Les riches retraités qui vendent à Paris et achètent dans le sud, finiront par en revenir...
L'avenir c'est les Ardennes en fait.
Les riches retraités qui vendent à Paris et achètent dans le sud, finiront par en revenir...
Ah oui, quand meme !!
C'est pas la température réelle hein ! C'est un indice de chaleur calculé avec la témpérature et le taux d'humiditéclairette2 a écrit : ↑27 juin 2019, 16:54Ah oui, quand meme !!
Tu es dans une cuvette ou quoi ? Ou en pleine ville, avec des murs rayonnants de partout ?
Y'a plus qu'à faire la sieste, et ressortir le soir pour aller boire un coup bien frais ! C'est un bon rythme aussi, ça !
Si ces chiffres sont vrais, vous allez griller comme de la viande de porc enfilé dans des brochettes ! Ca va être horrible, risque d'y avoir des morts.
Oui en réelle on a un peu dépassé 38, et la c'est un poil en dessous. La honte intégrale : on vient de se faire doubler par Nantes où il fait 39 !!!Gpzzzz a écrit : ↑27 juin 2019, 17:30C'est pas la température réelle hein ! C'est un indice de chaleur calculé avec la témpérature et le taux d'humiditéclairette2 a écrit : ↑27 juin 2019, 16:54Ah oui, quand meme !!
Tu es dans une cuvette ou quoi ? Ou en pleine ville, avec des murs rayonnants de partout ?
Y'a plus qu'à faire la sieste, et ressortir le soir pour aller boire un coup bien frais ! C'est un bon rythme aussi, ça !
La canicule cachée à tout le monde, faut s'appeler Pimono pour oser le dire !pimono a écrit : ↑27 juin 2019, 17:38Si ces chiffres sont vrais, vous allez griller comme de la viande de porc enfilé dans des brochettes ! Ca va être horrible, risque d'y avoir des morts.
Beaucoup de personnes agées sont seules toute l'année car il n'y a pas de place dans les maisons de retraites et en plus c'est très cher, et la famille s'en fiche... bien entendu, ça ne sera relayé nulle part.
Ces remontées de chaleurs semblent prendre de l'ampleur, la météo est incertaine à 3jours près alors que le vent est plutot léger, c'est pas comme si le temps était instable avec plusieures masses d'airs en conflit, là il n'y a pas de conflit.
Ça se joue à 50/100 km près. Dans l'Yonne les 38 degrés ont été atteints hier.
en juin 1875
C’est arrivé ce mois en France
La crue de la Garonne en juin 1875
Fin juin, de fortes pluies coïncidant avec la fonte des neiges sont responsables d’une crue historique de la Garonne des Pyrénées à l’océan. Du 20 au 25, la Garonne dévaste la rive gauche de Toulouse ainsi que plusieurs localités en aval comme Agen et Marmande. Des dizaines de villages et de villes sont noyés faisant plus de cinq cents victimes.
https://www.francetvinfo.fr/meteo/neige ... 31353.htmlHuit personnes sont mortes dans les Alpes en moins de 24 heures. Deux trentenaires en France et six en Suisse. Ces derniers ont été retrouvés morts de froid.
...Ils empruntaient une route bien connue des amateurs de montagne.
Température idéale pour une bonne bière blanche dans le jardin !
Clairement,
Tournai? C’est plutot des clientes là basBernard minet a écrit : ↑28 juin 2019, 16:00Clairement,
Rdv avec un client à Tournais ce matin, 17 idem.
Dire que passer le voir me rebutais, j'aime pas rouler des plombes en voiture, et que j'ai du coup un peu traîné sur place !
Je n'en suis pas sûr. En fin juin, les jours sont beaucoup plus longs qu'en juillet/août, donc ça chauffe plus longtemps. Par contre, l'océan est plus frais.
«Street-pooling» : 27 ouvertures de bouches à incendie en une nuit à Paris et sa banlieue
Un enfant de six ans est en arrêt cardiaque après avoir été projeté, jeudi, après l’ouverture d’une bouche à incendie. Le phénomène inquiète.
