https://www.challenges.fr/immobilier/ac ... ros_671387
le prix moyen du mètre carré à Paris a franchi en août le seuil des 10.000 euros
Il est où JMP ?Sur un an, sa progression est de 8 % et sur 10 ans de 62,5 %"
le prix moyen du mètre carré à Paris a franchi en août le seuil des 10.000 euros
Il est où JMP ?Sur un an, sa progression est de 8 % et sur 10 ans de 62,5 %"
C'est pas grave, y'a toujours les princes des pétro-monarchies qui rêvent d'un cagibi à Paris !castralroc a écrit : ↑30 août 2019, 02:41Ah les pigeons qui s'endettent...
A un moment ça va être compliqué d'acheter un 15 m2 à 500 000 euros, meme pour un cadre sup de chez TOTAL...
je doute que les gens qui achètent dans des conditions normales à Paris s'emm... à le louer, même Marie qui ne joue pas dans la même cour qu'eux avait laissé tomber l'affaire.
de quelle sécurité parles tu ?
Quand les cocos s'occupent d'économie ça fait toujours rêverlecriminel a écrit : ↑30 août 2019, 08:30de quelle sécurité parles tu ?
https://www.francetvinfo.fr/economie/im ... 95385.html
Ce qui est cher à Paris c'est le foncier, les cailloux dessus ne valent rien."Nous allons pouvoir mettre en place un nouveau dispositif pour que vous n'achetiez que le bâti et non plus le foncier. La Ville de Paris restera propriétaire du foncier et vous n'achèterez que le bâti. Alors que quand vous achetez aujourd'hui, vous achetez à la fois le terrain et l'appartement qui est au-dessus", explique l'élu communiste.
Te faire payer 5000 euros le m2 un bâti qui en coûte deux fois moinscashisking a écrit : ↑30 août 2019, 08:32Quand les cocos s'occupent d'économie ça fait toujours rêverlecriminel a écrit : ↑30 août 2019, 08:30de quelle sécurité parles tu ?
https://www.francetvinfo.fr/economie/im ... 95385.htmlCe qui est cher à Paris c'est le foncier, les cailloux dessus ne valent rien."Nous allons pouvoir mettre en place un nouveau dispositif pour que vous n'achetiez que le bâti et non plus le foncier. La Ville de Paris restera propriétaire du foncier et vous n'achèterez que le bâti. Alors que quand vous achetez aujourd'hui, vous achetez à la fois le terrain et l'appartement qui est au-dessus", explique l'élu communiste.
emilie 94 vient d'ouvrir un thread, elle travaille à la défense et son mari à Paris, budget 300k. J'imagine que c'est un couple oméga ?Ben92 a écrit : ↑30 août 2019, 08:55Un couple de cadres primo-accédants dans la trentaine tout à fait lambda émargeant à 7000€ à deux ayant 50k€ d'apport chacun (ce qui n'est pas beaucoup) peut emprunter sans problème 650k€ sur 25 ans, ce qui fait un budget d'environ 700k€ hors frais de notaire et d'AI. De quoi acheter un 3P convenable.
Je viens de lire, elle n'a pas du tout la prétention d’acheter à Paris. Hors sujet.lecriminel a écrit : emilie 94 vient d'ouvrir un thread, elle travaille à la défense et son mari à Paris, budget 300k. J'imagine que c'est un couple oméga ?
J'ai l'impression que justement la mairie n'en a que faire de ces couples de cadres mais elle se préoccupe des key-job qui désertent Paris.Ben92 a écrit : ↑30 août 2019, 08:55Je ne dis pas ça pour le plaisir de jouer les contradicteurs, mais en toute objectivité les prix ne sont pas si délirants que ça à Paris compte tenu des conditions d'emprunt. Un couple de cadres primo-accédants dans la trentaine tout à fait lambda émargeant à 7000€ à deux ayant 50k€ d'apport chacun (ce qui n'est pas beaucoup) peut emprunter sans problème 650k€ sur 25 ans, ce qui fait un budget d'environ 700k€ hors frais de notaire et d'AI. De quoi acheter un 3P convenable.
