22 juillet 2013
Tout savoir sur l’impression 3D en 200 pages papier
L’impression 3D est tout en haut de la courbe des tendances, selon le cabinet d’études Gartner:
L'impression 3D n'est pas une mais plusieurs techniques qui donnent des résultats très différents. Les imprimantes 3D peuvent être personnelles, professionnelles ou de production. Elles sont souvent spécialisées par matériaux (poudres, métal, plastiques...), et parfois par domaines d'application (dentisterie, bijouterie de luxe...). C'est un univers très riche, qui va de modèles personnels open source réalisables pour moins de 300 euros à des machines professionnelles à un demi-million d'euros qui réalisent des pièces d'avion complexes.
J'ai à la maison une Printrbot Junior que j'ai montée moi-même et qui permet déjà de réaliser des petits objets fonctionnels bien pratiques (coquetiers... introuvables aux Etats-Unis!). Pour imprimer, j'utilise majoritairement le site Thingiverse qui permet de télécharger des objets prêts à imprimer. Pour les objets qui demandent une qualité plus poussée, j'utilise des services en ligne comme Sculpteo. J'ai hâte d'imprimer l'appareil photo mis en ligne la semaine dernière par le designer français Léo Marius.
La Printrbot jr de Printrbot , une imprimante 3D personnelle à moins de 350 €:
Les plus grandes entreprises sont équipées depuis longtemps, la plupart des objets qui nous entourent ont été pensés à l'aide de l'impression 3D. Et cette technologie rapide est enfin accessible aux particuliers. Les designs disponibles actuellement pour l'impression 3D à la maison sont de plus en plus impressionnants et fonctionnels : mains robotiques, chaussures sur-mesure, microscopes, pièces de réparation,... on est loin des petites figurines et bracelets d'abord mis en avant.
22 juillet 2013
Tout savoir sur l’impression 3D en 200 pages papier
L’impression 3D est tout en haut de la courbe des tendances, selon le cabinet d’études Gartner:
L'impression 3D n'est pas une mais plusieurs techniques qui donnent des résultats très différents. Les imprimantes 3D peuvent être personnelles, professionnelles ou de production. Elles sont souvent spécialisées par matériaux (poudres, métal, plastiques...), et parfois par domaines d'application (dentisterie, bijouterie de luxe...). C'est un univers très riche, qui va de modèles personnels open source réalisables pour moins de 300 euros à des machines professionnelles à un demi-million d'euros qui réalisent des pièces d'avion complexes.
J'ai à la maison une Printrbot Junior que j'ai montée moi-même et qui permet déjà de réaliser des petits objets fonctionnels bien pratiques (coquetiers... introuvables aux Etats-Unis!). Pour imprimer, j'utilise majoritairement le site Thingiverse qui permet de télécharger des objets prêts à imprimer. Pour les objets qui demandent une qualité plus poussée, j'utilise des services en ligne comme Sculpteo. J'ai hâte d'imprimer l'appareil photo mis en ligne la semaine dernière par le designer français Léo Marius.
La Printrbot jr de Printrbot , une imprimante 3D personnelle à moins de 350 €:
Les plus grandes entreprises sont équipées depuis longtemps, la plupart des objets qui nous entourent ont été pensés à l'aide de l'impression 3D. Et cette technologie rapide est enfin accessible aux particuliers. Les designs disponibles actuellement pour l'impression 3D à la maison sont de plus en plus impressionnants et fonctionnels : mains robotiques, chaussures sur-mesure, microscopes, pièces de réparation,... on est loin des petites figurines et bracelets d'abord mis en avant.
lol, tout ça pour dire que le mec se fait des coquetiers (introuvables aux USA ) avec une machine de plusieurs centaines d'euros. :palmface:
Une société allemande vous réalise une statue à votre image en couleur avec une imprimante 3D...
A company in Germany is offering to turn you, your loved ones or your pets into tiny detailed little statues, which capture everything from poses and facial expressions to hairstyles and clothes – all in color. http://rt.com/news/models-3d-yourself-instant-964/
la DB4 repose sur un chassis tubulaire avec des plaque en alu, je ne vois pas trop l'intéret de l'imprimer en 3D, sans doute les petites pièces de déco comme les aérations
je ne parle même pas du moteur, quoique dans ce cas, meme si les pièces ne tourne pas, cela aurait de la gueule...
slash33 a écrit :Ben tu peux faire du modélisme de qualité alors que c'est plutôt loin d'être le cas actuellement.
c'est un truc que je me disait justement,
acheter des plans de modèles réduits sur internet et monter ses modèles soit-meme
comme ca si tu plantes une pièce ben tu la réimprimes
Encore un crétin de designer qui fait de la publicité mensongére.
