Euh... comme les entreprises ne sont pas des démocraties, les états non plus ne doivent pas en être ?
Désolé, j'ai dû louper une étape dans ta démonstration, tu peux la refaire ?
Euh... comme les entreprises ne sont pas des démocraties, les états non plus ne doivent pas en être ?
Des conneries on en lit à la pelle sur ce forum, mais celle-ci remporte le pompon.saturne a écrit : ↑16 janv. 2019, 22:18Tout ce que vous proposez imaginez peut se ramener à UNE SEULE mesure:
Taxation confiscatoire (avec à terme: Interdiction législative) aux percepteurs de revenus PUBLICS d'avoir une activité ou des revenus immobiliers PRIVES (bail, plus-value, foncières, etc.)
Oui à l'impôt public. Non à l'impôt privé.
Effet immédiat (en une législature)
-- Les salariés de la fonction publique (État,Région,Commune) disparaissent du "marché". On ne peut pas parler de marché libre quand les 2/3 des acteurs fonctionnent en réalité comme des agents doubles: d'un côté ils sont payés par nos impots publics, et de l'autre, on leur permet d'utiliser leurs revenus publics pour "hympestir" dans l'immobilier afin de prélever un impôt privé sur leurs concitoyens.
+1 et plus encore. Pas d'HLM et pas d'aide au logement pour les étrangers.
Pas de taxe sur les plus values.- Taxe dégressive sur les plus value immobilière commençant à 100% de taxe et jusqu'à 0% pour la résidence principale et jusqu'au niveau actuel pour le reste au bout de 5 ans.
oui !- Suppression des droits de mutation
- Compenser les recettes manquantes (Suppression DDM - nouvelle taxe sur les PV) avec une hausse de la taxe foncière (compensation de la perte pour les acheteurs récents)
oui. Il faut multiplier les bailleurs pour que louer soit moins cher pas éliminer les bailleurs pour que louer soit plus cher.- Retirer les "permis de louer"
Oui- Rendre plus transparent les prix (obliger les notaires à mettre à jour leur base)
oui. Et lâcher plein de droit à bâtir pour que le prix du droit à bâtir s'effondre. Limiter les obligations d'aménagement public. Dans mon monde idéal, on aurait le droit de se bâtir une maison au fond d'un bois (de son bois). Mais on se démerde pour construire sa route, sa ligne téléphonique, son électricité, sa fosse à caca, son transport scolaire etc...). Je peux me tromper. Donc de fait on préferera quand même l'agglomération à service mais les prix seront détendus.- Assouplir les normes
Oui.- Faire en sorte qu'il soit plus facile d'expulser un mauvais payeur (justice plus rapide, baux plus équilibrés,...)
?- Sanctionner beaucoup plus durement les fraudeurs
Oui. 5% de hlm. Pour les pauvres français (jeunes qui démarrent...)- Diminuer le quota minimum de HLM
Pourquoi pas- Maximum 5 logements/personne (taxe très dissuasive si ce n'est pas le cas).
Cette mesure accompagne les deux suivantes : Retirer les DDM encourage la spéculation. Le fait de taxer la plus value permet de diminuer la spéculation. Et le fait de taxer uniquement les 5 premières années ne change rien pour un investisseur moyen/long terme (ce qui est différent d'un spéculateur) ou quelqu'un qui veut se loger normalement.
La justice n'est pas assez sévère avec les fraudeurs (airBnB, locataires qui ne paient pas, marchands de sommeil,...).Goldorak2 a écrit :?Vincent92 a écrit :- Sanctionner beaucoup plus durement les fraudeurs
Je ne sais pas pour Goldorak2 mais je n'ai personnellement rien contre les non blanc ou les noirs en particulier . Ma règle s'appliquerait aussi bien pour un chinois, un ivoirien ou un polonais.
