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Simple. Basique
alexlyon a écrit : ↑08 nov. 2019, 17:38Quand les gens ne travaillent pas, il faut savoir qu'ils sont malgré tout occupés sur leur lieu de vie professionnelle, surtout les fonctionnaires
https://www.bfmtv.com/police-justice/un ... 02072.html
Dans une longue enquête publiée jeudi, Libération révèle comment un haut fonctionnaire de la rue de Valois a fait passer des entretiens pervers à des dizaines de femmes en conciliant ses agissements dans un fichier Excel. Et comment le DRH a pu agir de nombreuses années en toute impunité.
En mai dernier, Le Canard Enchaîné révélait qu'un ancien directeur des ressources humaines du ministère de la Culture était soupçonné d'avoir administré des diurétiques à des dizaines de femmes pendant des entretiens d'embauche. L'homme, Christian N., les éloignait ensuite des toilettes et les forçait à s'uriner dessus, souvent devant lui.
T'inquiète, la sélection naturelle s'en occupe avec délectation.
Non, je dénonce pas le vide dans la vie des autres car leur vie ne m'intéresse pas, ce qui me préoccupe c'est l'économie mal gérée pendant que la misère grossit avec cette gestion et ce sujet que j'ai crée va dans ce sens là bien que vous êtes nombreux à faire semblant de ne pas avoir compris.saturne a écrit : ↑08 nov. 2019, 16:30
Donc ton problème, c'est que ta vie n'a aucun sens, et que tu essaies de te justifier en denonçant le vide dans la vie des autres.
Tu as un vélo, je crois. Cherche une assoc vélo proche et va leur rendre visite
Ils te diront de t'abonner (20€), te demanderont si tu veux acheter un vélo (40-80€), ou des pièces de récup (1-5€), ou si tu veux entretenir réparer / customizer ton vélo (gratos, outils fournis), ou si tu veux aider d'autres Pimono a changer leur freins, à apprendre, si tu veux venir à 20h pour discuter des prochaines actions (écoles, promenades organisées..)
Je ne bois ni café ni thé et je ne vois pas l'intérêt d'adhérer à un mouvement pour avoir accès au café, aux fruits ou au miel.saturne a écrit : ↑08 nov. 2019, 16:30Ou si tu veux un café ou un thé ? Les fruits secs ont été apportés par X, les fruits par Y, le miel par Z, le gâteau c'est la maman qui est là qui l'a apporté pour accompagner son gamin qui veut changer son dérailleur. On a même retapé un vélo pour en faire un mixer à fruits. T'en veux ?
saturne a écrit : ↑08 nov. 2019, 16:30-- Et toi, tu es toujours là, tu fais partie de l'assoc, t'es pas volontaire ?
-- Non, maintenant je suis salarié. Les adherents ont vote ça l'an dernier. J'ai quitté mon emploi à Grande-Enseigne de Sport.
-- Tu te fais exploiter ?
-- Hein ? Euh, pas vraiment, on m'a payé une formation en mécano, et en gestion comptable et marketing à Untelle, Mais c'est plutôt chacun qui propose ce qu'il veut faire. N'importe qui peut proposer, même toi, si c'est viable, on s'organise pour le faire.
Qu'en pense les boutiques SAV de vélo par cette concurrence déloyale qui vit directement de la charité publique ?
C'est quoi ces affirmations comme quoi j'aurai une mentalité de profiteur ? je ne perçois que le RSA, si j'étais profiteur, je serais en HLM, et j'aurai profité du système pour percevoir bien plus que le RSA tous les mois. Mais je suis honnête, intègre et 100% indépendant, et ça, ça change tout.saturne a écrit : ↑08 nov. 2019, 16:30Bref, avec ta mentalité de "profiteur" du système, pour 20€, tu répares ton vélo "gratos", tu passes à l'heure du goûter et tu t'empriffres "gratos", si tu t'ennuies tu vas te distraire "gratos", si tu es si intelligent, tu vas briller devant les gens nuls qui sont pas foutus de réparer une crevaison, et tu te refais une "fierté d'être comme tu es"...
je ne vis sur le dos de personne, et je "suis déjà comme je suis", je n'ai pas besoin des autres pour exister et je me fiche que des invidus qui font semblant de travailler en gagnant trop bien pendant que trop de gens en France crèvent la dalle ( ce qui n'est pas mon cas,) me critiquent par jalousie et aigreur car je vis mieux qu'eux avec rien !
