Re: Réchauffement climatique
Posté : 13 janv. 2020, 20:10
C'est pas "on", mais juste pimono.
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C'est pas "on", mais juste pimono.
Pareil dans les panaches d'éruption de volcan, c'est plein d'éclairs à l' intérieur.crispus a écrit : ↑13 janv. 2020, 09:53@pimono
Les éclairs sont bien souvent associés à des tourbillons.
Un jour une mini-tornade s'est produite dans mon jardin. Ça a commencé par un tourbillon de vent, qui a cassé net une grosse branche sur un érable, accompagné d'un éclair, qui a laissé une trace de brûlure le long du tronc. Je ne pense pas que Haarp ait choisi mon jardin pour me faire une démo gratuite.
Les tornades que l'on voit aux États Unis sont la plupart du temps accompagnées d'éclairs en périphérie. Le frottement des masses d'air provoque des phénomènes d'ionisation, qui conduisent à la formation d'éclairs.
Quand la chaleur est intense, il y a parfois apparition de "vortex de feu", impossibles à maîtriser. Le bombardement incendiaire de Dresde est resté connu pour ce phénomène.
La nature de ce phénomène d’une beauté rare intrigue toujours les scientifiques. Selon l’une des hypothèses, des décharges électriques sont provoquées par le frottement des particules de cendre et de poussière. Une autre stipule que ces éclairs sont dus à l'ionisation des gaz, induite par la radioactivité naturelle du radon émis par le volcan.
il n'y a pas que moi qui pense à ces possibilités qui n'ont rien de fantaisistes concernant ces évenements répétitifs étranges qui façonnent en réalité notre planète sur le dos des peuples.
Pas touche je suis un énorme fan de nos british!moinsdewatt a écrit : ↑13 janv. 2020, 22:01Pimono il est resté à la lecture de Blake et Mortimer, S.O.S Météores
Les incendies majeurs que subit l’Australie sont en grande partie explicables par des raisons autres que le dérèglement climatique.
J' écoutais hier soir.. 6% de la forêt de brûlé quand même.. c est pas rien...cashisking a écrit : ↑14 janv. 2020, 07:55https://www.contrepoints.org/2020/01/14 ... ue-majeure
Les incendies majeurs que subit l’Australie sont en grande partie explicables par des raisons autres que le dérèglement climatique.
En fait, certaines espèces ont besoin d'incendies pour se développer ( j'ai appris ça dans un épisode d'Esprits Criminels... Il était fait mention de ça:ddv a écrit : ↑14 janv. 2020, 10:46Ils les ont compté comment, les koala ?
Concernant les incendies "inédits", "effroyables", etc., je déterre un article de 2013, concernant les eucalyptus:
https://www.maxisciences.com/eucalyptus ... 31138.html
Ma mère m’a vendu en brocante ma collection y’a quelques années.roi.de.trefle a écrit : ↑14 janv. 2020, 10:33Moi aussi j'ai toutes les éditions originales mais je vais arrêter les deux derniers tomes étaient nuls !
Le gouvernement britannique a annoncé mardi qu'il avait trouvé un accord de sauvetage avec les propriétaires de la compagnie régionale Flybe, à l'issue de plusieurs jours de discussions marathon pour lui éviter de faire faillite.
De quoi alimenter le débat de la politique à mener à l'égard du transport aérien à l'heure où ce secteur est remis en cause par la pression environnementale d'une partie de l'opinion et de la classe politique.
Pour sauver une compagnie aérienne, Flybe, et maintenir la connectivité aérienne d'un grand nombre de villes britanniques qui auraient perdu leur liaison avec d'autres villes britanniques et européennes, Boris Johnson a tranché : à la suite d'un accord avec les actionnaires de la compagnie qui vont remettre au pot, le gouvernement va diminuer la taxe sur les passagers aériens (Air Passenger Duty).
"Signe de l'engagement du Premier ministre (pour diminuer les inégalités de transport régionales au Royaume-Uni), le Trésor va revoir la taxe britannique sur les billets d'avion (Air Passenger Duty)", expliquait ce mardi soir le Trésor dans un communiqué. "Ces mesures ont fait partie des discussions aujourd'hui avec la compagnie aérienne régionale la plus importante d'Europe, Flybe , qui (...) dessert des trajets d'où sont absents les autres transporteurs", notamment depuis Belfast ou Southampton, ajoute le Trésor, sans plus de détail.