Il faudrait clairement séparer la destination des HLM : des quartiers pour wesh et des quartiers pour souchiens, y compris dans les villes du 93 qui contiennent une grosse partie du parc HLM d'IDF. Aujourd'hui beaucoup de souchiens refusent quand on leur propose un HLM du 93 (à juste titre, ils tiennent à leur vie), une partition claire des quartiers HLM leur permettrait de pouvoir habiter dans un quartier vivable y compris dans le 93.
c'est la première étape. La deuxième est que le rab de frites à la cantoche soit lié au mérite. Restriction calorique pour les moins vertueux, ainsi ils s'éteignent d'eux même. C'est la technique de la carotte et du bâton en même temps : récompensé par le minimum nécessaire.ignatius a écrit : ↑18 janv. 2019, 07:07Des conneries on en lit à la pelle sur ce forum, mais celle-ci remporte le pompon.saturne a écrit : ↑16 janv. 2019, 22:18Tout ce que vous proposez imaginez peut se ramener à UNE SEULE mesure:
Taxation confiscatoire (avec à terme: Interdiction législative) aux percepteurs de revenus PUBLICS d'avoir une activité ou des revenus immobiliers PRIVES (bail, plus-value, foncières, etc.)
Oui à l'impôt public. Non à l'impôt privé.
Effet immédiat (en une législature)
-- Les salariés de la fonction publique (État,Région,Commune) disparaissent du "marché". On ne peut pas parler de marché libre quand les 2/3 des acteurs fonctionnent en réalité comme des agents doubles: d'un côté ils sont payés par nos impots publics, et de l'autre, on leur permet d'utiliser leurs revenus publics pour "hympestir" dans l'immobilier afin de prélever un impôt privé sur leurs concitoyens.
Les 5 millions de fonctionnaires deviennent un race de sous-citoyens, juste bons à vous servir, et dénués de tous droits ?
Vous faites la différence entre vie publique /professionnelle et vie privée /gestion du patrimoine personnel ?
Vous rêvez d'une armée de domestiques, avec des castes et des sous-ordres ?
Et vous vous placeriez à quel niveau dans ce dispositif ?
Oui. Et un gauchiste par exemple ira au milieu de la mixité sociale pour l’égalité des chances. Ainsi il pourra mettre en accord ses convictions à la pratiqueBen92 a écrit : ↑18 janv. 2019, 11:34Il faudrait clairement séparer la destination des HLM : des quartiers pour wesh et des quartiers pour souchiens, y compris dans les villes du 93 qui contiennent une grosse partie du parc HLM d'IDF. Aujourd'hui beaucoup de souchiens refusent quand on leur propose un HLM du 93 (à juste titre, ils tiennent à leur vie), une partition claire des quartiers HLM leur permettrait de pouvoir habiter dans un quartier vivable y compris dans le 93.
Tu veux donc institutionnaliser le phénomène de ghettoïsation qui se produit déjà naturellement.Ben92 a écrit : ↑18 janv. 2019, 11:34Il faudrait clairement séparer la destination des HLM : des quartiers pour wesh et des quartiers pour souchiens, y compris dans les villes du 93 qui contiennent une grosse partie du parc HLM d'IDF. Aujourd'hui beaucoup de souchiens refusent quand on leur propose un HLM du 93 (à juste titre, ils tiennent à leur vie), une partition claire des quartiers HLM leur permettrait de pouvoir habiter dans un quartier vivable y compris dans le 93.
On dirait que tu n'as aucune idée du désarroi des souchiens modestes en IDF. Sauf pour quelques chanceux qui ont obtenu un HLM dans quartier sympa, les autres ont le choix entre un HLM dans une cité de wesh, et dans le privé leurs moyens ne leur permettent pas d"éviter de vivre parmi les wesh. Sauf à aller au fins fond de l'IDF, r ce que beaucoup font d'ailleurs malgré 3 à 4 heures de transports par jour.Praséodyme a écrit : ↑18 janv. 2019, 11:59Tu veux donc institutionnaliser le phénomène de ghettoïsation qui se produit déjà naturellement.
C'est de la provocation ou tu es sérieux ?
Il y a des viles avec assez peu d'immigration. Il y a moins de communautarisme effectivement (de fait, plus les gens se ressemblent moins c'est nécessaire). Mais cela n'empêche pas les problèmes dans les cités. Penser que les "souchiens" (il faudrait définir ce que cela veut dire) ne foutent pas le bordel est assez hallucinant.Ben92 a écrit : ↑18 janv. 2019, 12:11On dirait que tu n'as aucune idée du désarroi des souchiens modestes en IDF. Sauf pour quelques chanceux qui ont obtenu un HLM dans quartier sympa, les autres ont le choix entre un HLM dans une cité de wesh, et dans le privé leurs moyens ne leur permettent pas d"éviter de vivre parmi les wesh. Sauf à aller au fins fond de l'IDF, r ce que beaucoup font d'ailleurs malgré 3 à 4 heures de transports par jour.Praséodyme a écrit : ↑18 janv. 2019, 11:59Tu veux donc institutionnaliser le phénomène de ghettoïsation qui se produit déjà naturellement.
