Sur mon PR, ma seconde craquait comme pas possible. Une calamité !

Sur mon PR, ma seconde craquait comme pas possible. Une calamité !
Évidemment Colmar et la route des vins, mais je n'ai pas d'idée spécialement originale sur ce sujet...Madi94 a écrit : ↑01 oct. 2024, 22:11Prochaine destination à la Toussaint : l'Alsace. Premiere foisj'avais voulu y aller pour noel 2019, on a laissé tombé et en fev 2020 et covid, je me suis maudite !
Donc nous y voila. On sera à Kaysenberg donc focus sur le sud. Je vais laisser Strasbourg pour un city break une autre fois.
Je me coltine les guides depuis 2-3 semaines et ya vraiment bcp bcp trop à faire![]()
Preneuse d'idees d'incontournables !
Le haut Koenigsbourg, 30 min de Kaysersberg.Madi94 a écrit : ↑01 oct. 2024, 22:11Prochaine destination à la Toussaint : l'Alsace. Premiere foisj'avais voulu y aller pour noel 2019, on a laissé tombé et en fev 2020 et covid, je me suis maudite !
Donc nous y voila. On sera à Kaysenberg donc focus sur le sud. Je vais laisser Strasbourg pour un city break une autre fois.
Je me coltine les guides depuis 2-3 semaines et ya vraiment bcp bcp trop à faire![]()
Preneuse d'idees d'incontournables !
Content que tu en aies profité et que tu te sois régalé. Il y avait foule (de touristes) ?
Oui énormément ! après dès que tu prends la voiture (que je conseille fortement) et que tu vas te promener autour, c'est tranquille (et magnifique).Laurent a écrit : ↑26 oct. 2024, 15:53Content que tu en aies profité et que tu te sois régalé. Il y avait foule (de touristes) ?
Aujourd'hui iI y fait seulement 21°C (la température de Reims), 22°C prévus demain et 17°C lundi. En ce moment, "c'est à se demander pourquoi il faut penser partir loin pour les vacances." Madi 94 dans le texte![]()
J'espère pour toi que tu n'as pas oublié de faire le plein de patisseries marocaines à la boutique de l'aéroport. Chères mais excellentissimes.
j'ai fait un stock à la pâtisserie des princes qui ont été dévorées au travail ! j'aime bien mais j'avoue que je préfère Vienne pour manger des gâteaux
Wasabi va te dire que ça explique le diabète au Maghreb !
Et oui, pour nous touristes, l'Alsace est un pays de cocagne. Il y a un art de vivre, et tout plein de ressources.Madi94 a écrit : ↑26 oct. 2024, 06:01En Alsace depuis quelques jours.
Les couleurs de l'automne sont magnifiques!
2h de train de paris. Tranquille . ..
C'est à se demander pourquoi il faut penser partir loin pour les vacances.
On m'a recommandé de tester la choucroute aux fruits de mercrime de lèse majesté?
Disons que le vrai problème, pas spécifique au Maghreb, c'est que les gens ont fait de leur plat régulier des choses qui avant étaient faites pour être exceptionnelles, pour les fêtes (jus, alcool, plats populaires sucrés ou à base de sources amylacées raffinées : frites, pâtes alimentaires, mayonnaise, desserts...) ou en cas de maladie (soda, yahourt...) ou bien les plats "royaux" "présidentiels" ou de prestige qui deviennent consommés par toute la population, au fur et à mesure que leurs sociétés se sont développées et qu'ils sont devenus plus riches. Une politique intelligente de long terme aurait du être de contrer ces phénomènes à leur apparition. Mais la politique de court terme faisait exactement le contraire pour faire "ruisseler" l'enrichissement sur toute la population dans quelque chose de visible à court terme.Gpzzzz a écrit : ↑26 oct. 2024, 21:10Wasabi va te dire que ça explique le diabète au Maghreb !
