Jaime beaucoup quand c’est soigné.
Maintenant j’adore au naturel aussi.
Puis une femme déjà belle au naturel sans artifice c’est déjà génial je trouve. Ça dépend la situation.

Jaime beaucoup quand c’est soigné.

En général les hommes aiment le maquillage des yeux, pas de la bouche.


Attention, il y a un biais. Disons qu'à la base il y a 100 femmes et 100 hommes. 80% sont en couple, il reste donc 20 femmes et 20 hommes disponibles -> situation équilibrée. Maintenant si tu as 10 clandos mâles qui débarquent. On passe à 20 femmes disponibles pour 30 hommes, ce qui fait un déséquilibre de 50% pour 10% de clandos en plus.joe75012 a écrit : ↑28 févr. 2025, 20:10Je ne dirais pas que c'est un phénomène majeur pour l'instant, mais, en IDF, il y a de plus en plus de couples Homme noir/femme blanche.
Ça créer forcément un déséquilibre.
Par contre, je ne crois pas que ce soit des clando et immigrés récents qui vont avec les blanches. Ce sont plus des profils qui ont été élevés par le France. Donc, ce seront plus les gosses des clando/immigrés récents qui iront avec les blanches.


Détrompe toi, un jour j'ai embauché un clando (sans le savoir) pour poser qqs carrelages, quelle ne fut pas ma surprise quand je l'ai vu le soir se faire ramener en berline par une superbe blonde ~35 ans CSP++ !

Si elle a de la thune, elle n'a besoin au final que d'un démonte pneu.



C'est très souvent des blondes avec les noirs.

J'ajoute qu'amah, les sociétés occidentales sont juste chronologiquement en avance et que cette transformation anthropologique majeure est actuellement à l'oeuvre, à des stades divers, dans toutes les sociétés humainesDocument de synthèse : "Féminisme et transformation de la civilisation occidentale"
Thèmes principaux :
L'émancipation des femmes comme transformation sociétale majeure : Le document souligne que l'évolution du rôle des femmes est l'un des changements les plus importants de l'histoire occidentale, avec des conséquences profondes sur la société, l'idéologie, la culture, l'économie et la démographie.
La singularité occidentale du féminisme : Le document explore les raisons pour lesquelles le féminisme a pris une forme particulièrement intense en Occident, en mettant l'accent sur des facteurs historiques, religieux (le christianisme et son impact sur le mariage et la sexualité) et familiaux (la structure familiale nucléaire et bilinéaire).
La "matridominance idéologique" : L'ascension éducative et économique des femmes a conduit à une prédominance féminine dans certains domaines (éducation, médias, secteur public) et à une influence idéologique croissante, ce qui a des implications sur la culture et la politique.
La division sexuelle du travail et ses implications : Le document met en évidence une division du travail persistante entre les sexes, à la fois dans les économies modernes et dans les sociétés de chasseurs-cueilleurs, ce qui a des répercussions sur la structure de classe et les relations de genre.
L'impact sur la famille et la fertilité : L'émancipation des femmes a conduit à une baisse de la fertilité, à une évolution des modèles matrimoniaux (de l'hypergamie à l'hypogamie) et à de nouvelles formes de familles (par exemple, les familles monoparentales).
Le féminisme comme lutte des classes de genre : Le document suggère que le féminisme contemporain peut être interprété comme une lutte de classe entre les femmes des classes moyennes, qui dominent les professions de service, et les hommes des classes supérieures, qui conservent le pouvoir économique.
L'affaiblissement des identités collectives : L'émancipation des femmes a contribué à un affaiblissement des identités collectives (religieuses, nationales, de classe, etc.) au profit d'une plus grande importance accordée à l'identité individuelle.
Les tensions et paradoxes du féminisme : Le document explore les contradictions inhérentes au féminisme, comme la tension entre le désir d'égalité et le désir d'hypergamie, ou le décalage entre l'idéologie féministe et les choix de vie des femmes.
Les liens entre développement économique et genre : Le document établit des liens entre le niveau d'industrialisation, le niveau d'instruction et d'emploi des femmes, le taux de fécondité et le succès de l'idéologie progressiste dans différents pays.
Citations clés :
"Pour la première fois dans l'histoire, les femmes sont plus éduquées que les hommes dans un certain nombre de pays, et elles ont aussi souvent atteint la parité, ou du moins s'en approchent, sur le marché du travail."
"La domination féminine dans les professions considérées dans une division de classe standard comme professions intermédiaires, employés qualifiés, classe moyenne ou petite bourgeoisie, tandis que les hommes restent prévalents au sommet et au fond."
"Le féminisme de la troisième vague est la première version majeure de cette idéologie qui peut être considérée comme anti-homme dans son essence, et la raison en est la frustration du manque de progrès des femmes, qui dominent largement les institutions éducatives et productrices d'idéologie, dans leurs efforts pour pénétrer les échelons supérieurs de l'échelle socio-économique."
"Les hommes sont ainsi plus enclins à s'investir dans des identités collectives... Les femmes semblent beaucoup plus enclines à leur dissolution par leur attrait pour les courants idéologiques qui mettent l'accent sur l'identité individuelle."
"En raison de l'indépendance économique nouvellement acquise des femmes, combinée aux progrès technologiques en matière de procréation et de reproduction humaine, les pays occidentaux pourraient être les premiers de l'histoire de l'humanité à dépasser le couple humain en tant qu'unité d'organisation principale de la société."
Conclusion :
Le document propose une analyse complexe et nuancée de l'impact du féminisme sur la civilisation occidentale. Il souligne les progrès considérables réalisés en matière d'égalité des sexes, mais met également en évidence les tensions, les paradoxes et les conséquences imprévues de cette transformation. Il suggère que les sociétés occidentales sont confrontées à des défis démographiques et anthropologiques sans précédent, et que l'avenir des relations entre les sexes et de la famille est incertain.


