qui augmente de façon monotone.
le cycle millénaire du soleil , c'est nouveau ça.Rappelons que le réchauffement observé de 1900 à nos jours a en fait commencé en 1700, c’est-à-dire au minimum du Petit Âge glaciaire, qui est la période la plus froide des 10 000 dernières années, et qu’il correspond à un minimum millénaire de l’activité solaire que les astrophysiciens appellent minimum solaire de Maunder. Depuis, l’activité solaire, suivant son cycle millénaire, a augmenté et réchauffé la surface de la Terre.
le coeur du débat du RCA, comme le titre de ce fil ne l'indique pas, c'est le A. Car faut-il traiter les causes ou les conséquences ? Si on sait que la cause est A, alors on fait les politiques actuelles (et encore... taxer le péquin qui va bosser et de l'autre côté exonérer les avions et les bateaux...). Sinon faut traiter les conséquences.clairette2 a écrit : ↑08 juil. 2019, 13:07Vol, tu dis que l'impact de la lutte contre le RCA sur nos vies est peanuts, mais je te rappelle le coût des politique prévues qui de comptent en dizaines de milliards.
Pour un résultat incertain ( et forcément insuffisant disent les responsables).
Donc nous allons tous payer très cher pour , peut-être rien.
Ne vaut il pas mieux utiliser ces fonds pour adapter les équipements et zones côtières par ex. Ou lutter contre les polluants avérés ( plastique, eaux sales...) ??
http://www.rfi.fr/france/20171211-le-pr ... climatiqueLes pays riches (pays de l’annexe 1) par exemple, historiquement responsables de ce réchauffement climatique et gros émetteur de GES, se sont engagés à fournir 100 milliards de dollars (91 milliards d’euros) par an, à partir de 2020 aux pays en voie de développement pour les aider à s’adapter aux changements qu’ils vont subir. Cet engagement financier devrait être revu à la hausse en 2025 et tous les cinq ans. Mais cette somme n’est pas encore rassemblée et paraît déjà très en dessous de ce qu’il faudra probablement apporter pour faire face aux besoins. L’Agence Internationale de l’Energie estime qu’il faudra en moyenne 3 500 milliards de dollars d’investissement uniquement dans le secteur énergétique chaque année pendant 30 ans, pour contenir l’augmentation des températures à un minimum de 2°C.
Des engagements volontaires insuffisants
Deux ans après le lancement de l’accord de Paris, alors que nous sommes encore au stade de la mise au point de la mécanique de l’accord (qui doit être finalisé pour 2018), nous sommes déjà sortis des clous. La somme des engagements volontaires des Etats nous place déjà dans une trajectoire supérieure à 3°C. Non seulement il nous faut réintégrer la courbe qui nous placera à 2°C d’augmentation de la température pour la fin du siècle et nous demandera plus d’effort que ce que nous sommes collectivement prêts à faire à ce jour, mais il nous faudra aussi intégrer des coûts que nous avons de la peine à dimensionner.
Et c est surtout la raison de la sortie de Trump sur l accord ! celà a été présenté bêtement par nos médias comme la conséquence de sa vision climato septique mais c est en fait le financement de cette cagnotte de 100 milliards par an (au frais des USA en grande partie) qui a été repoussé par Trump !!!vpl a écrit : ↑08 juil. 2019, 14:42Clarine, c'est effectivement la limite de ce que j'écris : je parlais de l'impact pour nous occidentaux.
Pour les pays en développement y'a effectivement un grand risque que les pays riches leurs imposent des restrictions telles que ça peut causer de gros dégâts dans leur population.
Mais quand ça arrive c'est l'effet de calculs des politiques qui s'affichent écolo sans rien faire de concret dans leur pays et prétendent agir sur le dos des pays pauvres, pas des scientifiques qui réfléchissent sur le sujet.
Sachant que l'on observe le cycle des taches solaires que depuis Galilée, nous n'avons au mieux que 400 ans de connaissances des cycles solaires. On soupçonne quelques violentes bouffées repérables dans les glaces polaires sans pouvoir faire un historique détaillé du passé.ocine a écrit : ↑08 juil. 2019, 11:09le cycle millénaire du soleil , c'est nouveau ça.Rappelons que le réchauffement observé de 1900 à nos jours a en fait commencé en 1700, c’est-à-dire au minimum du Petit Âge glaciaire, qui est la période la plus froide des 10 000 dernières années, et qu’il correspond à un minimum millénaire de l’activité solaire que les astrophysiciens appellent minimum solaire de Maunder. Depuis, l’activité solaire, suivant son cycle millénaire, a augmenté et réchauffé la surface de la Terre.