Pour autant, une baisse de l'Air Passager Duty ne peut pas être neutre. Le montant de cette taxe qui va de 13 à environ 150 livres par voyageur est exorbitant. En 2018, il s'élevait à 3,7 milliards de Livres (4,3 milliards d'euros), soit largement plus de la moitié des taxes spécifiques du transport aérien européen. Mardi, la presse brtiannique évoquait une baisse sur l'ensemble des vols intérieurs pour l'ensemble des compagnies aériennes, afin d'éviter les accusations de distorsion de concurrence.
Si elle reste modeste avec ces 2000 salariés et ces huit millions de passagers transportés chaque année, Flybe est une compagnie très importante au Royaume-Uni. Elle relie de nombreuses villes régionales britanniques entre elles et vers une cinquantaine de villes européennes, notamment françaises (la France est le deuxième marché de la compagnie). Flybe est donc capitale pour beaucoup de régions britanniques, notamment l'Irlande du Nord, qui se seraient retrouvées enclavées en cas de disparition de Flybe.
Boris Johnson n'a pas voulu par ailleurs ajouter une troisième faillite après celles de Monarch en 2017 et Thomas Cook en septembre 2018. Les difficultés de Flybe avait ému la classe politique ces derniers jours. Beaucoup de parlementaires poussaient le gouvernement à intervenir.
Mardi, la presse britannique écrivait que le gouvernement envisageait un report du paiement de la taxe britannique sur les billets d'avion jusqu'à 2023, soit un coup de pouce fiscal de 100 millions de livres (116,5 millions d'euros), en échange d'argent frais injecté de la part de Connect Airways, le consortium d'investisseurs comprenant Virgin Atlantic et les fonds Stobart et Cyrus, qui avait racheté Flybe l'an dernier, déjà au bord de la faillite.
"Nous sommes très encouragés par les récents développements (...) En conséquence, le consortium d'actionnaires s'engage à continuer à faire fonctionner Flybe grâce à de nouveaux financements aux côtés des initiatives du gouvernement", a-t-il déclaré, cité dans le communiqué du Trésor.
Selon l'agence de presse britannique Press Association, le montant de ces financements "devrait se situer dans la zone des dizaines de millions de livres".
Ce sauvetage est à contre-courant des politiques enclenchées par de nombreux autres pays européens, comme la France, l'Allemagne ou la Suisse, lesquels, au contraire, augmentent les taxes soit pour dissuader les passagers de prendre l'avion, soit pour financer d'autres modes de transports moins émetteurs de gaz à effets de serre comme le train. Malgré les faillites d'Aigle Azur et de XL Airways en septembre, la France a mis en place une écotaxe le 1er janvier. Toujours en France, certains poussent le gouvernement à supprimer les lignes aériennes sur les axes assurés par le train en 2h30 de plus (ou moins) que l'avion.
Forcément, la mesure de Londres fait grincer des dents. Notamment au sein du Labour et des écologistes.
"Renflouer une société à travers des baisses d'impôts pour tout un secteur n'est pas la manière de faire", a déploré John McDonnell, en charge du programme économique travailliste lors des dernières élections. "Le gouvernement ferait mieux de (...) fournir une assistance ciblée sur certains trajets selon des critères économiques et sociaux", ajoute-t-il.
Du côté des écologistes, on fustige ce sauvetage, à l'heure où le Royaume-Uni s'est engagé à la neutralité carbone pour 2050.
"Le gouvernement ne peut pas prétendre être en tête de la lutte contre l'urgence climatique un jour et rendre moins chère la forme de voyage la plus émettrice de C02 le lendemain", déplore Greenpeace.
"Faire baisser les prix des vols intérieurs en laissant monter les tarifs ferroviaires est l'opposé de ce qu'il faut faire", insiste l'association.
"Ces vols sur de courtes distances sont exactement ceux que nous devons éviter pour tenter de faire baisser les émissions de carbone de l'aviation et éviter un effondrement climatique", renchérit l'association Les Amis de la Terre.
Les incendies ont toujours existé, c'est à cette réalité là que les plantes se sont adapté.Sifar a écrit : ↑14 janv. 2020, 18:53En fait, certaines espèces ont besoin d'incendies pour se développer ( j'ai appris ça dans un épisode d'Esprits Criminels... Il était fait mention de ça:
https://en.wikipedia.org/wiki/Pinus_contorta )
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pyrophyte
Mais je ne doute pas que la Nature ait anticipé le RCA et sélectionné par avance des espèces présentant cette caractéristique d'avoir besoin des incendies pour se reproduire.