Impossible d avaler ce genre de gâteau perso . Enfin 1 mais jamais 2![]()
On dirait la BretagneNounou a écrit : ↑22 nov. 2024, 14:41De retour de près de 3 semaines en Inde du Sud.
Voyage organisé à thème culturel: les temples dravidiens.
Intérêt: les mongols et les musulmans ne sont pas descendus jusqu'au Sud pour tout dévaster des vieilles civilisations.
4 états visités: Tamil Nadu (Madras), Kérala ( Cochin), Karnataka, Goa. Périple de 2000km.
Hormis le Kérala et Goa très touristiques, c'était une immersion au milieu des tamouls, sans voir presque aucun occidentaux. On avait plutôt l'impression de détonner.
Surtout en une période hors vacances. Temps parfait après la mousson.
L'arrivée sous la neige à Roissy a fait bizarre, après les 24 a 32 degrés sous les palmiers.
Il y a de la pauvreté, mais moins que dans le Nord de l'Inde. Le Sud est relativement plus riche et moins inégalitaire.
Une grande diversité d'indiens - peau très foncée majoritaire. 4 états, donc 4 langues ( écrites façon plat de nouilles).
Langue intermédiaire: l'anglais. Pas le hindi, honni.
Langues écrites officielles: langue locale de l'état (les nouilles custom), le sanskrit, l'anglais.
Les panneaux de magasins et de pub sont en langue locale, sauf:
. lieux touristiques
. villages frontaliers. Toujours la barrière de langues entre états.
1 pub sur 4 au bord des routes est pour un institut de formation privée: engineering, mais aussi management, art, pharmacie, ...
Il y a sans doute une bulle de diplômes, confirmée à la lecture des journaux locaux: pénurie d'emplois qualifiés.
Les temples dravidiens antiques et modernes sont très photogéniques, et les femmes en sari très décoratives sur les photos.
Pleins de choses à bourrer dans les valises:
artisanat de taille de pierre, de bois. Bronze de Madras.
Soie, laine de cachemire.
Comme le Sud est riche, il y a un débouché pour les artisans du Nord, du Cachemire:
Echarpes, tapis.
Les bijoux en or sont très peu taxés, les pierres précieuses sont locales.
L'Inde est un gros producteur de granit brut et de marbre, et une plateforme mondiale du polissage du granit.
On voit en parement dans les hôtels des variétés de pierre inconnues en Europe.
En un reportage, tu te fais une opinion sur un pays de 1.400.000.000 d'habitants ? Trop forteArdoise a écrit :Faudrait me payer pour aller en Inde
J'ai regardé un reportage assez long, je dirais plus d'une heure sur les défections de Hindous enfin des autochtones, c'est bon j'ai entendu et vu le principal, toi tu fais du tourisme.
L'Inde est un pays spécifique, comme plein d'autres, on ne peut pas forcer les gens à aimer telle ou telle culture.Nounou a écrit : ↑22 nov. 2024, 19:43En un reportage, tu te fais une opinion sur un pays de 1.400.000.000 d'habitants ? Trop forteArdoise a écrit :Faudrait me payer pour aller en Inde
J'ai regardé un reportage assez long, je dirais plus d'une heure sur les défections de Hindous enfin des autochtones, c'est bon j'ai entendu et vu le principal, toi tu fais du tourisme.![]()
Commande plutôt ce livre.
A y est, mon voyage au Bhoutan en Octobre 2025 est pré-réservé.Nounou a écrit : ↑06 juil. 2022, 17:53Le Bhoutan va fixer une taxe touristique quotidienne de 200 dollars
https://www.courrierinternational.com/a ... 00-dollarsLa selection des touristes par l'argent, qu'en dites-vous ?Perché sur le toit du monde, le royaume du Bhoutan a toujours refusé de se laisser envahir par les touristes. Ce n’est qu’en 1974, rappelle The New York Times, qu’il a autorisé pour la première fois la venue d’étrangers. Et, déjà, au compte-gouttes.
