Rien que ça suffit à disqualifier tout le reste.l'historienne Lucile Peytavin
Je me souvenais de ce nom car son cas avait été traité ici :
Bref, ce cas a été traité, jugé et exécuté, next !
Rien que ça suffit à disqualifier tout le reste.l'historienne Lucile Peytavin
Cette richesse supplémentaire rendrait particulièrement regrettable l'invasion militaire d'une puissance étrangère qui s'en suivrait.Indécis a écrit : ↑25 janv. 2024, 10:40L'Italie gagnerait 99 milliards par an si les hommes se comportaient comme les femmes
https://www.lesechos.fr/monde/europe/li ... es-2071098
Une historienne française et une économiste italienne ont évalué « le coût de la virilité », soit ce que l'Etat économiserait si la surreprésentation masculine dans les actes de violence et de délinquance diminuait.
Pour remplir les caisses bien vides de l'Etat Italien, Giorgia Meloni promet des privatisations à hauteur de 20 milliards d'euros au cours des trois prochaines années, tandis que son ministre de l'Economie demande au gouvernement des coupes budgétaires sur la même période à hauteur de 7 milliards. Ils se défendent de vouloir instaurer de l'austérité et prônent une « discipline » budgétaire.
Et s'il suffisait plutôt de discipliner le comportement des hommes pour dégager d'importantes ressources financières ? Précisément 99 milliards d'euros par an, selon la thèse défendue par l'historienne Lucile Peytavin et l'économiste italienne Ginevra Bersani Franceschetti. Le quotidien « Domani » se fait l'écho de leur ouvrage, « Ce que l'Italie économiserait si les hommes se comportaient comme les femmes », adaptation transalpine de l'ouvrage écrit en 2021 par l'autrice française (éditions Anne Carrière), et qui a remporté le dernier prix national de vulgarisation scientifique.
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Les hommes se comportant comme des femmes se feraient-ils violer par la soldatesque envahisseuse ?Osef a écrit : ↑25 janv. 2024, 14:00Cette richesse supplémentaire rendrait particulièrement regrettable l'invasion militaire d'une puissance étrangère qui s'en suivrait.Indécis a écrit : ↑25 janv. 2024, 10:40L'Italie gagnerait 99 milliards par an si les hommes se comportaient comme les femmes
https://www.lesechos.fr/monde/europe/li ... es-2071098
Une historienne française et une économiste italienne ont évalué « le coût de la virilité », soit ce que l'Etat économiserait si la surreprésentation masculine dans les actes de violence et de délinquance diminuait.
Pour remplir les caisses bien vides de l'Etat Italien, Giorgia Meloni promet des privatisations à hauteur de 20 milliards d'euros au cours des trois prochaines années, tandis que son ministre de l'Economie demande au gouvernement des coupes budgétaires sur la même période à hauteur de 7 milliards. Ils se défendent de vouloir instaurer de l'austérité et prônent une « discipline » budgétaire.
Et s'il suffisait plutôt de discipliner le comportement des hommes pour dégager d'importantes ressources financières ? Précisément 99 milliards d'euros par an, selon la thèse défendue par l'historienne Lucile Peytavin et l'économiste italienne Ginevra Bersani Franceschetti. Le quotidien « Domani » se fait l'écho de leur ouvrage, « Ce que l'Italie économiserait si les hommes se comportaient comme les femmes », adaptation transalpine de l'ouvrage écrit en 2021 par l'autrice française (éditions Anne Carrière), et qui a remporté le dernier prix national de vulgarisation scientifique.
...
j'adore !
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Adr%C3% ... %20de%20laSi cet écart avait une origine génétique, il serait probablement observé dès l’entrée en CP, ce qui n’est pas du tout le cas, puisque l’écart est inexistant au début de CP. Notre étude montre en revanche qu’il se passe quelque chose d’important et de crucial pendant l’année du CP. Nous n’arrivons pas vraiment à expliquer pourquoi les filles décrochent et encore moins à mettre en évidence des relations causales.
[...]
Comment expliquer ces écarts alors?
Les enseignants et les parents auront peut-être des idées. Nous serions très intéressés de les entendre et les invitons à nous contacter ! De notre côté, nous nous interrogeons sur la possible importance prise par les jeux et sports, en cour de récréation notamment, qui mobilisent davantage les garçons et nécessitent davantage de compter etc…
L'adrénarche survient entre 6 et 20 ans[4],[5]. Après la première année de vie, les glandes surrénales sécrètent de très faibles niveaux d'androgènes surrénaliens[1].