L'imprimante 3D qui se transforme en voiture
Usine Nouvelle le mercredi 28 août 2013
L'imprimante 3D qui se transforme en voiture Dans le futur, les automobilistes fabriqueront peut-être eux même leur voiture grâce à l'impression 3D. C’est en tout cas ce qu’a prévu Nir Siegel, un designer de véhicule, dont le projet avant-gardiste Genesis est présenté par Business Insider.
.......
encore un qui se focalise sur son métier de designer, et qui oublie le moteur, l' electronique et un tas de piéces pas compétitives en impression 3D.
Et un circuit hydraulique de freinage en impression 3D, vous y croyez vous à cte blague ?
Et pis l' usine Nouvelle qui relaye ce torchon....
moinsdewatt a écrit :
encore un qui se focalise sur son métier de designer, et qui oublie le moteur, l' electronique et un tas de piéces pas compétitives en impression 3D.
Et un circuit hydraulique de freinage en impression 3D, vous y croyez vous à cte blague ?
L'idée n'est pas si bête, dans l'esprit de pas mal de gens ce qui spécifie un véhicule c'est le design extérieur, le design intérieur et le moteur. Si on arrive à mettre en place un système de plateforme standard avec une poignée de moteurs au choix, alors effectivement le client final pour créer son véhicule en montant coque et habitable imprimés chez lui sur la plateforme standardisée achetée à un tiers.
L'automobile modulaire, comme pour les PC...
"Le marché peut rester irrationnel plus longtemps que vous ne pouvez rester solvable" - J.M. Keynes, 1936
C'est connu. Toute technologie a son revers. Et l'une des dernières à la mode n'échappe pas à la règle. Il s'agit des imprimantes dites "3D" qui permettent de fabriquer des objets en trois dimensions par addition couche par couche de matière. D'abord réservées à l'industrie, ces machines commencent à être connues du grand public, soit par l'intermédiaire de sites Web qui fabriquent à la demande toutes sortes de produits (figurines, jouets, bijoux, pièces de rechange...), soit par les hackerspaces et "fablabs" ("laboratoires de fabrication"), des lieux de rencontre entre bricoleurs, inventeurs ou simples passionnés.
Rien de bien méchant a priori, sauf qu'une équipe de l'Institut de technologie de l'Illinois à Chicago vient, pour la première fois, de mesurer les microscopiques poussières émises par ces machines dans les pièces où elles sont installées. Les imprimantes 3D utilisent en effet des thermoplastiques qui sont fondus, déposés couche par couche, puis resolidifiés ; un processus émetteur de minuscules particules dites "ultrafines".
Plus précisément, les chercheurs, comme ils l'exposent dans la revue Atmospheric Environment à paraître en novembre, ont mesuré des émissions de particules entre 11,5 et 115 nanomètres de dimension, à des débits entre 20 et 200 milliards par minute, selon le type de matériau utilisé. Cinq imprimantes, de marque tenue secrète pour ne pas "incriminer un fabricant en particulier", ont servi pendant deux heures et demie. Un détecteur de particules fines de l'entreprise américaine TSI a été utilisé dans le local abritant les imprimantes.
"PARTICULES FINES"
"Ces chiffres sont comparables à ceux d'activités banales comme la cuisson, la consumation de bougies, la consommation de cigarettes ou l'impression laser", résume Brent Stephens, le responsable de l'étude. "La taille et le nombre de particules ne font pas tout. La nature chimique est prédominante", ajoute le chercheur, qui cite néanmoins des risques recensés liés aux thermoplastiques, observés sur des rats ou des souris.
"L'expérience est intéressante car, il y a quelques années, mesurer ces émissions dans des environnements professionnels était impossible. Les valeurs obtenues sont relativement élevées. Les particules fines peuvent se déposer dans les voies respiratoires et il convient d'être prudent", note Olivier Witschger, spécialiste de la métrologie des aérosols à l'Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles (INRS).