je n'ai nullement envie de proposer quoi que ce soit aux autres, et encore moins partager mes richesses, ce n'est pas du tout le sens que j'entends donner à ma vie ! D'ailleurs puisque tu parles de vélo, une fois je faisais du vélo, et un groupe de personnes BCBG m'a arrété car un d'eux avait crevé, ils devaient y avoir au moins 6 à 8 personnes en vélo, et aucun n'avait de quoi réparer, bah j'ai dis que j'étais désolé que moi non plus je n'avais pas le nécéssaire de réparation, alors que j'avais plusieurs bombes anticrevraison dont une grosse format voiture car c'est moins cher, en plus de tout une artillerie de réparation dans mes sacoches, mais je ne suis pas un vélo croix rouge au service de la société ! Si c'était un malheureux fauché et isolé,je lui aurai même donné mon gouté s'il aurait voulu, mais c'était pas le cas, voilà mon vrai visage et j'en suis très fier.
je n'ai pas le temps ...et à 40ans, je m'estime déjà trop vieux pour travailler !!!
ce n'est pas différent dans le privé, simplement, ils veulent dégraisser dans le public avec des exemples isolés particulièrement pervers pour donner plus de poids a leur propagande.coolfonzi a écrit : ↑08 nov. 2019, 18:19alexlyon a écrit : ↑08 nov. 2019, 17:38Quand les gens ne travaillent pas, il faut savoir qu'ils sont malgré tout occupés sur leur lieu de vie professionnelle, surtout les fonctionnaires
https://www.bfmtv.com/police-justice/un ... 02072.htmlDans une longue enquête publiée jeudi, Libération révèle comment un haut fonctionnaire de la rue de Valois a fait passer des entretiens pervers à des dizaines de femmes en conciliant ses agissements dans un fichier Excel. Et comment le DRH a pu agir de nombreuses années en toute impunité.
En mai dernier, Le Canard Enchaîné révélait qu'un ancien directeur des ressources humaines du ministère de la Culture était soupçonné d'avoir administré des diurétiques à des dizaines de femmes pendant des entretiens d'embauche. L'homme, Christian N., les éloignait ensuite des toilettes et les forçait à s'uriner dessus, souvent devant lui.
Je ne mange jamais des gateaux de marque, c'est beaucoup trop cher malheureux.
Le critère, dans le cas des activités comme celle décrite, c'est de rester dans les limites de l'activité. Mais il faut comprendre pourquoi.pimono a écrit : ↑08 nov. 2019, 22:07Ha ouais, et ta petite mascarade est viable sur quel critère mon petit rigolo ? (c'est pas méchant mais c'est important d'appuyer le terme car il s'agit bien de ça)saturne a écrit : ↑08 nov. 2019, 16:30-- Et toi, tu es toujours là, tu fais partie de l'assoc, t'es pas volontaire ?
-- Non, maintenant je suis salarié. Les adherents ont vote ça l'an dernier. J'ai quitté mon emploi à Grande-Enseigne de Sport.
-- Tu te fais exploiter ?
-- Hein ? Euh, pas vraiment, on m'a payé une formation en mécano, et en gestion comptable et marketing à Untelle, Mais c'est plutôt chacun qui propose ce qu'il veut faire. N'importe qui peut proposer, même toi, si c'est viable, on s'organise pour le faire.
Ah la la. Tu comptes, tu comptes tu ne sais que compter. Et tu ne regardes pas ce qu'il y a devant ton nez. Réfléchis un peu !Qu'en pense les boutiques SAV de vélo par cette concurrence déloyale qui vit directement de la charité publique ?
bof, je ne suis pas du tout convaincu par la bienfaisance de l'esprit de tout ce que tu racontes.saturne a écrit : ↑11 nov. 2019, 22:39
Bref, si tu m'as lu, tu comprends que la différence de fond entre ces 2 activites, c'est la notion de limites utilisée par les secondes et pas par les premières. (Les premières utilisent une échelle extensive, les secondes une échelle intensive. Mais toutes deux peuvent aussi bien investir, avoir des salariés, transformer, vendre, etc. )
saturne a écrit : ↑11 nov. 2019, 22:39Par exemple, dans le cas de l'assoc-velo, il s'agit de remettre en circulation des vélos que les gens autrement finiraient par jeter. Le "deal" de la raison d'être, c'est de payer le local, les salaire, les pièces. On peut faire toujours mieux, on peut faire aussi toujours plus, mais toujours dans les limites. On creuse la raison d'être, mais on n'en sort pas
Est-ce que je t'ai aidé à comprendre la différence ?