C'est de la provocation ou tu es sérieux ?
Je propose des quartiers HLM "sanctuaires", (pas à Paris bien sûr mais là où l'immobilier est pas trop cher, le 93 et une partie du 92 et 94) pour ce populations-là, pour qu'elles puissent vivre mieux, avec des gens qui leurs ressemblent, sans dealers et communautarisme exacerbé.
Arrêtez de parler de ghettoïsation. De toute façon ces quartiers sont déjà foutus, alors foutus pour foutus...
la ghettoïsation en France ne s'est pas produite naturellement. Tout a été décidé administrativement. Chercher des blédards juste après la décolonisation avec campagne de pub sur place pour calmer les ouvriers français et leurs prétentions salariales, affréter des ferrys, leur construire des logements HLM, créer des lois obligeant les taux de HLM, regrouper les HLM par origine ethnique pour diminuer les tensions intercommunautaires, le regroupement familial...Praséodyme a écrit : ↑18 janv. 2019, 11:59Tu veux donc institutionnaliser le phénomène de ghettoïsation qui se produit déjà naturellement.Ben92 a écrit : ↑18 janv. 2019, 11:34Il faudrait clairement séparer la destination des HLM : des quartiers pour wesh et des quartiers pour souchiens, y compris dans les villes du 93 qui contiennent une grosse partie du parc HLM d'IDF. Aujourd'hui beaucoup de souchiens refusent quand on leur propose un HLM du 93 (à juste titre, ils tiennent à leur vie), une partition claire des quartiers HLM leur permettrait de pouvoir habiter dans un quartier vivable y compris dans le 93.
C'est de la provocation ou tu es sérieux ?
Il y en a bien sûr (cf. les gilets jaunes), mais en proportion moindre que dans les familles d'origine africaine. Quant aux dealers, quasi tous les dealers de cité sont d'origine africaine (maghreb ou Afrique sub-saharienne). Il existe des dealers souchiens, mais ils sont plus discrets, et ne sont pas impliqués dans les affrontements en bandes et ne squattent pas les halls d'immeubles.
Kamou et Goldo, respectivement fils d'immigrés portugais et italiens sont-ils des « souchiens » parce que blancs et de culture catholique ?
Ce permis de louer, ça peut avoir une utilité si les fraudeurs sont lourdement sanctionnés.miguel a écrit : ↑18 janv. 2019, 15:49Le permis de louer, leur dernière trouvaille admnistrative est un véritable désastre dans ma ville plusieurs bailleurs jette l'éponge. Par contre les mauvais bailleurs qui font pas de baux a des sans papiers ou autres sz frottent les mains.
Mais bon inutile dexpliquer cela aux politiques ils veulent pas reconnaître quils ont tort.
Cest a force de pondre des lois et des normes que la penurie s'amplifie et au final le parc locatif restant privé se réduit et les prix montent.
Jai voulu expliquer cela aux elus qui dirigent ma ville, jai été stigmatisé et victime de représailles.
Donc maintenant je dis plus rien.
Moi je sais comment ils pourraient attraper les fraudeurs ou marchands de sommeil. Mais je le dirai pas sur un forum, ils ont qu'a travailler leur neurones ceux qui sont payés un pognon de dingue et qui pondent des lois.Praséodyme a écrit : ↑18 janv. 2019, 15:58Ce permis de louer, ça peut avoir une utilité si les fraudeurs sont lourdement sanctionnés.miguel a écrit : ↑18 janv. 2019, 15:49Le permis de louer, leur dernière trouvaille admnistrative est un véritable désastre dans ma ville plusieurs bailleurs jette l'éponge. Par contre les mauvais bailleurs qui font pas de baux a des sans papiers ou autres sz frottent les mains.
Mais bon inutile dexpliquer cela aux politiques ils veulent pas reconnaître quils ont tort.
Cest a force de pondre des lois et des normes que la penurie s'amplifie et au final le parc locatif restant privé se réduit et les prix montent.
