Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
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Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
https://immobilier.lefigaro.fr/article/ ... d628d1c028
Selon une étude américaine, les pandémies passées ont eu un fort impact sur les volumes de vente mais quasiment pas d’effet sur les tarifs. Reste que le Covid-19 est d’une ampleur sans précédent.
Tout le monde s’accorde à reconnaître que l’épidémie de Covid-19 qui sévit actuellement aura des conséquences très lourdes. Le premier ministre Édouard Philippe lui-même prévoit «un coup d’arrêt puissant, massif, brutal» pour notre économie. Reste à savoir si les prix de l’immobilier seront ou non impacté à la baisse. Certains n’ont pas tardé à pointer ces risques, allant même jusqu’à prédire que la pierre pourrait perdre son rôle de valeur refuge. Nous n’en sommes pas là et une récente étude américaine tend même à montrer que par le passé des épidémies plus ou moins comparables à celle du coronavirus n’ont eu qu’un impact très limité sur les prix des logements.
Un article du site américain Curbed titré «Désolé les millennials, une récession liée au coronavirus ne vous aidera pas à acheter une maison» évoque ainsi une étude menée par le méga-portail immobilier américain Zillow. Après s’être penchés sur les conséquences de la grippe espagnole en 1918 et du SRAS en 2003, les chercheurs ont constaté une chute brutale et rapide du PNB (produit national brut) dans les deux cas suivis d'un retour rapide à la normale. Les États-Unis auraient ainsi perdu entre 7 et 9,5% de leur production mensuelle durant la grippe espagnole tandis que Hong Kong a vu son PNB mensuel reculer de 5,1% durant les 5 mois de crise du SRAS. Dans une récession «classique», l’activité recule plus doucement pendant 6 à 18 mois avant de revenir progressivement à la normale.
Durant l’épidémie de SRAS, les volumes de transactions immobilières à Hong Kong se sont quant à elles effondrés de 33 à 72% selon les secteurs puisque les acheteurs évitaient tout contact humain. Mais malgré tout, les prix stratosphériques de la cité n’ont pas connu de baisse significative et les volumes sont revenus à la normale dès la fin de l’épidémie. Les premières remontées depuis la Chine montrent que la tendance y est actuellement la même: un marché quasiment à l’arrêt mais pas de variations notables des prix.
Il faut noter cependant que le coronavirus a causé une mise à l’arrêt de la plupart des économies développées d’une ampleur sans équivalent en temps de paix. Il faudra donc déterminer dans les semaines et mois qui viennent l’aptitude de ce virus à créer une véritable récession à lui seul.
Selon une étude américaine, les pandémies passées ont eu un fort impact sur les volumes de vente mais quasiment pas d’effet sur les tarifs. Reste que le Covid-19 est d’une ampleur sans précédent.
Tout le monde s’accorde à reconnaître que l’épidémie de Covid-19 qui sévit actuellement aura des conséquences très lourdes. Le premier ministre Édouard Philippe lui-même prévoit «un coup d’arrêt puissant, massif, brutal» pour notre économie. Reste à savoir si les prix de l’immobilier seront ou non impacté à la baisse. Certains n’ont pas tardé à pointer ces risques, allant même jusqu’à prédire que la pierre pourrait perdre son rôle de valeur refuge. Nous n’en sommes pas là et une récente étude américaine tend même à montrer que par le passé des épidémies plus ou moins comparables à celle du coronavirus n’ont eu qu’un impact très limité sur les prix des logements.
Un article du site américain Curbed titré «Désolé les millennials, une récession liée au coronavirus ne vous aidera pas à acheter une maison» évoque ainsi une étude menée par le méga-portail immobilier américain Zillow. Après s’être penchés sur les conséquences de la grippe espagnole en 1918 et du SRAS en 2003, les chercheurs ont constaté une chute brutale et rapide du PNB (produit national brut) dans les deux cas suivis d'un retour rapide à la normale. Les États-Unis auraient ainsi perdu entre 7 et 9,5% de leur production mensuelle durant la grippe espagnole tandis que Hong Kong a vu son PNB mensuel reculer de 5,1% durant les 5 mois de crise du SRAS. Dans une récession «classique», l’activité recule plus doucement pendant 6 à 18 mois avant de revenir progressivement à la normale.
