Je crains de perdre pas mal de temps à m'en faire une version personnalisée avec https://github.com/farrellm/scad-clj

Ca doit faire 10 ans que ce genre de recherche à lieu.domcat74 a écrit :Des panneaux solaires en impression 3D ?
http://rt.com/news/186716-solar-panels-3d-printable/
http://www.francesoir.fr/societe-scienc ... epuis-lissNasa: première impression 3D depuis l'ISS
Les astronautes de la Station spatiale internationale (ISS) ont imprimé, pour la première fois, un objet dans l'espace grâce à une imprimante 3D. Considérée comme une nouvelle étape dans la conquête spatiale, cette prouesse pourrait révolutionner la conquête de l'espace.
28 Novembre 2014
Après le "Made in France" ou le "Made in China", le "Made in Space" vient de faire son apparition. Les astronautes de la Station spatiale internationale (ISS) viennent de créer le premier objet fabriqué dans l'espace grâce à une imprimante 3D, a indiqué dans un communiqué la Nasa, l'agence spatiale américaine. Il s'agit d'une plaque en 3D sur laquelle on peut lire "Made in Space-Nasa". Une fois réalisée, l'astronaute Barry Wilmor s'est photographié avec avant de le faire partager au monde entier.
Cette prouesse technologique a été réalisée à bord de la Station spatiale internationale (ISS) suite à l'envoi, en septembre dernier, d'une imprimante spécifique conçue par la Nasa et la société privée MadInSpace, qui évoque toutes les étapes de ce projet sur son site internet. Capable d'éjecter le plastique sans l'aide de la gravité, cette imprimante, baptisée "Zero G", apporte de nouvelles perspectives quant à la façon d'envisager les missions à bord de l'ISS. Cet exploit pourrait être le début d'une nouvelle étape dans la conquête de l'espace.
A terme, la production d'un certain nombre d'objets depuis l'ISS pourrait être possible. Ce qui permettrait de diminuer la fréquence des envois de matériel depuis la Terre et donc de réaliser une certaine économie. Jusqu'à présent, les pièces détachées et de rechange étaient acheminées via une navette spatiale. Néanmoins, il faudra attendre encore quelques semaines pour savoir si ce premier objet fabriqué dans l'espace n'a pas de défauts.
Pour la petite histoire, le premier objet à avoir été réalisé dans l'espace est une pièce de l'imprimante 3D. Car "si demain nous utilisons des imprimantes 3D dans l'espace pour remplacer rapidement des pièces, la priorité est d'être capable de fabriquer l'imprimante elle-même", a expliqué dans un communiqué Niki Werkheiser, responsable du projet à la Nasa.
Ah oui malin.moinsdewatt a écrit :http://www.francesoir.fr/societe-scienc ... epuis-lissNasa: première impression 3D depuis l'ISS
Les astronautes de la Station spatiale internationale (ISS) ont imprimé, pour la première fois, un objet dans l'espace grâce à une imprimante 3D. Considérée comme une nouvelle étape dans la conquête spatiale, cette prouesse pourrait révolutionner la conquête de l'espace.
28 Novembre 2014
Après le "Made in France" ou le "Made in China", le "Made in Space" vient de faire son apparition. Les astronautes de la Station spatiale internationale (ISS) viennent de créer le premier objet fabriqué dans l'espace grâce à une imprimante 3D, a indiqué dans un communiqué la Nasa, l'agence spatiale américaine. Il s'agit d'une plaque en 3D sur laquelle on peut lire "Made in Space-Nasa". Une fois réalisée, l'astronaute Barry Wilmor s'est photographié avec avant de le faire partager au monde entier.
Cette prouesse technologique a été réalisée à bord de la Station spatiale internationale (ISS) suite à l'envoi, en septembre dernier, d'une imprimante spécifique conçue par la Nasa et la société privée MadInSpace, qui évoque toutes les étapes de ce projet sur son site internet. Capable d'éjecter le plastique sans l'aide de la gravité, cette imprimante, baptisée "Zero G", apporte de nouvelles perspectives quant à la façon d'envisager les missions à bord de l'ISS. Cet exploit pourrait être le début d'une nouvelle étape dans la conquête de l'espace.