Et là je ne parle du tout des top jobs qui bossent dans les boites du CAC40 avec des participations intéressements monstrueuses et des salaires autrement plus élevés. Je parle de la "masse". Désolé de le dire, mais il y a encore du potentiel de hausse. Et pas qu'un peu.
bail emphytéotique administratifcashisking a écrit : ↑30 août 2019, 08:32Quand les cocos s'occupent d'économie ça fait toujours rêverlecriminel a écrit : ↑30 août 2019, 08:30de quelle sécurité parles tu ?
https://www.francetvinfo.fr/economie/im ... 95385.htmlCe qui est cher à Paris c'est le foncier, les cailloux dessus ne valent rien."Nous allons pouvoir mettre en place un nouveau dispositif pour que vous n'achetiez que le bâti et non plus le foncier. La Ville de Paris restera propriétaire du foncier et vous n'achèterez que le bâti. Alors que quand vous achetez aujourd'hui, vous achetez à la fois le terrain et l'appartement qui est au-dessus", explique l'élu communiste.
Non, la mairie s'occupe des key-electeurs. Même si pas key-job, ou pas de job du tout.mrtj a écrit : ↑30 août 2019, 09:22J'ai l'impression que justement la mairie n'en a que faire de ces couples de cadres mais elle se préoccupe des key-job qui désertent Paris.
Après c'est vrai que des instituteurs qui s'en vont ce n'est pas si grave vue que les familles s'en vont aussi. Pour les policiers infirmiers etc ça commence à se voir...
Sécurité par rapport à l'or (on ne peut pas te voler l'immo vs l'or).lecriminel a écrit : ↑30 août 2019, 08:30de quelle sécurité parles tu ?
https://www.francetvinfo.fr/economie/im ... 95385.html
je ne crois pas que B.Arnault soit beaucoup investi dans l'immo parisien, c'est pour les ploucs, les troisièmes couteaux, les mal renseignés (le genre qui pense qu'il y a 2 investissements possibles: le livret A et l'immobilier)
Il y a la population solvable d'une part et parmi celle-ci celle qui veut acheter. L'évolution des prix est tributaire des flux d'entrées et de sorties du marché parisien.Ben92 a écrit : ↑30 août 2019, 08:55Je ne dis pas ça pour le plaisir de jouer les contradicteurs, mais en toute objectivité les prix ne sont pas si délirants que ça à Paris compte tenu des conditions d'emprunt. Un couple de cadres primo-accédants dans la trentaine tout à fait lambda émargeant à 7000€ à deux ayant 50k€ d'apport chacun (ce qui n'est pas beaucoup) peut emprunter sans problème 650k€ sur 25 ans, ce qui fait un budget d'environ 700k€ hors frais de notaire et d'AI. De quoi acheter un 3P convenable.
Et là je ne parle du tout des top jobs qui bossent dans les boites du CAC40 avec des participations intéressements monstrueuses et des salaires autrement plus élevés. Je parle de la "masse". Désolé de le dire, mais il y a encore du potentiel de hausse. Et pas qu'un peu.
Ca dépend de la typologie du bien. Pour les studios, ce sont essentiellement des investisseurs, ou des provinciaux / étrangers recherchant un pied-à-terre.optimus maximus a écrit : ↑30 août 2019, 10:12Tout ça pour dire que je ne crois pas que ça soit la solvabilité des ménages aisés parisiens qui expliquent la hausse des prix à Paris actuellement (que la baisse des taux ne suffit pas à expliquer) mais plutôt le dynamisme de l'investissement locatif, en particulier dans le locatif saisonnier.
Oui, elle infiltre ses électeurs dans l'ouest parisien depuis un moment.Ben92 a écrit : ↑30 août 2019, 09:24Non, la mairie s'occupe des key-electeurs. Même si pas key-job, ou pas de job du tout.mrtj a écrit : ↑30 août 2019, 09:22J'ai l'impression que justement la mairie n'en a que faire de ces couples de cadres mais elle se préoccupe des key-job qui désertent Paris.