De nombreuses bouches à incendie sont ouvertes en cette période de canicule, ce qui peut se révéler dangereux. Sandra Reinflet
Par Jean-Michel Décugis
Le 27 juin 2019 à 21h48, modifié le 28 juin 2019 à 11h15
C'est devenu un rituel. Chaque été, l'arrivée des grosses chaleurs marque le retour du « steet-pooling ». Un phénomène, venu des États-Unis et apparu en France en 2015, qui consiste à ouvrir les bouches d'incendie en pleine rue pour se rafraîchir. Avec la canicule, le phénomène dont les conséquences peuvent être aussi dangereuses qu'onéreuses, inquiète les municipalités et les services de pompiers. Un enfant de six ans est en arrêt cardiaque, ce jeudi soir, après avoir été projeté sur plusieurs mètres par le « geyser » d'une bouche à incendie, à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis).
Le Parisien - Aujourd'hui en France s'est procuré les chiffres de la Direction de la sécurité de proximité de l'agglomération parisienne (DSPAP). Pour la seule nuit de mercredi à jeudi, la préfecture de police de Paris (PP) a recensé 27 « ouvertures intempestives de bouches d'incendie » – 6 à Paris, 6 dans les Hauts-de-Seine, 7 en Seine-Saint-Denis et 8 dans le Val-de-Marne. Dans la capitale, une trentaine d'ouvertures de bornes à incendie ont eu lieu depuis le début de la canicule, notamment dans les arrondissements du nord de Paris, selon la mairie. Mais dans toute la région, ce sont des dizaines de bouches à incendie qui ont perdu des litres d'eau. Dans les Yvelines, des bouches à incendie ont été ouvertes à Trappes, Mantes-la-Jolie ou encore Saint-Quentin-en-Yvelines. Même constat en Essonne, à Massy, Ris-Orangis ou Grigny. Dans le Val-d'Oise pas moins de 37 bouches à incendie ont été ouvertes. La Seine-et-Marne n'échappe pas à la règle avec des bouches à incendie ouverte à Melun et Lagny.
En Île-de-France, Hauts-de-France et Ille-et-Villaine, des incidents sont survenus. La Direction centrale de la sécurité publique (DCSP) a comptabilisé sept guets-apens depuis le début de la canicule. À Orly (Val-de-Marne), mardi, un agent municipal d'une cinquantaine d'années a été agressé par une vingtaine d'assaillants alors qu'il attendait l'intervention des forces de l'ordre. On a tenté de lui arracher la clé pour refermer les bouches. Le lendemain, à Rennes (Ille-et-Vilaine) un véhicule de police a été dégradé et une échelle de camion de pompier volée. Enfin, à Sannois (Val-d'Oise), une boulangerie et une épicerie, situées à proximité d'une bouche à incendie, ont été inondées, causant des dégâts très importants.
Des inquiétudes en cas d'incendie
En Hauts-de-France, la préfecture de région alerte sur les « difficultés d'approvisionnement en eau sur le Valenciennois ». Il faut dire que l'ouverture sauvage d'une bouche entraîne une perte de débit et des stocks moins importants. Ce qui représente un risque majeur en cas d'incendie. « Une bouche vandalisée, c'est la perte de 750 litres d'eau potable par minute, et nous avons besoin de cette pression pour combattre le feu », explique le commandant Guillaume Fresse de la Brigade des sapeurs-pompiers de Paris (BSPP).
L'autre risque, c'est l'encombrement des lignes d'urgence, suite aux appels de riverains qui veulent signaler aux pompiers l'acte de vandalisme. « Nous avons eu 200 signalements aujourd'hui, un chiffre en augmentation. Cela peut mettre au second plan des demandes plus prioritaires, d'autant que la fermeture de bornes est de la compétence des mairies », souligne l'officier. « Cela prouve que ce qui est devenu un sport national dans certains quartiers et semble anodin peut provoquer des drames et générer de la violence », dénonce Loïc Travers du syndicat policier Alliance.
Les « geysers sauvages » ne sont pas que risqués, ils pèsent aussi dans la facture d'eau des collectivités et des contribuables. En juin 2017, lors de la canicule, le Syndicat des eaux d'Île de France (Sedif) avait évalué la perte économique de ces ouvertures sauvages entre 600 000 et 800 000. Le coût est aussi écologique. En moins de 4 semaines, 600 000 m3 d'eau avaient été gaspillés seulement en Île de France, selon le groupe Véolia qui distribuait l'eau de 150 communes. L'équivalent de 240 piscines olympiques.