Les latines n’ont jamais été ultra minces non plus. Il y a à manger dessus et c’est très bien mais la bascule vers du surpoids n’est jamais loin!



Vive l'Europe de l'Est et L'Asie (attention aux filipina qui mangent très mal par contre, je ne pense pas qu'elles soient terribles sur le long terme)kamoulox a écrit : ↑02 mars 2025, 11:57Les latines n’ont jamais été ultra minces non plus. Il y a à manger dessus et c’est très bien mais la bascule vers du surpoids n’est jamais loin!
À l’Est effectivement les grosses sont bien moins présentes. Il y en a mais largement moins qu’en Europe de l’Ouest

J'ai mis cette image pour faire sourire mais il paraît que les mexicains sont maintenant plus gros que les américains.

Duareg a écrit : ↑02 mars 2025, 13:21J'ai mis cette image pour faire sourire mais il paraît que les mexicains sont maintenant plus gros que les américains.

Tandis que les pays développés essaient de se reprendre, leurs charmantes multinationales font découvrir le "progrès au "tiers-monde"...joe75012 a écrit : ↑02 mars 2025, 13:27https://www.francetvinfo.fr/sante/alime ... SEv1ei2Z7O
"
18 janv. 2018 — Là-bas, chaque habitant boit en moyenne 160 litres de soda par an, et une bouteille coûte moins cher qu'un litre d'eau. Immersion dans ce pays ..."

Oui ça m avait choqué : aucune bouteille d' eau dans les caddies des mexicains : que des softs. Ou du lait aromatisé. Dans des très grosses bouteilles ou même des jerricans.joe75012 a écrit : ↑02 mars 2025, 13:27
Voila la cause :
https://www.francetvinfo.fr/sante/alime ... SEv1ei2Z7O
"
18 janv. 2018 — Là-bas, chaque habitant boit en moyenne 160 litres de soda par an, et une bouteille coûte moins cher qu'un litre d'eau. Immersion dans ce pays ..."