L'adrénarche débute en moyenne entre 5 et 8 ans chez les filles et entre 7 et 11 ans chez les garçons
Il faudrait analyser un autre facteur en parallèle, le moindre intérêt des filles pour les mathématiques, selon l'age.Les filles moins bonnes en mathématiques ?
Puisque personne ne s'est dévoué pour modérer mon absence totale de modestie je vais faire mon auto modération.
La prescription de la sexualité en Islam
Sur le plan de la sexualité, le Coran, Livre sacré des musulmans, emploie la métaphore et la symbolique agraire très connue par laquelle la femme est associée à un champ que l‘homme peut labourer à loisir. Il signe ainsi le privilège donné à la satisfaction masculine :
« Vos femmes sont un champ de labour pour vous. Venez à votre champ comme vous voulez, et œuvrez pour vous-mêmes à l’avance » (sourate II 223)
Je suis toujours fasciné par le grand écart qui s'opère entre la trajectoire de la place de la femme dans la culture judéo-chrétienne et celle inamovible dans l'Islam.PACA a écrit : ↑01 févr. 2024, 07:59La prescription de la sexualité en Islam
https://www.cairn.info/revue-topique-20 ... ge-105.htmSur le plan de la sexualité, le Coran, Livre sacré des musulmans, emploie la métaphore et la symbolique agraire très connue par laquelle la femme est associée à un champ que l‘homme peut labourer à loisir. Il signe ainsi le privilège donné à la satisfaction masculine :
« Vos femmes sont un champ de labour pour vous. Venez à votre champ comme vous voulez, et œuvrez pour vous-mêmes à l’avance » (sourate II 223)
Il y a une confusion, le code pénal ne semble pas concerné, sauf discriminations selon les confessions ?
vous pouvez toujours aller vous habiller au rayon femme, pour votre salut.
La France insoumise va déposer une proposition de loi visant à intégrer la notion de consentement dans la définition pénale de l'agression sexuelle et du viol, a annoncé mardi la députée LFI de Paris, Sarah Legrain.
Une proposition de loi pour intégrer la notion de consentement avait déjà été déposée à l'automne par la sénatrice écologiste Mélanie Vogel.
Ca devrait arrêter NET les déséquilibrés d'importation qui n'ont pas les codes.henda a écrit : ↑06 févr. 2024, 19:33Définition pénale du viol : LFI va déposer une proposition de loi pour intégrer la notion de consentement
https://www.lefigaro.fr/flash-actu/defi ... t-20240206La France insoumise va déposer une proposition de loi visant à intégrer la notion de consentement dans la définition pénale de l'agression sexuelle et du viol, a annoncé mardi la députée LFI de Paris, Sarah Legrain.Une proposition de loi pour intégrer la notion de consentement avait déjà été déposée à l'automne par la sénatrice écologiste Mélanie Vogel.
La soumission non consentie serait pénalement répréhensible ?henda a écrit : ↑06 févr. 2024, 19:33Définition pénale du viol : LFI va déposer une proposition de loi pour intégrer la notion de consentement
https://www.lefigaro.fr/flash-actu/defi ... t-20240206La France insoumise va déposer une proposition de loi visant à intégrer la notion de consentement dans la définition pénale de l'agression sexuelle et du viol, a annoncé mardi la députée LFI de Paris, Sarah Legrain.Une proposition de loi pour intégrer la notion de consentement avait déjà été déposée à l'automne par la sénatrice écologiste Mélanie Vogel.
