Vincent92 a écrit : ↑08 oct. 2018, 18:49
Ce qui fait la puissance de ces entreprises spécifiquement c'est entre autres :
- La trésorerie (qui leur permet d'acheter/d’adsorber un peu près tout ce qu'elles veulent)
ça ne les caractérise pas, en tout cas pas toutes.
Google a de la trésorerie
Amazon réinvestit tout chaque année, ils n'ont rien en réserve
Facebook n'a pas gagné assez pour avoir beaucoup de trésorerie. Ses achats elle les fait par échange d'actions en profitant de la valorisation délirante de ses actions
Apple a de la trésorerie à l'étranger qu'elle a du mal à rapatrier à causes de manœuvres trop voraces d'évitement d'impôt.
Microsoft a gagné beaucoup d'argent il y a quelques années et s'est créé un trésor de guerre, mais actuellement l'entreprise est à la ramasse dans tous ses marchés principaux (OS, Office, Jeux vidéos, matériels).
- Le fait de ne pas avoir à marchander pour des matière premières ou des nouveaux utilisateurs
Par marchander vous voulez dire faire de la pub pour attirer les clients ?
Apple en fait. Microsoft en a fait massivement du temps de sa gloire, et en fait toujours un peu. Amazon n'en a longtemps pas fait mais les derniers temps ils en font beaucoup partout.
- Leur nombre d'utilisateurs (1/3 de l'humanité dont une bonne partie qui s'en sert tous les jours)
Bien plus que 2/3 de la population mondiale n'utilise ni Amazon, ni Apple. Microsoft c'est plus qu'1/3 qui l'utilise mais grâce à un produit sorti il y a presque 10ans (W7) sinon ça doit être moins. Le premier OS mondial c'est Linux ( avec sa variante Android et les serveurs). Et Facebook j'ai toujours un doute sur son nombre d'utilisateurs, moi j'ai commencé l'ouverture d' un compte vers 2008 sans terminer la création, et je reçois toujours des trucs dans mes spams et suis sûrement compté en utilisateur régulier vu que régulièrement il y a de la communication entre eux et moi.
Bref, ça ne les caractérise pas. Mais là on est vraiment HS.
"Le marché peut rester irrationnel plus longtemps que vous ne pouvez rester solvable" - J.M. Keynes, 1936