C'est aussi la position du groupe américain qui écrit : "Ces résultats suggèrent la prudence lorsque ces technologies sont utilisées dans des environnements non ventilés ou non filtrés." A l'appui de cette conclusion, Brent Stephens rappelle que, récemment, des études ont fait état de craintes sur les imprimantes à laser. Une équipe américaine de l'université de Massachusetts-Lowell a ainsi montré que certaines nanoparticules utilisées dans ces copieurs causent des inflammations (M. Khatri et al., Nanotoxicology, août).
Les travaux à suivre ne manquent pas. "Au départ, c'est un de nos étudiants qui travaillait dans un magasin utilisant ces machines qui nous avait alertés à cause des odeurs qu'il sentait. Nous n'avons finalement pas étudié les gaz émis mais les particules", se souvient Brent Stephens. "On voudrait étudier maintenant les gaz émis. Et comparer nos résultats avec d'autres imprimantes 3D et d'autres matériaux. Nous cherchons aussi des partenaires en toxicologie pour tester les effets de ces particules. Et nous travaillons aussi à développer des systèmes de filtration à installer sur les machines", poursuit le chercheur. Le versant sombre des imprimantes 3D est donc aussi dans l'air du temps.
moinsdewatt a écrit :
encore un qui se focalise sur son métier de designer, et qui oublie le moteur, l' electronique et un tas de piéces pas compétitives en impression 3D.
Et un circuit hydraulique de freinage en impression 3D, vous y croyez vous à cte blague ?
L'idée n'est pas si bête, dans l'esprit de pas mal de gens ce qui spécifie un véhicule c'est le design extérieur, le design intérieur et le moteur. Si on arrive à mettre en place un système de plateforme standard avec une poignée de moteurs au choix, alors effectivement le client final pour créer son véhicule en montant coque et habitable imprimés chez lui sur la plateforme standardisée achetée à un tiers.
L'automobile modulaire, comme pour les PC...
En respectant toutes les normes de sécurité ? Pas besoin de faire homologuer le véhicule ?
Il y a assez de tout dans le monde pour satisfaire aux besoins de l'homme, mais pas assez pour assouvir son avidité. (Gandhi)
moinsdewatt a écrit :Encore un crétin de designer qui fait de la publicité mensongére.
L'imprimante 3D qui se transforme en voiture
Usine Nouvelle le mercredi 28 août 2013
L'imprimante 3D qui se transforme en voiture Dans le futur, les automobilistes fabriqueront peut-être eux même leur voiture grâce à l'impression 3D. C’est en tout cas ce qu’a prévu Nir Siegel, un designer de véhicule, dont le projet avant-gardiste Genesis est présenté par Business Insider.
.......
encore un qui se focalise sur son métier de designer, et qui oublie le moteur, l' electronique et un tas de piéces pas compétitives en impression 3D.
Et un circuit hydraulique de freinage en impression 3D, vous y croyez vous à cte blague ?
Et pis l' usine Nouvelle qui relaye ce torchon....
#118Messagepar flipper le dauphin » 02 sept. 2013, 11:36
defrance69 a écrit :
slash33 a écrit :Ben tu peux faire du modélisme de qualité alors que c'est plutôt loin d'être le cas actuellement.
c'est un truc que je me disait justement,
acheter des plans de modèles réduits sur internet et monter ses modèles soit-meme
comme ca si tu plantes une pièce ben tu la réimprimes
Les modeles actuels destinés au grand public ne permettent pas de faire une impression de qualité comparable à l'injecté en modelisme
En gros c'est moche et l'etat de surface souffre d'escalier disgracieux
Les modeles aptes à faire du modelisme de qualité coutent 50 000€
moinsdewatt a écrit :
encore un qui se focalise sur son métier de designer, et qui oublie le moteur, l' electronique et un tas de piéces pas compétitives en impression 3D.
Et un circuit hydraulique de freinage en impression 3D, vous y croyez vous à cte blague ?
L'idée n'est pas si bête, dans l'esprit de pas mal de gens ce qui spécifie un véhicule c'est le design extérieur, le design intérieur et le moteur. Si on arrive à mettre en place un système de plateforme standard avec une poignée de moteurs au choix, alors effectivement le client final pour créer son véhicule en montant coque et habitable imprimés chez lui sur la plateforme standardisée achetée à un tiers.
L'automobile modulaire, comme pour les PC...
En respectant toutes les normes de sécurité ? Pas besoin de faire homologuer le véhicule ?
Le mot "si" que j'ai mis dans mon intervention a un sens.