Merci pour ce commentaire, dans un registre assez proche, j'ai eu du mal à concevoir comment les partisans du féminisme qui se gargarisaient de leur slogan "mon corps mon choix" ont royalement accepté la soumission au vaccin à l'ère du covid.
wef a écrit :You'll own nothing. And you'll be happy
ce ne sont pas les seuls à s'être décrédibilisé éternellement. Il y a tous les lobbys bio / naturels et autres écolos qui étaient aussi pour la vax, le truc le plus artificiel existant sur la planète. Ainsi que le lobby juif, non pas sur le vaccin, mais sur le passe, on se serait attendu à ce qu'ils soient farouchement opposés à cause de la réminiscence de l'étoile jaune et d'un double statut d'être humain en regard des droits fondamentaux, et au contraire ils ont taxé d'antisémitisme ceux qui osaient le dire. Et le milieu scientifique ayant accès aux médias (tous les collèges de France, Académie des sciences...) qui aurait du parler du principe de précaution, de relativiser ce dont il était question (pas un vaccin, expérimental, pas assez testé, nouvelle technologie inconnue sur des êtres vivants vivant plus de 1an après...)..Hickson49 a écrit : ↑11 févr. 2024, 11:24Merci pour ce commentaire, dans un registre assez proche, j'ai eu du mal à concevoir comment les partisans du féminisme qui se gargarisaient de leur slogan "mon corps mon choix" ont royalement accepté la soumission au vaccin à l'ère du covid.
Décrédibilisation éternelle.
La ministre déléguée chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes a annoncé dimanche que le gouvernement passait « au crible » les déclarations liées à l’attaque du Hamas en Israël de toutes les associations féministes, exprimant son refus de voir l’Etat financer « des associations qui ne sauraient pas caractériser ce qui s’est passé ».
Le collectif féministe #NousToutes Lille a qualifié, lundi 12 février, d’« instrumentalisation » les propos tenus la veille par la ministre déléguée Aurore Bergé, qui a dit vouloir arrêter les subventions aux associations féministes ayant eu des « propos ambigus » concernant l’attaque du Hamas en Israël le 7 octobre, qui a déclenché la guerre.
« J’ai demandé à ce que toutes les associations [féministes] soutenues financièrement [par l’Etat] soient passées au crible. (…) S’il y a la moindre ambiguïté sur des propos qui auraient été tenus le 7 octobre, il ne serait pas normal que ces associations continuent à avoir des subventions de la part du gouvernement », a déclaré la ministre déléguée chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations sur Radio J., dimanche.
« Je refuse que l’Etat soutienne financièrement des associations qui ne sauraient pas caractériser ce qui s’est passé », a-t-elle ajouté, sur fond d’accusations d’un deux poids, deux mesures visant une partie du mouvement féministe à qui il a été reproché son « silence », concernant les accusations de violences sexuelles commises par des hommes du Hamas sur des Israéliennes le 7 octobre. La ministre a formulé cette demande à l’administration la semaine dernière et attend un retour « dans les jours qui viennent ».
Après la marche du 25 novembre contre les violences faites aux femmes, le collectif national #NousToutes et d’autres associations féministes s’étaient défendues en affirmant lutter pour « toutes les femmes » et avaient condamné « sans ambiguïté les crimes sexuels et sexistes, viols et féminicides commis par le Hamas, qui ont particulièrement visé les femmes, les personnes LGBTQIA+ et les enfants ».
« Il n’y a pas d’ambiguïté de la part des féministes, on croit toutes les victimes, on est les premières à dénoncer toutes les violences masculines faites aux femmes, d’où qu’elles viennent », a réagi Amy Bah, présidente de #NousToutes Lille, auprès de l’Agence-France Presse, lundi. Selon elle, les propos de Mme Bergé relèvent d’une « instrumentalisation des crimes du Hamas et de la riposte d’Israël à Gaza pour éviter de prendre ses responsabilités dans le manque de moyens dans la lutte contre les violences de genre ».
« C’est un backlash [retour de bâton contre les droits des femmes] avec l’idée aussi que les féministes coûteraient cher à la société », a-t-elle fait valoir, avant d’ajouter au sujet de #NousToutes : « Nous, on est autonomes financièrement, on ne reçoit pas d’argent public, mais ce n’est pas le cas de toutes les associations. » La militante « rappelle que les associations qui dépendent de subventions assurent des missions de service public. L’Etat se défausse sur elles, c’est donc scandaleux de les menacer aujourd’hui, d’autant que ça met en danger les victimes de violences ».
« Etre féministe, c’est dire les choses ; être féministe, c’est soutenir les femmes qui ont été mutilées le 7 octobre, a estimé Mme Bergé, dimanche, mettant en cause certaines associations féministes. Si le drame qui s’est produit le 7 octobre à l’encontre des femmes s’était produit ailleurs, est-ce que les réactions auraient été plus fortes ? Malheureusement, je crains que ça aurait pu être le cas. »
« Si Mme Bergé pense que la priorité aujourd’hui c’est de faire ça [supprimer les subventions à des associations féministes], je trouve ça pathétique », a déclaré Manuel Bompard, coordinateur national de La France insoumise, interrogé à ce sujet lundi sur Europe 1.
