Bon honnétement quand les taux sont à 1.4% sur 25 ans (ce que j'ai eu) la discussion ne se pose pas trop. Le dernier crédit, il passait sur moins de 20 ans avec mon dossier.
Le fait de le passer sur 25 avait plein d'avantage. Le premeir était d'éviter un crédit relais. J'ai déclaré que je mettais l'ancien en loc ce que je n'avais pas l'intention de faire et je l'ai vendu. Rien que cela ca m'a gagné plein de fric.
Ensuite la question se posait de toute façon entre avoir des mensualités confortables y compris en cas de baisse des revenus ou avoir des mensualités plus risquée. La différence de cout du crédit ne justifiait pas la premiére option. Il était plus rentable de réduire les assurance au minimum et de ne pas prendre l'assurance chomage et de faire le crédit sur 25 ans.
Dernier calcul si j'investis la différence de mensualité dans des placements financiers autres, je suis gagnant. Et si les taux d'intérêts devaient monter même vers 3 ou 4% cela reviendrait à avoir un crédit à cout négatif.
Donc la réalité c'est que dans les conditions actuelles ou les taux d'intérêts ne sont pas loin d'être inférieur à l'inflation, le crédit sur 25 ans n'est plus une aberration au contraire. Dans mon cas cela serait passé sur 18 ans, je l'ai fait sur 25.
Le cas du remboursement anticipé est d'ailleurs éclairant car au final je n'ai que très peu d'intérêt à en faire.
Plus de 25 ans, ma banque ne fesait pas donc je ne me suis pas posé la question. Si le cout du crédit était raisonable pas dit que je ne me la sois pas posé.
En 2012 pour mon achat précédent par contre je n'aurais jamais emprunté sur 25 ans. Mais je pense que cette façon de faire se répend progressivement. Au début tu vois les gens qui bossent à la banque faire cela car ils savent et après plein de gens le font.
Pour travailler chez un notaire dans une zone rurale, je constate depuis début janvier une chute significative du nombre de dossiers de vente, après une chute des prix constante qui avait expliqué la reprise des volumes l’année dernière, on commence à faire les fonds de tiroir, que des dossiers complexes, chronophages et qui ne rapportent rien..
Les biens qui se vendent aujourd’hui se vendent moins chers qu’en 2004..
L'ambiance "gilets jaunes" n'a pas du aider. Les blocages dès Novembre ont du considérablement freiner cette activité la et je ne parles même pas de l'ambiance. Déjà qu'à Paris c'était très très morose.
Mais je sais que l'impact sur la distribution fortement pourvoyeur d'emploi en millieu rural est désastreux.
Après c'est quelle région / ville ? Car pour que les biens se vendent moins cher qu'en 2004 ca doit être sacrément déprimé !
Je ne sais pas comment ça se passe en zones urbaines, mais dans les zones rurales, c’est le plongeon..
Actuellement à Paris les volumes sont importants et les biens de qualité se vendent vite. Pour les biens de Luxe le marché est même très serré à cause des anglais et des "revenants".