Pour endiguer le phénomène, certaines municipalités ont installé des kits anti-effraction. À Paris, pour la première fois, des fontaines temporaires ont été directement connectées aux bornes à incendie. 35 prototypes de fontaines 2 en 1 (boisson et aspersion) ont ainsi été mis en place dans les quartiers où des ouvertures de bornes avaient été recensées l'an passé. Aucun incident n'a été constaté depuis lundi.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/s ... 104875.php
http://www.leparisien.fr/societe/canicu ... D-3228059945,9°C ! Le record de chaleur en France largement battu dans le Gard
Le précédent record était de 44,1 °C dans le Gard en 2003.
En pleine canicule 2019, le record absolu de chaleur en France a été largement battu ce vendredi. D'abord à Carpentras (Vaucluse) où le mercure est monté 44,3 °C peu avant 14 heures, puis, moins d'une heure plus tard, à Villevieille (Gard), où la barre des 45 °C a été franchie (45,1 °C) à 15 heures, avant de grimper à 45,3. Record de nouveau pulvérisé un peu plus tard à Gallargues-le-Montueux, toujours dans le Gard, avec 45,8 °C à 16 heures, puis 45,9 °C à 16h21.
« C'est une première en France depuis que l'on fait des mesures de températures (autour du début du XXe siècle, NDLR). La barre des 45°C a été franchie pour la première fois cet après-midi », a commenté l'organisme de prévision sur son site Internet.
Le précédent record datait du 12 août 2003. La température de 44,1 °C avait été mesurée à Saint-Christol-lès-Alès et Conqueyrac (Gard). Au total, six stations, dont les trois du jour, ont battu ce record ce vendredi. « Le mercure continue de grimper dans le Sud-Est, il faut attendre la fin de la journée pour avoir les records définitifs », a noté Météo France.
« La France rejoint le club des pays européens qui ont leur record national au moins égal à 45°C (Bulgarie, Portugal, Italie, Espagne, Grèce, Macédoine du nord) », a de son côté indiqué le prévisionniste de Météo France François Jobard sur Twitter.
Quatre départements en vigilance rouge
La France connaît une vague de chaleur très importante depuis plusieurs jours. La vigilance rouge canicule pour le Vaucluse, Gard, les Bouches-du-Rhône et l'Hérault a été prolongée par Météo France jusqu'à dimanche à 7 heures. 75 autres départements sont en vigilance orange.
Je m'attendais évidemment à ce que le crétin que tu es s'offusque...
Une réputation particulière de Tournais m'aurait échappée ou c'est un jeu de mots ?kamoulox a écrit : ↑28 juin 2019, 17:38Tournai? C’est plutot des clientes là basBernard minet a écrit : ↑28 juin 2019, 16:00Clairement,
Rdv avec un client à Tournais ce matin, 17 idem.
Dire que passer le voir me rebutais, j'aime pas rouler des plombes en voiture, et que j'ai du coup un peu traîné sur place !
Météo France et La Chaîne Météo sont d'accord pour demain : 37 degrés
optimus maximus a écrit : ↑28 juin 2019, 22:44Météo France et La Chaîne Météo sont d'accord pour demain : 37 degrés
Ce mois de juin devrait être le 4e moisde juin le plus chaud depuis le début des relevés, il y a presque un peu plus d'un siècle. Juste derrière juin 2003 et devant juin 1917.
Sur les deux premières semaines, la tendance correspondait pourtant aux normales mesurées sur la période 1981-2010.
T'as besoin d'une petite laine à 17 degrés ?stchong a écrit : ↑28 juin 2019, 23:00ici j'ai remis la petite laine, faut pas déconné on est toujours en Finistère 17°
Pas intérêt à dormir avec la fenêtre ouverte, ça va encore descendre cette nuit.
En tout cas je viens de me souvenir que cet air chaud hier et pourtant que 33°, un peu brûlant me rappelait celui de Dakar. Je n'aime pas, j'ai failli crevé un jour avec la chaleur, je n'arrivais plus à respirer. Ils m'ont mis un torchon humide sur le dos, on aurait dit un paquet de glace (astuce pour ceux qui ont chaud).