Alors que son parti est critiqué en raison du refus de plusieurs de ses membres de qualifier le Hamas d’organisation terroriste au lendemain de l’attaque, il a affirmé : « Le silence est maintenant signe d’ambiguïté, c’est ça ? » « Je n’ai jamais vu aucune des associations féministes ne pas condamner » les violences sexuelles qui ont été commises le 7 octobre et qui sont en train d’être documentées, a-t-il poursuivi, apportant son soutien aux associations féministes.
Non mais quand tu est payé pour émanciper les femmes, n'est-ce pas cela que tu devrais combattre?
Les élèves masculins obtiennent très tôt de meilleurs résultats sur des exercices simples comme l'addition.
Il n'est pas rare d'entendre que les filles ont davantage de facilités dans les matières littéraires et que les garçons sont, eux, plus doués pour les matières scientifiques. A raison ? Selon une étude publiée le 24 janvier dernier par l'Institut des politiques publiques (IPP), les filles décrochent dans cette matière dès le milieu de la première année d'école primaire alors qu'elles ont un niveau équivalent à celui des garçons en mathématiques à leur entrée en cours préparatoire (CP).
Pour mener cette étude, l'équipe de l'IPP a travaillé à partir des évaluations nationales standardisées. Il s'agit de tests de français et de mathématiques administrés à tous les écoliers à l'entrée en primaire, puis en milieu de CP et, enfin, à l'entrée en CE1. Au total, 2,5 millions d'enfants entre 2018 et 2022 ont été testés. "Les exercices évalués ne couvrent pas tout le programme, mais sont sélectionnés afin de tester certaines compétences en mathématiques (additionner, résoudre des problèmes...) et en français (écrire des syllabes, lire un texte à voix haute...), et pour chaque exercice des seuils de difficulté sont définis afin de repérer les élèves en difficulté", précise l'étude.
Pour chaque année, les élèves entrant en CP ont été classés en fonction de leurs résultats aux tests, avant de vérifier. Leur progression ou recul dans ce classement ont ensuite été vérifiés en milieu d'année puis à l'entrée en CE1. L'étude remarque que, pour le français, les filles ont un avantage dès le début, mais que celui-ci est un peu moins marqué en CE1. En revanche, pour les mathématiques, elles perdent du terrain dès la mi-parcours et jusqu'à l'entrée en CE1. Cette baisse du niveau s'observe aussi bien dans les écoles publiques que privées, et ce sur l'ensemble du territoire. Les facteurs sociaux n'expliquent pas non plus ce décrochage : les enfants issus de milieux favorisés sont également concernés.
Concrètement, l'écart en mathématiques apparaît lors de la deuxième évaluation, qui a lieu au milieu de l'année de CP, au mois de janvier. Les filles perdent alors 2,7 rangs par rapport aux garçons. Un écart qui se creuse lors de la dernière évaluation, qui se déroule à l'entrée au CE1, en septembre. Les garçons arrivent alors en moyenne 5,8 rangs devant les filles. "Par rang, il faut entendre le classement relatif d'un élève par rapport aux autres élèves qui ont passé la même évaluation", explique au Figaro Étudiant Joyce Sultan, co-auteure de l'étude.
Dans le détail, l'avantage des garçons passe de 1 à 3 rangs pour la résolution des problèmes entre le milieu du CP et le début du CE1. Pour les soustractions, il passe de 1 à 6 rangs. Mais c'est pour les additions que l'écart entre garçons et filles est le plus important. En milieu de CP, l'avantage des garçons est de moins d'un rang. Il monte à 7 rangs à l'entrée en CE1. Sans facteur biologique ou génétique expliquant ce décrochage aussi soudain que général, la note "interroge sur le poids des stéréotypes de genre qui pèsent sur les élèves", et "suggère que ceux-ci se diffusent tôt et très largement dans la société".
Henda a dit avec justesse la raison de la conclusion. Pour éviter les controverses.
Ok.
