Le marché landais accuse une baisse des volumes de transaction et des prix de l'ordre de 10 à 15 %. La côte est un peu moins impactée que l'intérieur
Et la conclusion :Les incertitudes liées à la conjoncture économique sont bien évidemment à l'origine de cette tendance. Et elles ne sont pas rattrapées par la baisse des taux de crédit qui pourrait inciter les acquéreurs à investir. « C'est tout le paradoxe, convient Thierry Audouard. Les taux d'intérêt sont bas, mais il y a moins de candidatures retenues par les banquiers. Du coup, le nombre de prêts ne se développe pas, et les transactions non plus. » Les organismes de crédit sont de plus en plus exigeants en terme de garanties avant de signer un contrat. Ce qui freine les ardeurs des acheteurs de résidences principales comme de résidences secondaires.
Rendez-vous en 2015...Le patron de la Fnaim dans les Landes demeure néanmoins optimiste. L'explosion démographique que connaît la région et plus particulièrement les Landes [NDR : +1,4% par an -> http://www.insee.fr/fr/themes/document. ... f_id=15873 ] est plutôt une bonne nouvelle pour l'immobilier. « On est dans une région attrayante, les gens ont envie et besoin de s'installer, le marché repartira probablement à la hausse d'ici à deux ans. L'immobilier a toujours été marqué par des cycles. J'ai bon espoir pour l'avenir ».
D'après les notaires, les prix sont quasiment stables : http://immoprix.com/ipStat.php?zg=d&d=4 ... p=40&c=&a=
Le taux de logements vacants est de 6% en 2008 en hausse. Le nombre de logements est passé de 184 000 à 226 000 entre 1999 et 2008 (+42 000) alors que le nombre de ménage est passé de 133 000 à 162 000 dans le même temps (+29 000).
http://www.recensement-2008.insee.fr/ch ... Rechercher