Derrière ça il y a une question tout de même, est ce que c'est leur environnement urbain qui est particulièrement pourri et mal pensé, ou c'est uniquement eux qui se comportent mal en ne respectant aucune loi y compris sacrifier des intérêts lourds pour leur plaisir à court terme. Et en ce sens la loi française est très mal faite car elle juge en fonction du gain et pas du préjudice, style le rom qui a piqué quelques centaines d'euros de tuyaux en cuivre mais qui va coûter des dizaines de milliers en réparation. Quand il y a disproportion entre le gain et le préjudice on devrait punir fortement pour éviter que ça ne se fasse à tout prix.Delambre a écrit : ↑28 juin 2019, 20:31C'est maintenant devenu une habitude de la part des singes chances pour la France à chaque fois qu'il y a un coup de chaud...
«Street-pooling» : 27 ouvertures de bouches à incendie en une nuit à Paris et sa banlieue
Un enfant de six ans est en arrêt cardiaque après avoir été projeté, jeudi, après l’ouverture d’une bouche à incendie. Le phénomène inquiète.
De nombreuses bouches à incendie sont ouvertes en cette période de canicule, ce qui peut se révéler dangereux. Sandra Reinflet
Par Jean-Michel Décugis
Le 27 juin 2019 à 21h48, modifié le 28 juin 2019 à 11h15
C'est devenu un rituel. Chaque été, l'arrivée des grosses chaleurs marque le retour du « steet-pooling ». Un phénomène, venu des États-Unis et apparu en France en 2015, qui consiste à ouvrir les bouches d'incendie en pleine rue pour se rafraîchir. Avec la canicule, le phénomène dont les conséquences peuvent être aussi dangereuses qu'onéreuses, inquiète les municipalités et les services de pompiers. Un enfant de six ans est en arrêt cardiaque, ce jeudi soir, après avoir été projeté sur plusieurs mètres par le « geyser » d'une bouche à incendie, à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis).
Le Parisien - Aujourd'hui en France s'est procuré les chiffres de la Direction de la sécurité de proximité de l'agglomération parisienne (DSPAP). Pour la seule nuit de mercredi à jeudi, la préfecture de police de Paris (PP) a recensé 27 « ouvertures intempestives de bouches d'incendie » – 6 à Paris, 6 dans les Hauts-de-Seine, 7 en Seine-Saint-Denis et 8 dans le Val-de-Marne. Dans la capitale, une trentaine d'ouvertures de bornes à incendie ont eu lieu depuis le début de la canicule, notamment dans les arrondissements du nord de Paris, selon la mairie. Mais dans toute la région, ce sont des dizaines de bouches à incendie qui ont perdu des litres d'eau. Dans les Yvelines, des bouches à incendie ont été ouvertes à Trappes, Mantes-la-Jolie ou encore Saint-Quentin-en-Yvelines. Même constat en Essonne, à Massy, Ris-Orangis ou Grigny. Dans le Val-d'Oise pas moins de 37 bouches à incendie ont été ouvertes. La Seine-et-Marne n'échappe pas à la règle avec des bouches à incendie ouverte à Melun et Lagny.
En Île-de-France, Hauts-de-France et Ille-et-Villaine, des incidents sont survenus. La Direction centrale de la sécurité publique (DCSP) a comptabilisé sept guets-apens depuis le début de la canicule. À Orly (Val-de-Marne), mardi, un agent municipal d'une cinquantaine d'années a été agressé par une vingtaine d'assaillants alors qu'il attendait l'intervention des forces de l'ordre. On a tenté de lui arracher la clé pour refermer les bouches. Le lendemain, à Rennes (Ille-et-Vilaine) un véhicule de police a été dégradé et une échelle de camion de pompier volée. Enfin, à Sannois (Val-d'Oise), une boulangerie et une épicerie, situées à proximité d'une bouche à incendie, ont été inondées, causant des dégâts très importants.
Des inquiétudes en cas d'incendie
En Hauts-de-France, la préfecture de région alerte sur les « difficultés d'approvisionnement en eau sur le Valenciennois ». Il faut dire que l'ouverture sauvage d'une bouche entraîne une perte de débit et des stocks moins importants. Ce qui représente un risque majeur en cas d'incendie. « Une bouche vandalisée, c'est la perte de 750 litres d'eau potable par minute, et nous avons besoin de cette pression pour combattre le feu », explique le commandant Guillaume Fresse de la Brigade des sapeurs-pompiers de Paris (BSPP).