1.5€ sur un billet en éco dans l'UE. C'est du foutage de gueule, du green-washing pour expliquer que le transport aérien contribue.clairette2 a écrit : ↑09 juil. 2019, 14:14Et allez, une nouvelle ecotaxe sur les billets d'avion.
Je croyais que macron avait promis qu'il ne créerait pas de nouvel impôt ??
t'es pas fou, tu doubles le prix du billet pour barcelone! comment tu veux pouvoir correctement binge-drinker si tu passes le budget alcool dans l'avion!!! c'est toute la "civilisation" du tourisme qu'il faut revoir.
Je trouve atterrant d'avoir une telle réaction à ce qui est dit dans ce manifeste. Les termes employés par le rédacteur de la pétition ne laissent aucunement entendre qu'il confond Milankovich et Maunder. Votre lien est d'ailleurs nullissime en matière de description du phénomène périodique de Milankovich.lumierecendree a écrit : ↑09 juil. 2019, 14:39Sachant que l'on observe le cycle des taches solaires que depuis Galilée, nous n'avons au mieux que 400 ans de connaissances des cycles solaires. On soupçonne quelques violentes bouffées repérables dans les glaces polaires sans pouvoir faire un historique détaillé du passé.ocine a écrit : ↑08 juil. 2019, 11:09le cycle millénaire du soleil , c'est nouveau ça.Rappelons que le réchauffement observé de 1900 à nos jours a en fait commencé en 1700, c’est-à-dire au minimum du Petit Âge glaciaire, qui est la période la plus froide des 10 000 dernières années, et qu’il correspond à un minimum millénaire de l’activité solaire que les astrophysiciens appellent minimum solaire de Maunder. Depuis, l’activité solaire, suivant son cycle millénaire, a augmenté et réchauffé la surface de la Terre.
L'auteur confond cycle de Maunder et cycle de Milankovitch
https://www.futura-sciences.com/planete ... tch-13390/
De fait, l'erreur est tellement grossière qu'il n'est pas besoin d'expliciter pour dire que l'article, c'est du bullshit
Et pourtant, nous devons tout d’abord être bien conscients que la méthode scientifique exige que ce soient les faits, et non le nombre de croyants qui d’une conjecture font une théorie scientifique consolidée.
Jeffrey a écrit : ↑09 juil. 2019, 21:32Je trouve atterrant d'avoir une telle réaction à ce qui est dit dans ce manifeste. Les termes employés par le rédacteur de la pétition ne laissent aucunement entendre qu'il confond Milankovich et Maunder. Votre lien est d'ailleurs nullissime en matière de description du phénomène périodique de Milankovich.lumierecendree a écrit : ↑09 juil. 2019, 14:39Sachant que l'on observe le cycle des taches solaires que depuis Galilée, nous n'avons au mieux que 400 ans de connaissances des cycles solaires. On soupçonne quelques violentes bouffées repérables dans les glaces polaires sans pouvoir faire un historique détaillé du passé.ocine a écrit : ↑08 juil. 2019, 11:09le cycle millénaire du soleil , c'est nouveau ça.Rappelons que le réchauffement observé de 1900 à nos jours a en fait commencé en 1700, c’est-à-dire au minimum du Petit Âge glaciaire, qui est la période la plus froide des 10 000 dernières années, et qu’il correspond à un minimum millénaire de l’activité solaire que les astrophysiciens appellent minimum solaire de Maunder. Depuis, l’activité solaire, suivant son cycle millénaire, a augmenté et réchauffé la surface de la Terre.
L'auteur confond cycle de Maunder et cycle de Milankovitch
https://www.futura-sciences.com/planete ... tch-13390/
De fait, l'erreur est tellement grossière qu'il n'est pas besoin d'expliciter pour dire que l'article, c'est du bullshit
De là à juger la totalité du fond de ce qui est dénoncé comme bullshit, c'est caractéristique d'un travers actuel de personnes qui se pensent scientifiques, mais n'en ont que le titre ou la fonction, sans percevoir ce qu'est une réelle démarche scientifique.
une phrase particulière est à retenir, et n'est en aucun cas du bullshit:Et pourtant, nous devons tout d’abord être bien conscients que la méthode scientifique exige que ce soient les faits, et non le nombre de croyants qui d’une conjecture font une théorie scientifique consolidée.
vous faites une simple recherche google et il y a une page wiki où on parle de ce minimum des taches solaires (de cause solaire) que vous pensez qu'il confond avec un phénomène de précession des équinoxes (de cause orbitale donc)lumierecendree a écrit : ↑09 juil. 2019, 21:41
Des faits, merci
C’est quoi le cycle millénaire de l’activité solaire que l’on rigole un peu ?
Une réponse documentée, merci