C'était en quelle année ?nanne02 a écrit : ↑02 mars 2025, 13:46Oui ça m avait choqué : aucune bouteille d' eau dans les caddies des mexicains : que des softs. Ou du lait aromatisé. Dans des très grosses bouteilles ou même des jerricans.joe75012 a écrit : ↑02 mars 2025, 13:27
Voila la cause :
https://www.francetvinfo.fr/sante/alime ... SEv1ei2Z7O
"
18 janv. 2018 — Là-bas, chaque habitant boit en moyenne 160 litres de soda par an, et une bouteille coûte moins cher qu'un litre d'eau. Immersion dans ce pays ..."
Et comme il fait chaud on boit beaucoup.
Les gosses sont blindés de sucreries aux couleurs chatoyantes.


Jvai vu le changement. C'est maintenant 1a 2% des effectifs dans nos promotion...




Thèses Fondamentales ? Lol. Ce ne sont que du jargonage existancialiste de sociologues gauchistes nihilistes, déniant le réel ; Cad de la folie. Ils font de leue cause effets et de leur effets la cause. J'ai donc zapé la vidéo


Ils ont fait un gros effort là dessus ces 20 dernières annéesManfred a écrit : ↑02 mars 2025, 17:38dans le même ordre d'idée, lors de mon petit périple en Europe de l'est il y a 20 ans (Prague et Moscou), la bière coutait moins cher que l'eau minérale. Sachant qu'à Moscou, l'eau du robinet n'était pas potable.
J'ai même vu dans le métro un couple faire boire de la bière (c'était en été) à un bébé pour le désaltérer.
Les russes ne sont pas gros, mais un peu alcoolos quand même...

certainement, mais les années 90 avaient été inhabituelles, de véritables années de suicide par la vodka dans une Russie déboussolée après l'effondrement de l'URSS.achillemo a écrit : ↑02 mars 2025, 17:44Ils ont fait un gros effort là dessus ces 20 dernières annéesManfred a écrit : ↑02 mars 2025, 17:38dans le même ordre d'idée, lors de mon petit périple en Europe de l'est il y a 20 ans (Prague et Moscou), la bière coutait moins cher que l'eau minérale. Sachant qu'à Moscou, l'eau du robinet n'était pas potable.
J'ai même vu dans le métro un couple faire boire de la bière (c'était en été) à un bébé pour le désaltérer.
Les russes ne sont pas gros, mais un peu alcoolos quand même...

Il me semble que la consommation avoisinant 1l de vodka par jour par homme de plus de 15 ans.pangloss a écrit : ↑03 mars 2025, 00:04certainement, mais les années 90 avaient été inhabituelles, de véritables années de suicide par la vodka dans une Russie déboussolée après l'effondrement de l'URSS.achillemo a écrit : ↑02 mars 2025, 17:44Ils ont fait un gros effort là dessus ces 20 dernières annéesManfred a écrit : ↑02 mars 2025, 17:38dans le même ordre d'idée, lors de mon petit périple en Europe de l'est il y a 20 ans (Prague et Moscou), la bière coutait moins cher que l'eau minérale. Sachant qu'à Moscou, l'eau du robinet n'était pas potable.
J'ai même vu dans le métro un couple faire boire de la bière (c'était en été) à un bébé pour le désaltérer.
Les russes ne sont pas gros, mais un peu alcoolos quand même...

Plus l'alcool frelaté qui aveuglait les buveurs....scandale des années 90 dans mes souvenirs.Boeuf1804 a écrit : ↑03 mars 2025, 01:14Il me semble que la consommation avoisinant 1l de vodka par jour par homme de plus de 15 ans.pangloss a écrit : ↑03 mars 2025, 00:04certainement, mais les années 90 avaient été inhabituelles, de véritables années de suicide par la vodka dans une Russie déboussolée après l'effondrement de l'URSS.achillemo a écrit : ↑02 mars 2025, 17:44Ils ont fait un gros effort là dessus ces 20 dernières annéesManfred a écrit : ↑02 mars 2025, 17:38dans le même ordre d'idée, lors de mon petit périple en Europe de l'est il y a 20 ans (Prague et Moscou), la bière coutait moins cher que l'eau minérale. Sachant qu'à Moscou, l'eau du robinet n'était pas potable.
J'ai même vu dans le métro un couple faire boire de la bière (c'était en été) à un bébé pour le désaltérer.
Les russes ne sont pas gros, mais un peu alcoolos quand même...
L’espérance de vie des hommes était tombée à 59 ans. Un suicide en effet.