A terme, la production d'un certain nombre d'objets depuis l'ISS pourrait être possible. Ce qui permettrait de diminuer la fréquence des envois de matériel depuis la Terre et donc de réaliser une certaine économie. Jusqu'à présent, les pièces détachées et de rechange étaient acheminées via une navette spatiale. Néanmoins, il faudra attendre encore quelques semaines pour savoir si ce premier objet fabriqué dans l'espace n'a pas de défauts.
Pour la petite histoire, le premier objet à avoir été réalisé dans l'espace est une pièce de l'imprimante 3D. Car "si demain nous utilisons des imprimantes 3D dans l'espace pour remplacer rapidement des pièces, la priorité est d'être capable de fabriquer l'imprimante elle-même", a expliqué dans un communiqué Niki Werkheiser, responsable du projet à la Nasa.
Tu doutes fort bien.Sifar a écrit : Mais je doute qu'aujourd'hui les imprimantes 3d soient capables de manipuler des matériaux au standard aérospatial.
Pour l'instant. J'imagine que ça cogite dur de ce côté pour améliorer la cohésion du produit.ET46 a écrit :Un alliage métallique digne de ce nom tire ses propriétés de résistance de sa structure cristallographique, elle même obtenue à partir d'un processus industriel lourd et exigeant. Rien à voir avec ces machins qui déposent des couches de matières sans liens "solides" entre elles.
http://tempsreel.nouvelobs.com/galeries ... mages.htmlDésormais, Barack Obama a son buste réalisé grâce à l'impression 3D.
Le 2 décembre, la Maison-Blanche a diffusé sur son blog le making-of de la séance qui a abouti à cette production. Outre le buste, l'empreinte du visage du président américain a également été conçue avec la même technique. Le résultat est à admirer au siège de la Smithsonian Institution, à l'origine du projet, à Washington, jusqu'au 31 décembre.
(Digital Program Office/Smithsonian Institution)
Publié le 06-12-2014 à 09h20 par L' Obs
![]()
et maintenant, on l'utilise... pour tatouer !
et dire qu'il reste des gens pour douter du progrès que ce truc va apporter au genre humain !Barack Obama a son buste réalisé grâce à l'impression 3D.
pimono a écrit :en réalité tout était feu de paille pour noyer le poisson !
Pooteen président !Shermann a écrit :It's a jungle out there : 978-2412019689
ils font épais...guinioul a écrit :oui d'ailleurs ils font comment pour le canon ?
Pooteen président !Shermann a écrit :It's a jungle out there : 978-2412019689
lire ici ; http://www.usine-digitale.fr/article/au ... 3d.N302181Autodesk veut devenir le Google de l’impression 3D
08 Dec 2014 Usine Nouvelle
Une plate-forme logicielle, une offre matérielle, et désormais un fonds pour financer les start-up. Autodesk s’appuie sur ces trois piliers pour faire évoluer le monde de la fabrication additive, ou impression 3D.
..........
Toutes les armes à feu "imprimées" opérationnelles consistaient en fait à enrober une partie métallique classique avec des pièces en impression 3D...defrance69 a écrit :ils font épais...guinioul a écrit :oui d'ailleurs ils font comment pour le canon ?
Pooteen président !Shermann a écrit :It's a jungle out there : 978-2412019689
Des chercheurs de l'université Monash de Melbourne, en Australie, ont fait la démonstration du potentiel de l'impression 3D pour imprimer du métal de haute qualité. L'équipe, qui a travaillé un an sur ce projet, a créé les moteurs en démontant pièce par pièce de vieux exemplaires et en scannant chaque composant. Les engins sont des répliques du moteur à turbines à gaz de l'équipementier aéronautique français Safran
« L'important, c'est la reconnaissance par les principaux fabricants et sociétés d'ingénierie comme Safran et Airbus que le matériel que vous pouvez concevoir en utilisant du métal imprimé est de qualité aéronautique », a déclaré Ian Smith, membre de l'équipe scientifique.
Ben c'est justement ce qui est écrit dans les 3 lignes de citations de l'article que j'ai mises...moinsdewatt a écrit :La vrai question est est ce qu' un tel équipement pourrait voler et étre certifié.