Nos impôts, notre dette, notre contribution à l'UE. Qui est accaparée par des gauchiasses qui se cooptent et mettent en oeuvre la destruction de la civilisation française qu'ils détestent.
Macron et l'UE sont des gauchistes au faux nez car c'est eux qui financent tour ces finks et assoc. avec Nos impôts
Le Dr Nitzan Gonen, est au courant des moqueries suscitées par son travail, mais elle est prudemment optimiste quant au fait que les testicules artificiels pourront aider les hommes stériles
https://www.theguardian.com/uk-news/202 ... in-carrenoCat killer guilty of murdering stranger as he walked home in Oxford
Scarlet Blake, 26, brutally attacked Jorge Martin Carreno, 30, and left him to drown in July 2021
..
A woman who livestreamed herself killing, dissecting and blending the body of a cat before brutally attacking a man and leaving him to drown to death in a river months later has been convicted of murder.
Prosecutors said Blake, who is transgender, killed the BMW worker, who was a stranger to her, because she had a “fixation with violence and with knowing what it would be like to kill someone”.
sauf qu'ils font erreur dans l'article, c'est un homme trans, pas une femme trans, son nom d'origine est Alice Wang c'est d'ailleurs précisé.WolfgangK a écrit : ↑26 févr. 2024, 11:50Les femmes peuvent être sacrément violentes et sadiques :https://www.theguardian.com/uk-news/202 ... in-carrenoCat killer guilty of murdering stranger as he walked home in Oxford
Scarlet Blake, 26, brutally attacked Jorge Martin Carreno, 30, and left him to drown in July 2021
..
A woman who livestreamed herself killing, dissecting and blending the body of a cat before brutally attacking a man and leaving him to drown to death in a river months later has been convicted of murder.
Il faut lire un peu plus pour comprendreProsecutors said Blake, who is transgender, killed the BMW worker, who was a stranger to her, because she had a “fixation with violence and with knowing what it would be like to kill someone”.
wef a écrit :You'll own nothing. And you'll be happy
La personne que vous accusez d'avoir commis une diffamation à votre égard peut se défendre en soutenant que les faits sont vrais et en proposant d'apporter les preuves.
La justice peut accepter sa demande sous certaines conditions.
La preuve de la vérité des faits doit être totale, parfaite, complète et liée aux imputations diffamatoires dans toute leur portée, pour que la juridiction répressive prononce la relaxe.
Des collectifs non représentatif, relayés par des médias, des leaders d'opinion, des artistes et des juges payés par l'état pour intimider toute parole dérangeant sa dox ?
Je me demande comment Sardine et ses copines d'LFI vont déconstruire les talibans.Journée internationale des droits des femmes : l’islamisme est la principale menace qui pèse sur l’émancipation féminine
TRIBUNE. La droite s’est souvent montrée à l’avant-garde des combats pour la cause des femmes et elle ne faiblira pas face à la montée de l’islamisme, principale menace des droits des femmes.
[bilan de la droite en faveur des femmes...]
L'islamisme, une menace pour les droits des femmes
Mais il doit aussi se poursuivre face à la principale menace qui pèse aujourd'hui sur les droits des femmes : l'islamisme.
Cette menace n'est pas un fantasme théorique. Elle se déploie aujourd'hui dans nos pays comme elle s'est déployée, hier, dans les pays musulmans, où elle a provoqué un désastre sans précédent pour les droits des femmes.
La Turquie d'Atatürk n'était pas la Turquie d'Erdogan. L'Afghanistan du roi Mohammed Zaher Shah n'était pas l'Afghanistan des talibans. La Tunisie de Bourguiba n'était pas la Tunisie de Kaïs Saied. L'Iran du Shah n'était pas l'Iran des mollahs.
[...]
Symbole suprême de ce recul obscurantiste, l'éducation des jeunes filles a dramatiquement reculé dans les pays soumis au règne des islamistes. Depuis le retour des talibans, en 2021, ce recul est particulièrement spectaculaire en Afghanistan.
Le port du voile et la répression de celles qui s'en émancipent s'intensifient également, tout particulièrement en Iran, où, le 20 septembre dernier, une nouvelle loi est venue renforcer l'appareil répressif, deux ans après la mort de Mahsa Amini, tuée par la police des mœurs pour ne pas avoir porté le hidjab.
