Pourquoi parler au passé ?
Les expats peuvent voter et je suis sûr qu'on peut faire confiance à notre bœuf pour continuer à nous couler et avec encore moins d'hésitations après avoir quitté le navire.
Pourquoi parler au passé ?
Oulà je t’arrête tout de suite mon jeune ami. Je ne suis responsable de rien (et je continuerai à voter LFI depuis l’étranger). Mes poulains n’ont jamais été élus.Indécis a écrit : ↑04 mars 2024, 22:49Est-ce que tu te rends compte de ta responsabilité dans ce désastre ?Boeuf1804 a écrit : ↑04 mars 2024, 22:38Ça pour être choisie elle est choisie.Ben92 a écrit : ↑04 mars 2024, 21:44Et pourquoi crois tu que les travailleurs qualifiés comme ta femme et toi vivent beaucoup mieux au Canada qu'ici ?
Je vais te répondre : parce que la bas il y a beaucoup moins d'argent public dilapidé pour éduquer les pauvres, pour soigner les pauvres, et pour subventionner toutes sortes de conneries sociales comme en France. Parce que là-bas l'immigration est choisie , afin de faire venir des travailleurs migrants qui sont utiles aux besoins de main d'oeuvre du pays. Parce que là-bas les damnés de la terre qui tenteraient de s'incruster pour profiter du système social sont refoulés à coups de pompe.
Actuellement ils me demandent mes notes du lycée…(que je n’ai plus, j’ai écrit au lycée). On a dû montrer patte blanche sur plein de points et envoyer tout un tas de papiers, certifiés au préalable (heureusement madame garde tout depuis notre rencontre au lycée). Toutes nos notes et diplômes, les résultats de tests de français et d'anglais. Des preuves comme quoi on a un peu de sous. Actes de naissance etc…
Bref c’est madame qui gère mais ils vérifient absolument tout ce qu’on déclare. On a été 100% transparents donc pas de souci mais ça doit écrémer pas mal
Tu as voté pour un système qui a fait que maintenant tu fuis les résultats de ton vote et de ton idéologie...
Ah par contre si tu pouvais t'abstenir, j'avoue que ça m'arrangerais aussi.
wef a écrit :You'll own nothing. And you'll be happy
Effectivement...
Tu ne te rends pas compte à quel point ton post me déprime.
Mais non, c'est la faute de la Macronie!Indécis a écrit : ↑04 mars 2024, 23:03Tu ne te rends pas compte à quel point ton post me déprime.
Etre aveugle à ce point... me fait dire qu'il n'y a rien à espérer pour la France.
+1Indécis a écrit : ↑04 mars 2024, 23:03Tu ne te rends pas compte à quel point ton post me déprime.
Etre aveugle à ce point... me fait dire qu'il n'y a rien à espérer pour la France.
C'est pas faux. C'est la macronnie qui a tous les pouvoirs... ou/et qui a nommé, soutient et "assume" les autres pouvoirs (grands juges, UE, ONG, merdia mainstream...) qui aident leur agenda.Sifar a écrit : ↑04 mars 2024, 23:10Mais non, c'est la faute de la Macronie!Indécis a écrit : ↑04 mars 2024, 23:03Tu ne te rends pas compte à quel point ton post me déprime.
Etre aveugle à ce point... me fait dire qu'il n'y a rien à espérer pour la France.
Oui, comme les USA je pense.
Ils t'ont demandé aussi ton nombre de doses Pfizer?Boeuf1804 a écrit : ↑04 mars 2024, 22:38Ça pour être choisie elle est choisie.Ben92 a écrit : ↑04 mars 2024, 21:44Et pourquoi crois tu que les travailleurs qualifiés comme ta femme et toi vivent beaucoup mieux au Canada qu'ici ?
Je vais te répondre : parce que la bas il y a beaucoup moins d'argent public dilapidé pour éduquer les pauvres, pour soigner les pauvres, et pour subventionner toutes sortes de conneries sociales comme en France. Parce que là-bas l'immigration est choisie , afin de faire venir des travailleurs migrants qui sont utiles aux besoins de main d'oeuvre du pays. Parce que là-bas les damnés de la terre qui tenteraient de s'incruster pour profiter du système social sont refoulés à coups de pompe.
Actuellement ils me demandent mes notes du lycée…(que je n’ai plus, j’ai écrit au lycée). On a dû montrer patte blanche sur plein de points et envoyer tout un tas de papiers, certifiés au préalable (heureusement madame garde tout depuis notre rencontre au lycée). Toutes nos notes et diplômes, les résultats de tests de français et d'anglais. Des preuves comme quoi on a un peu de sous. Actes de naissance etc…
Bref c’est madame qui gère mais ils vérifient absolument tout ce qu’on déclare. On a été 100% transparents donc pas de souci mais ça doit écrémer pas mal
wef a écrit :You'll own nothing. And you'll be happy
Donc tu pars quand ?Hickson49 a écrit : ↑05 mars 2024, 09:51Pour critiquer le Canada en habitant en France, il faut quand meme en tenir une couche (ou vivre completement hors-sol, dans une societe parallele, comme nos politiques).