J'ai tout écouter, encore une heure de perduepangloss a écrit : ↑15 janv. 2020, 15:16Tout le monde a fait/fait/fera la même chose: on ne sort pas du croissantisme sans tout remettre en cause et il n'y a pas de consensus actuellement et pour longtemps.
Pour avoir une idée de que ce que le saut hors croissance représente, lire Bihouix, l'âge des low techs.
Merci pour cet excellent lien crispus, que dieu te bénisse.crispus a écrit : ↑14 janv. 2020, 00:12C'est vrai qu'utiliser les éléments naturels comme une arme, c'est de la science fiction !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Op%C3%A9ration_Popeye
Oui, je comprends ce que tu veux dire.
Merci pour les explications.squamata a écrit : ↑16 janv. 2020, 22:05Oui, je comprends ce que tu veux dire.
Pour imprimer l'information sur les plateaux des disques durs, il faut utiliser un électroaimant. Mais on stocke des moments magnétique sur la partie mobile des disque durs.
Mais c'est comme parler de disque laser ou de blu-ray. C'est un abus de langage. On stock de la réflectivité local pas du laser rouge ou bleu
J'ai vu la vidéo et la phrase des électrons sur un disque dur m'avait aussi interpellée.
https://www.20minutes.fr/planete/269739 ... ante-prevuDepuis plus de 30 ans, la sensibilité climatique était évaluée entre 1,5 et 4,5 degrés. Si elle passe à entre 3 et 7 degrés, ce serait extrêmement dangereux ».
Mégafeux : la France pourrait aussi être touchée
13 janvier 2020 / Gaspard d’Allens (Reporterre)
En 2050, la moitié des forêts françaises sera soumise au risque d’incendie, avec des feux plus réguliers et plus violents du fait des sécheresses et de la hausse des températures. Se préparer à ce phénomène est indispensable.
[...]
Un rapport interministériel, publié en 2010, partage le constat. Il prévoit qu’en 2050, « plus de la moitié des forêts françaises seront classées à risque contre un tiers aujourd’hui » . Le phénomène pourrait s’accélérer. « Dès 2040, les surfaces menacées par le feu sont susceptibles d’augmenter de 30 % par rapport à 2008 », alertent les experts de Météo France, de l’Office national des forêts (ONF), et de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN), à l’origine de l’étude.
« La forêt n’aura pas le temps de se reconstituer »
Les scientifiques se sont appuyés sur des scénarios du Giec (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat). Au total, en 2060, 9,9 millions d’hectares de forêts seraient concernés par les risques d’incendie. Les feux pourraient s’étendre dans le Sud-Ouest, la haute vallée du Rhône, les Pays de la Loire, le Centre-Val de Loire mais aussi la Bretagne. Ils gagneraient également en altitude en menaçant les forêts préalpines.
Historiquement, en France, les incendies restaient cantonnés à la zone méditerranéenne. Désormais,« ils toucheront tous les territoires où la végétation ressemble à celle du Sud, avec des landes, des broussailles ou de la bruyère. Le sous-étage, lorsqu’il est dense et peuplé de fougères, peut s’enflammer comme du kérosène », explique à Reporterre, Rémi Savazzi, le directeur adjoint Défense de la forêt contre les incendies à l’ONF.
[...]
Les conséquences pourraient être dramatiques. « Le scénario d’altération durable de la végétation forestière résultant d’incendies répétés (plus de 4 [incendies au même endroit] en 50 ans) paraît tout à fait possible dès 2030 », estiment les auteurs du rapport interministériel. « Au milieu du siècle, les dépérissements, les maladies nouvelles et la forte fréquence de grands incendies auront sans doute eu raison d’une partie des massifs actuellement déjà à risque élevé », écrivent-ils.
[...]
« Une hausse de 1 °C de la température moyenne entraîne une augmentation de 20 % des départs de feu »
Plusieurs phénomènes inquiétants s’observent déjà. La saison des feux s’est allongée. « Avant, elle courait du 15 juillet au 15 septembre mais ces dernières années, les périodes sèches sont bien plus longues. Elles débutent fin juin et se poursuivent jusqu’à mi-octobre. Rien qu’en Corse, maintenant elle dure cinq mois, constate Marc Vermeulen de la Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France. On est également confronté à des “feux d’hiver”, à des moments où normalement il n’y avait aucun risque », explique le contrôleur général, directeur départemental du service d’incendie et de secours du Val-d’Oise.