Durant l’épidémie de SRAS, les volumes de transactions immobilières à Hong Kong se sont quant à elles effondrés de 33 à 72% selon les secteurs puisque les acheteurs évitaient tout contact humain. Mais malgré tout, les prix stratosphériques de la cité n’ont pas connu de baisse significative et les volumes sont revenus à la normale dès la fin de l’épidémie. Les premières remontées depuis la Chine montrent que la tendance y est actuellement la même: un marché quasiment à l’arrêt mais pas de variations notables des prix.
Il faut noter cependant que le coronavirus a causé une mise à l’arrêt de la plupart des économies développées d’une ampleur sans équivalent en temps de paix. Il faudra donc déterminer dans les semaines et mois qui viennent l’aptitude de ce virus à créer une véritable récession à lui seul.
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Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
Baser les conclusion sur "la grande épidémie" du SRAS ?
On ne doit pas avoir la même définition de ce mot.
On ne doit pas avoir la même définition de ce mot.
La propriété privée nous a rendus si stupides et si bornés qu'un objet n'est nôtre que lorsque nous le possédons.
K. Marx [Manuscrits de 1844]
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Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
Il me semble qu'il y a une grande différence. Cette fois, la crise sanitaire coïncide avec une crise économique majeure (et pour cause !). Déjà, le patrimoine moyen des acheteurs a baissé (je pense que pas mal d'acheteurs comptent sur leur plan épargne entreprise, souvent investi en actions de la boîte). Ensuite, si des entreprises font faillite, la demande va baisser (les banques ne prêteront pas à quelqu'un qui vient de perdre son boulot, et s'il en retrouve un, il va devoir attendre d'avoir une certaine ancienneté). Enfin, les banques étant en difficultés, les conditions d'attribution des crédits ne vont-elles pas changer ? (je suppose que les règles pourraient être assouplies, mais ce n'est pas la tendance)kurisutofa a écrit : ↑21 mars 2020, 07:58Durant l’épidémie de SRAS, les volumes de transactions immobilières à Hong Kong se sont quant à elles effondrés de 33 à 72% selon les secteurs puisque les acheteurs évitaient tout contact humain. Mais malgré tout, les prix stratosphériques de la cité n’ont pas connu de baisse significative et les volumes sont revenus à la normale dès la fin de l’épidémie. Les premières remontées depuis la Chine montrent que la tendance y est actuellement la même: un marché quasiment à l’arrêt mais pas de variations notables des prix.
En attendant, si rien ne se vend, les prix ne baissent pas.
J'ai l'impression que les prix devraient être impactés dans quelques mois. Surtout que les volumes sont censés repartir maintenant. Si on est confiné trop longtemps, on pourrait carrément zapper la haute saison. Je ne sais pas si ça s'est déjà vu. Mais d'un autre côté les taux ne sont pas près de remonter. Déjà qu'avant la crise on n'en voyait pas la fin, alors cette fois... C'est définitivement mort.
Pour citer Yoda : “Difficult to see. Always in motion is the future.”
Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
Ils parlent du SRAS qui avait généré 5% de PNB en moins par mois à HK.
En France, on va produire même pas la moitié, tout est à l'arrêt ou au ralenti.
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Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
En tous cas, quand les Parisiens auront goûté à 6 semaines de confinement dans leur clapier de 40 m2 payé le prix d'une villa de 250 m2 en province, ils voudront s'en débarrasser au plus vite pour fuir la capitale. Je doute que les 10000 € le mètre carré se maintiennent bien longtemps...
Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
Tant que les boulots bien payés se concentrent à paris. Si demain le télétravail se développe enfin suite à ça, c’est possible que le donne change, mais ce sera longAffidavit a écrit : ↑21 mars 2020, 15:30En tous cas, quand les Parisiens auront goûté à 6 semaines de confinement dans leur clapier de 40 m2 payé le prix d'une villa de 250 m2 en province, ils voudront s'en débarrasser au plus vite pour fuir la capitale. Je doute que les 10000 € le mètre carré se maintiennent bien longtemps...
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Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
Si l'épidémie provoque une crise immobilière, ce ne sera pas dû au fait que les gens se dégoûtent de la ville.