Au Canada, il y a de l'aluminium, cuivre, fer, nickel, or, uranium, titane, zinc, petrole, diamant, bois...et biensur de l'hydroélectricité a foison. Le niveau d'education de l'immigration est en moyenne tres, tres tres largement superieur a ce que la poubelle demographique France accepte. On est vraiment a des annees lumieres, Boeuf en donne un bon apercu. Certes, les GAFAM ne sont pas tres present au canada, mais le niveau de la recherche en IA y est tres eleve, en particulier a Montreal.
Les deux seuls truc qui sont critiquables au Canada ce sont, la politique, qui est devenue vraiment autoritaire pendant le covid, mais ca semble revenir a la normale, et... le cout de l'immo. Mais la hausse a accompagne la fievre economique, et la position extremement favorable dans laquelle se situe le pays, qui est reconnue dans le monde entier (qui veut y investir d'ailleurs).
En France, on a le cout de l'immo, mais une structure economique absolument degueulasse, et tous les gens un peu doues qui n'y possedent pas/peu d'immo s'enfuient des qu'ils le peuvent.
Je serais parti deja il y a bien longtemps si je n'avais pas certaines contraintes familiales. A defaut, comme deja mentionne plusieurs fois ici je fais tout pour qu'elle quitte l'education nationale, elle fourni un travail/niveau d'enseignement tres largement au dessus de ce qu'on peut raisonnablement attendre pour un salarie a 1.4 smic. Ca veut dire qu'il y a deja trop d'enseignants, et donc qu'il faut suivre la marche du liberalisme et s'orienter vers des metier plus en tension et beaucoup plus remunerateur comme concierge airBnB par exemple.
wef a écrit :You'll own nothing. And you'll be happy
Faut lire l’article. Il s’agit d’AVE, cad des migrants autorisés et donc plus ou moins choisis. D’ailleurs l’immigration de marocains, c’est la plus haut de gamme que parvient notre pays-poubelle à attirer (bcp de diplômés ou même d’étudiants qui paient plein pot leur études à HEC etc…)berliner59 a écrit : ↑05 mars 2024, 11:08https://fr.hespress.com/355139-maroc-ca ... -lave.html
25000 marocains en deux ans. Pour Boeuf ils lui demandent s'il mange bien son quinoa, mais je ne pense pas pour eux. Même cause, même problème, ils auront rattrapé la France dans 10 ans
J'y suis allé en toutes saisons à Montréal pendant 4 ans, l'hiver à -30 il faut aimer, quand il fait -10 il fait chaud .....nanne02 a écrit : ↑05 mars 2024, 10:09Une des spécialités françaises c est le sens critique, on peut pas s en empêcher. Ça doit être une caractéristique génétique ?
Le Canada pour l instant échappe à l invasion démographique, seulement leurs frontières ne sont pas physiquement étanches, peut etre que les flux migratoires qui actuellement se déversent aux US finiront par atteindre le Canada ?
Les passeurs ont beaucoup d imagination et de plus en plus de moyens, c est un business de plus en plus organisé.
Amusant ce comparatif, -30, -40 c'est assez dissuasif pour les camps de migrants et l'habitat précaire.
De mémoire : le homard n'était pas cher...Remarque :
Le vin va coûter très cher au restaurant lorsqu’il est disponible sur la carte. Parfois, certains restaurants sont dits «Apportez votre vin». Vous pourrez dans ce cas amener une bouteille de vin que vous aurez achetée au préalable. Une bonne solution pour payer moins cher… le même vin finalement!
=> refroidissement climatiqueÀ quelques jours d’une vague de froid polaire qui fera descendre le mercure aux alentours de -30 °C, avec un ressenti estimé de -40 °C
....
Rappelons que Montréal pourrait battre un record vieux de 19 ans dans la nuit de vendredi à samedi, une température pouvant descendre sous la barre des -30 °C étant annoncée.
L'équivalent de 50k euros par an. Absolument impensable pour un professeur des écoles même en zone tendue et mondialisée ici bas.Boeuf1804 a écrit : ↑06 mars 2024, 08:02Bon on a eu le contrat de madame. Ils ne comptent que la moitié de son expérience (parce qu’elle a toujours été à mi-temps) ce qui donne un salaire de 74kCAD brut annuels soit un peu plus de 4kCAD par mois après impôts (là c’est un temps plein).
C’est pas fou mais c’est beaucoup mieux qu’ici. Présentement elle touche tout juste 1000€/mois à mi-temps.
wef a écrit :You'll own nothing. And you'll be happy
Surtout dans 4 à 5 ans elle sera à 92kCAD. Dommage que le mi-temps ne permette de valider que la moitié de l'XP.Hickson49 a écrit : ↑06 mars 2024, 08:37L'équivalent de 50k euros par an. Absolument impensable pour un professeur des écoles même en zone tendue et mondialisée ici bas.Boeuf1804 a écrit : ↑06 mars 2024, 08:02Bon on a eu le contrat de madame. Ils ne comptent que la moitié de son expérience (parce qu’elle a toujours été à mi-temps) ce qui donne un salaire de 74kCAD brut annuels soit un peu plus de 4kCAD par mois après impôts (là c’est un temps plein).
C’est pas fou mais c’est beaucoup mieux qu’ici. Présentement elle touche tout juste 1000€/mois à mi-temps.