Après c'est vrai que des instituteurs qui s'en vont ce n'est pas si grave vue que les familles s'en vont aussi. Pour les policiers infirmiers etc ça commence à se voir...
Ben92 a écrit : ↑01 sept. 2019, 13:07Les prix ont été mis à jour sur meilleursagents. ici aussi la barre des 10000 est franchie : 10155€/m2. (+1.0 % sur un mois, +8,8% sur 1 an)
https://www.meilleursagents.com/prix-im ... ris-75000/
amha c'est exactement le contraire.optimus maximus a écrit : ↑30 août 2019, 10:12Il y a la population solvable d'une part et parmi celle-ci celle qui veut acheter. L'évolution des prix est tributaire des flux d'entrées et de sorties du marché parisien.Ben92 a écrit : ↑30 août 2019, 08:55Je ne dis pas ça pour le plaisir de jouer les contradicteurs, mais en toute objectivité les prix ne sont pas si délirants que ça à Paris compte tenu des conditions d'emprunt. Un couple de cadres primo-accédants dans la trentaine tout à fait lambda émargeant à 7000€ à deux ayant 50k€ d'apport chacun (ce qui n'est pas beaucoup) peut emprunter sans problème 650k€ sur 25 ans, ce qui fait un budget d'environ 700k€ hors frais de notaire et d'AI. De quoi acheter un 3P convenable.
Et là je ne parle du tout des top jobs qui bossent dans les boites du CAC40 avec des participations intéressements monstrueuses et des salaires autrement plus élevés. Je parle de la "masse". Désolé de le dire, mais il y a encore du potentiel de hausse. Et pas qu'un peu.
On peut d'abord imaginer un marché fermé de résidences principales où les vendeurs et acheteurs sont tous déjà propriétaires de leur résidence principale à Paris. Cette population correspond à 40% du parc immobilier parisien, soit 400 000 logements. Avec une durée d'occupation moyenne de 25 ans, ça fait 4% de la population qui change de logement et ça fait 16 000 logements sur le marché chaque année (c'est très simplifié on prend une liste de 16000 ménages, on les ordonne selon l'ordre que l'on veut et le ménage i va acheter l'appartement du ménage de i+1 et le ménage numéro 16000 achète celui du ménage 1). Et l'année suivante on prend 16000 autres ménages.
Si on intègre des flux d'entrée et de sortie, ça ne change pas grand chose si ces flux s'équilibrent. Mais en ce moment, il est fort probable qu'il y ait plus de sorties que d'entrées.
Donc le gros des transactions est dans l'immobilier locatif. Un propriétaire de résidence principale va vendre à un investisseur locatif. Et va permettre au marché parisien d'équilibrer offre et demande. Comme les durées de détention dans le locatif sont plus courtes, le dynamisme de ce marché fait monter les prix.
Tout ça pour dire que je ne crois pas que ça soit la solvabilité des ménages aisés parisiens qui expliquent la hausse des prix à Paris actuellement (que la baisse des taux ne suffit pas à expliquer) mais plutôt le dynamisme de l'investissement locatif, en particulier dans le locatif saisonnier.
Du Airbnb peut-être...Pazuzu a écrit : ↑02 sept. 2019, 16:21amha c'est exactement le contraire.optimus maximus a écrit : ↑30 août 2019, 10:12Il y a la population solvable d'une part et parmi celle-ci celle qui veut acheter. L'évolution des prix est tributaire des flux d'entrées et de sorties du marché parisien.Ben92 a écrit : ↑30 août 2019, 08:55Je ne dis pas ça pour le plaisir de jouer les contradicteurs, mais en toute objectivité les prix ne sont pas si délirants que ça à Paris compte tenu des conditions d'emprunt. Un couple de cadres primo-accédants dans la trentaine tout à fait lambda émargeant à 7000€ à deux ayant 50k€ d'apport chacun (ce qui n'est pas beaucoup) peut emprunter sans problème 650k€ sur 25 ans, ce qui fait un budget d'environ 700k€ hors frais de notaire et d'AI. De quoi acheter un 3P convenable.