Tu m'étonnes, entre ce qu'il mangeait il y a peu et l'arrivée massive de le bouffe de *Mot2Cambronne* US, la transition est rude.


Manfred a écrit : ↑02 mars 2025, 17:38dans le même ordre d'idée, lors de mon petit périple en Europe de l'est il y a 20 ans (Prague et Moscou), la bière coutait moins cher que l'eau minérale. Sachant qu'à Moscou, l'eau du robinet n'était pas potable.
J'ai même vu dans le métro un couple faire boire de la bière (c'était en été) à un bébé pour le désaltérer.
Les russes ne sont pas gros, mais un peu alcoolos quand même...

J'étais en Pologne en 97: 2 francs (équivalent) la pinte!Manfred a écrit : ↑02 mars 2025, 17:38dans le même ordre d'idée, lors de mon petit périple en Europe de l'est il y a 20 ans (Prague et Moscou), la bière coutait moins cher que l'eau minérale. Sachant qu'à Moscou, l'eau du robinet n'était pas potable.
J'ai même vu dans le métro un couple faire boire de la bière (c'était en été) à un bébé pour le désaltérer.
Les russes ne sont pas gros, mais un peu alcoolos quand même...

Je suis passé un mois au Mexique en 2010, je confirme.

Tu peux aller encore plus vite en lui fournissant du fentanyl...

Comme l'Opium pendant les guerres de l'Opium avec la Chine

Oui, et la Chine n'a pas oublié...



Je ne sais pas chez nous ça a toujours été une évidence.nanne02 a écrit : ↑05 mars 2025, 19:40A 20 ans je suis pas certaine que le projet de fonder une famille, soit très présent dans l esprit de la majorité des jeunes hommes.
Et l esprit de la majorité des jeunes femmes, éviter les grossesses non désirées, est sans doute un soucis bien réel ! Malgré la pilule toussa...

Moi j’en voulais pas. Puis arrivé à la quarantaine j’en veux. Madame non. J’ai compris qu’il fallait prendre un autre cheminBoeuf1804 a écrit : ↑05 mars 2025, 20:30Je ne sais pas chez nous ça a toujours été une évidence.nanne02 a écrit : ↑05 mars 2025, 19:40A 20 ans je suis pas certaine que le projet de fonder une famille, soit très présent dans l esprit de la majorité des jeunes hommes.
Et l esprit de la majorité des jeunes femmes, éviter les grossesses non désirées, est sans doute un soucis bien réel ! Malgré la pilule toussa...
On a fait le premier enfant dès qu’on a été en mesure de l’assumer.
Je n’ai jamais regretté ce choix.



Tu as la chance d'être un homme et de pouvoir prendre une plus jeune pour ce faire.kamoulox a écrit : ↑05 mars 2025, 20:48Moi j’en voulais pas. Puis arrivé à la quarantaine j’en veux. Madame non. J’ai compris qu’il fallait prendre un autre cheminBoeuf1804 a écrit : ↑05 mars 2025, 20:30Je ne sais pas chez nous ça a toujours été une évidence.nanne02 a écrit : ↑05 mars 2025, 19:40A 20 ans je suis pas certaine que le projet de fonder une famille, soit très présent dans l esprit de la majorité des jeunes hommes.
Et l esprit de la majorité des jeunes femmes, éviter les grossesses non désirées, est sans doute un soucis bien réel ! Malgré la pilule toussa...
On a fait le premier enfant dès qu’on a été en mesure de l’assumer.
Je n’ai jamais regretté ce choix.


Elle en a peut être envie aussi ? Il y a des femmes qui ont la fibre maternelle.