Bon avec l'inflation sur la bouffe et les loyers, le démarrage sera peut être un peu raide, mais clairement les chances d'améliorer son niveau de vie là bas, et donner plus de chance à ses enfants seront largement supérieures à tout ce que tu pourras trouver en France.
Côté salaire de ton côté je pense que l'écart sera rapidement encore plus significatif.
Peu probable, Il sont sur la voie de la médiocrité et de l'irrationnel .... régime fasciste woke illuminé
lycées•Le besoin d’harmoniser les notations en contrôle continu est à nouveau souligné par un rapport. Les profs n’y sont pas favorables, les parents s’interrogent et l’Etat invite à ne pas focaliser sur les notes
L'essentiel
Les notes obtenues lors des épreuves de spécialité au bac ne compteront pas dans Parcoursup cette année. Seules celles du contrôle continu seront retenues.
Cette situation ravive le débat sur les différences de notation entre professeurs et entre lycées.
Le comité éthique et scientifique de Parcoursup recommande d’harmoniser les notations à l’échelle nationale dans l’intérêt des candidats.
Elle est entrée dans les mœurs mais fait encore frémir la plupart des lycéens. Six ans après son lancement, la plateforme Parcoursup, qui gère les vœux d’enseignement supérieur des futurs étudiants, s’est « indéniablement améliorée », considère le tout dernier rapport du comité éthique et scientifique de Parcoursup (CESP), instance indépendante qui évalue chaque année la procédure. Plusieurs problèmes sont toutefois pointés du doigt, en particulier celui de l’harmonisation des notations de contrôle continu, les différences de notation entre professeurs et entre lycées créant une « iniquité » entre les candidats, selon le rapport.
Ce sujet prend davantage d’importance cette année puisque les épreuves écrites de spécialités du bac, qui se dérouleront non plus en mars mais en juin, ne seront pas prises en compte dans les dossiers Parcoursup. « Les dossiers examinés par les commissions d’examen des vœux en 2024 ne comporteront donc que des notes en contrôle continu », relève le CESP. Le point.
Y a-t-il vraiment des différences de notation ?
Oui, et « c’est le principe même de l’évaluation qui veut ça », répond Claire Guéville, secrétaire nationale du syndicat d’enseignants Snes-FSU. « Une évaluation est liée à un contexte, à un groupe d’élèves, à leur progression. Elle relève de la liberté pédagogique de l’enseignant. Le contrôle continu est un outil du quotidien mais on en a fait un instrument de sélection pour Parcoursup. C’est ça le souci et c’est un désaccord profond », explique la syndicaliste et prof. « On comprend que les enseignants revendiquent leur liberté de notation, mais face à Parcoursup, ça pose la question de l’équité », fait valoir Ghislaine Morvan-Dubois, administratrice nationale de la Fédération des conseils de parents d’élèves (FCPE).
Certains lycées, en particulier les plus prestigieux, ont ainsi la réputation persistante de noter sévèrement, tandis que d’autres auraient tendance à surnoter favorablement leurs élèves. « Même si c’est de moins en moins vrai, il subsiste des écarts de notation majeurs entre lycées, qui sont liés à la culture d’établissement, souligne Ghislaine Morvan-Dubois. Certains ont des écarts de deux points entre leurs moyennes à l’année et les notes au bac. » « Je ne suis pas convaincu qu’il existe de tels décalages aujourd’hui », nuance Olivier Beaufrère, secrétaire national du SNPDEN-Unsa, le principal syndicat des chefs d’établissement.
Veuillez fermer la vidéo flottante pour reprendre la lecture ici.
Que font les établissements et élèves face aux différences de notation ?
Depuis 2021, un travail sur la question de l’harmonisation des pratiques d’évaluation a été engagé par le ministère de l’Education nationale à l’échelle de chaque établissement, explique Jérôme Teillard, le chef de projet Parcoursup pour le ministère de l’Enseignement supérieur. « Avec le déplacement des épreuves de spécialité en juin, le ministère a également transmis aux proviseurs les différences éventuelles entre les notes de contrôle continu et les notes d’épreuves finales, pour que chaque lycée puisse comparer ses différences et travailler dessus dans le cadre du projet d’évaluation. Cela ne se faisait pas auparavant. » Des réunions d’harmonisation ont aussi lieu entre équipes éducatives, tandis que les contrôles communs à plusieurs classes se développent.
Les élèves, eux, tentent parfois une stratégie dès le choix du lycée. « Certains bons élèves se disent aujourd’hui qu’il vaut mieux exceller dans un lycée moins côté plutôt que de se retrouver en concurrence dans un lycée plus élitiste », observe la FCPE. Du côté des enseignants, on relève que « la remise en cause de la notation » par les adolescents et, surtout, par leurs parents, est beaucoup plus présente qu’avant. « Ils s’inquiètent d’être lésés par rapport à Parcoursup et une mauvaise note peut être facilement mal vécue et contestée », déplore Claire Guéville.
Comment harmoniser la notation à l’avenir ?