Amusant, cela voudrait dire, dans la perspective d'une économie plus sobre, qu'on pourrait avoir de l'électroménager et de manière générale des produits mécaniques qu'on pourrait garder trèès longtemps, avec possibilité de rénover chez les nouveaux artisans du coin, avec beaucoup d'emploi locaux. Le passage de l'industrie à une nouvelle forme d'artisanat high tech ?pigiste a écrit :Ben c'est justement ce qui est écrit dans les 3 lignes de citations de l'article que j'ai mises...moinsdewatt a écrit :La vrai question est est ce qu' un tel équipement pourrait voler et étre certifié.
Quoiqu'il en soit, si on en est à se poser la question de la certification aéronautique civile, cela signifie que l'impression 3D de pièces de voitures ou d'électroménager, ce n'est plus de la S-F.
Non, la vraie question est de savoir si l'impression coûte plus cher qu'une fabrication classique, si c'est plus lent et le prix de l'imprimante.moinsdewatt a écrit :La vrai question est est ce qu' un tel équipement pourrait voler et étre certifié.
bien sûr, il y a des fpga programmables et le principe de fabrication c'est de la photolithographie, ça ressemble beaucoup sur le principe à une "impression 3d" vu que ça se fait couche par couche par une machine.guzy1971 a écrit :
Bon, y a quand même un truc à pas oublier : tous nos équipements, y compris la machine à laver de base, fonctionnent avec de l'électronique. On est loin de la simple mécanique. On peut faire des puces et des circuits intégrés en 3 D ?
Non, les deux sont importantes. Si ça coûte moins cher à produire mais que ça peut pas être certifié/utilisé pour remplacer des pièces existantes, ça sert à rienwasabi a écrit :Non, la vraie question est de savoir si l'impression coûte plus cher qu'une fabrication classique, si c'est plus lent et le prix de l'imprimante.moinsdewatt a écrit :La vrai question est est ce qu' un tel équipement pourrait voler et étre certifié.
Logiquement cette question vient une fois que le problème de la rentabilité est réglé, si c'est pas rentable osef que ça soit certifiable, donc c'est moins important.YoppY a écrit :Non, les deux sont importantes. Si ça coûte moins cher à produire mais que ça peut pas être certifié/utilisé pour remplacer des pièces existantes, ça sert à rienwasabi a écrit :Non, la vraie question est de savoir si l'impression coûte plus cher qu'une fabrication classique, si c'est plus lent et le prix de l'imprimante.moinsdewatt a écrit :La vrai question est est ce qu' un tel équipement pourrait voler et étre certifié.
Et pour connaitre la rentabilité, faut bien savoir ce que coûte la production en qualité "certifiable", et si on peut réellement arriver à le réaliser.wasabi a écrit :Logiquement cette question vient une fois que le problème de la rentabilité est réglé, si c'est pas rentable osef que ça soit certifiable, donc c'est moins important.YoppY a écrit :Non, les deux sont importantes. Si ça coûte moins cher à produire mais que ça peut pas être certifié/utilisé pour remplacer des pièces existantes, ça sert à rienwasabi a écrit :Non, la vraie question est de savoir si l'impression coûte plus cher qu'une fabrication classique, si c'est plus lent et le prix de l'imprimante.moinsdewatt a écrit :La vrai question est est ce qu' un tel équipement pourrait voler et étre certifié.
Les circuits intégrés sont réalisés sur des wafers Silicium dans des usines de semiconducteurs.guzy1971 a écrit : .Bon, y a quand même un truc à pas oublier : tous nos équipements, y compris la machine à laver de base, fonctionnent avec de l'électronique. On est loin de la simple mécanique. On peut faire des puces et des circuits intégrés en 3 D ?
Oh non, c'est plus simple (et beaucoup plus complexe en terme de modèle économique) que ça :wasabi a écrit :Non, la vraie question est de savoir si l'impression coûte plus cher qu'une fabrication classique, si c'est plus lent et le prix de l'imprimante.moinsdewatt a écrit :La vrai question est est ce qu' un tel équipement pourrait voler et étre certifié.