Nous le disons avec force : l'islamisme est aujourd'hui la principale menace qui pèse sur l'émancipation féminine.
Je suppose que ça fait marrer et ricaner Pangloss (qui n'a peut être ni femme ni fille ni petite fille)Marion Maréchal a écrit :« Touche pas à ma fille » : Marion Maréchal et 1 000 Françaises alertent sur le recul de la sécurité des femmes
Dans la nuit du 23 au 24 février, dans le 18e arrondissement de Paris, une femme de 27 ans était violée en pleine rue par un clandestin algérien sous OQTF, interpellé en flagrant délit par la police.
À peine une semaine plus tôt, dans une petite commune des Bouches-du-Rhône, c’était une femme de 82 ans qui était violée chez elle par un clandestin guinéen sous OQTF déjà condamné.
Des jeunes femmes ou des grands-mères, dans les grandes villes ou des villages ; il serait douloureux d’égrener les agressions sexuelles commises par des migrants clandestins sous le coup d’une Obligation de quitter le territoire français. Le collectif féministe Némésis a ainsi recensé 46 femmes violées par un étranger déjà sous OQTF en 2023. Il ne s’agit ici que des viols ayant fait l’objet d’un écho médiatique, ce chiffre est donc probablement très en deçà de la tragique réalité.
Des chiffres existent, très officiels, ce sont ceux du Service statistique ministériel de la sécurité intérieure et ils sont effrayants. En France, entre 2012 et 2021, les violences sexuelles déclarées ont augmenté de 170 % !
La déléguée nationale du syndicat Unité SGP-Police, Linda Kebbab, évoquait récemment dans Le Point la surreprésentation des clandestins dans les viols dits « de prédation », où le violeur attaque une femme au hasard des opportunités. De fait, au-delà même des clandestins, en 2022, toujours selon les statistiques du ministère de l’Intérieur, 13 % des mis en cause pour violences sexuelles étaient étrangers, alors qu’ils ne représentent que 8 % des habitants de notre pays. Ainsi, les étrangers sont deux fois plus mis en cause pour des violences sexuelles que les Français ; les étrangers originaires du continent africain, trois fois plus.
S’agissant des agressions commises dans les transports, les chiffres sont encore plus édifiants. En Île-de-France, en 2019, 63 % des mis en cause pour violences sexuelles dans les transports en commun étaient étrangers… et 87 % des victimes françaises !
Et il ne s’agit pas d’un phénomène franco-français, loin s‘en faut, mais d’ampleur européenne. Là aussi, les statistiques officielles sont extrêmement claires. Elles sont même plus impressionnantes encore que chez nous, et révèlent sans doute une part de réalité française camouflée.
Observons donc. En Italie, 40 % des mis en cause pour viol sont étrangers. Les étrangers sont ainsi onze fois plus représentés que les Italiens. En Espagne, 42 % des mis en cause pour viol sont étrangers. Les étrangers sont ainsi huit fois plus mis en cause que les Espagnols. En Allemagne enfin, 37 % des mis en cause pour viol sont étrangers. Ils sont donc neuf fois plus représentés que les Allemands.
On ne peut évoquer les agressions sexuelles commises en Allemagne par des étrangers sans, bien sûr, penser à l’effroyable la nuit du 31 décembre 2015 au 1er janvier 2016 à Cologne, principalement, mais aussi dans d’autres villes allemandes. Cette nuit-là à Cologne, la police enregistrera un total de 1 088 plaintes, concernant 1 049 victimes. Sur les 153 personnes suspectées d’avoir commis des agressions, 103 étaient de nationalité marocaine ou algérienne, parmi lesquelles 68 demandeurs d’asile. „Wir schaffen das ! “, « Nous y arriverons ! » : c’est ce que répondait quelques mois plus tôt la chancelière allemande Angela Merkel à ses compatriotes inquiets de la crise migratoire et de sa politique irresponsable du Wilkommen. Les Allemandes agressées, violées, de Cologne, ne recevront jamais d’excuses.