Ce sera avant tout à cause de l'émergence de nouveaux arbitrages financiers : on met trop d'argent dans un appartement en région parisienne alors que nous devons être en mesure de satisfaire des besoins qui coûteront plus chers dans l'avenir : la santé, l'alimentaire, le bien commun (impôt) avec des ressources moindres (moins de création de dette).
La mégalopole si elle est bien pensée (à la manière d'une cité état ?) est sans doute un endroit où on peut gérer plus facilement les pénuries que dans des zones plus désertifiées.
Ce sera avant tout à cause de l'émergence de nouveaux arbitrages financiers : on met trop d'argent dans un appartement en région parisienne alors que nous devons être en mesure de satisfaire des besoins qui coûteront plus chers dans l'avenir : la santé, l'alimentaire, le bien commun (impôt) avec des ressources moindres (moins de création de dette).
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Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
Non à cause de la densité abusive.optimus maximus a écrit : ↑21 mars 2020, 15:57Si l'épidémie provoque une crise immobilière, ce ne sera pas dû au fait que les gens se dégoûtent de la ville.
Ce sera avant tout à cause de l'émergence de nouveaux arbitrages financiers : on met trop d'argent dans un appartement en région parisienne alors que nous devons être en mesure de satisfaire des besoins qui coûteront plus chers dans l'avenir : la santé, l'alimentaire, le bien commun (impôt) avec des ressources moindres (moins de création de dette).
La mégalopole si elle est bien pensée (à la manière d'une cité état ?) est sans doute un endroit où on peut gérer plus facilement les pénuries que dans des zones plus désertifiées.
Une ville faiblement dense, ouverte aérée on ne ressent pas ce stress et je serrai même prêt à y vivre. Mais dans ce cas pas en France
Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
Tu parles. Ceux qui sont partis en province doivent avoir envie de se tirer une balle au bout de 6 jours loin de la capitale.
lecriminel a écrit : ↑21 mars 2020, 13:19Imagine Ben92, lui s'est bien fait bananer et le paye très cher en période de confinement. Il n'a tué personne mais est enfermé dans une cellule de 20m2.
Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
Et tu les trouves où les jobs pour tout le monde en province ?Affidavit a écrit : ↑21 mars 2020, 15:30En tous cas, quand les Parisiens auront goûté à 6 semaines de confinement dans leur clapier de 40 m2 payé le prix d'une villa de 250 m2 en province, ils voudront s'en débarrasser au plus vite pour fuir la capitale. Je doute que les 10000 € le mètre carré se maintiennent bien longtemps...
Mon interview financière : https://avenuedesinvestisseurs.fr/inter ... azy-malin/
Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
6 semaines de confinement..
Me suis arrêté la
Ils y croivent grave :
Me suis arrêté la
Ils y croivent grave :
Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
tu les crée à la place des jobs parisiens. Avec le soleil et la place en prime.
Oh et puis non finalement, oublie, ne venez surtout pas !
Les bonnes idées triomphent toujours. D'ailleurs c'est à cela qu'on reconnait qu'elles étaient bonnes.
mon statut de modérateur ne m'interdit pas de participer aux discussions. Je ne modère pas les discussions auxquelles je participe.
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Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
Je suis bien placé pour parler de l'impact du virus sur l'immobilier parisien/francilien étant moi-même vendeur d'un bien qualitatif dans le 92 (Boulogne).
Pour moi la stratégie est extrêmement simple : il est hors de question que je brade mon bien du moindre centime. Si ça doit baisser, j'attendrai que ça remonte.
M'est avis que si baisse il y a cela concernera très très peu de ventes, l'immense majorité des vendeurs feront de la rétention jusqu'à les prix remontent au niveau avant-crise. (voire plus haut )
Pour moi la stratégie est extrêmement simple : il est hors de question que je brade mon bien du moindre centime. Si ça doit baisser, j'attendrai que ça remonte.
M'est avis que si baisse il y a cela concernera très très peu de ventes, l'immense majorité des vendeurs feront de la rétention jusqu'à les prix remontent au niveau avant-crise. (voire plus haut )
Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
Ça va le confinement alors ? Tu devrais faire une vidéo youtube.. 500ke de patrimoine et je vis dans 18m2Ben92 a écrit : ↑21 mars 2020, 18:34Je suis bien placé pour parler de l'impact du virus sur l'immobilier parisien/francilien étant moi-même vendeur d'un bien qualitatif dans le 92 (Boulogne).