Jai voulu expliquer cela aux elus qui dirigent ma ville, jai été stigmatisé et victime de représailles.
Donc maintenant je dis plus rien.
Généralement, les taudis et les pratiques mafieuses pour exploiter la misère sont à peu près connues. Mais dans un marché de la location immo parfaitement libéral, on n'a aucun moyen de lutter contre les marchands de sommeil.
Quelles autres solutions y aurait-il ?
ExcellentPraséodyme a écrit :Oui, on sait. Plus une discussion s'étend sur ce forum, plus il est probable qu'elle dérive sur l'immigration.
On appelle ça le point Goldo.
Oui, j'imagine bien un marchand de sommeil (le vrai hein, pas celui qui loue un bien de 8,75m2 en pensant que ca fait 9m2) aller en mairie pour demander un permis de louer . Décidément, je rigole bien avec tes postes aujourd'hui.Praséodyme a écrit : ↑18 janv. 2019, 15:58Ce permis de louer, ça peut avoir une utilité si les fraudeurs sont lourdement sanctionnés.
Généralement, les taudis et les pratiques mafieuses pour exploiter la misère sont à peu près connues. Mais dans un marché de la location immo parfaitement libéral, on n'a aucun moyen de lutter contre les marchands de sommeil.
Le plus efficace est de mettre plus de fonctionnaires sur le terrain pour aller contrôler et faire appliquer la loi. Ce n'est pas parce qu'il y a un problème qu'il faut pondre une taxe ou une norme. Saleté de logique bureaucratiqueQuelles autres solutions y aurait-il ?
Tout le monde veut avoir son chez lui à lui, personne ne rêve de payer un loyer.Praséodyme a écrit : ↑18 janv. 2019, 15:58
Généralement, les taudis et les pratiques mafieuses pour exploiter la misère sont à peu près connues. Mais dans un marché de la location immo parfaitement libéral, on n'a aucun moyen de lutter contre les marchands de sommeil.
Quelles autres solutions y aurait-il ?
Justement, les margoulins sont connus dans leur quartier mais dans un marché libéral on n'a aucun moyen de les sanctionner.
Si tu les connais tu peux deja les choper. Il n'y a pas besoin d'inventer un permis pour ça. Ca n'apporte rien.Praséodyme a écrit : ↑18 janv. 2019, 17:23Justement, les margoulins sont connus dans leur quartier mais dans un marché libéral on n'a aucun moyen de les sanctionner.
Là il n'y a plus qu'à les chopper pour défaut de permis.
T'inquiètes pas Ignatius, ils vont continuer à essayer de vous envoyer des seaux de caca à la figure comme ils ont fait avec Laetitia mais la propagande qui consiste à faire croire que les fonctionnaires sont couteux, glandent et ne servent à rien est en train de tomber à l'eau, plus personne n'y croit, la populace est avec vous. Les gens tiennent beaucoup à leurs services publics.
Tu les connais, mais tu peux les faire tomber pour quel motif si le marché est parfaitement libre ?Vincent92 a écrit : ↑18 janv. 2019, 17:32Si tu les connais tu peux deja les choper. Il n'y a pas besoin d'inventer un permis pour ça. Ca n'apporte rien.Praséodyme a écrit : ↑18 janv. 2019, 17:23Justement, les margoulins sont connus dans leur quartier mais dans un marché libéral on n'a aucun moyen de les sanctionner.
Là il n'y a plus qu'à les chopper pour défaut de permis.
On parle d'une pratique illégale avec des structures en dur et des locataires. Les preuves restent. Ce n'est pas comme un dealer qui pourrait se débarrasser de son sac au dernier moment...
Je ne comprends pas pourquoi tu parles d'un "marché libre". Le marché de la location est tout sauf un marché libre. Il y a des dizaines de normes à respecter pour louer légalement.Praséodyme a écrit : ↑18 janv. 2019, 18:02Tu les connais, mais tu peux les faire tomber pour quel motif si le marché est parfaitement libre ?Vincent92 a écrit : ↑18 janv. 2019, 17:32Si tu les connais tu peux deja les choper. Il n'y a pas besoin d'inventer un permis pour ça. Ca n'apporte rien.Praséodyme a écrit : ↑18 janv. 2019, 17:23Justement, les margoulins sont connus dans leur quartier mais dans un marché libéral on n'a aucun moyen de les sanctionner.