Sami Abu-Yusuf, imam salafiste d’une mosquée de Cologne, s’était en revanche essayé à une explication, déclarant à la presse que « les filles étaient les responsables des événements de la Saint-Sylvestre, parce qu’elles étaient à moitié nues et qu’elles portaient du parfum ». Précisant ses propos, il ajoutait : « Pour certains Africains du Nord, il s’agissait là d’une incitation à les toucher. »
Cet islamiste faisait là un aveu terrifiant : oui, derrière les « viols de Cologne », il y avait bien une dimension culturelle, civilisationnelle ! Oui, cette nuit d’horreur était largement le résultat de la confrontation entre des jeunes femmes européennes « qui portaient du parfum », et n’étaient pas assez couvertes, et des hommes musulmans y voyant « une incitation à les toucher ». Puisque la charia vestimentaire n’était pas respectée, alors tout était permis… La culture du viol si souvent dénoncée par les féministes de gauche ne serait-elle pas là où elles feignent de l’ignorer ?
Interrogé 10 jours après dans le journal 20 minutes, le responsable d’une société privée gérant 40 % des centres d’accueil pour demandeurs d’asile en Norvège présentait la mise en place de « formations pour apprendre aux migrants les codes socioculturels qu’ils vont rencontrer dans leur nouvelle vie, dans ce nouveau pays dont les mœurs peuvent différer des leurs. » Derrière cet énoncé pudique, il oubliait de dire l’essentiel : ces cours ont été mis en place après une série de viols commis par des migrants à Stavanger, capitale norvégienne des hydrocarbures. « La Norvège entend, par ces cours, favoriser l’insertion d’hommes issus de sociétés patriarcales dans une Europe où les femmes sortent, boivent et festoient. » expliquait une autre responsable de ces formations à l’AFP.
Dans ces formations, pour éviter toute forme de stigmatisation des migrants, c’était toujours un Norvégien – Arne – qui jouait l’auteur d’une potentielle agression sexuelle à laquelle s’opposait un courageux Hassan, « un homme bien » selon les termes des formateurs.
Mais, ce déni ne frappe pas seulement la Norvège. Au Royaume-Uni, il a conduit les autorités à fermer les yeux sur une sordide affaire d’abus sexuels massifs sur des enfants.
« Dans un pays fier de son multiculturalisme, le viol de centaines de fillettes blanches par des Anglo-Pakistanais fait scandale. Mais comment expliquer l’omerta de la police et des officiels sur cette affaire qui dure depuis plus de quinze ans ? » s’interrogeait le journal féminin Marie-Claire à propos des viols survenus à Rotherham.
Rappelons les faits : 1 400 enfants de cette ville, âgés de 11 à 16 ans, ont été, entre 1997 et 2013, victimes de viols réguliers par des agresseurs décrits comme des hommes d’origine pakistanaise.
La police et les services sociaux savaient. Pourquoi ce terrible silence ? Pourquoi cette inaction coupable ? Pour ne pas stigmatiser !
Voilà où conduisent la haine maladive de soi et l’amour inconsidéré de « l’autre ».
À Telford, dans un dossier en tout point similaire, le think-tank Quilliam Foundation a estimé que 84 % des violeurs étaient originaires du sous-continent indien (alors qu’ils ne représentent que 7 % de la population du pays). De toutes les victimes, seulement trois n’étaient pas des adolescentes blanches…
De l’Espagne à la Norvège, des rues de Paris à celles de Cologne, partout la liberté et la sécurité des femmes reculent face à l’immigration massive et l’islamisation. Dans notre pays, des jeunes femmes comme des grands-mères sont violées chaque semaine par des hommes qui n’ont rien en commun avec nous, qui ne devraient jamais être entrés dans notre pays et auraient même dû en être expulsés, puisque sous le coup d’une OBLIGATION de quitter le territoire français.
Monsieur le Président de la République, en novembre 2019, vous aviez promis l’effectivité de 100 % des OQTF. Réalisez-vous combien de vies détruites, combien de vies volées, auraient été épargnées si vous aviez tenu votre promesse depuis lors ?
Monsieur le Président, alors qu’il n’y a jamais eu autant d’étrangers entrant dans notre pays (légaux, demandeurs d’asile, illégaux…), avez-vous conscience de la menace que représente cette folle politique d’immigration extra-européenne pour les femmes françaises ?
Monsieur le Président, à quoi bon célébrer une Journée de la Femme, si à chaque instant, nous vivons sous cette menace terrible, si à chaque instant nous devons trembler pour nos filles, nos mères ou nos grands-mères ?
Monsieur le Président, quand protégerez-vous enfin les filles et femmes de France ?
Autres points :