Et là je ne parle du tout des top jobs qui bossent dans les boites du CAC40 avec des participations intéressements monstrueuses et des salaires autrement plus élevés. Je parle de la "masse". Désolé de le dire, mais il y a encore du potentiel de hausse. Et pas qu'un peu.
On peut d'abord imaginer un marché fermé de résidences principales où les vendeurs et acheteurs sont tous déjà propriétaires de leur résidence principale à Paris. Cette population correspond à 40% du parc immobilier parisien, soit 400 000 logements. Avec une durée d'occupation moyenne de 25 ans, ça fait 4% de la population qui change de logement et ça fait 16 000 logements sur le marché chaque année (c'est très simplifié on prend une liste de 16000 ménages, on les ordonne selon l'ordre que l'on veut et le ménage i va acheter l'appartement du ménage de i+1 et le ménage numéro 16000 achète celui du ménage 1). Et l'année suivante on prend 16000 autres ménages.
Si on intègre des flux d'entrée et de sortie, ça ne change pas grand chose si ces flux s'équilibrent. Mais en ce moment, il est fort probable qu'il y ait plus de sorties que d'entrées.
Donc le gros des transactions est dans l'immobilier locatif. Un propriétaire de résidence principale va vendre à un investisseur locatif. Et va permettre au marché parisien d'équilibrer offre et demande. Comme les durées de détention dans le locatif sont plus courtes, le dynamisme de ce marché fait monter les prix.
Tout ça pour dire que je ne crois pas que ça soit la solvabilité des ménages aisés parisiens qui expliquent la hausse des prix à Paris actuellement (que la baisse des taux ne suffit pas à expliquer) mais plutôt le dynamisme de l'investissement locatif, en particulier dans le locatif saisonnier.
Soyons sérieux 2mn, personne à Paris n'achète à partir pour faire du locatif (à part microsurface).
Source ???castralroc a écrit : ↑30 août 2019, 11:24Il y a toujours un potentiel de hausse...mais à Londres l'immobilier a bien baissé ( et pas a cause du brexit ) et c'était pourtant à une époque presque 1,5 fois plus cher que Paris.
Comme quoi
Ce sera la panique uniquement pour les personnes qui ont acheté au plus haut et qui seront obligés de revendre durant la baisse. (Ex : Divorce et défaut de paiement du crédit immobilier)castralroc a écrit : ↑02 sept. 2019, 21:14Je me suis trompé sur la comparaison avec Paris.
En revanche pour la baisse j'ai raison...
On est passé de 23k a 15k!!! En 3 ans ... 35 % de baisse. le jour où on verra ça a paris ... ce sera la panique
personne n'achete des 3 ou 4 pieces pour faire du bnb, surtout vu le risque désormais.optimus maximus a écrit : ↑02 sept. 2019, 20:05Du Airbnb peut-être...Pazuzu a écrit : ↑02 sept. 2019, 16:21amha c'est exactement le contraire.optimus maximus a écrit : ↑30 août 2019, 10:12Il y a la population solvable d'une part et parmi celle-ci celle qui veut acheter. L'évolution des prix est tributaire des flux d'entrées et de sorties du marché parisien.Ben92 a écrit : ↑30 août 2019, 08:55Je ne dis pas ça pour le plaisir de jouer les contradicteurs, mais en toute objectivité les prix ne sont pas si délirants que ça à Paris compte tenu des conditions d'emprunt. Un couple de cadres primo-accédants dans la trentaine tout à fait lambda émargeant à 7000€ à deux ayant 50k€ d'apport chacun (ce qui n'est pas beaucoup) peut emprunter sans problème 650k€ sur 25 ans, ce qui fait un budget d'environ 700k€ hors frais de notaire et d'AI. De quoi acheter un 3P convenable.
Et là je ne parle du tout des top jobs qui bossent dans les boites du CAC40 avec des participations intéressements monstrueuses et des salaires autrement plus élevés. Je parle de la "masse". Désolé de le dire, mais il y a encore du potentiel de hausse. Et pas qu'un peu.