L'autre risque, c'est l'encombrement des lignes d'urgence, suite aux appels de riverains qui veulent signaler aux pompiers l'acte de vandalisme. « Nous avons eu 200 signalements aujourd'hui, un chiffre en augmentation. Cela peut mettre au second plan des demandes plus prioritaires, d'autant que la fermeture de bornes est de la compétence des mairies », souligne l'officier. « Cela prouve que ce qui est devenu un sport national dans certains quartiers et semble anodin peut provoquer des drames et générer de la violence », dénonce Loïc Travers du syndicat policier Alliance.
Les « geysers sauvages » ne sont pas que risqués, ils pèsent aussi dans la facture d'eau des collectivités et des contribuables. En juin 2017, lors de la canicule, le Syndicat des eaux d'Île de France (Sedif) avait évalué la perte économique de ces ouvertures sauvages entre 600 000 et 800 000. Le coût est aussi écologique. En moins de 4 semaines, 600 000 m3 d'eau avaient été gaspillés seulement en Île de France, selon le groupe Véolia qui distribuait l'eau de 150 communes. L'équivalent de 240 piscines olympiques.
Pour endiguer le phénomène, certaines municipalités ont installé des kits anti-effraction. À Paris, pour la première fois, des fontaines temporaires ont été directement connectées aux bornes à incendie. 35 prototypes de fontaines 2 en 1 (boisson et aspersion) ont ainsi été mis en place dans les quartiers où des ouvertures de bornes avaient été recensées l'an passé. Aucun incident n'a été constaté depuis lundi.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/s ... 104875.php
Y a un peu des deux :wasabi a écrit : ↑29 juin 2019, 11:25Derrière ça il y a une question tout de même, est ce que c'est leur environnement urbain qui est particulièrement pourri et mal pensé, ou c'est uniquement eux qui se comportent mal en ne respectant aucune loi y compris sacrifier des intérêts lourds pour leur plaisir à court terme. Et en ce sens la loi française est très mal faite car elle juge en fonction du gain et pas du préjudice, style le rom qui a piqué quelques centaines d'euros de tuyaux en cuivre mais qui va coûter des dizaines de milliers en réparation. Quand il y a disproportion entre le gain et le préjudice on devrait punir fortement pour éviter que ça ne se fasse à tout prix.Delambre a écrit : ↑28 juin 2019, 20:31C'est maintenant devenu une habitude de la part des singes chances pour la France à chaque fois qu'il y a un coup de chaud...
«Street-pooling» : 27 ouvertures de bouches à incendie en une nuit à Paris et sa banlieue
Un enfant de six ans est en arrêt cardiaque après avoir été projeté, jeudi, après l’ouverture d’une bouche à incendie. Le phénomène inquiète.
De nombreuses bouches à incendie sont ouvertes en cette période de canicule, ce qui peut se révéler dangereux. Sandra Reinflet
Par Jean-Michel Décugis
Le 27 juin 2019 à 21h48, modifié le 28 juin 2019 à 11h15
C'est devenu un rituel. Chaque été, l'arrivée des grosses chaleurs marque le retour du « steet-pooling ». Un phénomène, venu des États-Unis et apparu en France en 2015, qui consiste à ouvrir les bouches d'incendie en pleine rue pour se rafraîchir. Avec la canicule, le phénomène dont les conséquences peuvent être aussi dangereuses qu'onéreuses, inquiète les municipalités et les services de pompiers. Un enfant de six ans est en arrêt cardiaque, ce jeudi soir, après avoir été projeté sur plusieurs mètres par le « geyser » d'une bouche à incendie, à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis).