Dans son dernier rapport, le comité éthique et scientifique de Parcoursup recommande de « construire et diffuser des banques d’épreuves standardisées » pour le contrôle continu des lycées et de « former les enseignants à les utiliser pour noter leurs élèves de façon plus harmonisée dans les dossiers Parcoursup ». « Les épreuves standardisées, c’est du management, une manière de brider les pratiques pédagogiques, le cœur même du métier d’enseignant », critique Claire Guéville du Snes-FSU. Pour son syndicat, la solution passe par « redonner de l’importance à l’examen national et abandonner le contrôle continu. La meilleure boussole c’est un objectif commun qui évalue l’ensemble des disciplines, pas seulement celles dont les élèves ont choisi la spécialité ».
La FCPE n’est pas davantage convaincue par l’idée d’épreuves standardisées. « Si on a des épreuves communes en cours d’année, ça revient à faire un bac avant le bac », commente Ghislaine Morvan-Dubois. « Il vaudrait mieux revoir le calendrier et intégrer le baccalauréat dans Parcoursup. Ça n’est pas insurmontable. Si ce n’est pas possible, il faudrait pouvoir pondérer les notes en fonction des cultures d’établissement, puisque les lycées d’origine ne sont pas anonymes dans les dossiers Parcoursup. » « Ça va être difficile, voire impossible, d’uniformiser le système de notation mais on peut faire mieux », estime Olivier Beaufrère, du SNPDEN-Unsa. Selon lui, les établissements ont déjà « avancé » sur le sujet de l’harmonisation et ils ont désormais besoin de stabilité. « On n’a jamais eu les mêmes épreuves terminales de bac depuis cinq ans. Les règles changent quasiment tous les ans. »
Les notes sont-elles aussi importantes que ça dans la sélection de Parcoursup ?
Elles « ont une importance prépondérante », considère la FCPE, sur la base du retour des familles. « Les appréciations, le dossier scolaire, devraient être tout autant pris en compte. Mais les commissions de classement ne dévoilent pas leur cuisine interne. J’ai le sentiment que ce qui domine, ce sont avant tout les notes », juge également Claire Guéville, la secrétaire nationale du Snes-FSU. Un argument balayé avec insistance par le responsable de la plateforme Parcoursup. « Il n’y a pas que les notes, assure Jérôme Treillard. On focalise beaucoup sur les notes mais il faut relativiser. Dans le dossier, il y a d’autres éléments pris en compte, comme le positionnement de l’élève dans son groupe, les appréciations pédagogiques, l’avis du proviseur, les trajectoires entre la première et la terminale… Ce sont des éléments très importants pour les formations post-bac qui examinent les dossiers. »
D’une manière générale, Jérôme Teillard appelle à « dédramatiser » la sélection de la plateforme. « Il y a 95 % des lycéens qui reçoivent au moins une proposition. Et en moyenne ils en ont entre cinq et six. A l’exception de certaines formations très sélectives, il y a quand même beaucoup de formations sur Parcoursup qui accueillent très largement les candidatures. »
wef a écrit :You'll own nothing. And you'll be happy
L'Etat fait n'importe quoi sur ce sujet comme sur tant d'autres, espérant éviter une fuite plus grande de ses électeurs vers le RN.Ardoise a écrit : ↑08 mars 2024, 16:37Dans les FAC le droit d'être voilée .
Dans les IUT je ne sais pas mais je pense que oui
En prépa et en BTS elles n'auraient pas le droit car c'est dans les enceintes des lycées ?
Je ne comprends pas bien le raisonnement de l'Etat ?
Quelqu'un peut -il me renseigner ?
Pooteen président !Shermann a écrit :It's a jungle out there : 978-2412019689
Aucune idée de la loi exacte, on peut supposer que dans le supérieur les étudiants sont majeurs en général et ont une "liberté" de conscience. Une autre raison est peut être qu'à l'époque des premières loi sur le voile, on ne trouvait aucune voilée dans le supérieur, et ensuite on s'est dit que ça serait bien d'accueillir des étudiants/enseignants étranger voilés.Ardoise a écrit : ↑08 mars 2024, 16:37Juste une Question sur l'égalité, c'est le journée de la femme après tout.
Toutes ces femmes ont leur BAC et plus de 18 ans .
Dans les FAC le droit d'être voilée .
Dans les IUT je ne sais pas mais je pense que oui
En prépa et en BTS elles n'auraient pas le droit car c'est dans les enceintes des lycées ?
Je ne comprends pas bien le raisonnement de l'Etat ?
Quelqu'un peut -il me renseigner ?
wef a écrit :You'll own nothing. And you'll be happy
Pour commencer, je te conseille la lecture de cet article:Ardoise a écrit : ↑08 mars 2024, 16:37Juste une Question sur l'égalité, c'est le journée de la femme après tout.
Toutes ces femmes ont leur BAC et plus de 18 ans .
Dans les FAC le droit d'être voilée .
Dans les IUT je ne sais pas mais je pense que oui
En prépa et en BTS elles n'auraient pas le droit car c'est dans les enceintes des lycées ?
Je ne comprends pas bien le raisonnement de l'Etat ?
Quelqu'un peut -il me renseigner ?