Là il n'y a plus qu'à les chopper pour défaut de permis.
On parle d'une pratique illégale avec des structures en dur et des locataires. Les preuves restent. Ce n'est pas comme un dealer qui pourrait se débarrasser de son sac au dernier moment...
Ceci dit, je ne sais pas si le défaut de permis permet vraiment de les faire tomber. Imaginons qu'un marchand de sommeil se fasse gauler. Son cas doit pouvoir se défendre :
Tu as une résidence secondaire, un truc pas génial que tu envisages de rafraîchir. Un permis de louer n'est pas obligatoire pour héberger un ami gracieusement pour le dépanner. Cela n'empêche pas cet ami de te dépanner à son tour en te filant quelques billets quand tu vas faire des courses. Pour caractériser la location illégale, il faut pouvoir prouver l'existence de la transaction. Tout se passe en liquide, voire en nature, alors la fraude est plus difficile à prouver qu'un traffic de stup.
Peut-être qu'au bout d'un certain nombre d'amis que tu « aides », ça permet au juge de distinguer un type sympa d'un marchand de sommeil.
Oh toi à la niche... fiscale !ignatius a écrit : ↑18 janv. 2019, 07:07Des conneries on en lit à la pelle sur ce forum, mais celle-ci remporte le pompon.saturne a écrit : ↑16 janv. 2019, 22:18Tout ce que vous proposez imaginez peut se ramener à UNE SEULE mesure:
Taxation confiscatoire (avec à terme: Interdiction législative) aux percepteurs de revenus PUBLICS d'avoir une activité ou des revenus immobiliers PRIVES (bail, plus-value, foncières, etc.)
Oui à l'impôt public. Non à l'impôt privé.
Effet immédiat (en une législature)
-- Les salariés de la fonction publique (État,Région,Commune) disparaissent du "marché". On ne peut pas parler de marché libre quand les 2/3 des acteurs fonctionnent en réalité comme des agents doubles: d'un côté ils sont payés par nos impots publics, et de l'autre, on leur permet d'utiliser leurs revenus publics pour "hympestir" dans l'immobilier afin de prélever un impôt privé sur leurs concitoyens.
Les 5 millions de fonctionnaires deviennent un race de sous-citoyens, juste bons à vous servir, et dénués de tous droits ?
Vous faites la différence entre vie publique /professionnelle et vie privée /gestion du patrimoine personnel ?
Vous rêvez d'une armée de domestiques, avec des castes et des sous-ordres ?
Et vous vous placeriez à quel niveau dans ce dispositif ?
Je remarque que l'exploitation immobilière de ses concitoyens est une ACTIVITÉ LUCRATIVE (comme une autre, là n'est pas la question)ignatius a écrit : ↑18 janv. 2019, 07:07Des conneries on en lit à la pelle sur ce forum, mais celle-ci remporte le pompon.saturne a écrit : ↑16 janv. 2019, 22:18Tout ce que vous proposez imaginez peut se ramener à UNE SEULE mesure:
Taxation confiscatoire (avec à terme: Interdiction législative) aux percepteurs de revenus PUBLICS d'avoir une activité ou des revenus immobiliers PRIVES (bail, plus-value, foncières, etc.)
Oui à l'impôt public. Non à l'impôt privé.
Effet immédiat (en une législature)
-- Les salariés de la fonction publique (État,Région,Commune) disparaissent du "marché". On ne peut pas parler de marché libre quand les 2/3 des acteurs fonctionnent en réalité comme des agents doubles: d'un côté ils sont payés par nos impots publics, et de l'autre, on leur permet d'utiliser leurs revenus publics pour "hympestir" dans l'immobilier afin de prélever un impôt privé sur leurs concitoyens.
Les 5 millions de fonctionnaires deviennent un race de sous-citoyens, juste bons à vous servir, et dénués de tous droits ?
Vous faites la différence entre vie publique /professionnelle et vie privée /gestion du patrimoine personnel ?
Vous rêvez d'une armée de domestiques, avec des castes et des sous-ordres ?
Et vous vous placeriez à quel niveau dns ce dispositif ?