Non, ça ne te sert pas à toi, et à partir de ton cas particulier, on ne peut pas ensuite généraliser comme tu fais. C'est toi qui n'est pas crédible quand tu parles des travailleurs qui ne travaillent pas.pimono a écrit : ↑12 nov. 2019, 00:16saturne a écrit : ↑11 nov. 2019, 22:39Par exemple, dans le cas de l'assoc-velo, il s'agit de remettre en circulation des vélos que les gens autrement finiraient par jeter. Le "deal" de la raison d'être, c'est de payer le local, les salaire, les pièces. On peut faire toujours mieux, on peut faire aussi toujours plus, mais toujours dans les limites. On creuse la raison d'être, mais on n'en sort pas
Est-ce que je t'ai aidé à comprendre la différence ?
je ne vois vraiment la différence entre une activité commerciale classique, et une activité commerciale déguisée aux couleurs sociales ou éthiques qui parasitent le circuit auquel il faut obligatoirement adhérer et pour reprendre ton exemple du vélo, je sais qu'il y a des gens qui vendent des vélos qu'ils réparent eux mêmes pour arrondir leur quotidien à titre individuel et tes structures soit disant bienfaisantes, ( je parie que les chefs ont tous des paies de cadre comme trop souvent !) , font concurrence donc pour moi, ça ne sert à rien !
je suis ravi d'apprendre que ça me sert pas à moi après me l'être vu proposé par toi sous forme de critique !
tu te rends compte à quel point tout ce que tu dis n'a aucune valeur ni pratique ni intellectuelle ? tu dis que je rate peut être ma vie, mais si ta vie se résumes à ce que tu dis, ta vie est carrément une vraie fumisterie ! Et c'est peut être pour ça que lorsque je te demande ce que tu fais de tes journées tu fais semblant de ne pas avoir lu la question et tu ne réponds pas ! Je n'aime pas du tout cette façon de faire.saturne a écrit : ↑12 nov. 2019, 14:43Pour la différence, les 2 sortes activités se gèrent pareil. La différence c'est que les profits restent toujours dans les "limites" qu'on s'est choisies, Et entre les deux, je suppose qu'il y a tous le degrés. Du bon et du mauvais, comme les gens qui y travaillent.
Mais autrement, il faut investir, monnayer, vendre, travailler. Pas pour "avoir plus", mais pour "être"(soi, mieux), bref une activité qui a un sens, pour celui qui la fait. Ceux qui travaillent exclusivement pour avoir "plus de salaire", le font parce que c'est un choix. Tu les critiques, mais ça ne mène nulle part. Personne n'est obligé de faire ce qu'il ne veut pas faire.
(Je ne parle pas des associations vivant sur les fonds public, c'est autre chose Leur raison d'être est imposée d'avance. Elles ne choisissent rien. Au mieux, des salariés de l'administration, souvent sans les droits associés.)
Les Assoc de velo, les recycleries, les coopératives sont dejà des exemples,
Un jour je lisais par ex. une boîte d'emploi de personnes handicapées, qui commence dans le recyclage et assurait son expansion commerciale avec la saise informatique et les pages Web. Sauf que l'objet n'est pas le chiffre, mais d'assurer l'emploi des travailleurs handicapés. Elle vend ses services à d'autres entrepirses
Je pense souvent que des entreprises de ce type (celles qui opèrent dans des "limites" qui définissent leur raison d'être) vont grandir en importance. Elles peuvent souvent se subsituer à la plupart des entreprises qui ne visent que le chiffre et qui sont celles que tu critiques. Avec les moyens actuels (informatique, communication, transports) elles sont parfaitement viables avec très peu d'investissement.
Comme apparemment tu n'en connais pas, tu généralises. Mais à mon avis, tu n'as pas cherché. Et si tu ne veux pas changer comme tu es, sans avoir cherché, tu rates peut-être ta vie. C'est tout.