"Le marché peut rester irrationnel plus longtemps que vous ne pouvez rester solvable" - J.M. Keynes, 1936
moinsdewatt a écrit :
encore un qui se focalise sur son métier de designer, et qui oublie le moteur, l' electronique et un tas de piéces pas compétitives en impression 3D.
Et un circuit hydraulique de freinage en impression 3D, vous y croyez vous à cte blague ?
L'idée n'est pas si bête, dans l'esprit de pas mal de gens ce qui spécifie un véhicule c'est le design extérieur, le design intérieur et le moteur. Si on arrive à mettre en place un système de plateforme standard avec une poignée de moteurs au choix, alors effectivement le client final pour créer son véhicule en montant coque et habitable imprimés chez lui sur la plateforme standardisée achetée à un tiers.
L'automobile modulaire, comme pour les PC...
En respectant toutes les normes de sécurité ? Pas besoin de faire homologuer le véhicule ?
Le mot "si" que j'ai mis dans mon intervention a un sens.
Il y en a qui ne comprennent vraiment rien. Si vous décidez de rajouter un béquet sur votre véhicule et que ce béquet est homologué pour votre véhicule, vous pensez que vous devez faire homologuer tout le véhicule de nouveau ? Et bien là c'est pareil, vous avez une plateforme mécanique homologuée et un logiciel de pilotage de l'imprimante 3D qui intègre les contraintes légales sur la coque et l'habitacle sur les limites de ce que l'on peut faire.
Enfin bref, c'est de l'hypothétique, mais ça n'a rien de fondamentalement impossible.
"Le marché peut rester irrationnel plus longtemps que vous ne pouvez rester solvable" - J.M. Keynes, 1936
Il y en a qui ne comprennent vraiment rien. Si vous décidez de rajouter un béquet sur votre véhicule et que ce béquet est homologué pour votre véhicule, vous pensez que vous devez faire homologuer tout le véhicule de nouveau ? Et bien là c'est pareil, vous avez une plateforme mécanique homologuée et un logiciel de pilotage de l'imprimante 3D qui intègre les contraintes légales sur la coque et l'habitacle sur les limites de ce que l'on peut faire.
Enfin bref, c'est de l'hypothétique, mais ça n'a rien de fondamentalement impossible.
Mais ça n' existe pas ce concept de plateforme mécanique auto homologuée !
Ou avez vu ça autrement que sur du papier ?
Il y en a qui ne comprennent vraiment rien. Si vous décidez de rajouter un béquet sur votre véhicule et que ce béquet est homologué pour votre véhicule, vous pensez que vous devez faire homologuer tout le véhicule de nouveau ? Et bien là c'est pareil, vous avez une plateforme mécanique homologuée et un logiciel de pilotage de l'imprimante 3D qui intègre les contraintes légales sur la coque et l'habitacle sur les limites de ce que l'on peut faire.
Enfin bref, c'est de l'hypothétique, mais ça n'a rien de fondamentalement impossible.
Mais ça n' existe pas ce concept de plateforme mécanique auto homologuée !
Ou avez vu ça autrement que sur du papier ?
si on tente une approche économique on se heurte au même problème :
admettons qu'on achète 10 voitures dans sa vie à un prix unitaire de 5 000€, ça fait 50 000€ de budget achat en voiture (ça fait large rapporté au SMIC)
avec 50 000€ je vous met au défi (même dans 3 générations, euro constants toussa) de vous payer une plateforme mécanique auto homologuée qui vous fabrique 10 voitures dans votre vie (le budget de 50 000€ doit inclure le prix des pièces, énergie & fluides nécessaires à la fabrication ....).
Si tu separes la plateforme du reste du vehicule c'est en mon sens possible
Tu gardes la partie avant et juste apres le siege conducteur tu t'arrange pour transformer au choix en break, familiale, coupe, cab...
C'est d'ailleurs ce que l'on faisait dans les annees 30
Tu achetais un chassis et tu le faisais couvrir chez un carrossier
Breizhfox a écrit :
si on tente une approche économique on se heurte au même problème :
admettons qu'on achète 10 voitures dans sa vie à un prix unitaire de 5 000€, ça fait 50 000€ de budget achat en voiture (ça fait large rapporté au SMIC)
avec 50 000€ je vous met au défi (même dans 3 générations, euro constants toussa) de vous payer une plateforme mécanique auto homologuée qui vous fabrique 10 voitures dans votre vie (le budget de 50 000€ doit inclure le prix des pièces, énergie & fluides nécessaires à la fabrication ....).