Le Parisien - Aujourd'hui en France s'est procuré les chiffres de la Direction de la sécurité de proximité de l'agglomération parisienne (DSPAP). Pour la seule nuit de mercredi à jeudi, la préfecture de police de Paris (PP) a recensé 27 « ouvertures intempestives de bouches d'incendie » – 6 à Paris, 6 dans les Hauts-de-Seine, 7 en Seine-Saint-Denis et 8 dans le Val-de-Marne. Dans la capitale, une trentaine d'ouvertures de bornes à incendie ont eu lieu depuis le début de la canicule, notamment dans les arrondissements du nord de Paris, selon la mairie. Mais dans toute la région, ce sont des dizaines de bouches à incendie qui ont perdu des litres d'eau. Dans les Yvelines, des bouches à incendie ont été ouvertes à Trappes, Mantes-la-Jolie ou encore Saint-Quentin-en-Yvelines. Même constat en Essonne, à Massy, Ris-Orangis ou Grigny. Dans le Val-d'Oise pas moins de 37 bouches à incendie ont été ouvertes. La Seine-et-Marne n'échappe pas à la règle avec des bouches à incendie ouverte à Melun et Lagny.
En Île-de-France, Hauts-de-France et Ille-et-Villaine, des incidents sont survenus. La Direction centrale de la sécurité publique (DCSP) a comptabilisé sept guets-apens depuis le début de la canicule. À Orly (Val-de-Marne), mardi, un agent municipal d'une cinquantaine d'années a été agressé par une vingtaine d'assaillants alors qu'il attendait l'intervention des forces de l'ordre. On a tenté de lui arracher la clé pour refermer les bouches. Le lendemain, à Rennes (Ille-et-Vilaine) un véhicule de police a été dégradé et une échelle de camion de pompier volée. Enfin, à Sannois (Val-d'Oise), une boulangerie et une épicerie, situées à proximité d'une bouche à incendie, ont été inondées, causant des dégâts très importants.
Des inquiétudes en cas d'incendie
En Hauts-de-France, la préfecture de région alerte sur les « difficultés d'approvisionnement en eau sur le Valenciennois ». Il faut dire que l'ouverture sauvage d'une bouche entraîne une perte de débit et des stocks moins importants. Ce qui représente un risque majeur en cas d'incendie. « Une bouche vandalisée, c'est la perte de 750 litres d'eau potable par minute, et nous avons besoin de cette pression pour combattre le feu », explique le commandant Guillaume Fresse de la Brigade des sapeurs-pompiers de Paris (BSPP).
L'autre risque, c'est l'encombrement des lignes d'urgence, suite aux appels de riverains qui veulent signaler aux pompiers l'acte de vandalisme. « Nous avons eu 200 signalements aujourd'hui, un chiffre en augmentation. Cela peut mettre au second plan des demandes plus prioritaires, d'autant que la fermeture de bornes est de la compétence des mairies », souligne l'officier. « Cela prouve que ce qui est devenu un sport national dans certains quartiers et semble anodin peut provoquer des drames et générer de la violence », dénonce Loïc Travers du syndicat policier Alliance.
Les « geysers sauvages » ne sont pas que risqués, ils pèsent aussi dans la facture d'eau des collectivités et des contribuables. En juin 2017, lors de la canicule, le Syndicat des eaux d'Île de France (Sedif) avait évalué la perte économique de ces ouvertures sauvages entre 600 000 et 800 000. Le coût est aussi écologique. En moins de 4 semaines, 600 000 m3 d'eau avaient été gaspillés seulement en Île de France, selon le groupe Véolia qui distribuait l'eau de 150 communes. L'équivalent de 240 piscines olympiques.
Pour endiguer le phénomène, certaines municipalités ont installé des kits anti-effraction. À Paris, pour la première fois, des fontaines temporaires ont été directement connectées aux bornes à incendie. 35 prototypes de fontaines 2 en 1 (boisson et aspersion) ont ainsi été mis en place dans les quartiers où des ouvertures de bornes avaient été recensées l'an passé. Aucun incident n'a été constaté depuis lundi.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/s ... 104875.php
Si ce n'est que le deuxième il faut leur envoyer les gars en armure et qui aiment blesser les français au moins ils auront une utilité et rafler ce qui traîne autour des bornes.
Mais peut être qu'il faut aussi mettre en face de leurs responsabilité les ***censuré*** de l'urbanisme et de l'attribution des logements sociaux. Parce que le bloc de tours monoethnique en béton avec dalle en béton, ce ne sont pas les gens qui y vivent qui l'ont décidé. Peut être faudrait-il dans ces coins là mettre moins d'argent dans les parcs / stades / terrains de baskets / mjc sur macadam et plus dans les parcs et verdure.