Effectivement la loi ne concerne que écoles, collèges, lycée, publics car ces établissements accueillent principalement des élèves mineurs dont ils ont la responsabilité. Les enseignants et proviseurs consacrant de plus en plus de temps à gérer des situations conflictuelles avec des familles pour de multiples motifs, cette loi était nécessaire pour clarifier une situation ingérable au cas par cas.Comme souvent, c’est lorsque cela concerne les enfants, qu’un sujet a de fortes chances de devenir explosif. A la rentrée de 1989, trois collégiennes sont exclues de l’établissement Gabriel-Havez de Creil pour avoir refusé d’enlever leur voile au nom de leur religion. Le principal du collège estimait que le port du voile était incompatible avec le principe de laïcité. Face au vide juridique qui entoure cette question du port du voile à l’école, le ministre de l’Education de l’époque, Lionel Jospin saisit le Conseil d’Etat.
Dans une décision rendue quelques semaines plus tard, le Conseil indique que le port du voile islamique n’est pas incompatible avec le principe de laïcité et que l’exclusion du collège « ne serait justifiée que par le risque d’une menace pour l’ordre dans l’établissement ». Lionel Jospin publie par la suite une circulaire stipulant que ce sont aux enseignants d’accepter ou de refuser le voile en classe.
Loi de 2004 : Interdiction du port de signes religieux ostensibles à l’école
Durant les années 90, plusieurs dizaines de jeunes filles seront exclues de lycées publics. Malgré deux autres circulaires ministérielles, les proviseurs sont les seuls décisionnaires et font du cas par cas. Afin de faire respecter le principe constitutionnel d’égalité devant la loi, Jacques Chirac décide en décembre 2003 de légiférer sur cette question. Il installe le médiateur de la République, Bernard Stasi à la tête d’une commission pour préparer un texte. La loi qui interdit tout port de signe religieux ostensible à l’école est votée le 15 mars 2004.
Le texte interdit « le port de signes ou tenues par lesquels les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse » dans les écoles, collèges et lycées publics. Une circulaire précise par ailleurs que les signes visés sont « le voile islamique, quel que soit le nom qu’on lui donne, la kippa, ou une croix de taille manifestement excessive ». Les signes religieux discrets demeurent toutefois autorisés.
vous avez déjà mis les pieds à l'étranger plus de quelques semaines ? Parce que vous avez ce discours type de celui qui ne comprend pas l'existence des différences ou la complexité des concepts, comme ceux qui mélangent bénéfice et chiffre d'affaire en critiquant leur petit patron, ou qui pensent que ce sont les actionnaires des multinationales où ils travaillent qui se gavent par leurs dividendes et pas les membres du conseil d'administration, ou qui pensent que la valeur des actions provient de leur travail à eux...Boeuf1804 a écrit : ↑04 mars 2024, 17:34lol vu les conditions jamais un commando marine n'acceptera de faire ce job
Plus sérieusement on attend le contrat de madame mais on devrait avoisiner le double de ce qu'elle touche ici (on attend dans les 70kCAD vs 27k€, bruts annuels). Et ils ne trouvent tellement pas d'enseignants sur place qu'ils sont venus à Paris la recruter...
Déjà je pense qu'il va tomber des nues en réalisant que les gauchistes locaux sont plus à droite que nos libéraux.wasabi a écrit : ↑09 mars 2024, 15:33vous avez déjà mis les pieds à l'étranger plus de quelques semaines ? Parce que vous avez ce discours type de celui qui ne comprend pas l'existence des différences ou la complexité des concepts, comme ceux qui mélangent bénéfice et chiffre d'affaire en critiquant leur petit patron, ou qui pensent que ce sont les actionnaires des multinationales où ils travaillent qui se gavent par leurs dividendes et pas les membres du conseil d'administration, ou qui pensent que la valeur des actions provient de leur travail à eux...
Disons que je fais surtout référence au concept de l'africain du bled qui fantasme les salaires en France, pays de cocagne, où au minimum tu reçois 1767€ par mois pour 35h par semaine et qu'avec 1767€ chez lui on est carrément le roi du village et qu'en faisant seulement 35h on est un pacha.Ben92 a écrit : ↑09 mars 2024, 16:08Déjà je pense qu'il va tomber des nues en réalisant que les gauchistes locaux sont plus à droite que nos libéraux.wasabi a écrit : ↑09 mars 2024, 15:33vous avez déjà mis les pieds à l'étranger plus de quelques semaines ? Parce que vous avez ce discours type de celui qui ne comprend pas l'existence des différences ou la complexité des concepts, comme ceux qui mélangent bénéfice et chiffre d'affaire en critiquant leur petit patron, ou qui pensent que ce sont les actionnaires des multinationales où ils travaillent qui se gavent par leurs dividendes et pas les membres du conseil d'administration, ou qui pensent que la valeur des actions provient de leur travail à eux...