L’idée des autorités est d’imposer une sélection par l’argent. Une politique résumée par la formule : “Valeur élevée, faible volume”. Chaque visiteur devait jusque-là s’acquitter d’un forfait journalier de 250 dollars (240 euros) incluant l’hébergement, les repas, la remunération du guide obligatoire et une taxe de 65 dollars remise au gouvernement au titre du “développement durable”.
Maintenir une empreinte carbone au plus bas
À compter du 23 septembre, date de la réouverture des frontières, cette taxe passera à 200 dollars (190 euros) par nuitée, les touristes devenant en revanche libres d’organiser leur séjour sur place. La somme “servira à financer un tourisme neutre en matière d’émissions de CO2 et à bâtir un secteur touristique toujours plus durable”, explique le Bhutan Times, qui cite Tandi Dorji, ministre des Affaires étrangères et président du Conseil du tourisme :
“Le Covid-19 nous a permis de repenser la façon de structurer et d’exploiter le secteur afin que le Bhoutan en tire un bénéfice non seulement économique, mais aussi social, tout en maintenant une empreinte carbone au plus bas.”
En mars 2020, le pays, connu pour son indice du “bonheur intérieur brut”, a fermé ses frontières afin de protéger ses 800 000 habitants de la pandémie de Covid-19. Une politique couronnée de succès puisque, au total, note CNN, il a enregistré moins de 60 000 infections et 21 décès. Mais “l’économie s’est contractée ces deux dernières années et beaucoup ont sombré dans la pauvreté”.
LIRE AUSSI Urgence. L’appel à l’aide du Bhoutan, qui a épuisé ses stocks de vaccin anti-Covid
Avant la pandémie, le secteur du tourisme employait 50 000 personnes. En 2019, indique toujours le New York Times, les 315 600 étrangers qui ont visité le royaume ont généré 225 millions de dollars (200 millions d’euros) de revenus. Après l’instauration de la nouvelle taxe, le pays pourra-t-il retrouver ce niveau ?
De nombreux professionnels sont inquiets, constate le quotidien new-yorkais. “Juste au moment où, après deux ans et demi sans activité, nous pensions voir la lumière au bout du tunnel, les amendements à la loi sur le tourisme nous replongent dans l’inconnu”, confie Pelden Dorji, directeur de l’agence Bhutan Travel Club, qui dit avoir reçu ses premières annulations.
ah, en face de la Corse ?
De retour cette semaine à Marrakech, 10 ans après le premier séjour.
A cause de ça?
https://www.noovo.info/nouvelle/voyage- ... intes.htmlVoyage aux États-Unis: les détentions de touristes européens suscitent des craintes
Lennon Tyler et son fiancé allemand faisaient souvent des escapades routières au Mexique lorsqu’il venait en vacances aux États-Unis, puisque sa maison à Las Vegas n’était qu’à une journée de route – un des avantages de leur relation à distance.
Mais leur dernier trajet depuis Tijuana, le mois dernier, a tourné au cauchemar.
Les agents frontaliers américains ont menotté Lennon Tyler, citoyenne américaine, et l'ont enchaînée à un banc, tandis que son fiancé, Lucas Sielaff, a été accusé d'avoir enfreint les règles de son permis de tourisme américain de 90 jours, selon le couple. Les autorités ont ensuite menotté et enchaîné Lucas Sielaff et l'ont envoyé dans un centre de détention surpeuplé de l'immigration américain. Il a passé 16 jours enfermé avant d'être autorisé à rentrer chez lui en Allemagne.
Ils sont rentrés le 18 février, soit 22 jours seulement après le début du permis touristique de 90 jours de Sielaff.
Lucas Sielaff a été emmené pour un interrogatoire plus approfondi. Lennon Tyler avait demandé à l'accompagner ou s'il pouvait faire venir un interprète, mais on lui avait dit de se taire, puis qu'elle avait été sortie de sa voiture, menottée et enchaînée à un banc.
Après quatre heures, Lennon Tyler a été autorisée à partir, mais n'avait reçu aucune information sur le sort de son fiancé.