J'imagine qu'il ne t'a pas échappé qu'il y a une différence fondamentale entre la fonction publique avant la révolution francaise et après. À la Révolution, les privilèges sont abolis et le système des offices supprimé. Les révolutionnaires proclament le libre accès aux fonctions publiques sans autre distinction que celle des talents (article 6 de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen).saturne a écrit :2) que la logique de cette interdiction -- qui vient de la saine considération qu'il faut limiter sévèrement l'"impôt privé" auquel les fonctionnaires se livre(rai)ent inévitablement -- vient de l'expérience acquise depuis la gabelle, les fermiers généraux et aujourd'hui les fonctionnaires qui complètent leurs fins de mois en tant que bailleurs.
Est ce bien possible pour l'ENA ?
Pssst. C'est le 1) qui est l'argument. (Tu es à côté de la plaque, hein).Vincent92 a écrit : ↑18 janv. 2019, 20:34J'imagine qu'il ne t'a pas échappé qu'il y a une différence fondamentale entre la fonction publique avant la révolution francaise et après. À la Révolution, les privilèges sont abolis et le système des offices supprimé. Les révolutionnaires proclament le libre accès aux fonctions publiques sans autre distinction que celle des talents (article 6 de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen).saturne a écrit :2) que la logique de cette interdiction -- qui vient de la saine considération qu'il faut limiter sévèrement l'"impôt privé" auquel les fonctionnaires se livre(rai)ent inévitablement -- vient de l'expérience acquise depuis la gabelle, les fermiers généraux et aujourd'hui les fonctionnaires qui complètent leurs fins de mois en tant que bailleurs.
Tout le monde peut aujourd'hui devenir fonctionnaire, à n'importe quel niveau. Et je ne comprends pas bien en quoi ils seraient plus ou moins nuisibles qu'un salarié du privé.
C'est toujours le débat entre égalité et égalitarisme. Je pense pour ma part qu'il est plus important d'avoir des personnes "compétentes" (au sens : qui ont les meilleures notes) qu'une représentativité.wasabi a écrit : ↑18 janv. 2019, 20:51Est ce bien possible pour l'ENA ?
l'ENA fut créée initialement pour éviter que les places de pouvoir non élues se retrouvent dans les mains des fils de bonnes familles introduites et ayant fait du droit et s'autocooptant. N'est elle pas aujourd'hui devenue ce qu'elle était censé empêcher ?
Moi aussi et c'est justement le sens de ma critique, est ce que ce sont réellement les personnes les plus compétentes où uniquement celles d'un certain milieu qui se reconnaissent ?
Je ne comprends pas ce que tu veux dire vu qu'on rentre à l'ENA par concours. Il faudrait que tu détailles ta pensée (?) Veux tu dire la sélection de ce concours n'est pas pertinente?
Le problème c'est un mec comme Macron. Qui n'arrive pas à avoir des écoles sur les vrais concours pas opaques après CPGE et qui ensuite en a une sur un concours où on se demande si il ne connaissait pas déjà les membres du jury. Et du coup ça m'a fait douter.Vincent92 a écrit : ↑18 janv. 2019, 21:34Je ne comprends pas ce que tu veux dire vu qu'on rentre à l'ENA par concours. Il faudrait que tu détailles ta pensée (?) Veux tu dire la sélection de ce concours n'est pas pertinente?
gilgamesh a écrit : ↑18 janv. 2019, 19:51
-Compter la résidence principale à 100% pour calculer le patrimoine net d'un individu qui fait une demande de RSA.Pourquoi quelqu'un au RSA qui après avoir travaillé 20 ans a pu économiser 40K euros sur une assurance vie ou en actions devrait se voir déduit une partie du RSA (avec 40K on n'a pas assez pour s'acheter un appartement dans une grande ville) alors que quelqu'un qui a une maison de 500K euros (patrimoine 10 fois plus élevé) pourrait toucher le RSA sans aucune déduction ?
Actuellement un riche propriétaire immobilier (exonéré de déclarer sa résidence principale) peu toucher le RSA mais un ancien travailleur sans emploi qui a mis de l'argent de côté se voit réduit ou supprimé son RSA !