J'ai des gros doutes quand même. Ok, on copie la forme, mais quid des caractéristiques mécaniques. Dans le domaine des métaux, la façon dont on obtient le matériau va jouer énormément sur sa résistance à la traction, sa dureté, etc. Par exemple, les ailettes de turbine : je me souviens qu'il y a un procédé qui permet d'obtenir que chaque ailette soit en fait un seul gros cristal plutôt qu'un agrégat de petits cristaux.pigiste a écrit :Là ça devient sérieux![]()
http://www.lemonde.fr/sciences/article/ ... 50684.html
Deux réacteurs d'avion reproduits par impression 3D
Des chercheurs de l'université Monash de Melbourne, en Australie, ont fait la démonstration du potentiel de l'impression 3D pour imprimer du métal de haute qualité. L'équipe, qui a travaillé un an sur ce projet, a créé les moteurs en démontant pièce par pièce de vieux exemplaires et en scannant chaque composant. Les engins sont des répliques du moteur à turbines à gaz de l'équipementier aéronautique français Safran« L'important, c'est la reconnaissance par les principaux fabricants et sociétés d'ingénierie comme Safran et Airbus que le matériel que vous pouvez concevoir en utilisant du métal imprimé est de qualité aéronautique », a déclaré Ian Smith, membre de l'équipe scientifique.
Metoo. Si c'était fonctionnel, ils ne se seraient pas privés de les montrer en train de tourner, ne serait-ce qu'au ralenti.Bidibulle a écrit :J'ai des gros doutes quand même. Ok, on copie la forme, mais quid des caractéristiques mécaniques.
Pooteen président !Shermann a écrit :It's a jungle out there : 978-2412019689
Vous ''simplifiez'' outrageusement.pigiste a écrit :Oh non, c'est plus simple (et beaucoup plus complexe en terme de modèle économique) que ça :wasabi a écrit :Non, la vraie question est de savoir si l'impression coûte plus cher qu'une fabrication classique, si c'est plus lent et le prix de l'imprimante.moinsdewatt a écrit :La vrai question est est ce qu' un tel équipement pourrait voler et étre certifié.
Ton lave-linge est en panne. Tu as trois possibilités :
-1. Faire venir la pièce de rechange de Chine pour 5 € ; mais ça va prendre 5 semaines pour la livraison.
-2. Racheter un nouveau lave-linge pour 350€ ; tu es livré dans 24h par Darty.
-3. Faire imprimer la pièce défectueuse dans un pseudo "copy-200" (pour ceux qui ont connu), ça va te coûter 20€ et ça va prendre 72h...
On est dans le changement de paradigme.
Il est question ici de rentabilité économique à utiliser l'imprimante 3D pour fabriquer des objets technologiquement exigeants mais en quantité restreinte (le réacteur) plutôt que les processus classiques. Là vous répondez pour des objects technologiquement abordables diffusés en quantité importante mais dont le lieu de fabrication est éloigné et le coût unitaire en série beaucoup beaucoup plus faible que le prix unitaire en pièce d'usure. Rien à voir donc.pigiste a écrit :Oh non, c'est plus simple (et beaucoup plus complexe en terme de modèle économique) que ça :wasabi a écrit :Non, la vraie question est de savoir si l'impression coûte plus cher qu'une fabrication classique, si c'est plus lent et le prix de l'imprimante.moinsdewatt a écrit :La vrai question est est ce qu' un tel équipement pourrait voler et étre certifié.
Ton lave-linge est en panne. Tu as trois possibilités :
-1. Faire venir la pièce de rechange de Chine pour 5 € ; mais ça va prendre 5 semaines pour la livraison.
-2. Racheter un nouveau lave-linge pour 350€ ; tu es livré dans 24h par Darty.
-3. Faire imprimer la pièce défectueuse dans un pseudo "copy-200" (pour ceux qui ont connu), ça va te coûter 20€ et ça va prendre 72h...
On est dans le changement de paradigme.
L'article ne dit aucunement si cela fonctionne. Pourtant c'est le plus important!pigiste a écrit :Ben c'est justement ce qui est écrit dans les 3 lignes de citations de l'article que j'ai mises...moinsdewatt a écrit :La vrai question est est ce qu' un tel équipement pourrait voler et étre certifié.
Quoiqu'il en soit, si on en est à se poser la question de la certification aéronautique civile, cela signifie que l'impression 3D de pièces de voitures ou d'électroménager, ce n'est plus de la S-F.
Nous en sommes au stade du Mario de 1981.ET46 a écrit :la qualité est très très loin d'être au rendez vous.