5000€ la moyenne des prix d'achat des voitures pendant sa vie ? Lol
Si on compare avec un truc imprimé soi même alors au minimum on compare avec du neuf, donc au moins 4 fois plus pour autre chose qu'une boîte à sardine ou du "manouche powered".
Et sinon je parlais d'imprimer les parties en plastique comme la coque ou l'habitacle. Bien évidemment que les parties mécaniques vont demander des machines outils, des matériaux variés mélangés et des traitements de matériaux incompatibles avec fondre / laisser solidifier. D'où l'idée de composants universels modulaires qui à l'heure actuelle n'existent que de façon restreinte (banques d'organes entre différentes marques d'un même constructeur ou ventes interconstructeurs plutôt que nouveaux développements en interne)
"Le marché peut rester irrationnel plus longtemps que vous ne pouvez rester solvable" - J.M. Keynes, 1936
Il y en a qui ne comprennent vraiment rien. Si vous décidez de rajouter un béquet sur votre véhicule et que ce béquet est homologué pour votre véhicule, vous pensez que vous devez faire homologuer tout le véhicule de nouveau ? Et bien là c'est pareil, vous avez une plateforme mécanique homologuée et un logiciel de pilotage de l'imprimante 3D qui intègre les contraintes légales sur la coque et l'habitacle sur les limites de ce que l'on peut faire.
Enfin bref, c'est de l'hypothétique, mais ça n'a rien de fondamentalement impossible.
Mais ça n' existe pas ce concept de plateforme mécanique auto homologuée !
Ou avez vu ça autrement que sur du papier ?
si on tente une approche économique on se heurte au même problème :
admettons qu'on achète 10 voitures dans sa vie à un prix unitaire de 5 000€, ça fait 50 000€ de budget achat en voiture (ça fait large rapporté au SMIC)
avec 50 000€ je vous met au défi (même dans 3 générations, euro constants toussa) de vous payer une plateforme mécanique auto homologuée qui vous fabrique 10 voitures dans votre vie (le budget de 50 000€ doit inclure le prix des pièces, énergie & fluides nécessaires à la fabrication ....).
defrance69 a écrit :Si tu separes la plateforme du reste du vehicule c'est en mon sens possible
Tu gardes la partie avant et juste apres le siege conducteur tu t'arrange pour transformer au choix en break, familiale, coupe, cab...
C'est d'ailleurs ce que l'on faisait dans les annees 30
Tu achetais un chassis et tu le faisais couvrir chez un carrossier
Sauf que la voiture des années 30 telle que tu la décris, elle n'était pas accessible à M. Toutlemonde.
Il y a assez de tout dans le monde pour satisfaire aux besoins de l'homme, mais pas assez pour assouvir son avidité. (Gandhi)
precision basique 0,2 mm avec de l ABS.
après il ne faut pas oublier que c est pour faire des proto
le temps de realisation est plus ou moins long, pour certaine 1cm/h....
La cigale
"Connaitre l'art d'impressionner l'imaginaire des foules c'est connaitre l'art de les gouverner." Psychologie des foules de Gustave Le Bon
Eh bien aujourd'hui, on dirait qu'il y a un mur au milieu de la piste d'atterrissage.
Bidibulle a écrit :Une simple réflexion : est ce que l'utilisation des imprimantes 2D a supprimé l'imprimerie ? C'est pourtant une techno très répandue et peu chère.
Bidibulle a écrit :Une simple réflexion : est ce que l'utilisation des imprimantes 2D a supprimé l'imprimerie ? C'est pourtant une techno très répandue et peu chère.
Bidibulle a écrit :Une simple réflexion : est ce que l'utilisation des imprimantes 2D a supprimé l'imprimerie ? C'est pourtant une techno très répandue et peu chère.