Si j'ai bien compris, tu veux juste que les fonctionnaires soient une armée de larbins au service de chaque personne.saturne a écrit : ↑18 janv. 2019, 20:53Pssst. C'est le 1) qui est l'argument. (Tu es à côté de la plaque, hein).Vincent92 a écrit : ↑18 janv. 2019, 20:34J'imagine qu'il ne t'a pas échappé qu'il y a une différence fondamentale entre la fonction publique avant la révolution francaise et après. À la Révolution, les privilèges sont abolis et le système des offices supprimé. Les révolutionnaires proclament le libre accès aux fonctions publiques sans autre distinction que celle des talents (article 6 de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen).saturne a écrit :2) que la logique de cette interdiction -- qui vient de la saine considération qu'il faut limiter sévèrement l'"impôt privé" auquel les fonctionnaires se livre(rai)ent inévitablement -- vient de l'expérience acquise depuis la gabelle, les fermiers généraux et aujourd'hui les fonctionnaires qui complètent leurs fins de mois en tant que bailleurs.
Tout le monde peut aujourd'hui devenir fonctionnaire, à n'importe quel niveau. Et je ne comprends pas bien en quoi ils seraient plus ou moins nuisibles qu'un salarié du privé.
Le 2) c'est pour mettre en perspective ce que tu rappelles justement. QUE La formation de la République pour le Peuple, par le Peuple etc a posé le principe que la fonction publique est au service du Peuple. DONC, QU'on a introduit l'interdiction pour les agents publics d'avoir une activité lucrative qui serait, dans ce cas, financée par l'impôt public en premier ressort. Car dans ce cas là, on recrée un "impôt privé", tellement privé qu'il n'y a plus besoin "d'office".
Mais économiquement parlant, c'est comme si on avait des fonks qui utilisent leur traitement utiliser pour exploiter un bien de première nécessité comme le logement (=de l'accaparement, disait-on anciennement) pour se faire un "bonus" sur le dos des contribulables. Ceux-ci sont alors taxés 2 fois: impot public + impot privé.
Donc oui à l'impot public (=Républicain), non à l'impôt privé (ni à sa réintroduction par voie détournée)
Et surtout, je doute fortement que les fonctionnaires conscients de leur rôle public soient contre une telle mesure.
En pratique ils sont les larbins des "neólibéraux" qui ont un jour décidé que -- faute d'argent dans les caisses de l'État -- on allait utiliser l'armée de fonctionnaires pour transformer des cailloux en une source de crédit infinie, le vin et les roses, etc... Et le résultat c'est le Tiers-État qui ne peut se loger, parce qu' 1mº2 de cailloux vaut ... quoi, 10 briques!
Je suis d'accord. Le concours de l'ENA devrait être revu. Quant à sa difficulté et sa capacité à sélectionner les plus intelligents : Macron est l'exemple parfait que ce concours ne remplit pas sa fonction.wasabi a écrit : ↑18 janv. 2019, 22:16Le problème c'est un mec comme Macron. Qui n'arrive pas à avoir des écoles sur les vrais concours pas opaques après CPGE et qui ensuite en a une sur un concours où on se demande si il ne connaissait pas déjà les membres du jury. Et du coup ça m'a fait douter.Vincent92 a écrit : ↑18 janv. 2019, 21:34Je ne comprends pas ce que tu veux dire vu qu'on rentre à l'ENA par concours. Il faudrait que tu détailles ta pensée (?) Veux tu dire la sélection de ce concours n'est pas pertinente?
Le problème c'est que des zones chaudes il y a déjà des gens ayant fait les CPGE et ayant intégré les meilleures écoles. Personne n'a jamais intégré l'ENA après être passé par la prépa spéciale pour les zones sensibles qui fut créé justement parce que personne n'avait réussi à intégrer l'ENA depuis ces zones sans. Je ne parle pas de réprésentativité là -la représentativité serait anormale-, mais du fait qu'il n'y ait personne, pas un seul, ce qui là est une anomalie.
Le problème est aussi que la sélection affichée de l'ENA se fait sur les matières que l'école est le plus incapable d'enseigner et qui s’apprennent par imprégnation dans le milieu.