[...]
Les patrouilles de surveillance ont diminué de 15 % de 2008 à 2019
La lutte contre les incendies va devoir se renforcer. Pour l’instant, elle reste, somme toute, efficace. En France, les surfaces brûlées ont diminué depuis 30 ans. Passant de « 46.000 hectares en moyenne annuelle ces quarante dernières années à 11.800 hectares au cours de la dernière décennie, calcule le rapport du sénateur Jean- Pierre Voguel.
[...]
L’extension des zones à risque pose aussi une autre question liée à la gestion sylvicole. Comment les monocultures résineuses, ces plantations industrielles plus vulnérables aux aléas que les forêts diversifiées, vont-elles réagir à la menace d’incendie ? « Pour l’instant, en France, les données scientifiques manquent », indique Nicolas Martin de l’Inra . Il n’est pas encore possible de savoir s’ils propageront plus facilement le feu. »
À l’étranger, par contre, les exemples sont légion. Les plantations d’eucalyptus ont plongé plusieurs pays dans « l’enfer des feux de forêt », au Portugal, au Chili, en Espagne. Pour la philosophe Joëlle Zask, autrice de Quand la forêt brûle (éditions Premier Parallèle), « l’exploitation industrielle de la forêt, les plantations abusives et les monocultures d’arbres à la fois très inflammables et grands consommateurs d’eau contribuent au développement des mégafeux. Les usines à bois fragilisent l’environnement qu’elles livrent aux flammes ».
Ah ouais, maintenant c'est 7°C... et un commentaire de l'article :domcat74 a écrit : ↑18 janv. 2020, 11:46Changement climatique : Selon de nouvelles études, la hausse des températures pourrait être plus importante que prévu
https://www.20minutes.fr/planete/269739 ... ante-prevuDepuis plus de 30 ans, la sensibilité climatique était évaluée entre 1,5 et 4,5 degrés. Si elle passe à entre 3 et 7 degrés, ce serait extrêmement dangereux ».
Je pensais à un petit trollage mais en fait non, y'a bien un article là-dessus (bon ça date de quelques années) :On est mal barré... Il faut savoir qu'avec une hausse des températures dépassant les 5°, il y a un risque important dont on parle peu, ce risque c'est la disparition pure et simple de l’oxygène sur Terre.
...Lutter contre le réchauffement climatique pour espérer respirer. Avec une hausse de la température de la terre d'encore 5°C, l'humanité pourrait se retrouver sans oxygène..., avance une étude publiée mardi en marge de la conférence climat. [...]
"Nous avons identifié une autre conséquence possible du réchauffement climatique qui peut être potentiellement plus dangereuse que toutes les autres", expliquent deux chercheurs de l'Université britannique de Leicester dans une étude parue dans le Bulletin of Mathematical Biology.
Bien d'accord avec toi,il va falloir des lanceurs d'alertes sur les gabegies.pimono a écrit : ↑19 janv. 2020, 17:35"L’Europe veut mobiliser 1000 milliards d’euros sur 10 ans pour financer la transition écologique."
http://www.wikistrike.com/2020/01/gouve ... peens.html
La prochaine décénie ne sera pas mauvaise pour tout le monde, vous allez continuer à casquer braves gens !!
J’ai acheté cinq livres sur les éoliennes :
– « Éoliennes : chronique d'un naufrage annoncé », de Pierre Dumont et Denis de Kergorlay ;
– « Éolien, une catastrophe silencieuse : Coûts, nuisances, efficacité, les chiffres qui font peur », de Jean-Louis Butré ;
– « La France dans le noir : Les méfaits de l'idéologie en politique énergétique », de Hervé Machenaud ;
– « Éoliennes : la face noire de la transition écologique », de Fabien Bouglé ;
– « Le Mythe des énergies renouvelables : Quand on aime on ne compte pas », de Rémy Prud'homme,
dans l’espoir – je l’avoue – d’avoir de solides arguments à opposer aux zélotes de cette nouvelle religion à but lucratif, tant il est vrai que, dans notre société baignant dans un relativisme dégoulinant, la critique de ces nouveaux crucifix et du contradictoire « capitalisme vert » s’apparente au délit de blasphème et vous fait aussitôt passer pour le contraire de la Vérité révélée : complotiste, cul-terreux, anti-Progrès, voire partisan du réchauffement climatique, ce dernier étant bien sûr la énième nuance de « facho-nazi ».