Ben ouais, donc dire que les imprimantes 3D vont tuer l'industrie classique, n'est ce pas exagéré ?
il faut aussi considérer l'aspect pénétration du marché personnel en fonction du prix, un petit rappel sur l'histoire des imprimantes ... http://fr.wikipedia.org/wiki/Imprimante_laser
Comme la plupart des dispositifs électroniques, le coût des imprimantes laser a chuté avec les années. En 1985, la HP LaserJet était vendue 2 995 dollars et pesait plus de 32 kilos. L’Apple LaserWriter, qui comprenait un processeur plus puissant et le langage de description de page PostScript, coûtait près de 7 000 dollars. En 2006, une imprimante laser comparable, qui possède beaucoup plus de mémoire, une vitesse d’impression plus grande et dispose de la fonctionnalité recto-verso, peut être achetée environ 300 dollars.
il a fallut 20ans aux imprimantes laser pour diffuser d'un micro marché en entreprises à la consommation de masse (on trouve des imprimantes laser à moins de 75€ aujourd'hui
ensuite regarde l'évolution des imprimeries ou du marché de la presse http://comglobale.blogspot.fr/2012/01/i ... ur-la.html
Un secteur atomisé composé essentiellement de PME opérant sur des marchés locaux, composés d’industries, particulièrement liées au développement technique et technologique nécessitant de lourds investissements connaît un mouvement de décroissance amorcée dans les années 2000, accentué par la crise de 2008 et son impact en 2009.
d'ici 20 ans si elles s'améliorent et se généralisent, ...
Salon Planète PME : Fleur Pellerin veut généraliser les fablabs. Emmanuelle Roux, Associée du cabinet SC21, s’implique dans un « atelier de fabrication numérique ». Elle nous explique leur fonctionnement.
Un exemple de vocation cité dans cette vidéo, une personne ayant visité un fablab dans le but de designer une pièce mécanique de moto s'est rendu compte qu'il devrait plutôt passer la seconde et carrément se lancer dans la fabrication de pièces dont certaines par impression 3D.
Le principal fabricant d'imprimantes 3D en France vient de passer sous pavillon américain. La société Phenix Systems a été rachetée par le groupe 3D Systems.
...
Comme le précise le quotidien Les Echos, la société est désormais valorisée à 15 millions d'euros et les deux fondateurs ont cédé leurs titres, quittant pour certains l'entreprise
...
Toujours est-il que ce rachat tombe mal pour les défenseurs du made in France puisque le secteur de l'impression 3D est en plein développement. A ce titre, un salon consacré à ce marché s'ouvre même à Paris en cette fin de semaine.
Ce n'est pas facile d'introduire une nouvelle technologie de production à un moment où les investissements des entreprises sont gelés, estime Jean-Baptiste Barenton, analyste financier chez Portzamparc. La trésorerie de l'entreprise s'est tendue et elle a été obligée de trouver un acteur auquel s'adosser.
...
Avec cette opération, la France a perdu son seul acteur d'envergure internationale sur un secteur jugé stratégique - y compris par Arnaud Montebourg, qui dans son dernier livre (« La Bataille du made in France ») qualifie l'impression 3D de « révolution » susceptible de « bouleverser l'intégralité de nos productions ».
Certaines redites d'articles déjà vus mais aussi des applications spatiales.
De la nourriture
Après le steak in vitro "Frankenburger", on retrouvera peut-être de la viande imprimée en 3D dans nos assiettes. Ce n'est pas de science-fiction, mais l'ambition de Modern Meadow. Cette start-up a conçu un prototype pour récupérer les cellules souches d'un animal avant de les développer, puis de les stocker dans un cartouche d'impression couche par couche. L'impression permet ensuite de les assembler pour former un tissu vivant.
Dans le registre de la nourriture, on évoque aussi la possibilité d'imprimer... une pizza. Un projet qui émane de la NASA et permettrait de nourrir les astronautes en mission, avec le double avantage de gagner de la place et de conserver les aliments plus longtemps.
Une base lunaire
Vous trouvez ça farfelu ? C'est sans doute le projet le plus futuriste et surprenant de cette liste, mais il est lui aussi très sérieux et nous vient de l'ESA. L'agence spatiale européenne a bien annoncé cette année sa volonté de développer une base lunaire par impression 3D.
L'objectif ? Se servir des matières premières présentes à la surface de la Lune et ainsi économiser le transport (lent et coûteux) des matériaux nécessaires à la construction de la base. On n'arrête pas le progrès !
Ford a généralisé les imprimantes 3D pour le développement de ses véhicules et de ses moteurs.
Imprimer une tête de cylindre, c'est possible chez Ford. Le constructeur américain utilise de plus en plus l'impression 3D pour le développement de ses modèles. "Des éléments de moteurs, d'habitacle ou encore du volant sont imprimés dans nos centres R&D. Cette technique est aujourd'hui utilisée dans chaque zone géographique où Ford est présent", détaille un ingénieur du groupe.