C'est un peu comme le mec qui donnerait son avis sur la nouvelle imprimerie du journal Le Monde au motif qu'il a essayé une imprimante matricielle 8 aiguilles...ET46 a écrit : Pour avoir moi même testé des impressions 3D plastiques, je peux affirmer que l'on en est au stade de la bidouille et du gadget inutile
Je comprends pas tout ce que tu racontes mais c'est agréable de voir que sur ce forum il y a des gens bien informés sur un sujet, ça évite de se laisser gaver par métro et direct matin.ET46 a écrit :1- Je fréquente pas les barbus, cheveux gras, qui sentent la pizza et qui font joujou avec des boites de conserve
2- C'est toi qui parle de changement de paradigme en prenant pour exemple une réparation de lave linge en faisant imprimer dans un "copy-200". J'ai justement testé le "copy-200" (pas la rep-rap, hein, une vrai machine à plusieurs milliers d'euros), et je maintiens que de ce qu'en j'ai vu, ça produit de la 'Mot2Cambronne' en barre loin des standards industriels
3- Il a été soulevé précédemment que les pièces qui tombent en panne sur l'électroménager sont généralement de l'électrique ou bien des pièces mobiles (pompe). Ca tu imprimeras jamais (ou alors à un tarif prohibitif)
4- Je n'ai pas nié qu'il existe des pièces imprimées de meilleure qualité, mais pas à des tarifs "démocratiques" (là dessus, prière de croire que je serais ravi de me tromper )
Concernant les types qui se vantent d'avoir imprimé des maquettes de turbomachines (qui ne marchent évidemment pas) en avançant que " le matériel que vous pouvez concevoir en utilisant du métal imprimé est de qualité aéronautique", ce qui en soit est une phrase bien bateau qui ne veut rien dire, il aurait été préférable que ces messieurs nous fournissent la courbe allongement-contrainte d'une éprouvette de traction (suivant la norme ASTM E8-04), imprimée 3D, pour que l'on commence à discuter (je dis bien "commencer"). Et qu'on les compare à celles des alliages usuels. Là on pourra voir le comportement mécanique du métal imprimé.
Je pense pour ma part qu'il ne faut pas se tromper sur l'impression 3D. Ce procédé me parait intéressant non pas pour fabriquer les pièces obtenues par les procédés usuels de fabrication (qui sont eux déjà bien rationalisés), mais pour fabriquer des formes qu'il est impossible d'obtenir par ces mêmes procédés (par exemple les évidements non débouchants).
Dépêchezvous de rejoindre Rolls-Royce ou Airbus, je pense qu'ils sont désireux de vous payer une fortune afin que vous leur expliquiez pourquoi ils ne font que des conneries depuis 2 ans.ET46 a écrit : Concernant les types qui se vantent d'avoir imprimé des maquettes de turbomachines (qui ne marchent évidemment pas) en avançant que " le matériel que vous pouvez concevoir en utilisant du métal imprimé est de qualité aéronautique", ce qui en soit est une phrase bien bateau qui ne veut rien dire, il aurait été préférable que ces messieurs nous fournissent la courbe allongement-contrainte d'une éprouvette de traction (suivant la norme ASTM E8-04), imprimée 3D, pour que l'on commence à discuter (je dis bien "commencer"). Et qu'on les compare à celles des alliages usuels. Là on pourra voir le comportement mécanique du métal imprimé.
http://www.dailymail.co.uk/news/article ... gines.htmlRolls-Royce will flight-test later this year a Trent XWB-97 engine fitted with what it claims is the largest component ever built using additive layer manufacturing (ALM).
The titanium structure is a 1.5m-diameter and 0.5m-thick front bearing housing containing 48 aerofoils, manufactured using the ALM technique, also known as 3D printing.
The UK propulsion giant has already ground-tested several XWB-97s – the sole engine for the in-development Airbus A350-1000 – containing the tractor-tyre-sized part, but no engine including such a large ALM component has ever powered an aircraft in flight, says Rolls-Royce.
Parts of Rolls-Royce engines powering passenger jets could soon be made by 3D printers.
The British firm says the technique could allow it to produce complicated components more quickly and cheaply.
Clair, tous les mots progressistes du moment :vpl a écrit : Une architecte suédoise ambitionne d’installer des immeubles sur l’eau en recourant à une imprimante 3D utilisant une encre composée à partir de béton recyclé.
L'est pas parfaitement bô ce titre ??!!