On peut d'abord imaginer un marché fermé de résidences principales où les vendeurs et acheteurs sont tous déjà propriétaires de leur résidence principale à Paris. Cette population correspond à 40% du parc immobilier parisien, soit 400 000 logements. Avec une durée d'occupation moyenne de 25 ans, ça fait 4% de la population qui change de logement et ça fait 16 000 logements sur le marché chaque année (c'est très simplifié on prend une liste de 16000 ménages, on les ordonne selon l'ordre que l'on veut et le ménage i va acheter l'appartement du ménage de i+1 et le ménage numéro 16000 achète celui du ménage 1). Et l'année suivante on prend 16000 autres ménages.
Si on intègre des flux d'entrée et de sortie, ça ne change pas grand chose si ces flux s'équilibrent. Mais en ce moment, il est fort probable qu'il y ait plus de sorties que d'entrées.
Donc le gros des transactions est dans l'immobilier locatif. Un propriétaire de résidence principale va vendre à un investisseur locatif. Et va permettre au marché parisien d'équilibrer offre et demande. Comme les durées de détention dans le locatif sont plus courtes, le dynamisme de ce marché fait monter les prix.
Tout ça pour dire que je ne crois pas que ça soit la solvabilité des ménages aisés parisiens qui expliquent la hausse des prix à Paris actuellement (que la baisse des taux ne suffit pas à expliquer) mais plutôt le dynamisme de l'investissement locatif, en particulier dans le locatif saisonnier.
Soyons sérieux 2mn, personne à Paris n'achète à partir pour faire du locatif (à part microsurface).
J'ai fait un test à l'instant pour voir. Week end du 14/15 septembre à Paris avec minimum de 2 chambres. Il y a 17 pages, plus de 300 annonces (sûrement pas 100% à Paris IM).Pazuzu a écrit : ↑03 sept. 2019, 16:26personne n'achete des 3 ou 4 pieces pour faire du bnb, surtout vu le risque désormais.optimus maximus a écrit : ↑02 sept. 2019, 20:05Du Airbnb peut-être...Pazuzu a écrit : ↑02 sept. 2019, 16:21amha c'est exactement le contraire.optimus maximus a écrit : ↑30 août 2019, 10:12
Il y a la population solvable d'une part et parmi celle-ci celle qui veut acheter. L'évolution des prix est tributaire des flux d'entrées et de sorties du marché parisien.
On peut d'abord imaginer un marché fermé de résidences principales où les vendeurs et acheteurs sont tous déjà propriétaires de leur résidence principale à Paris. Cette population correspond à 40% du parc immobilier parisien, soit 400 000 logements. Avec une durée d'occupation moyenne de 25 ans, ça fait 4% de la population qui change de logement et ça fait 16 000 logements sur le marché chaque année (c'est très simplifié on prend une liste de 16000 ménages, on les ordonne selon l'ordre que l'on veut et le ménage i va acheter l'appartement du ménage de i+1 et le ménage numéro 16000 achète celui du ménage 1). Et l'année suivante on prend 16000 autres ménages.
Si on intègre des flux d'entrée et de sortie, ça ne change pas grand chose si ces flux s'équilibrent. Mais en ce moment, il est fort probable qu'il y ait plus de sorties que d'entrées.
Donc le gros des transactions est dans l'immobilier locatif. Un propriétaire de résidence principale va vendre à un investisseur locatif. Et va permettre au marché parisien d'équilibrer offre et demande. Comme les durées de détention dans le locatif sont plus courtes, le dynamisme de ce marché fait monter les prix.
Tout ça pour dire que je ne crois pas que ça soit la solvabilité des ménages aisés parisiens qui expliquent la hausse des prix à Paris actuellement (que la baisse des taux ne suffit pas à expliquer) mais plutôt le dynamisme de l'investissement locatif, en particulier dans le locatif saisonnier.
Soyons sérieux 2mn, personne à Paris n'achète à partir pour faire du locatif (à part microsurface).