Moins de temps et d'argent
Ford utilise du sable, du nylon ou encore du plastique pour ses pièces. A la clé, un gain de temps et d'argent. "Créer un moule pour une nouvelle pièce coûte plusieurs centaines de milliers de dollars puisqu'il faut développer le moule puis réaliser la pièce alors qu'on ne sait même pas si on va la valider ensuite. Une imprimante 3D coûte, elle, moins de 1 000 dollars", résume notre ingénieur.
De trois mois, la création de nouvelles pièces est alors ramenée à quelques jours. Si ces éléments mécaniques sont validés, Ford peut au total gagner plusieurs mois de développement. L'ensemble de la gamme de moteurs EcoBoost a ainsi été mise au point via des imprimantes 3D. 500 000 pièces ont déjà été produites. La 500 000ème était destinée au moteur de la nouvelle génération de l'iconique Mustang.
Des pièces imprimées à domicile
Mais le constructeur voit déjà plus loin. Dans plusieurs années, les clients pourront imprimer eux-mêmes ou faire imprimer dans les réseaux commerciaux Ford des pièces customisées à leurs goûts comme un becquet arrière ou une nouvelle coque pour des aérateurs.
A un horizon plus lointain, les réseaux après-vente pourront imprimer et remplacer les pièces sur les véhicules. Ford estime qu'à terme, certaines pièces pourraient être imprimées directement chez le client.
Après avoir révolutionné le domaine médical, l’alimentaire, et même l’art par la création de sculptures futuristes, l’imprimante 3D s’attaque maintenant à la construction d’une ville complète orientée autour du design. Faisant suite au pari du professeur Behrokh Khoshnevis qui consistait à construire une maison en 24 heures grâce à une imprimante projetant du béton, des chercheurs de l’université de Californie du Sud ont soumis un projet de 3D-CITY, pouvant accueillir 50 000 habitants, au président des Etats-Unis Barack Obama qui serait vraisemblablement mis en place d’ici 2016.
...
Bon, il faut encore faire les fondations, c'est limité au gros oeuvre, il faut toujours des plombiers, électriciens, etc. pour terminer, mais l'idée doit quand même être intéressante.
Après avoir révolutionné le domaine médical, l’alimentaire, et même l’art par la création de sculptures futuristes, l’imprimante 3D s’attaque maintenant à la construction d’une ville complète orientée autour du design. Faisant suite au pari du professeur Behrokh Khoshnevis qui consistait à construire une maison en 24 heures grâce à une imprimante projetant du béton, des chercheurs de l’université de Californie du Sud ont soumis un projet de 3D-CITY, pouvant accueillir 50 000 habitants, au président des Etats-Unis Barack Obama qui serait vraisemblablement mis en place d’ici 2016.
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Bon, il faut encore faire les fondations, c'est limité au gros oeuvre, il faut toujours des plombiers, électriciens, etc. pour terminer, mais l'idée doit quand même être intéressante.
ça termine par ''affaire à suivre...''
Bon, la je crois qu' il y en a qui jouent trop à Sim City.
Ca va finir en d ' affreuse cages à lapin qui seront desertées 10 ans aprés.....
La société chinoise Shanghai WinSun Decoration Design Engineering Co. a ainsi imprimé les pièces composant une dizaine de maisons en 24h, qui ont ensuite été assemblées. Ces bâtiments, qui mesurent 200 mètres carrés chacun, coûtent environ 30.000 yuans, soit près de 3.500 euros. Si ce chiffre avoisine celui du salaire annuel moyen chinois dans le secteur privé, il reste relativement bas à l’échelle du marché immobilier.
Mais la véritable révolution de ces impressions 3D, en plus de la vitesse d’exécution, est « l’encre » utilisée pour fabriquer les maisons. Les matériaux qui la composent ne sont autres que des déchets et des surplus industriels provenant de chantiers ou d’usines désaffectées. La société prévoit de recycler de cette manière une centaine d’usines à travers tout le pays pour fabriquer d’autres maisons comme celles-ci.
Que ca soit les maisons ou les toiles de Van Gogh, le but est de caser impression 3D pou faire parler de soi, avec le relais complaisant de la "presse" qui recopie consciencieusement le dossier qui lui est remis. Le gars qui prétends que la toile reproduite est en gros indétectable !
Je suis très surpris que l'industrie du porno ne se soit pas encore lancé dans cette course à l’échalote, il y a de quoi faire pourtant !