Si le bateau est le symbole de la mondialisation ; le camion, de l’U.E. ; et le gratte-ciel dégueulasse de transparence, du capitalisme financier et du vide culturel et artistique dans lesquels nous baignons, l’éolienne est, elle, le symbole de ce que le fait religieux n’a absolument pas disparu, bien au contraire ! Il faut avoir peur, il faut bêler tous ensemble, il faut croire sans réfléchir. Dany-Robert Dufour, dans Le Divin Marché, écrivait : « [...] Nous sortons de la religion sous ses différentes formes (théologiques, politiques, séculières, etc.) Serions-nous donc entrés en phase de rémission ? Je vais essayer de démontrer qu'il n'en est rien. Comme souvent, c'est alors que nous nous croyons libres, libérés, vivant dans une société aux accents résolument libéraux, que nous entrons dans une toute nouvelle forme d'aliénation. Laquelle s'installe, en l'occurrence, à mesure même que notre système libéral actuel est en train de se transformer en nouveau dogme. » Les éoliennes en sont un.
Je dois dire que, si j’ai beaucoup appris, ces cinq livres sont assez différents les uns des autres.
« La France dans le noir : Les méfaits de l'idéologie en politique énergétique », de Hervé Machenaud, est le cri du cœur d’un ingénieur ayant travaillé de nombreuses années tant en France qu’en Chine dans le secteur énergétique, ainsi qu’un pamphlet anti-éolien et Union européenne. Il comporte quelques schémas et ne se limite pas à une critique de bas étage ; tout au plus plaide-t-il, après avoir chiffré la catastrophe éolienne, pour une grandeur française retrouvée dans le domaine de l’énergie.
« Éolien, une catastrophe silencieuse : Coûts, nuisances, efficacité, les chiffres qui font peur », de Jean-Louis Butré, mêle analyses chiffrées, témoignages et souvenirs d’enfance, ce dernier point nuisant, selon moi, à l’argumentation : je me place bien sûr du côté du Français moyen gavé de téloche qui ne pense qu’à ses 35 heures et à son prochain voyage à l’étranger, pour qui ces souvenirs fleureront bon le repas de famille avec papi qui radote après avoir éclusé quelques bouteilles. Les chiffres avancés sont les mêmes que ceux trouvés dans les autres livres, donc ce point n’est pas à critiquer.
« Éoliennes : chronique d'un naufrage annoncé », de Pierre Dumont et Denis de Kergorlay, ainsi qu’ « Éoliennes : la face noire de la transition écologique », de Fabien Bouglé, sont les deux livres que je recommande pour une première « initiation » au brassage de vent, en ce qu’ils offrent un panorama complet du désastre financier, touristique, patrimonial, humain, énergétique, économique, etc., de cet avatar du capitalisme « vert » tout en étant accessible à un public non initié : pour faire court : au Gaulois qui a envie de mettre des mots sur le sentiment qu’on est en train de le b… une énième fois.
« Le Mythe des énergies renouvelables : Quand on aime on ne compte pas », de Rémy Prud'homme, est, selon moi bien sûr, le plus fouillé, le plus scientifique, le plus technique, donc le plus ardu également. Il fourmille d’analyses économiques et de considérations très poussées sur l’énergie, les coûts marginaux, les coûts unitaires, autant de concepts difficiles à appréhender qui demandent une lecture concentrée, voire, dans mon cas concernant quelques passages, plusieurs lectures. Rémy Prud’homme n’assène pas, et avance prudemment ; il se contente de tracer des pistes, d’établir des hypothèses à partir de chiffres disponibles qui ne sortent donc pas de son « cerveau malade ». On imagine qu’il ne sera pour autant jamais invité à un 20-heures. Je ne recommande pas ce livre comme première lecture, à moins d’être bien calé en économie et ingénierie énergétique, mais plutôt en deuxième ou troisième lecture, après avoir digéré les deux ouvrages cités précédemment.