Il y a eu de fortes baisses par le passé à Paris (début des années 90).En revanche pour la baisse j'ai raison...
On est passé de 23k a 15k!!! En 3 ans ... 35 % de baisse. le jour où on verra ça a paris ... ce sera la panique
Certaines villes comme Paris limitent ce type de locations mais on peut au minimum louer jusqu’à 120 nuits/an sa résidence principale. Rien ne l’interdit.Pazuzu a écrit : ↑03 sept. 2019, 17:57"J'ai fait un test à l'instant pour voir. Week end du 14/15 septembre à Paris avec minimum de 2 chambres. Il y a 17 pages, plus de 300 annonces (sûrement pas 100% à Paris IM).
Ce ne sait pas si beaucoup de gens achètent des 3 pièces pour faire du AirBnB. En tout cas, beaucoup de propriétaires parisiens font du AirBnB, même hors période de vacance scolaire."
je ne sais pas ce que tu cherchais, mais vu que par définition on ne peut pas acheter un bien à destination d'habitation pour faire du bnb, tu ne risquais pas de trouver ....
Il me manquerait plus que ton logement ne fasse pas 15m2 mais 13,9m2. À ce moment là tu serais vraiment le dindon de la farce si tu achètes et que tu souhaites rester dans la légalité (loi apparu).castralroc a écrit : ↑03 sept. 2019, 20:57Oui enfin un 15 m2 au calme tout équipé, et rénové loué 430 euros... faut pas pousser quand même. Faire du locatif c'est pas non plus une mission humanitaire
Je suis bien au courant de cette loi , et je vais faire attention !Vincent92 a écrit : ↑03 sept. 2019, 20:59Il me manquerait plus que tonlogeebt ne fasse pas 15m2 mais 13,9m2. À ce moment là tu serais vraiment le dindon de la farce (loi apparu).castralroc a écrit : ↑03 sept. 2019, 20:57Oui enfin un 15 m2 au calme tout équipé, et rénové loué 430 euros... faut pas pousser quand même. Faire du locatif c'est pas non plus une mission humanitaire
Rien ne dit que ce paramètre ne passe pas un jour de 14m2 à 16m2 non plus.castralroc a écrit : ↑03 sept. 2019, 21:01Je suis bien au courant de cette loi , et je vais faire attention !Vincent92 a écrit : ↑03 sept. 2019, 20:59Il me manquerait plus que ton logement ne fasse pas 15m2 mais 13,9m2. À ce moment là tu serais vraiment le dindon de la farce (loi apparu).castralroc a écrit : ↑03 sept. 2019, 20:57Oui enfin un 15 m2 au calme tout équipé, et rénové loué 430 euros... faut pas pousser quand même. Faire du locatif c'est pas non plus une mission humanitaire
On peut avoir des gens qui vendent leur 2 pièces pour acheter plus grand en banlieue (arrivée d'un enfant).Pazuzu a écrit : ↑03 sept. 2019, 16:26personne n'achete des 3 ou 4 pieces pour faire du bnb, surtout vu le risque désormais.optimus maximus a écrit : ↑02 sept. 2019, 20:05Du Airbnb peut-être...Pazuzu a écrit : ↑02 sept. 2019, 16:21amha c'est exactement le contraire.optimus maximus a écrit : ↑30 août 2019, 10:12
Il y a la population solvable d'une part et parmi celle-ci celle qui veut acheter. L'évolution des prix est tributaire des flux d'entrées et de sorties du marché parisien.
On peut d'abord imaginer un marché fermé de résidences principales où les vendeurs et acheteurs sont tous déjà propriétaires de leur résidence principale à Paris. Cette population correspond à 40% du parc immobilier parisien, soit 400 000 logements. Avec une durée d'occupation moyenne de 25 ans, ça fait 4% de la population qui change de logement et ça fait 16 000 logements sur le marché chaque année (c'est très simplifié on prend une liste de 16000 ménages, on les ordonne selon l'ordre que l'on veut et le ménage i va acheter l'appartement du ménage de i+1 et le ménage numéro 16000 achète celui du ménage 1). Et l'année suivante on prend 16000 autres ménages.