Et quand il parlera à ses concitoyens expats, ce qui arrivera inévitablement, il va regretter les petits bourgeois macronistes de chez nous... Parce que le français expat au Québec il vote pas souvent LFI. :
Oui bien sûr mais bon ça reste nettement mieux qu'en France. Pour le reste ma foi s'il faut rentrer en France se faire soigner on le fera. On est confiants et à un moment donné il faut se lancer, sinon on ne fera jamais rien et on finira aigri dans notre banlieue. Et puis j'en ai vraiment assez de la vie parisienne, j'ai besoin de changer d'air.wasabi a écrit : ↑09 mars 2024, 17:33Disons que je fais surtout référence au concept de l'africain du bled qui fantasme les salaires en France, pays de cocagne, où au minimum tu reçois 1767€ par mois pour 35h par semaine et qu'avec 1767€ chez lui on est carrément le roi du village et qu'en faisant seulement 35h on est un pacha.Ben92 a écrit : ↑09 mars 2024, 16:08Déjà je pense qu'il va tomber des nues en réalisant que les gauchistes locaux sont plus à droite que nos libéraux.wasabi a écrit : ↑09 mars 2024, 15:33vous avez déjà mis les pieds à l'étranger plus de quelques semaines ? Parce que vous avez ce discours type de celui qui ne comprend pas l'existence des différences ou la complexité des concepts, comme ceux qui mélangent bénéfice et chiffre d'affaire en critiquant leur petit patron, ou qui pensent que ce sont les actionnaires des multinationales où ils travaillent qui se gavent par leurs dividendes et pas les membres du conseil d'administration, ou qui pensent que la valeur des actions provient de leur travail à eux...
Et quand il parlera à ses concitoyens expats, ce qui arrivera inévitablement, il va regretter les petits bourgeois macronistes de chez nous... Parce que le français expat au Québec il vote pas souvent LFI. :
Et au deuxième concept selon lequel brut recouvre la même chose que le brut parce que c'est du brut, quoi, on c'est ce que c'est. Non seulement l'écart entre brut et net net d'impôt n'est pas le même partout, mais en plus ce que le brut donne n'est pas la même chose, car les services publics ont des reste à charge pour le particulier très différents. J'ai une fille de ma famille par exemple, elle travaille au Québec justement, depuis au moins 5ans; et elle a eu un problème du canal carpien. Elle est revenue en France se faire opérer, en payant tout de sa poche, c'était moins cher que le reste à charge canadien, en incluant le billet.
Bravo, ça c'est de l'expat ! je pars bosser, produire et payer mes impôts ailleurs, mais si y a besoin d'un petit coup d'état-providence, je rentre vite fait (pour mieux repartir ensuite). Le tout après avoir été formé ici plus ou moins au frais de la princesse.Boeuf1804 a écrit : ↑09 mars 2024, 18:25Oui bien sûr mais bon dès lors qu'on travaille ça reste nettement mieux qu'en France. Pour le reste ma foi s'il faut rentrer en France se faire soigner on le fera. On est confiants et à un moment donné il faut se lancer, sinon on ne fera jamais rien et on finira aigri dans notre banlieue. Et puis j'en ai vraiment assez de la vie parisienne, j'ai besoin de changer d'air.wasabi a écrit : ↑09 mars 2024, 17:33Disons que je fais surtout référence au concept de l'africain du bled qui fantasme les salaires en France, pays de cocagne, où au minimum tu reçois 1767€ par mois pour 35h par semaine et qu'avec 1767€ chez lui on est carrément le roi du village et qu'en faisant seulement 35h on est un pacha.Ben92 a écrit : ↑09 mars 2024, 16:08Déjà je pense qu'il va tomber des nues en réalisant que les gauchistes locaux sont plus à droite que nos libéraux.wasabi a écrit : ↑09 mars 2024, 15:33vous avez déjà mis les pieds à l'étranger plus de quelques semaines ? Parce que vous avez ce discours type de celui qui ne comprend pas l'existence des différences ou la complexité des concepts, comme ceux qui mélangent bénéfice et chiffre d'affaire en critiquant leur petit patron, ou qui pensent que ce sont les actionnaires des multinationales où ils travaillent qui se gavent par leurs dividendes et pas les membres du conseil d'administration, ou qui pensent que la valeur des actions provient de leur travail à eux...
Et quand il parlera à ses concitoyens expats, ce qui arrivera inévitablement, il va regretter les petits bourgeois macronistes de chez nous... Parce que le français expat au Québec il vote pas souvent LFI. :
Et au deuxième concept selon lequel brut recouvre la même chose que le brut parce que c'est du brut, quoi, on c'est ce que c'est. Non seulement l'écart entre brut et net net d'impôt n'est pas le même partout, mais en plus ce que le brut donne n'est pas la même chose, car les services publics ont des reste à charge pour le particulier très différents. J'ai une fille de ma famille par exemple, elle travaille au Québec justement, depuis au moins 5ans; et elle a eu un problème du canal carpien. Elle est revenue en France se faire opérer, en payant tout de sa poche, c'était moins cher que le reste à charge canadien, en incluant le billet.
Merci Lisa pour ta réponse .lisa a écrit : ↑09 mars 2024, 11:44Pour commencer, je te conseille la lecture de cet article:Ardoise a écrit : ↑08 mars 2024, 16:37Juste une Question sur l'égalité, c'est le journée de la femme après tout.
Toutes ces femmes ont leur BAC et plus de 18 ans .
Dans les FAC le droit d'être voilée .
Dans les IUT je ne sais pas mais je pense que oui
En prépa et en BTS elles n'auraient pas le droit car c'est dans les enceintes des lycées ?
Je ne comprends pas bien le raisonnement de l'Etat ?