Pooteen président !Shermann a écrit :It's a jungle out there : 978-2412019689
Le problème de Paris est que sa taille est ridicule. Il aurait fallu créer des nouveaux arrondissement en y intégrant la petite couronne. Cela aurait permis de densifier là où il y avait de la place et non pas continuer à densifier encore plus Paris. Mais les maires de petite couronne ne veulent pas être absorbés et l'Etat a toujours regardé paris avec méfiance.kamoulox a écrit : ↑29 juin 2019, 12:11Faut defensifier les villes. Une ville pour être agréable doit être une ville aérée et verte
Paris comme de nombreuses villes seront totalement invivables avant la fin de ce siècle.
Sur les 50 villes étudiées, Reykjavik arrive en tête, avec 410,84 m2 d'espaces verts par habitant, dont la moitié de réserves naturelles. Il est vrai que la capitale islandaise ne compte que 126.100 habitants pour 273 km2, soit une densité 50 fois moins élevée que celle de Paris. La première ville française, Marseille, est seulement 11e avec 111,77 m2 d'espaces verts par habitant. Les deux autres villes hexagonales, Paris et Lyon, figurent en queue de classement avec de piètres 45e et 47e places.
https://www.futura-sciences.com/planete ... nde-71112/
Avec 380 ha de jardins publics intra-muros, la capitale dispose d'à peine 2 m2 de verdure par habitant.
Tous types d'espaces verts confondus - c'est-à-dire en intégrant les bois de Boulogne et de Vincennes, les cimetières, les jardins des écoles et des crèches, mais aussi les 51 ha de talus plantés du périphérique - le ratio grimpe à 11,5 m2 de « nature » par Parisien.
Dérisoire comparé aux 125 m2d'espace verts dont dispose chaque Berlinois, aux 45m2
d'un Londonien ou même au 36 m2 dont profite chaque Nantais.
Il y a moyen de mettre des arbres d'alignement dans toutes les rues (quitte à perdre quelques places de parking) et faire une bande de prairie de 1 ou 2m de large selon les trottoirs tout le long des trottoirs entre les arbres. Cela servirait à réduire l'imperméabilisation du sol, absorber l'eau de pluie et économiser dans le réseau d'assainissement, absorber du CO2, donner de l'ombre et de la fraîcheur. Sans compter la quantité de places goudronnées /bétonnées qu'on pourrait remettre en sol. C'est une question de volonté.
Mais si, les gens comme Ben92 ils aiment la verdure, mais elle doit avoir fait trois fois le tour de la terre et être labellisée commerce équitable / Bio / PETA Approved Vegan ...
de l'herbe à Paris qui empiète sur les trottoirs de circulation ? Ça sera rapidement de la terre battue, ou de la boue en fonction des saisons.Ave a écrit : ↑29 juin 2019, 14:24Il y a moyen de mettre des arbres d'alignement dans toutes les rues (quitte à perdre quelques places de parking) et faire une bande de prairie de 1 ou 2m de large selon les trottoirs tout le long des trottoirs entre les arbres. Cela servirait à réduire l'imperméabilisation du sol, absorber l'eau de pluie et économiser dans le réseau d'assainissement, absorber du CO2, donner de l'ombre et de la fraîcheur. Sans compter la quantité de places goudronnées /bétonnées qu'on pourrait remettre en sol. C'est une question de volonté.
Non, elle n'empièterait pas sur la circulation dans les trottoirs car les gens ne slaloment pas entre les arbres. Quand on regarde les flux, ils se font sur une bande centrale. Du coup, l'extrémité extérieur du trottoir, là où l'on place les arbres en alignement pourrait être en terre avec une sorte de prairie qui nécessite peu d'entretien et favorise la biodiversité. C'est un peu le concepte des pieds d'arbres cultivés à Paris mais en longitudinal au lieu des carrés de 3x3 qui sont un peu trop larges à mon goût. il y a un trottoir comme ça près de chez moi et ça rend très bien. Il faudrait le généraliser.
Sur Paris il y a beaucoup trop de gens , ils se marchent dessus, alors croire qu'ils marcheront en file indienne sur le même tracé en laissant le reste du passage exempte j'ycrois pas. les gens qui sont sur Paris, c'est exactement comme les pigeons, ça va partout, il faut mettre des pics pour pas qu'ils y aillent !