Pour moi la stratégie est extrêmement simple : il est hors de question que je brade mon bien du moindre centime. Si ça doit baisser, j'attendrai que ça remonte.
M'est avis que si baisse il y a cela concernera très très peu de ventes, l'immense majorité des vendeurs feront de la rétention jusqu'à les prix remontent au niveau avant-crise. (voire plus haut )
Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
J'ignore si et comment le coronavirus impactera le prix de l'immobilier mais le terrain vendu avec le bien pourrait bien devenir un critère revu à la hausse. A conditions égales de localisation avantage à la maison sur l'appartement. A éloignement égal de la métropole (enfin du boulot) appréciation de la surface dispo du bâti et du terrain. Et peut-être à terme un rapprochement du prix de l'immo des zones moins urbaines, moins peuplées plus aérées par rapport aux biens de la ville.
Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
Ça fait combien d'année que ton appartement est en vente, rappelle-nous ?Ben92 a écrit : ↑21 mars 2020, 18:34Je suis bien placé pour parler de l'impact du virus sur l'immobilier parisien/francilien étant moi-même vendeur d'un bien qualitatif dans le 92 (Boulogne).
Pour moi la stratégie est extrêmement simple : il est hors de question que je brade mon bien du moindre centime. Si ça doit baisser, j'attendrai que ça remonte.
M'est avis que si baisse il y a cela concernera très très peu de ventes, l'immense majorité des vendeurs feront de la rétention jusqu'à les prix remontent au niveau avant-crise. (voire plus haut )
Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
Bien qualitatif mais sans terrasse ou balcon.
Bien banal donc.
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Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
+1 : si ca ne se vend pas, c'est que ce n'est pas au prix
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Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
Après le SRAS Hong Kong a profité du boom Chinois qu'elle venait de rejoindre en 1999. Après la grippe Espagnole les USA ont profité des années folles.
Peut être qu'ici aussi il y aura une embellie économique avec le décès prématuré de gens qui coûtaient plus qu'ils ne rapportaient...
Après la peste noire, on a connu la renaissance qui est une conséquence directe.
Qui sait c'est peut être intrinsèque aux épidémies, repartir sur de nouvelles bases ?
Peut être qu'ici aussi il y aura une embellie économique avec le décès prématuré de gens qui coûtaient plus qu'ils ne rapportaient...
Après la peste noire, on a connu la renaissance qui est une conséquence directe.
Qui sait c'est peut être intrinsèque aux épidémies, repartir sur de nouvelles bases ?
Modifié en dernier par wasabi le 21 mars 2020, 21:21, modifié 1 fois.
"Le marché peut rester irrationnel plus longtemps que vous ne pouvez rester solvable" - J.M. Keynes, 1936
Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
Il n'est plus publié en annonce, mais en off market chez quelques agences.roi.de.trefle a écrit : ↑21 mars 2020, 21:10+1 : si ca ne se vend pas, c'est que ce n'est pas au prix
Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
"En off market" après avoir tenté de le vendre avec une annonce ?
La réalité, c'est qu'aucune agence n'a envie d'afficher ton studio au prix que tu espères en tirer.
La réalité, c'est qu'aucune agence n'a envie d'afficher ton studio au prix que tu espères en tirer.
Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
Et même l'emplacement, faut voir comment les rats des villes ont déserté la semaine dernière. S'ils étaient si bien que ça dans la ville lumière ils seraient restés.
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Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
Pour stocker des rouleaux de PQ c'est bien pratique !
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Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
Non inutile. Tu y vas pour chier.
c’est qualitatif d’avoir une grande salle d’eau, un extérieur même juste balcon ou petite terrasse, une belle vue.
Avoir des chiottes ou tu peux faire du moonwalk en fauteuil roulant aucun intérêt.
Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
Tu y vas aussi pour lire tranquilou et dans ce cas pouvoir deployer tes jambes c'est mieux
« Réfléchir, c'est difficile. C'est pourquoi la plupart des gens jugent. »
Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
Pas étonnant que le coronavirus se répande avec des gens comme toi
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Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
https://www.ikea.com/fr/fr/p/spontan-po ... -20118174/ dans les toilettes et un abonnement au chasseur-français, c'est parfait pour le transit
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Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
Toi tu connais pas le principe des chiottes bibliothèque.
Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
Moi prochaine maison j’installe une prise dans le chiotte pour le smartphoneroi.de.trefle a écrit : ↑21 mars 2020, 22:23https://www.ikea.com/fr/fr/p/spontan-po ... -20118174/ dans les toilettes et un abonnement au chasseur-français, c'est parfait pour le transit
Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
le rapport c'est un manque d'hygiène. Sauf si vous désinfectez l'écran du smartphone en sortant en même temps que vous vous lavez les mains ?
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Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
Toujours dans la mesure du possible. Et j’utilise le téléphone d’une seule main non contaminée
D’ailleurs j’ai pas attendu le virus pour le laver les mains 20 fois par jour. Tellement que j’ai les mains sèches toutes l’année
Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
smartphone dans les chiottes tu le desinfecte à la sortie ? Je comprends pourquoi les Hauts de France sont particulierement touchés par le coronacaca
« Réfléchir, c'est difficile. C'est pourquoi la plupart des gens jugent. »
Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
Kamou et les règles d'aseptie je le touche d'une seule main mon smartphone promis
On va te denoncer c'est pas un virus chinois qui nous attaque
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« Réfléchir, c'est difficile. C'est pourquoi la plupart des gens jugent. »
Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
Le smartphone d'une seule main aux toilettes, je ne vois qu'une seule explication : vous profitez de votre abonnement pornhub premium gratuit ?kamoulox a écrit : ↑21 mars 2020, 22:34Toujours dans la mesure du possible. Et j’utilise le téléphone d’une seule main non contaminée
D’ailleurs j’ai pas attendu le virus pour le laver les mains 20 fois par jour. Tellement que j’ai les mains sèches toutes l’année
Mais les mains toutes sèches pourtant.
Une solution pour résoudre les deux problèmes : fister plus souvent la biélorusse. En plus avec tout ce qu'elle consomme comme alcool -c'est vous qui le dites- ça fera solution hydroalcoolique
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Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
Il a interet à utiliser la vaseline pour ces mains sinon il va les ruiner
« Réfléchir, c'est difficile. C'est pourquoi la plupart des gens jugent. »
Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
Non c’était réservé aux plans culs. Pas de ça avec ma princessewasabi a écrit : ↑21 mars 2020, 22:46Le smartphone d'une seule main aux toilettes, je ne vois qu'une seule explication : vous profitez de votre abonnement pornhub premium gratuit ?
Mais les mains toutes sèches pourtant.
Une solution pour résoudre les deux problèmes : fister plus souvent la biélorusse. En plus avec tout ce qu'elle consomme comme alcool -c'est vous qui le dites- ça fera solution hydroalcoolique
Puis bon voir son poignet disparaître ça fait flipper
Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
Sache que chez moi les chiotes tu pourrais manger dessus. Je passe mon temps à les nettoyer, c’est 1 bidon par semaine de produit bleu. Plus dessinffection journalière de la cuvette.
Autant je suis moins maniaque pour ranger des trucs dans la maison, autant les chiottes et la salle de bain ça brille!
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Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
13000 morts au niveau mondial à ce jour...wasabi a écrit : ↑21 mars 2020, 21:19Après le SRAS Hong Kong a profité du boom Chinois qu'elle venait de rejoindre en 1999. Après la grippe Espagnole les USA ont profité des années folles.
Peut être qu'ici aussi il y aura une embellie économique avec le décès prématuré de gens qui coûtaient plus qu'ils ne rapportaient...
En supposant que ce soit tous des retraités à 2000 balles par mois et qu'il leur restait 20 ans, on a "économisé" 520 millions...
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Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
J'ai reçu un mail de carrouf disant qu'ils continuaient leur foire aux vinscashisking a écrit : ↑22 mars 2020, 09:036 semaines...
La corde me tuera plus sûrement que le corona.
Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
Oui enfin la peste noire cest le 14e et la Renaissance le 16e.
La peste noire a eu en effet une influence sur le long terme, mais ses survivants n'en ont guère profité.