Les éoliennes sont une énième manifestation de la République, cette idée abstraite faisant fi de toute Histoire, de toutes origines, de tout respect envers les autochtones : c’est une arnaque commerciale au même titre que la taxe carbone, le CETA et l’U.E. ; elles sont imposées au Peuple par des gens 1. sortis des grandes écoles progressistes de la République, 2. qui habitent loin de leurs nuisances, 3. qui sont des agents étrangers (les Verts et les ONG par exemple), et 4. qui n’ont absolument aucun respect pour le troupeau dont ils ont pris le commandement en 1789 et qui n’a pas d’autre fonction que celle de les servir ; elles enrichissent des étrangers (Danois, Boches, Chinois) en même temps qu’elles plombent deux secteurs dans lesquels la France peut se targuer de damer le pion au monde entier : le tourisme et le nucléaire.
Il ne fait nul doute que, si rien ne change (violemment, cela va sans dire), les Gaulois déserteront les villages pour aller s’entasser dans des mégapoles crasseuses, pendant qu’on logera des millions de « réfugiés » dans la France éternelle : une femme noire voilée avec huit gosses posant devant une éolienne rouillée, à côté d’une église en ruine, voilà l’avenir de la campagne de ce pays bimillénaire si on ne les sabote pas.
J’encourage les gens à lire ce genre de livres pour se fortifier l’esprit et se prémunir des mensonges ; bien que cela ne serve à rien, il faut aussi « bien » voter à chaque élection, bien que le « camp national » soit désespérément absent de cette question, par béatitude / prostration devant les nouvelles croix j’imagine.
...Les éoliennes sont une énième manifestation de la République, cette idée abstraite faisant fi de toute Histoire, de toutes origines, de tout respect envers les autochtones
Ah ca c'est rigolo , les champions éoliens que sont les British et les Danois sont des royautés.Les éoliennes sont une énième manifestation de la République, cette idée abstraite faisant fi de toute Histoire, de toutes origines, de tout respect envers les autochtones
C'est totalement paradoxal, effectivement.neron a écrit : ↑22 janv. 2020, 09:11Obama, le chantre du réchauffement climatique s'achète en 2019 une île avec une maison au bord de la plage .
N'est-ce-pas paradoxal comme tous ces écologistes qui font du ski,prennent l'avion, installent des panneaux solaires qui exigent plus de kW qu'ils n'en produiront jamais ?
Obama, le président qui détestait les armes et pleurait à chaudes larmes à chaque tuerie, mais il ne pouvait rien faire (seulement président du pays) ?neron a écrit : ↑22 janv. 2020, 09:11Obama, le chantre du réchauffement climatique s'achète en 2019 une île avec une maison au bord de la plage .
N'est-ce-pas paradoxal comme tous ces écologistes qui font du ski,prennent l'avion, installent des panneaux solaires qui exigent plus de kW qu'ils n'en produiront jamais ?
+1,olmostoline a écrit : ↑22 janv. 2020, 13:50Et en prenant une bonne mesure, un homme politique n'économise-t-il pas plus de gaz à effets de serre qu'il n'en produira à titre privé durant toute sa vie ?
Ainsi en est-il de Donald Trump, qui par ses initiatives "protectionnistes" a ralenti le commerce mondial...et donc diminué le nombre de traversées des porte-containers qui crachent chacun plus de CO2 et de s.loperies que des centaines de milliers d'automobiles...olmostoline a écrit : ↑22 janv. 2020, 13:50Et en prenant une bonne mesure, un homme politique n'économise-t-il pas plus de gaz à effets de serre qu'il n'en produira à titre privé durant toute sa vie ?
Mais largement moins que l'équivalent en camionpangloss a écrit : ↑22 janv. 2020, 14:54Ainsi en est-il de Donald Trump, qui par ses initiatives "protectionnistes" a ralenti le commerce mondial...et donc diminué le nombre de traversées des porte-containers qui crachent chacun plus de CO2 et de s.loperies que des centaines de milliers d'automobiles...olmostoline a écrit : ↑22 janv. 2020, 13:50Et en prenant une bonne mesure, un homme politique n'économise-t-il pas plus de gaz à effets de serre qu'il n'en produira à titre privé durant toute sa vie ?
15 millions de dollars, c'est pas très cher pour une île aux usa.neron a écrit : ↑22 janv. 2020, 09:11Obama, le chantre du réchauffement climatique s'achète en 2019 une île avec une maison au bord de la plage .
N'est-ce-pas paradoxal comme tous ces écologistes qui font du ski,prennent l'avion, installent des panneaux solaires qui exigent plus de kW qu'ils n'en produiront jamais ?