Lors de son interrogatoire, Lucas Sielaff a mentionné aux autorités qu'il n'avait jamais vécu aux États-Unis et qu'il n'avait aucun antécédent criminel. Il a été fouillé de fond en comble et a reçu l'ordre de remettre son téléphone portable et ses effets personnels. Par la suite, il a été placé dans une cellule de détention où il a dormi sur un banc pendant deux jours avant d'être transféré au centre de détention d'Otay Mesa à San Diego.
Là-bas, il partageait une cellule avec huit autres personnes, a-t-il raconté.
On lui a finalement dit de prendre un vol direct pour l'Allemagne et de fournir un numéro de confirmation. Dans un appel frénétique avec sa fiancée, l'homme a acheté le billet pour 2 744 $. Il est rentré le 5 mars.
Un autre touriste allemand a été arrêté au poste-frontière de Tijuana le 25 janvier. Jessica Brösche a passé plus de six semaines en détention, dont plus d'une semaine à l'isolement, a déclaré un ami. Brösche est rentrée chez elle le 11 mars.
Le 26 février, une touriste galloise, Becky Burke, une routarde en voyage à travers l'Amérique du Nord, a été arrêtée à la frontière entre les États-Unis et le Canada et détenue pendant près de trois semaines dans un centre de détention de l'État de Washington, a posté son père, Paul Burke, sur Facebook. Elle est rentrée chez elle mardi.
Le 3 mars, la Canadienne Jasmine Mooney, actrice et entrepreneuse titulaire d'un visa pour travailler aux États-Unis, a été arrêtée au poste frontalier de Tijuana. Elle a été libérée samedi, a déclaré son amie Brittany Kors.
Avant la libération de Mme Mooney, le premier ministre de la Colombie-Britannique, David Eby, a exprimé son inquiétude. «Cela ne fait que renforcer l'anxiété que de nombreux Britanno-Colombiens et nombreux Canadiens ressentent actuellement à l'égard de nos relations avec les États-Unis, ainsi que l'imprévisibilité de cette administration et de ses actions», a-t-elle dit.
Ces incidents alimentent l'inquiétude alors que l'administration Trump se prépare à interdire les voyageurs en provenance de certains pays. Prenant acte de l'«évolution» des politiques fédérales en matière de voyages, l'Université de Californie à Los Angeles a envoyé cette semaine un avis exhortant ses étudiants et son personnel nés à l'étranger à prendre en compte les risques liés aux voyages non essentiels pendant les vacances de printemps, en les avertissant que «les conditions de retour peuvent changer pendant votre absence, ce qui peut avoir un impact sur votre retour».
Dans toutes ces affaires, ce que les médias anti Trump se gardent de dire, c'est qu'il y a toujours un point douteux qui fait que les douanier / police au frontière ont prêté plus d'attention au cas. Comme en plus la plupart du temps c'est à Tijuana, ils sont mis dans le mec "sac à procédure" que les mexicains, ce qui leur semble normal pour les uns devient insupportable pour les autres. Les femmes blanches dépassées par les événements me font penser à cette scène de l'anglaise perdue dans ce bordel à la frontière El Paso.Madi94 a écrit : ↑23 mars 2025, 22:42A cause de ça?
https://www.noovo.info/nouvelle/voyage- ... intes.htmlVoyage aux États-Unis: les détentions de touristes européens suscitent des craintes
Lennon Tyler et son fiancé allemand faisaient souvent des escapades routières au Mexique lorsqu’il venait en vacances aux États-Unis, puisque sa maison à Las Vegas n’était qu’à une journée de route – un des avantages de leur relation à distance.
Mais leur dernier trajet depuis Tijuana, le mois dernier, a tourné au cauchemar.