Les salaires avaient grimpé pendant l'épidémie. Ils ont été fixés à pas le pouvoir à plus d'un tiers de leur niveau antérieur.
Des champs abandonnés qui redeviennent forêts. Des paysans qui quittent leurs terres pour la ville. À l'époque cela a plutôt engendré un exode rural.
Aujourd'hui l'effet, pour ceux qui sont dans un domaine " teletravailable" pourrait être inverse.
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Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
Franchement la lecture aux toilettes c'est pas mieux surtout les magazines...
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Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
Le titre est idiot. Cela dépend des contre-mesures mises en place pour contrer l'épidémie.
Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
vous oubliez les aides sociales (APA, HLM, assistantes sociales, EHPAD...), le coût pour l'assurance maladie (moitié de la dépense la dernière année de vie)...cashisking a écrit : ↑22 mars 2020, 09:0213000 morts au niveau mondial à ce jour...wasabi a écrit : ↑21 mars 2020, 21:19Après le SRAS Hong Kong a profité du boom Chinois qu'elle venait de rejoindre en 1999. Après la grippe Espagnole les USA ont profité des années folles.
Peut être qu'ici aussi il y aura une embellie économique avec le décès prématuré de gens qui coûtaient plus qu'ils ne rapportaient...
En supposant que ce soit tous des retraités à 2000 balles par mois et qu'il leur restait 20 ans, on a "économisé" 520 millions...
Et puis les nombre de morts... Si ils sont aussi peu en Chine et qu'on en a sauvé autant (statistiques des Chinois, 49% de décès en réanimation, donc la réa en a sauvé 51%), ça ne rime à rien de bloquer le pays. En fait on a sûrement eu beaucoup plus de morts que ça en Chine. A l'image de ce qu'on a entendu sur Bergame, 50 décès par jour à cette époque en temps normal, 150 actuellement, soit une surmortalité de 100, mais seulement 30 de comptés dans le corona virus, et ça c'est uniquement ceux qui meurent vite, il y a aussi qui continuent à mourir même si on n'a plus de nouveaux cas à la fin.
De toutes manières en temps de crise on ment sur les chiffres. Sur les morts, sur le taux de personnes favorables au gouvernement...
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Re: Les grandes épidémies n’ont eu qu’un impact limité sur les prix immobiliers
Il existe toujours des gens obligés de vendre:Ben92 a écrit : ↑21 mars 2020, 18:34Je suis bien placé pour parler de l'impact du virus sur l'immobilier parisien/francilien étant moi-même vendeur d'un bien qualitatif dans le 92 (Boulogne).
Pour moi la stratégie est extrêmement simple : il est hors de question que je brade mon bien du moindre centime. Si ça doit baisser, j'attendrai que ça remonte.
M'est avis que si baisse il y a cela concernera très très peu de ventes, l'immense majorité des vendeurs feront de la rétention jusqu'à les prix remontent au niveau avant-crise. (voire plus haut )
-crédit relais
-divorce
-succession, si les héritiers n'ont pas les liquidités pour payer les droits de succession.
Ces ventes forcées peuvent faire baisser les prix dans de petits volumes. Un tassement des prix peut en résulter.
Pour les autres, il faut effectivement attendre que la situation se normalise.
Attention, il peut arriver suite à une crise économique qu'un cycle baissier de quelques années s'enclenche. Il suffit pour cela qu'il y ait une restriction du crédit. C'est arrivé dans les années 1990.
Ce n'est pas si grave de vendre à perte un bien si:
1) le crd du prêt ayant servi à acheter le bien est inférieur à -disons- 50% du prix de vente,
2) tu se sers du produit de la vente pour acheter un bien de meilleure qualité (ce qui signifie d'abord plus grand).
En gros, tu échanges x m2 contre 0.9x m2 (car tu crames 10% en frais de notaire et d'agence) et tu rajoutes y m2. A la fin tu as 0,9.x+y m2 et une dette correspondant à crd+1,1.y m2. Tu peux aussi aller dans un endroit plus côté.
Personnellement je préfère avoir 1m2 d'immobilier parisien (ou 3m2 dans mon coin) que 10k sur mon av. Je préfère de façon générale les biens physiques- y compris de consommation- aux liquidités.
Ignorés: Manfred, titano.