Quelqu'un peut -il me renseigner ?
https://www.publicsenat.fr/actualites/n ... ion-203090
Effectivement la loi ne concerne que écoles, collèges, lycée, publics car ces établissements accueillent principalement des élèves mineurs dont ils ont la responsabilité. Les enseignants et proviseurs consacrant de plus en plus de temps à gérer des situations conflictuelles avec des familles pour de multiples motifs, cette loi était nécessaire pour clarifier une situation ingérable au cas par cas.Comme souvent, c’est lorsque cela concerne les enfants, qu’un sujet a de fortes chances de devenir explosif. A la rentrée de 1989, trois collégiennes sont exclues de l’établissement Gabriel-Havez de Creil pour avoir refusé d’enlever leur voile au nom de leur religion. Le principal du collège estimait que le port du voile était incompatible avec le principe de laïcité. Face au vide juridique qui entoure cette question du port du voile à l’école, le ministre de l’Education de l’époque, Lionel Jospin saisit le Conseil d’Etat.
Dans une décision rendue quelques semaines plus tard, le Conseil indique que le port du voile islamique n’est pas incompatible avec le principe de laïcité et que l’exclusion du collège « ne serait justifiée que par le risque d’une menace pour l’ordre dans l’établissement ». Lionel Jospin publie par la suite une circulaire stipulant que ce sont aux enseignants d’accepter ou de refuser le voile en classe.
Loi de 2004 : Interdiction du port de signes religieux ostensibles à l’école
Durant les années 90, plusieurs dizaines de jeunes filles seront exclues de lycées publics. Malgré deux autres circulaires ministérielles, les proviseurs sont les seuls décisionnaires et font du cas par cas. Afin de faire respecter le principe constitutionnel d’égalité devant la loi, Jacques Chirac décide en décembre 2003 de légiférer sur cette question. Il installe le médiateur de la République, Bernard Stasi à la tête d’une commission pour préparer un texte. La loi qui interdit tout port de signe religieux ostensible à l’école est votée le 15 mars 2004.
Le texte interdit « le port de signes ou tenues par lesquels les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse » dans les écoles, collèges et lycées publics. Une circulaire précise par ailleurs que les signes visés sont « le voile islamique, quel que soit le nom qu’on lui donne, la kippa, ou une croix de taille manifestement excessive ». Les signes religieux discrets demeurent toutefois autorisés.
Les élèves de BTS et de CPGE sont aussi concernés par cette loi car il est impossible au sein d'un même établissement de traiter différemment des élèves qui se côtoient dans les mêmes locaux. Au passage, la poursuite d'étude dans un lycée ( en CPGE, BTS..) n'est pas une obligation. Si on ne veut pas subir les contraintes imposées par une scolarité gratuite dans un tel établissement, on peut CHOISIR d'aller à l'université ou ailleurs.
Oui enfin ça fait 15 ans que je travaille en France j’ai payé assez largement de quoi rembourser ma scolarité et mes (anecdotiques) frais de santé. Certes ma formation (de qualité, 100% publique) a été financée par l’état mais j’ai renvoyé l’ascenseur ! Idem pour madame elle a tout remboursé en bossant quasi gratuitement pour l'EN pendant 10 ans.Qqun_de_Passage a écrit : ↑09 mars 2024, 19:01Bravo, ça c'est de l'expat ! je pars bosser, produire et payer mes impôts ailleurs, mais si y a besoin d'un petit coup d'état-providence, je rentre vite fait (pour mieux repartir ensuite). Le tout après avoir été formé ici plus ou moins au frais de la princesse.Boeuf1804 a écrit : ↑09 mars 2024, 18:25Oui bien sûr mais bon dès lors qu'on travaille ça reste nettement mieux qu'en France. Pour le reste ma foi s'il faut rentrer en France se faire soigner on le fera. On est confiants et à un moment donné il faut se lancer, sinon on ne fera jamais rien et on finira aigri dans notre banlieue. Et puis j'en ai vraiment assez de la vie parisienne, j'ai besoin de changer d'air.wasabi a écrit : ↑09 mars 2024, 17:33Disons que je fais surtout référence au concept de l'africain du bled qui fantasme les salaires en France, pays de cocagne, où au minimum tu reçois 1767€ par mois pour 35h par semaine et qu'avec 1767€ chez lui on est carrément le roi du village et qu'en faisant seulement 35h on est un pacha.Ben92 a écrit : ↑09 mars 2024, 16:08
Déjà je pense qu'il va tomber des nues en réalisant que les gauchistes locaux sont plus à droite que nos libéraux.
Et quand il parlera à ses concitoyens expats, ce qui arrivera inévitablement, il va regretter les petits bourgeois macronistes de chez nous... Parce que le français expat au Québec il vote pas souvent LFI. :
Et au deuxième concept selon lequel brut recouvre la même chose que le brut parce que c'est du brut, quoi, on c'est ce que c'est. Non seulement l'écart entre brut et net net d'impôt n'est pas le même partout, mais en plus ce que le brut donne n'est pas la même chose, car les services publics ont des reste à charge pour le particulier très différents. J'ai une fille de ma famille par exemple, elle travaille au Québec justement, depuis au moins 5ans; et elle a eu un problème du canal carpien. Elle est revenue en France se faire opérer, en payant tout de sa poche, c'était moins cher que le reste à charge canadien, en incluant le billet.