Les agents frontaliers américains ont menotté Lennon Tyler, citoyenne américaine, et l'ont enchaînée à un banc, tandis que son fiancé, Lucas Sielaff, a été accusé d'avoir enfreint les règles de son permis de tourisme américain de 90 jours, selon le couple. Les autorités ont ensuite menotté et enchaîné Lucas Sielaff et l'ont envoyé dans un centre de détention surpeuplé de l'immigration américain. Il a passé 16 jours enfermé avant d'être autorisé à rentrer chez lui en Allemagne.
Ils sont rentrés le 18 février, soit 22 jours seulement après le début du permis touristique de 90 jours de Sielaff.
Lucas Sielaff a été emmené pour un interrogatoire plus approfondi. Lennon Tyler avait demandé à l'accompagner ou s'il pouvait faire venir un interprète, mais on lui avait dit de se taire, puis qu'elle avait été sortie de sa voiture, menottée et enchaînée à un banc.
Après quatre heures, Lennon Tyler a été autorisée à partir, mais n'avait reçu aucune information sur le sort de son fiancé.
Lors de son interrogatoire, Lucas Sielaff a mentionné aux autorités qu'il n'avait jamais vécu aux États-Unis et qu'il n'avait aucun antécédent criminel. Il a été fouillé de fond en comble et a reçu l'ordre de remettre son téléphone portable et ses effets personnels. Par la suite, il a été placé dans une cellule de détention où il a dormi sur un banc pendant deux jours avant d'être transféré au centre de détention d'Otay Mesa à San Diego.
Là-bas, il partageait une cellule avec huit autres personnes, a-t-il raconté.
On lui a finalement dit de prendre un vol direct pour l'Allemagne et de fournir un numéro de confirmation. Dans un appel frénétique avec sa fiancée, l'homme a acheté le billet pour 2 744 $. Il est rentré le 5 mars.
Un autre touriste allemand a été arrêté au poste-frontière de Tijuana le 25 janvier. Jessica Brösche a passé plus de six semaines en détention, dont plus d'une semaine à l'isolement, a déclaré un ami. Brösche est rentrée chez elle le 11 mars.
Le 26 février, une touriste galloise, Becky Burke, une routarde en voyage à travers l'Amérique du Nord, a été arrêtée à la frontière entre les États-Unis et le Canada et détenue pendant près de trois semaines dans un centre de détention de l'État de Washington, a posté son père, Paul Burke, sur Facebook. Elle est rentrée chez elle mardi.
Le 3 mars, la Canadienne Jasmine Mooney, actrice et entrepreneuse titulaire d'un visa pour travailler aux États-Unis, a été arrêtée au poste frontalier de Tijuana. Elle a été libérée samedi, a déclaré son amie Brittany Kors.
Avant la libération de Mme Mooney, le premier ministre de la Colombie-Britannique, David Eby, a exprimé son inquiétude. «Cela ne fait que renforcer l'anxiété que de nombreux Britanno-Colombiens et nombreux Canadiens ressentent actuellement à l'égard de nos relations avec les États-Unis, ainsi que l'imprévisibilité de cette administration et de ses actions», a-t-elle dit.
Ces incidents alimentent l'inquiétude alors que l'administration Trump se prépare à interdire les voyageurs en provenance de certains pays. Prenant acte de l'«évolution» des politiques fédérales en matière de voyages, l'Université de Californie à Los Angeles a envoyé cette semaine un avis exhortant ses étudiants et son personnel nés à l'étranger à prendre en compte les risques liés aux voyages non essentiels pendant les vacances de printemps, en les avertissant que «les conditions de retour peuvent changer pendant votre absence, ce qui peut avoir un impact sur votre retour».
bref une fois qu'ils ont un doute, la machine administrative dimensionnée pour les wetbacks latinos, et lancée.Immigration experts tell the BBC that once Ms Burke informed Canadian officials of her plans and they denied her entry, a suspension of her visa waiver and detention on the US side was probably unavoidable.
Many countries strictly interpret what constitutes compensated work - even if no money changes hands. And under the best of circumstances, processing within by the US immigration system can move slowly.