Si on intègre des flux d'entrée et de sortie, ça ne change pas grand chose si ces flux s'équilibrent. Mais en ce moment, il est fort probable qu'il y ait plus de sorties que d'entrées.
Donc le gros des transactions est dans l'immobilier locatif. Un propriétaire de résidence principale va vendre à un investisseur locatif. Et va permettre au marché parisien d'équilibrer offre et demande. Comme les durées de détention dans le locatif sont plus courtes, le dynamisme de ce marché fait monter les prix.
Tout ça pour dire que je ne crois pas que ça soit la solvabilité des ménages aisés parisiens qui expliquent la hausse des prix à Paris actuellement (que la baisse des taux ne suffit pas à expliquer) mais plutôt le dynamisme de l'investissement locatif, en particulier dans le locatif saisonnier.
Soyons sérieux 2mn, personne à Paris n'achète à partir pour faire du locatif (à part microsurface).
Il n'y a qu'à voir les annonces sur leboncoin, il y en a plein de locations sisonnières illégales.Vincent92 a écrit : ↑03 sept. 2019, 18:22Certaines villes comme Paris limitent ce type de locations mais on peut au minimum louer jusqu’à 120 nuits/an sa résidence principale. Rien ne l’interdit.Pazuzu a écrit : ↑03 sept. 2019, 17:57"J'ai fait un test à l'instant pour voir. Week end du 14/15 septembre à Paris avec minimum de 2 chambres. Il y a 17 pages, plus de 300 annonces (sûrement pas 100% à Paris IM).
Ce ne sait pas si beaucoup de gens achètent des 3 pièces pour faire du AirBnB. En tout cas, beaucoup de propriétaires parisiens font du AirBnB, même hors période de vacance scolaire."
je ne sais pas ce que tu cherchais, mais vu que par définition on ne peut pas acheter un bien à destination d'habitation pour faire du bnb, tu ne risquais pas de trouver ....
Par ailleurs, penser que tout le monde respectent la loi et suggérer sur son message précédent de ne pas respecter les règles régissant l’encadrement des loyers à Paris me fait doucement sourire.
Je vais le dire plus explicitement : Non, tous les propriétaires qui font de la location à la nuitée ne sont pas forcément en règle.
Plus la règlementation est forte, plus c’est lucratif et plus c’est facile, plus le marché noir est développé.
Vous etes plusieurs à écrire avec le même compte ?Vincent92 a écrit : ↑03 sept. 2019, 18:22Je vais le dire plus explicitement : Non, tous les propriétaires qui font de la location à la nuitée ne sont pas forcément en règle.
Plus la règlementation est forte, plus c’est lucratif et plus c’est facile, plus le marché noir est développé.
Après, c’est complètement c0n de faire un calcul avec des paramètres illégaux. Faut vraiment aimer le risque.
33 dans Paris IM.
le chiffre est très minime, on peut soupçonner une combinaison d'accroissement du nombre de RS et de diminution de la taille des foyers.optimus maximus a écrit : ↑03 sept. 2019, 21:17
Si Paris perd des habitants, soit les logements restent indéfiniment vides, soit ils sont transformés en Airbnb, soit ils sont destinés à d'autres usages (plus rare)
il n'y a jamais plus de 300 annonces.Vincent92 a écrit : ↑03 sept. 2019, 16:50J'ai fait un test à l'instant pour voir. Week end du 14/15 septembre à Paris avec minimum de 2 chambres. Il y a 17 pages, plus de 300 annonces (sûrement pas 100% à Paris IM).Pazuzu a écrit : ↑03 sept. 2019, 16:26personne n'achete des 3 ou 4 pieces pour faire du bnb, surtout vu le risque désormais.
Ce ne sait pas si beaucoup de gens achètent des 3 pièces pour faire du AirBnB. En tout cas, beaucoup de propriétaires parisiens font du AirBnB, même hors période de vacance scolaire.