Et cela se rajoute déjà à mon parti pris sur les écoles sur CPGE où on récompense de moins en moins le mérite, car ça repose de moins en moins sur les matières académiques et de plus en plus sur les autres disciplines (TIPE, langues...). Il y a désormais beaucoup de gens arrivant sans concours dans les écoles d'ingénieurs, c'est désormais la filière majoritaire, et qui dit pas de concours dit avantage aux gens qui présentent le mieux et sont les mieux connectés, qui sont le mieux nés. Les langues vivantes prennent de plus en plus de place, les humanités aussi, or on sait que c'est ce que l'école est le moins capable d'enseigner et donc là où on récompense le fait d'être bien né. Le TIPE ça avantage celui qui n'a qu'à demander à son voisin où à la famille ou amis de la famille par rapport à celui dont les parents sont mal placés socialement. De même maintenant les écoles deviennent plus chères, ce qui engendre une sélection par l'argent, dans le même temps les salaires de sortie stagnent sauf pour certains, ce qui fait que c'est de moins en moins possible pour ceux qui doivent prendre des prêts pour payer les frais de scolarité, et les certains qui ont les bons salaires ont sait que c'est ceux qui ont les bonnes relations et donc aussi qui n'ont pas de soucis pour payer les frais. Et ensuite il faut désormais remettre le couvert avec une double compétence payante dans une autre école....et donc on favorise à nouveau certains profils. Donc beaucoup est fait pour remplacer le mérite par la bonne naissance. Et ce n'est que l'accès depuis les CPGE, avant ça, on a déjà fait pour avantager ceux qui sont bien nés par rapport aux méritants mal nés, en plus des avantages de leur famille ils ont le droit à des structures trilingue ou européennes et des initiations aux LV en primaire -alors que le méritant pas bien né il aura LV1 en 6eme LV2 en 4eme-, de meilleurs enseignants plus expérimentés, des voyages scolaires plus nombreux pour les langues et la culture, un meilleur environnement de travail, plus d'émulation... A la fin ça commence à faire beaucoup, et surtout plus le temps passe plus on renforce ce qui est injuste.
Et hop autre truc, on multiplie, les écoles, les BAC+5, et ainsi les stupides de bonne famille ils ont tous un bac+5, donc le niveau d'étude ne les distingue pas des méritants mal nés et on peut donc dans l'entreprise justifier qu'on les embauchera eux plutôt que les seconds.
Et donc à la fin je doute de plus en plus sur la réelle difficulté de l'ENA.
Je comprends bien la logique de déduire du RSA un montant fictif d'intérêt que génèrerait le patrimoine, je trouve cela normal même s'il vaudrait mieux prendre les intérêt réellement gagnés plutôt que 3% du montant qui ne correspond pas forcément à la réalité. Cependant il y a une inégalité entre propriétaire et locataires.pimono a écrit : ↑18 janv. 2019, 23:24gilgamesh a écrit : ↑18 janv. 2019, 19:51
-Compter la résidence principale à 100% pour calculer le patrimoine net d'un individu qui fait une demande de RSA.Pourquoi quelqu'un au RSA qui après avoir travaillé 20 ans a pu économiser 40K euros sur une assurance vie ou en actions devrait se voir déduit une partie du RSA (avec 40K on n'a pas assez pour s'acheter un appartement dans une grande ville) alors que quelqu'un qui a une maison de 500K euros (patrimoine 10 fois plus élevé) pourrait toucher le RSA sans aucune déduction ?
Actuellement un riche propriétaire immobilier (exonéré de déclarer sa résidence principale) peu toucher le RSA mais un ancien travailleur sans emploi qui a mis de l'argent de côté se voit réduit ou supprimé son RSA !
ce qui est prit en compte c'est la valeur fictive que le patrimoine peut produire, c'est ça qui est déduit car c'est considéré comme un revenu, lequel est déduit du rsa... Mais c'est complexe à calculer, chaque département fait un peu ce qu'il veut et avec la prime d'activité ça arrange rien en cas de travail partiel.
La personne qui a 40ke de placé, elle a des intérêts qui lui reviennent, c'est un revenu et quand ces lois ont été faites, l'argent rapportait plus, c'est pour ça que l'impression de ponction est forte.
Le RUA arrive en France, tout va être chamboulé..., quand je pense qu'en Italie, ils sont en train de voter le revenu universel à 750euros... bientôt il sera plus intéressant de mener sa vie sans emploi ailleurs qu'en France.
Tu n'imagines même pas.Nouveau stephanois a écrit : ↑19 janv. 2019, 08:41Elles sont si bonnes que ça, les frites de la cantoche ?
vous regrettez de recevoir votre salaire en cette fin de mois ?
ça vous fait vraiment envie ces trucs là ? On dirait de la gerbe.