Circumstances are far from usual in the US at the moment, however. The Trump administration has stepped up immigration enforcement across the US, so these experts caution that anyone entering the country should be careful to ensure that all their documents are in order and that they are clear about their intentions upon entering the country.
C'est aussi dû à l'inculture crasse de la plus part des américains. Il y a quelques années, entre le Canada et les États Unis, j'ai le souvenir d'un douanier me demandant si j'étais un criminel de guerre nazi.WolfgangK a écrit : ↑24 mars 2025, 01:46Il peut y avoir un problème de langue aussi.
J'ai un côté psychorigide, donc je prends souvent une interprétation précise des énoncés de mes interlocuteurs et si on me pose X fois la même question je donne X fois la même réponse et je refuse de mentir même si ça simplifierait les choses.
Ça m'a déjà valu des soucis en passant la frontière US.
1. Le mec me demande si j'ai de la famille ("family") aux US. Je réponds "Oui, ma belle-famille." Il n'est pas satisfait de ma réponse et me repose la question. Comme c'est la même question, je donne la même réponse. Ça a duré un certain temps avant que je lui demande si la question qu'il voulait me poser concernant seulement les parents ("blood relatives") plutôt que la famille (notamment par alliance).
2.Une autre fois, le mec me demande pourquoi je viens aux US. Je lui dit que c'est pour acheter un piano. Il est surpris et me demande à quoi ressemble ce piano. Je lui dit qu je ne sais pas je ne l'ai jamais vu. Ça ne lui a pas plu. J'ai mis du temps à lui expliquer que l'important pour moi c'était d'avoir entendu le piano et que de toutes façons en matière d'achat de piano, c'est ma femme qui décide
Pour limiter les emmerdes, je fais désormais semblant de ne pas vraiment parler l'anglais. Je fais des phrases (sujet verbe complément) avec l'accent français et je répète en parlant plus fort quand ils ne comprennent pas à cause de mon accent. Ça limite le temps de palabres à la frontière.
Il semblerait que ce soit juste un douanier très au fait de ceci :ab86 a écrit : ↑24 mars 2025, 07:58C'est aussi dû à l'inculture crasse de la plus part des américains. Il y a quelques années, entre le Canada et les États Unis, j'ai le souvenir d'un douanier me demandant si j'étais un criminel de guerre nazi.
Il mva fallu du temps pour comprendre qu'il était sérieux.
Vu mon âge, cet andouille croyait que la seconde guerre mondiale s'était terminée autour de 1980.
Il devait avoir 40 ans
ou peut être que c'était une question test pour voir votre réaction quand vous cherchez une réponse à une question inattendue où vous allez dire la vérité. Pour ensuite comparer avec d'autres questions inattendues où vous pourriez mentir.ab86 a écrit : ↑24 mars 2025, 07:58
C'est aussi dû à l'inculture crasse de la plus part des américains. Il y a quelques années, entre le Canada et les États Unis, j'ai le souvenir d'un douanier me demandant si j'étais un criminel de guerre nazi.
Il mva fallu du temps pour comprendre qu'il était sérieux.
Vu mon âge, cet andouille croyait que la seconde guerre mondiale s'était terminée autour de 1980.
Il devait avoir 40 ans
Non, non.wasabi a écrit : ↑24 mars 2025, 12:50ou peut être que c'était une question test pour voir votre réaction quand vous cherchez une réponse à une question inattendue où vous allez dire la vérité. Pour ensuite comparer avec d'autres questions inattendues où vous pourriez mentir.ab86 a écrit : ↑24 mars 2025, 07:58
C'est aussi dû à l'inculture crasse de la plus part des américains. Il y a quelques années, entre le Canada et les États Unis, j'ai le souvenir d'un douanier me demandant si j'étais un criminel de guerre nazi.
Il mva fallu du temps pour comprendre qu'il était sérieux.
Vu mon âge, cet andouille croyait que la seconde guerre mondiale s'était terminée autour de 1980.
Il devait avoir 40 ans