Finalement il y a là une belle cohérence avec le vote LFI, ce parti qui adore les étrangers qui viennent de force chez nous pour contribuer à pas grand chose, si ce n'est à la délinquance et la criminalité.
Un minimum de décence serait au moins de prendre la décision de partir en prenant en compte l'ensemble des coûts pour avoir une couverture similaire à la notre. En l’occurrence en déduisant du salaire mirobolant le surcoût d'une complémentaire permettant zéro reste à charge en cas de gros pépin de santé. Sinon c'est tout simplement une forme de dumping !
Pas sur que les soins en France ne soient et encore moins ne restent de qualité par rapport au reste du monde.
Non ce n'est pas crétin. La loi clarifie la situation dans les écoles, collèges, lycées dont les élèves sont pour la plupart mineurs. Elle s'est avérée nécessaire car les enseignants et chefs d'établissement ne savaient pas quoi faire quand une élève ( parfois très jeune ) arrivait voilée( pas forcément avec l'accord de ses parents ).
C'est crétin, il faut l'interdire aussi à la Fac pour une égalité parfaite au moins jusqu'à Bac +2 . CQFDlisa a écrit : ↑09 mars 2024, 20:57Non ce n'est pas crétin. La loi clarifie la situation dans les écoles, collèges, lycées dont les élèves sont pour la plupart mineurs. Elle s'est avérée nécessaire car les enseignants et chefs d'établissement ne savaient pas quoi faire quand une élève ( parfois très jeune ) arrivait voilée( pas forcément avec l'accord de ses parents ).
Dans un lycée qui compte souvent plus de mille élève il serait impossible de permettre à certaines de porter le voile en l'interdisant à d'autres donc c'est pareil pour toutes. Comme je l'ai dit, si pour l'élève la pratique de la religion est le critère primordial dans le choix de ses études après le bac, elle n'a qu'à s'inscrire en fac plutôt qu'en STS ou CPGE. Pour cette raison, autoriser le port du voile à l'université ne me dérange pas.
J'étais en MP en 2004 quand la loi est passée. Pas de voile chez nous mais une élève (elle s'appelait Jeanne, je m'en souviens comme si c'était hier) portait toujours une assez grosse croix (genre 5x2 cm) en pendentif. Ben elle l'a gardé et personne n'a rien trouvé à y redire. Clairement mon établissement n'était pas dans la "cible"lisa a écrit : ↑09 mars 2024, 20:57Non ce n'est pas crétin. La loi clarifie la situation dans les écoles, collèges, lycées dont les élèves sont pour la plupart mineurs. Elle s'est avérée nécessaire car les enseignants et chefs d'établissement ne savaient pas quoi faire quand une élève ( parfois très jeune ) arrivait voilée( pas forcément avec l'accord de ses parents ).
Dans un lycée qui compte souvent plus de mille élève il serait impossible de permettre à certaines de porter le voile en l'interdisant à d'autres donc c'est pareil pour toutes. Comme je l'ai dit, si pour l'élève la pratique de la religion est le critère primordial dans le choix de ses études après le bac, elle n'a qu'à s'inscrire en fac plutôt qu'en STS ou CPGE. Pour cette raison, autoriser le port du voile à l'université ne me dérange pas.
Je ne sais pas si c'est complètement délirant, vu qu'on est en France et que l'école est sensé offrir un échappatoire à la pression religieuse/familiale, réelle ou supposée.Ben92 a écrit : ↑09 mars 2024, 13:47Il y a de nombreux lycées en île de France où la proportion d 'élèves musulmans est entre 80 et 100%. C'est complètement délirant d'interdire le voile dans ces établissements, on voudrait aggraver encore la défiance des musulmans envers l'Etat qu'on ne s'y prendrait pas mieux. Il y a un moment où ne peut plus ignorer le rapport de force.
wef a écrit :You'll own nothing. And you'll be happy
Le nombre est un facteur aggravant mais ce n'est pas suffisant.Hickson49 a écrit : ↑10 mars 2024, 01:48Je ne sais pas si c'est complètement délirant, vu qu'on est en France et que l'école est sensé offrir un échappatoire à la pression religieuse/familiale, réelle ou supposée.Ben92 a écrit : ↑09 mars 2024, 13:47Il y a de nombreux lycées en île de France où la proportion d 'élèves musulmans est entre 80 et 100%. C'est complètement délirant d'interdire le voile dans ces établissements, on voudrait aggraver encore la défiance des musulmans envers l'Etat qu'on ne s'y prendrait pas mieux. Il y a un moment où ne peut plus ignorer le rapport de force.
Mais c'est clair que le degré d'immigration et de communautarisation est tellement élevé dans certaines zones de France ou de Belgique, qu'on peut se demander en effet quelle image étrange du pays cela donne aux gamins qui grandissent là.
Ils sont en théorie obligés de venir le vendredi ou pour des fêtes genre l'aïd alors que 100% de la classe est musulmane, et que personne ne bosse à ces dates dans toute la famille et dans tout le quartier.
Ça n'a plus aucun sens, au bout d'un moment lorsque 95% du quartier est marocain ou algérien depuis plus de 20 ans le territoire devrait pouvoir être revendiqué légalement par le pays d'origine du mufti du coin, qui a de toute façon plus de pouvoir et de légitimité que l'état français dans ces zones.